Rio de Janeiro

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 1/10/2011 par charline88

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

L'avion fait un bruit assourdissant. Dans le soir d'un autre été, je suis collée à mon siège alors que mon esprit s'emplit de tous ces bruits qui m'entourent.
Je n'ai jamais vraiment aimé les avions, les décollages mais aussi et surtout les atterrissages.
Je sens sous moi les roues qui nous font filer à toute vitesse, vers le ciel et soudain je sais que je ne suis plus au sol. La boule qui me creuse l'estomac s'accentue encore davantage.
Le nez de l'appareil monte vers le ciel, entre terre et horizon, pointe d'acier lancée à pleine vitesse qui me crispe le ventre alors que je ferme les yeux pour ne pas penser à ce voyage qui m'effraie.
Si je suis ici, c'est pour rejoindre mon mari qui est parti depuis quelques semaines, pour son travail à Rio de Janeiro.
Je profite de quelques jours de vacances pour aller sur place le retrouver. J'ai quitté tôt ce matin le chalet, le lac, le calme de notre home tendre, mais tellement vide depuis son départ.
J'ai fait appel à une de mes amies pour rallier la capitale et l'aéroport d'Orly, et nous sommes parties elle et moi à dix heures du matin.
Déjeuner en route et me voici dans l'avion qui monte prendre son altitude de croisière. Quand je pense que je suis pour douze bonnes heures dans cette carcasse métallique, je me dis qu'il me faut l'aimer cet homme pour faire les neuf mille cent quatre vingt dix kilomètres qui me séparent de lui dans une boite dont je ne pourrai pas sortir tant qu'elle sera en l'air.
Maintenant, je sens que l'avion se stabilise, qu'il se met à voler à l'horizontal et c'est parti pour les gestes incontournables fait par les hôtesses sur chaque long courrier.
Elles décrivent minutieusement les opérations à faire en cas de problème et je suis fascinée par leur manière de faire, ce qui pour autant ne me rassure pas.
Elles sont maintenant parties pour d'autres occupations et le soir qui descendait sur la terre vient aussi plonger l'habitacle de l'oiseau de fer dans une sorte de semi - obscurité.
Je m'installe plus confortablement sur mon siège, je pense que ma ceinture est toujours attachée et je la déboucle avec des gestes désordonnés.
Je pense qu'après une bonne nuit de sommeil, je serai déjà plus prés de Galéao, de cet aéroport qui se trouve si proche de toi.
Je suis près d'un hublot, au milieu de l'appareil, pas très loin d'une issue de secours et je me trouve être au bout d'une rangée de cinq sièges.
Un homme d'à peu près mon âge est assis dans un fauteuil près de moi. Les trois autres sont vides d'occupants. C'est bien ainsi, je n'aurais pas aimé être importunée par les bruits de discussions d'autres voyageurs.
Les hôtesses passent pour nous servir un repas, je mange doucement ce qu'elle m'apporte, sans trop prêter d'attention à la nourriture.
Mon voisin dîne aussi, tournant ses regards de temps en temps vers moi, avec un timide sourire aux lèvres.
Puis quand les filles de l'air repassent pour proposer une boisson, je me fais servir un alcool fort, juste pour conjurer cette peur qui m'étreint le ventre.
Pas un sursaut, pas un bruit plus haut que l'autre, l'avion file vers sa destination sans à coup et je respire mieux.
J'étends ensuite mes longues jambes, en inclinant mon siège, position de nuit, pour essayer de dormir un peu, enfin si toutefois j'y parviens.
Une des hôtesses me tend une couverture et je déplie celle-ci, pour m'en couvrir le corps, ne laissant dépasser que mon visage.
Je suis presque bien.
Un dernier regard furtif vers mon voisin et je vois qu'il a adopté la même position que moi.
Je pose ma tête vers l'extérieur et laisse vagabonder mes pensées. Elles partent toutes vers toi et je m'imagine déjà dans tes bras.
Cela fait un bon mois que nous n'avons pas partager un lit et ton corps musclé me manque, j'ai une envie folle de te faire l'amour. J'ai l'impression que mon sexe pleure ton absence, qu'il ne vit plus qu'à demi depuis ton départ.
Dans une conscience ralentie, je laisse avec mes pensées, dériver ma main, qui part sur des plages d'ordinaire explorées par les tiennes.
Mes doigts relèvent l'ourlet du bord de ma jupe, la monte lentement ; sans bruit sur mes cuisses.
Puis ils écartent l'élastique de ma petite culotte, viennent frôler le petit panache de poils que je conserve, juste pour ne pas céder à cette étrange mode du « tout lisse ».
Mon index se tend sur la fente que j'entrouvre et je commence à me laisser bercer par la douceur de mes propres caresses.
Mon index s'humidifie à la source de ma grotte intime qui laisse échapper un peu de la mouille que provoque le frottement du doigt.
