Soumission

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Proposée le 29/09/2011 par charline88

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Il aurait pu exister plusieurs versions à cette histoire. Différentes bien-sur puisque vécues par d'autres regards, par d'autres personnages.
Elles commenceraient toutes cependant de la même manière puisque le lieu est le même pour tous.
D'abord il y a l'écran, le clavier et quelques doigts qui écrivent, qui décrivent les instants vécus..
Puis il y toi, brune d'un mètre soixante quinze, il a y tes yeux verts, tes cinquante cinq petits kilos, ta poitrine parfois arrogante et ton sourire. Ensuite il y a moi petite cinquantaine, yeux bleus, cheveux courts et châtains.
Et ensuite bien-sur il y aura les autres, ceux qui seront invités, ceux qui auront répondu à notre appel, à l'appel des sens aussi.
L'histoire pour toi débute un samedi soir, alors que tu sors de ta douche et que tu attends sagement mon retour à la maison.
Il est environ dix huit heures trente et je t'appelle au téléphone, mais c'est très habituel.
Ton « allo » me donne un petit coup au c'ur et je veux te dire que je serai en retard mais mon esprit est parti naviguer sur des courbes et des rondeurs qui me font maintenant envie.
J'ose te le dire, que j'ai bougrement envie de toi et notre conversation prends un tour léger, libertin..
Je sens immédiatement que tu réponds à mes attentes téléphoniques, notre doux délire commence.
Je te dis combien j'ai envie de ta peau mat, de ta bouche sensuelle et je t'entends respirer plus fort au bout du fil. Je te promets mille bonnes choses et tu m'écoute en soupirant.
Je te dis que j'aimerais que tu fasses l'amour devant moi avec un autre homme, que je prendrais un immense plaisir à te voir ainsi caressée par des mains inconnues, que j'adorerais voir ta bouche s'ouvrir sur un autre sexe que le mien. Tu entre dans mon jeu et tu me susurre que tu en as aussi envie, que tu ferais tout ce que je voudrais, que tu te donnerais totalement pour mon plaisir.
Notre petit jeu commence à me donner chaud et tu me dis que tu te masturbes pendant que tu imagines ou que tu écoutes ce que l'autre te ferait.
Je te déclare qu'il irait te fouiller, que tu serais à lui, que je t'attacherais, que tu ne pourrais même pas le voir. Tu me réponds que tu serais ma chose, sa chose et que je serais totalement ton maître.
Je pousse le vice jusqu'à te dire que je t'imagine obéissante et servile, je suis surpris que tu me répondes de manière aussi positive. Ta voix est lascive, chaude c'est celle des moments câlins, celle des instants de sexe pur, celle que j'aime ardemment.
Je pourrais presque sentir le souffle chaud de tes lèvres courant sur ma nuque et je te dis que je vais appeler un ami et qu'à mon retour tu devras être en nuisette transparente, à genoux sur le tapis, face au mur, tournée de manière à ne pas voir qui arrivera.
Tu as une hésitation et puis tu me dis « Pourquoi pas ».
Encore une série de mots tendres, de mots crus puis tu me dis que tu vas te faire belle pour nous.
Je n'en crois pas mes oreilles et me voici dans une attente bizarre, un peu pris au dépourvu par notre jeu, dans lequel tu es entrée spontanément et totalement.
Je ne sais plus si je dois te croire et si je dois chercher quelqu'un pour revenir à la maison après mon travail.
Les minutes qui suivent sont autant de gestes maladroits, de pensées perdues dans le vague et puis finalement, pourquoi ne pas essayer de contacter quelqu'un de mes amis.
La décision est prise et me voila cherchant dans l'agenda celui qui pourrait convenir à notre soirée si vraiment tu fais ce que tu as dit.
Je ne trouve aucun de mes amis disponibles ce soir. Alors il me vient l'idée de chercher sur un site de rencontre.
D'abord il me faut trouver ce genre de site, puis m'inscrire et ceci fait, je laisse un message écrit à la hâte. A ma grande surprise, dès mon annonce parue, je reçois une foule de messages. Certains sont farfelus, d'autres émanent de jeunes hommes qui ne m'intéressent absolument pas. Dans le lot l'un d'entre eux se présente comme un homme de quarante cinq ans, célibataire, courtois. Nous entamons un dialogue assez bref mais je sens que le courant passe. Je reste assez évasif sur mes motivations et nous finissons par décider de nous rencontrer vers vingt heures dans un bar.
Voila il est là, solide gaillard d'environ un mètre quatre vingt, cheveux noirs, l'oeil vif et pétillant. Il me rejoint, je lui offre un verre et nous avons une discussion assez ouverte sur tout, sur rien, sur sa vie, sur la mienne.
Je le mets au courant de ce que nous aimerions faire toi et moi, lui précisant quand-même que c'est un de nos fantasmes et que je ne peux pas garantir son entière réalisation, que tu restes la maitresse du jeu, ceci en toutes circonstances.
David puisque c'est ainsi qu'il s'est présenté à moi, David me dit qu'il est d'accord pour tenter avec nous cette réalisation à venir.
Il est vingt heures quinze lorsque nous quittons le bar et que nous reprenons nos véhicules respectifs pour rejoindre notre maison.
Alors que David suit ma voiture, je t'appelle. Ta voix tendre se fait doucement entendre, tu me déclares juste « Je suis prête ».
Nous arrivons et David et moi entrons chez nous.
La maison est plongée dans une pénombre inhabituelle, seul le salon semble laisser échapper quelques lueurs.
J'arrive le premier vers la source chancelante de lumière et le feu dans la cheminée dessine des contours changeants aux meubles qui me sont familiers.
Le divan sur le coté, la table basse et la bibliothèque dont tu es si fière sont autant de marques de toi qui font que je me sens toujours rassuré par cet endroit où tout transpire ton bon goût naturel.
Ce soir cependant, je suis surpris car tu es là, face au feu, à genoux sur la peau de buffle servant de tapis, David est moi avons une vue arrière superbe de ton anatomie.
Tu as les bras nus, le long du corps, la tête bien droite et sur ton dos une nuisette brune tachetée, ta chevelure brune frisée nous rappelle une peu une tigresse, tu es immobile et tu ne cherche même pas à te retourner à notre arrivée.
Tu sais que je ne suis pas seul, tu nous as entendus parler depuis notre entrée dans la maison.
On devine sous la petite chemise que tu ne portes rien d'autre, et mon souffle est court, devant ce fantastique spectacle de la naissance de tes fesses à peine voilées.
Alors que j'invite David à prendre place sur le canapé qui est derrière nous, je remarque sur la table basse, un foulard de la même couleur que ta nuisette ainsi qu'un papier.
Quelques mots sont tracés sur le bristol de ta main : « Mon c'ur, met moi le foulard sur les yeux, je ne veux pas voir, pas savoir ; Je t'aime simplement. ».
Alors je montre le papier à David et lui fais