Ma poitrine se soulève plus rapidement, au rythme de la montée de ce plaisir solitaire que je m'octroie, juste pour me défaire de la tension de cette journée.
Les lumières de l'avion sont plus tamisées, et des kilomètres plus bas, en jetant un regard appuyé, je pourrais sans doute voir quelques villes illuminées.
Alors que je vais pour la énième fois faire vibrer le pic rose qui est en érection, je sens que sur ma main, une autre est venue se poser.
Je n'ose plus faire un seul geste, en espérant que je vais me réveiller de ce rêve étrange. Mais je sais bien au fond de moi que je ne dors pas. La main qui s'est placée sur mes doigts continue le mouvement interrompu par la mienne, obligeant ainsi mon index à frotter le clitoris qui lui, reste tendu comme un petit pénis.
Je ne bronche toujours pas et la main étrangère s'installe sur ma chatte comme s'il s'agissait d'une simple formalité. Et moi, pauvre gourde, je ne bouge pas d'un cil laissant cette intruse me caresser la motte, entrouvrir mes lèvres et tenter une approche plutôt intime.
Comme je n'offre aucune résistance, cette patte s'insinue partout, elle me caresse l'intérieur des cuisses, puis monte vers mon berlingot, redescend maintenant le long de mes fesses.
Comme elle a exploré l'ensemble de mon fondement, elle s'ingénie désormais à faire glisser de mes hanches la culotte qui couvre encore le bas de ce corps qui réagit presque favorablement à la caresse de l'étranger.
Le bout de soie commence à glisser sur le haut de mes cuisses, et centimètres par centimètres, la culotte arrive à mes genoux. Ce n'est pas un obstacle, elle persiste à filer vers le bas de mes jambes, puis franchit mes talons et finalement me quitte totalement, sans que j'aie esquissé la moindre tentative pour la retenir
J'ai un frisson de me savoir ainsi tripotée par cet inconnu, dont je ne connais rien. Je ne bronche absolument pas et il s'imagine sans doute que cet abandon est un « oui » ferme et définitif. Mais pourrait-il penser autre chose, puisque je ne dis rien ?
La main, son office de déshabillage terminé, est revenue, caressant mes jambes depuis mes pieds et lissant maintenant l'intérieur de mes cuisses. Elle recherche dans la fourche de mes gambettes, la secrète intimité qu'elle renferme.
Elle finit par s'insinuer entre mes fesses, un doigt se lovant doucement dans le sillon, pour trouver enfin l'oeillet sombre qu'il se met en devoir de câliner.
L'inconnu bouge sur son siège, il se sert plus près de moi, juste pour avoir une meilleure position, facilitant du même coup la progression de ce doigt inquisiteur.
Je n'ose plus faire un quelconque geste, juste envie de me réveiller. Je suis sans doute dans un cauchemar, dans un mauvais rêve crée de toute pièce par mon cerveau en manque de ton sexe.
Cependant le doigt sur mon anus est rejoint par la seconde main. En fait c'est un objet froid qui vient au devant de lui. Cet objet non identifié me frôle juste un instant et j'ai l'impression qu'il laisse derrière lui une sorte de liquide frais. C'est quand le doigt qui se frotte à mon petit trou revient et commence une ronde qui lui ouvre la porte que je réalise que l'homme vient de lubrifier la place pour mieux s'y infiltrer.
Maintenant, c'est comme une glissade, une entrée en douceur. Le doigt tourne lentement sur lui-même, étendant le muscle qui se laisse cajoler, je suis investie par cet inconnu avec une grande patience, toute empreinte de calme.
Un second doigt a rejoint son ami et lui aussi se fraye un passage dans le corridor sombre de mon anatomie.
L'homme s'est complètement étendu contre moi, je sens son souffle dans mon cou, son odeur parfumée aussi me parvient.
Son souffle est aussi calme que son attitude, dans ma torpeur j'entends son murmure.
- Merci, belle salope de ne pas bouger, laisse moi te donner du plaisir, surtout ne dis pas un mot. Si tu veux que je continue, tu dois rester ainsi, muette et inerte. Dans le cas où tu désires que je persiste dans ma recherche de ton plaisir, sors juste la main de la couverture, pose la sur ta tête et je finirai ce que j'ai débuté.
Dans l'hypothèse où tu veux que je cesse, tousse une fois et tu ne sauras plus rien de moi.
Mon c'ur bat à tout rompre. Il soulève ma poitrine rapidement, j'hésite sur la marche à suivre, balançant entre toux et main hors de la couverture.
D'un coté, l'envie est là, dans mon ventre, qui me fouille autant que ces doigts qui persistent dans leur excursion anale. De l'autre, la raison qui dicte à mon esprit « que ce n'est pas raisonnable, que ce laissé toucher par un inconnu ne se fait pas ».
C'est mon corps qui prend le dessus sur mon esprit et ma main déplace la couverture, puis sans rien dire je la laisse courir sur ma chevelure, abdiquant ainsi pour un temps.
Il a compris le message et sa voix me revient douce, suave, dans la demi - nuit de cet avion, bien loin du monde des vivants.
- Parfait, je te veux bien cochonne, salope au possible, soumise et ouverte, laisse aller la musique, je serai le chef d'orchestre.
Sa seconde main est entrée en contact avec la peau de mon cou. Elle rampe vers mes seins, je ne fais rien pour la retenir.
Comme elle ne trouve pas d'obstacle sur le chemin qu'elle trace, la pointe d'un de mes seins est prise en étau rapidement.
Sous la pression, j'ai le souffle un peu coupé, d'autant que c'est en même temps un troisième doigt qui pénètre dans mon derrière.
Telle une poupée de chiffon, je laisse faire cet étranger et il en profite. Sa main a quitté mon cul, et il appuie sur mon épaule, ce qui a pour but de me faire faire un demi-tour sur mon siège.
Je suis maintenant couchée sur dos. Je perçois le ronronnement régulier de l'avion qui navigue à dix mille mètres de haut, quand l'homme me tire le bras par le poignet. Mon bras suit la direction que veut lui donner cet homme.
Je comprends rapidement qu'il est entièrement nu sous sa couverture quand il pose ma main d'abord sur sa poitrine, puis qu'il l'a fait descendre sur son ventre, juste histoire de la placer sur sa verge tendue.
Mes doigts restent inertes sur cette tige qui est raide, chaude, lisse, énorme.
C'est entre mes cuisses qu'il vient fouiller maintenant. De deux doigts, il écarte mes grandes lèvres, pour mieux glisser sur la fente qui me fait frémir à son contact trop doux. Par réflexe, je crispe ma main et elle se referme sur le pieu frémissant qui n'en demande pas plus.
Vaincue par mon envie, je sors de ma passivité pour commencer une branlette à ce sexe qui me chauffe à blanc, autant que l'insistance du doigt sur mon clitoris.
L'homme suit son idée et il me plante plusieurs phalanges bien raides dans la foufoune, se met à les faire tourner, alors que sous cette caresse, j'accélère la cadence des va-et-vient que je fais sur sa bite.
- Doucement, doucement, je ne veux pas gicler dans ta main, doucement ma belle, calme toi.
Il soulève la couverture et sa main libre me prend par la nuque, il exerce une pression telle que ma tête se trouve dans l'obligation de se courber vers le centre de son corps.
Comme il insiste à me masturber la chatte, faisant rouler son doigt dans mon intimité, je souffle fort et devant cette queue dure, j'entrouvre les lèvres. Le gland s'engouffre dans cette brèche que je viens d'ouvrir.
La bête est si énorme que j'ai du mal à la prendre en bouche. Mes lèvres sont distendues et mes mâchoires sont totalement ouvertes. L'homme pousse de manière régulière et je suis investie par son chibre que j'ai beaucoup de peine à sucer.
Il commence à me limer la bouche et poussant de petits soupirs, bien-être ou autre, il ne dit rien.
Et au fond de mon ventre un volcan s'est allumé. Je sens cette lave qui va bouillonner, pour enfin couler le long de mes cuisses, s'insinuer en suivant la raie de mes fesses et je pompe le dard qui prend encore, comme si c'était possible, du volume.
La main sur ma nuque est restée bien en place et l'étranger me plaque le visage sur son bas-ventre. J'ai ses couilles qui me touchent le menton, je suffoque, j'ai du mal à respirer et voila que je sens les premiers soubresauts de la montée du plaisir de mon partenaire imposé.
Je voudrais retirer cette bite qui, je le sens bien va me cracher dans la gorge, mais impossible de reculer ma tête. Et voila que cela commence, que le liquide épais m'inonde le palais, se répand dans ma bouche, coule dans ma gorge.
Et lui a cessé de me caresser la chatte, mais il a laissé son doigt planté en moi. Il le crispe, et je le sens qui m'égratigne l'intérieur du vagin, sous le plaisir qui l'habite totalement. Il me fait mal ce con, et je ne peux même pas crier.
Il se vide complètement en moi et je dois déglutir pour ne pas étouffer, je dois avaler cette liqueur dont je me passerais bien.
Lui est tout à sa jouissance et je subis, sans pouvoir faire autrement. Quand l'ouragan de sa décharge se calme, il reprend la caresse et c'est moi maintenant qui laisse sans le retenir, monter ce plaisir qui me surprend par sa violence.
Je suis secouée de spasmes auxquels je ne cherche pas à résister et je tremble de partout sous l'assaut de ce feu intérieur qui me fait couler. Ma cyprine s'échappe maintenant de mon ventre, elle coule abondamment, et je suis sur un petit nuage.
La queue de l'homme a repris des proportions acceptables pour ma bouche et je la suce, je lèche les derniers restes de son sperme, je suce, aidée par ma main qui caresse les bourses de l'homme qui n'en attendait pas moins.
Lui la fait ressortir lentement de ma bouche, pour l'y plonger encore et il reprend peu à peu une forme resplendissante.
La folle sarabande de ses doigts qui deviennent des lutins, qui entrent partout dans ma chatte qui en bave de volupté, cette course incroyable, en plein ciel, m'emporte à une vitesse vertigineuse.
J'en délaisse son mat, juste préoccupée maintenant par la montée de cette foutue jouissance, qui me happe, m'ensorcelle, qui m'électrise aussi, me faisant tout oublier du reste.
Mon corps frémi de la tête aux pieds, je tremble comme toutes les feuilles d'un arbre sous l'effet du vent et soudain, dans un grand soupir, je pars vers un autre ciel.
L'homme ne s'arrête plus de faire aller son doigt de mes lèvres à mon clitoris et la caresse me transforme en véritable furie.
J'adore, j'aime cet instant où plus rien n'existe, que cette embrasement de tout mon être, je ne fais plus rien pour stopper ce plaisir.
J'ouvre et ferme les cuisses, emprisonnant la main qui me donne du plaisir, l'homme a du mal de continuer ses frictions, ses câlins.
Alors il attrape un de mes tétons de l'autre main et il le fait tourner, pensant que la douleur va me faire arrêter. Il ne me connait pas, et c'est en fait vraiment l'inverse qui se produit.
Sous le pincement mammaire, je sens que cette crampe qui m'envahit totalement se déchaîne de plus belle et je laisse échapper de petits cris plaintifs, mais pas vraiment de douleur.
Je décharge sans discontinuer mon jus sur la main de l'étranger, baignant le siège tout entier de mes sécrétions intimes.
Nous en sommes là quand lui et moi voyons une tête brune apparaître et me demander :
- Tout va bien Madame, nous vous entendons gémir depuis le poste des hôtesses. Vous ne vous sentez pas bien ?
Je la regarde dans les yeux et lui souris. Je crois qu'elle vient de comprendre la situation.
Du reste, si elle ne voit pas que je suis à demi découverte et nue jusqu'à la taille, partie qui émerge de la couverture, si elle ne voit pas l'homme qui est presque couché sur moi, c'est vraiment qu'elle fait exprès.
Comme elle approche son visage du mien, l'homme la saisit, elle aussi par le cou, il nous attire l'une contre l'autre et dans la fougue qui m'anime, je laisse finalement ma langue aller à la recherche de celle de la fille de l'air.
Comme une automate, surprise, elle ouvre la bouche et un incroyable baiser nous unit.
Elle répond à ce baiser, et le passager qui la maintient contre moi, la lâche. Elle continue le pâlot que nous avons débuté, sa langue tourne dans ma bouche, bute contre mes dents, s'enfonce davantage et j'apprécie cette manière d'embrasser.
L'homme en profite aussi pour lui retrousser sa jupe, et je vois qu'elle porte des bas et un porte-jarretelles. Il la fouille sans vergogne et elle se laisse aussi aller en gémissant doucement. Une de ses mains se crispe sur la mienne et elle souffle plus fort.
Comme elle avance son corps au dessus du mien, je sens sur mon visage sa poitrine qui vient se balancer, comme pour un appel à la caresse.
Je ne résiste pas longtemps et je touche, l'endroit encore caché par les vêtements je fouille dans ce corsage et il est rapidement déboutonné. En quelques instants, je découvre l'attache aussi du soutien gorge en satin rose et elle s'ouvre sans plus de manière.
Les deux obus de la brune sont rapidement sous ma langue, je vais de l'un à l'autre, mordillant ces pointes qui me donnent à nouveau envie. Elle crie doucement, pendant que l'homme a baissé la culotte de la belle. Elle a les fesses nues et je pense que les doigts du Monsieur lui tripotent la motte. Elle remue de la croupe comme une belle jument en chaleur.
Elle se retrouve couchée en travers des cuisses de l'homme et sur mes genoux. Je peux tout à loisir m'allier à l'étranger pour faire joujou avec ce merveilleux corps qu'elle possède.
La jolie cochonne se laisse faire et elle en redemande ; mais quand l'homme veut la prendre avec son sexe, elle lui dit catégoriquement non.
- Pour les caresses d'accord, mais pour un coup de queue, c'est non, je suis lesbienne et je ne veux pas de mec.
Le ton employé ne laisse planer aucune incertitude et l'homme n'insiste pas. Du reste, ses effets sont coupés net par ce « non » péremptoire.
Elle se redresse, réajuste ses vêtements et me fait un clin d'oeil. Je remets également les miens, l'étranger s'est retourné de son coté et il fait mine ou bien dort-il vraiment ?
Mon corps n'est pas complètement rassasié par cet intermède, ce prélude à l'amour physique.
Je suis sur ma faim et le vide est ancré en moi. Mais je me dis que quand toi et moi serons ensemble, nous ferons tant l'amour que ce sentiment d'absence disparaîtra bien vite.
Dans la nuit, dans un ciel noir encre, mon voisin ne revient pas à la charge et je finis par sombrer dans l'inconscience du sommeil.
C'est un bip inaccoutumé qui me réveille en sursaut. Il est sept heures trente du matin à la montre de mon poignet et je sens que nous sommes en position descendante.
Le nez de l'avion pique un peu vers le bas me semble-t-il. Le bruit que j'ai perçu, c'est celui qui nous demande par voix électronique de relever nos sièges, d'attacher nos ceintures et de nous préparer à l'atterrissage.
C'est encore un moment que je déteste. Sans doute même celui qui me fait le plus paniquer.
Pour me rassurer, je pense que tu seras à l'aéroport, attendant que j'arrive pour me prendre dans tes bras.
Je jette un coup d'oeil peu rassurer au travers du hublot, mais à part qu'il fait jour, que le soleil est là, nous sommes encore beaucoup trop haut pour que j'aperçoive quoi que ce soit et surtout pas la terre.
L'homme près de moi, ne me regarde même plus, je ne suis plus une proie pour lui, et il détourne les yeux, sans doute pour ne pas affronter les miens.
Encore un qui n'a de courage que dans le noir et qui fuit à la moindre contrariété.
Je suis satisfaite de n'avoir pas été prise par ce guignol.
Je saurai bien attendre que tu le fasses si divinement, que j'en ressens presque les effets dans mon ventre.
Il faut une bonne heure encore à l'oiseau de fer pour venir prendre contact avec le sol du tarmac de Rio.
L'aéroport est immense et mon anglais laisse à désirer, quand à mon portugais, il est totalement défaillant.
Je me laisse donc guider par le flot de passagers qui débarquent en même temps que moi de l'appareil.
Le gros de la troupe m'emporte, vers les tapis où arrivent nos bagages. Je récupère ma valise assez facilement, puis je passe par les formalités d'usage en pays étranger. Vérifications de mes papiers, de mon visa, j'ai de la chance la préposée aux formalités policières parlent un français rocailleux, mais nous arrivons à nous comprendre et Rio me voici.
J'arrive à la sortie de l'aéroport et c'est dans une chaleur étouffante, surprenante que je me retrouve sur le trottoir, près d'une station de taxi.
J'ai beaucoup de peine à ne pas laisser partir ma valise car ici, comme dans tous les aéroports du monde, des grooms sont à l'affût, prêt à vous servir pour vous conduire avec vos affaires dans le premier taxi en attente.
Soudain devant moi, je vois un homme vêtu élégamment, avec un petit panneau, lequel porte mon nom.
Je m'approche de l'homme, me fait connaître et il me dirige vers une somptueuse limousine.
- Votre mari n'a pas pu se déplacer et il m'envoie vous prendre en charge.
Confortablement installée à l'arrière de la voiture, mon chauffeur démarre et engage la conversation. Il s'inquiète de savoir si j'ai fait bon voyage, si le pays me plait.
Je réponds oui pour le trajet et réserve encore un peu ma réponse pour le Brésil. Le véhicule ne prend pas de vitesse dans cette ville qui grouille d'un trafic intense et surtout à cette heure ci d'après mon conducteur.
Ensuite, c'est un dédale de petites rues, je regarde partout, les gens qui circulent dans les rues, ils ressemblent à des parisiens pressés, à des citadins qui ne s'occupent que de leur petites occupations.
Je ne sais toujours pas où cet homme m'emmène, mais c'est vers toi que je roule, alors mon c'ur est léger, mon esprit libre.
J'admire les vêtements très colorés de toutes ces personnes qui déambulent le long des magasins, plus nous approchons du c'ur de Rio et plus cela finalement me fait penser à Paris.
Je suis assise gentiment, les genoux serrés l'un contre l'autre quand je sens que mon chauffeur me matte dans le rétroviseur. Il y met un peu trop d'insistance et cela finit par me gêner quelque part.
Nous sommes dans une longue allée bordée d'immenses arbres dont le nom m'échappe. Derrière les hautes haies, je devine des maisons cossues, de belles bâtisses, mais hormis les toits qui sont parfois visibles, impossible de voir une seule façade.
Mon chauffeur, tourne maintenant et s'engage sur un petit chemin, franchit un portail et devant nous, se profile une belle demeure de style anglais, toute blanche, avec des baies larges et vitrées.
J'aperçois enfin, une sorte de porte d'entrée en bois, de belle facture, à l'européenne en quelque sorte.
- Vous êtes arrivée Madame, votre mari a laissé des instructions pour que tout soit pour le mieux, il vous rejoindra en début de soirée.
Il m'ouvre la porte et je foule le sol de cette demeure où tu vas me rejoindre très bientôt. Encore quelques heures de patience.
La camériste me mène à notre chambre, j'y retrouve ton linge, rangé, plié, net comme tu l'aimes finalement.
Elle me fait visiter la maison et quand elle me laisse enfin seule, je me dis qu'une douche ne sera pas du luxe après ce voyage et surtout les péripéties du début du vol.
Dès que je ferme la porte de la douche, une musique se met en route, un air brésilien, samba et autre, pour mon plus grand bonheur.
Dans ce quartier réputé de Santa - Térésa, mon mari est logé dans une très belle villa coloniale et je bénéficie de tout le confort dont on peut rêver.
J'ai toujours aimé l'eau, c'est comme une seconde peau pour moi et je plonge avec délice sous la douche qui ruisselle sur ma peau mat.
Le bonheur à l'état liquide, et ensuite longue séance de remise en forme, pour toi mon Amour.
Maquillage, celui qui te plait, comme tu l'aimes et enfin des vêtements fraîchement sortis de ma valise et repassés avec grand soin.
Une jupe noire, assez courte pour te faire frissonner, un petit pull qui moule ma poitrine, juste ce qu'il faut pour que tes idées soient immédiatement dirigées.
Sous le haut qui me forme le buste comme une seconde peau, rien, et comme je sais que tu apprécies cela aussi, pas de culotte.
Mes cheveux mi-longs et frisés tombant en cascade sur mes épaules, je suis prête à t'accueillir vaillant guerrier, prête à être à toi pour cette soirée de retrouvailles.
A dix huit heures trente, heure locale, j'entends le bruit d'un moteur, je pense que tu arrives.
En effet, la porte s'entrouvre et tu es là, je te tombe dans les bras, te tends mes lèvres et notre baiser est passion, faisant monter la température d'un cran.
Nous sommes soudés l'un à l'autre, moi amante déjà chaude pour te séduire.
Dans ton dos, j'entends comme un raclement de gorge et avec un mouvement de recul, je m'aperçois que tu n'es pas rentré seul.
Deux hommes sont là dans l'embrasure de la porte, semblant assez gênés de se retrouver au milieu de nos tendres retrouvailles.
Tu me souris, et dans la foulée tu me les présentes.
- Georgio et Alonzo, deux de mes collaborateurs ici au brésil. Je vous présente Claude, mon épouse. Elle me manquait et je suis heureux de vous la présenter.
Ma chérie, nous allons tous dîner en ville et nous reviendrons pour prendre un verre ici ensuite.
Je suis un peu déçue par cette invasion de ces deux collègues, mais je n'en montre rien.
Je prends une petite laine et mon sac à main. Que serait une femme sans son sac ?
Nous sommes partis. Tes amis sont devant et l'un d'entre eux, nous pilote dans cette ville immense.
Le restaurant est français et tes collaborateurs parlent notre langue avec juste une pointe d'accent chantant.
Le repas est digne d'un menu de chez nous et j'apprécie finalement la compagnie de tes amis, même si parfois, je sens bien qu'ils posent de trop lourds regards, chargés d'envie sur moi. Ils me posent mille et une questions sur notre vieille France et surtout ils sont intrigués par ce que tu leur as dit de notre nid.
Le petit vin que vous avez commandé pour accompagner chaque plat est un régal et son mariage avec les mets nous en ouvre son meilleur bouquet.
Repas de classe, dans un pays enchanteur. L'addition réglée par tes soins, vous décidez qu'ici à Rio, il faut finir par une danse ; donc nous partons tous pour un endroit que tu veux absolument que je vois.
Nous avons roulé assez longtemps mais cela valait la peine de venir voir ceci. Elle est là étalant son sable le plus beau du monde dit-on La plage de Copacabana. Et moi petite provinciale vosgienne, j'en foule la nappe douce au toucher, emplissant par la même mes escarpins. Le port de ceux-ci ne semble guère judicieux pour déambuler sur cette plage de rêve. Mais pour me dédouaner, je dois dire que je n'avais pas un seul instant songé que je serais ce soir dans cet endroit mythique du Brésil. Je suis bien avec toi à mon bras et si ce n'était la présence de tes deux compères, je te ferai bien des choses. J'ai chaud dans les reins rien que d'y songer. Comme je te ferais rouler dans ce sable blond, et quelle fête ce serait.
Mais pour l'heure, vous persistez dans votre idée d'aller prendre un pot quelque part et de danser.
Finalement, nous échouons au Copacabana palace, un des hôtels les plus réputés du Brésil et son bar est sûrement l'un des plus achalandé aussi.
Je commande pour ma part un cocktail autochtone à base de Cachasa, laquelle est préparée dans un verre de service, avec du citron vert et du sucre. Servie fraîche dans un verre à whisky, c'est absolument délicieux. Quand à vous trois, vous prenez une variante de la recette qui se nomme Caipirissima et c'est le rhum qui remplace la Cachasa dans vos verres.
La nuit est douce, et c'est un merveilleux moment que je vois arriver, instant magique où j'évolue à tes cotés sur la piste de danse de l'hôtel.
La musique est aussi bonne que les boissons. Je passe un temps infini à me trémousser avec toi, et j'aime cela. Tu en profites un peu, vérifiant sans doute par de subtiles man'uvres que je n'ai pas de sous-vêtements.
J'ai bu aussi plus que de raison et ma tête tourne un peu quand il nous faut regagner notre home pour la semaine à venir.
La nuit est là et dans la voiture, sur le siège arrière où toi et moi avons pris place, tu passes ta main sur mes genoux, remontant ma jupe que je m'évertue à redescendre à chacune de tes tentatives pour la retrousser.
Le chemin est long, je suis lasse et je sais, je le sens que tes amis me reluquent pour tenter d'apercevoir ces parties que je camoufle avec tant d'insistance.
L'atmosphère est un peu lourde, l'alcool aide à cela sans doute.
Je ne sais pas quelle heure il peut-être mais je ne suis pas fâchée de voir que le véhicule est enfin stoppé dans l'allée de cette maison qui nous abrite.
Nous sortons tous de la voiture et tu insistes pour prendre un dernier verre, une coupe de champagne, et je vois bien que les deux là n'ont pas très envie de partir. Alors je te laisse faire finalement.
Dans le réfrigérateur, bien au frais tu as trouvé du « Gordon Rouge » bien de France. Les flûtes sont servies et même si je n'en ai guère envie, je trinque de bon c'ur avec vous tous.
Dans la maison vide, tu as aussi allumé une musique de je ne sais où, et les sons entraînant envahissent notre espace vital.
Tu me prends par les mains, me fait tourner devant tes amis, tu me fais aller de plus en plus vite et comme tu me tiens très éloignée de toi, ma jupe se soulève en corolle autour de ma taille.
Bien que la lumière soit tamisée, je suis certaine qu'ils ne peuvent manquer de voir que je ne porte pas de dessous.
Je voudrais être gênée mais l'effet pervers de l'alcool est aussi bien présent chez moi.
Puis tu te dis un peu fatigué et tu appelles Georgio pour qu'il me fasse danser. Je n'ai pas mon mot à dire et tu ris aux éclats.
Lui se frotte sans vergogne contre moi, plaquant ma poitrine contre son torse et je ne peux m'en dépêtrer.
Puis c'est au tour du second de tes amis de m'entraîner dans une folle sarabande .Lui est plus en douceur, plus tactile également. Sa main dans mon dos cherche une agrafe de soutien gorge qu'il ne trouvera pas, évidemment. Sans rien dire, il la laisse aller sur mes reins et tâte là encore à la recherche du bout de tissu qu'il imagine. Ses yeux semblent me dire :
- Eh bien !!! Alors tu ne portes rien ?
Toi, tu es assis sur l'immense canapé qui occupe la moitié de ce salon. Un canapé en cuir d'un rouge sombre, lequel est aussi entouré de fauteuils de même matière et de coussins d'un moelleux incomparable.
Je suis balancée par mon danseur et sa main est bien basse sur ma jupe que je souhaiterais bien plus longue à cet instant.
Maintenant, c'est Georgio qui se place dans mon dos alors qu'Alonzo continue son exploration. A l'arrivée de son collègue, il daigne enfin retirer cette main qui devenait envahissante.
Le répit est de très courte durée et je sens que ma jupe est littéralement remontée par derrière alors qu'Alonzo me tient par les poignets, continuant comme si de rien n'était, à me faire tourner au rythme de la musique qui m'ensorcelle. Il faut avouer que la situation devient humiliante pour moi et je lance un regard vers toi, qui de ton sofa, me fait un large sourire, comme si la situation te plaisait énormément.
Les mains qui ont remonté ma jupe sont sur mes fesses et l'homme, devant moi me serre de plus belle. Sa poitrine se colle contre la mienne, ses mains aussi viennent participer à l'hallali. Comment mon pull passe-t-il par-dessus mes épaules, puis ma tête, je ne m'en rends pas complètement compte.
En deux temps et trois mouvements, je suis aussi nue qu'un bébé qui sort du ventre de sa mère. Il ne me reste que mes escarpins.
Je tente de tourner le visage quand Alonzo lui essaie de m'embrasser sur la bouche. C'est la main de Georgio, qui en atteignant ma fourche m'oblige à faire un geste et je me retrouve avec les lèvres de l'autre qui entrouvrent les miennes. C'est un étrange baiser qui débute, la danse s'arrête là, mais la musique, elle persiste.
Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai soudain le feu au cul, je me remémore les attouchements de l'avion et mon envie de sexe revient en flèche. J'aimerais que ce soit toi qui m'embrasses, mais je ferme les yeux et laisse agir cette langue qui vient me fouiller, puis ces mains qui entrebâillent ma fente déjà bien baveuse.
De ma place, je vois tes regards pleins de cette envie que je connais si bien. Tu sais ce qui va arriver, peut-être l'as-tu même provoqué, juste pour ton plaisir, celui de voir ma honte, mon humiliation et je vais encore assouvir ta demande.
Mes fesses sont écartées, ma chatte est prise par un doigt, ma bouche remplie par un baiser que je ne voudrais pas.
Tout démarre ainsi et me voila allongée entre deux mâles qui sont en érection maximale.
Ils me touchent de partout, pas un endroit de ma peau qui soit vierge du passage de leurs doigts, de la caresse de leurs mains.
Ils m'ont étendue sur la moquette épaisse dans laquelle je suis bien. L'un d'entre eux a écarté mes cuisses et il a mis son visage entre mes jambes. Sa langue est venue sur la fente et il me lèche de manière savante et douce.
L'autre s'est rapidement délesté de ses habits, et son sexe raide est présenté à ma bouche.
Je jette un dernier regard, SOS dirigé vers toi, et comme je comprends que le spectacle te convient, alors tant pis. J'ouvre grande la bouche et le gland entre, comme chez lui dans ce palais qu'il convoite.
Mon clitoris est aussi mis à rude épreuve et j'aime la façon de le léchouiller du gaillard qui manie sa langue de belle manière.
La bite que je suce gonfle encore et l'homme à genoux derrière mon visage se met à limer comme s'il était dans ma chatte. L'autre fait aller et venir plusieurs doigts dans le conduit souple et l'effet est immédiat. Une chaleur m'envahit le corps tout entier, s'insinue partout et je tremble sous les entrées et sorties de ces sexes improvisés.
Je ne m'occupe plus de toi, qui me prête si volontiers à ces deux inconnus. Entre les doigts qui me bourrent le minou, la langue qui me triture le clitoris et cette queue que je suce avec envie, il arrive ce qui devait arriver.
Je deviens folle, d'envie, de désir, mon ventre se creuse, ma bouche se laisse baiser par ce sexe qui n'en demande pas plus. Celui qui me doigte, relève mes jambes, l'homme auquel je fais une fellation me les retient en l'air par les chevilles.
Le premier peut ainsi aller encore plus profond en moi. Je lèche les couilles de l'autre, remonte avec ma langue entre les fesses. Je rencontre au fond du sillon l'anneau brun, perdu dans quelques poils et je me fais le plaisir de l'enduire de ma salive. Puis la pointe de ma langue entre un peu dans cet anus qui frémit. L'homme respire plus fort, plus vite, les mots qu'il laisse échapper sont en brésilien.
Cela excite celui qui s'occupe de mon entrejambe, il vient se planter d'un seul coup de rein jusqu'au fond de mon vagin.
C'est moi qui aie le souffle coupé par cette intromission violente. La bite sur ma bouche me donne des petits coups pour me rappeler qu'elle est toujours là.
Je happe cette hampe qui vient flirter avec mon palais et je laisse mon imagination vagabonder. C'est toi finalement que je suce avec cette ardeur que tu me connais. C'est toi aussi qui donne de grands coups de reins, me laissant frémissante à chaque aller et retour de l'engin qui me lamine le ventre.
C'est toujours tes mains que je sens sur mes seins et partout où l'une d'entre elle s'attarde.
Et finalement, je pars dans un autre monde tout peuplé de rose et de bleu, d'une incomparable couleur, d'odeur aussi que je ne connais pas et mon ventre a des spasmes qui finissent par achever cette jouissance sans nom.
C'est les yeux dans les tiens que tes deux amis arrivent à me faire monter vers ce septième ciel dont on parle mais que si peu trouve finalement.
Mes cuisses sont inondées par ma mouille qui coule sans relâche et je me semble t'entendre me dire que je suis belle quand je me fais « salope ».
Les gémissements de mon plaisir embrase la maison, notre nid n'est plus que murmures qui me viennent sans discontinuer, tu es le chef d'orchestre de cet état qui me surprend autant qu'il plait à mes partenaires.
Je cramponne de mes doigts les bras ou le dos de celui qui est devant moi, je laisse glisser mes ongles sur la peau d'un dos qui m'est inconnu et l'autre continue à me pistonner comme une belle « pute » que je suis.
C'est ensemble que leurs semences viennent terminer le feu d'artifice de nos corps en folie et toi aussi tu viens participer au festin en me crachant ton sperme sur le visage alors que l'un gicle dans ma bouche et que l'autre éclate sur ma chatte qu'il vient de quitter précipitamment.
Ensuite tous, nous nous reposons un long moment, puis je file vers la douche, repue et pourtant si prête déjà à recommencer ce genre de chevauchée fantastique, si gourmande de cette autre attente que tu viennes me rejoindre, pour qu'enfin tu me donnes TON sexe, juste pour Mon plaisir.
Au petit matin, les autres sont partis et il me reste le seul homme que j'aime, la seule personne avec qui je veux encore avancer dans cette étonnante vie qu'est la nôtre?

Bien à toi?. Mille et un mercis'.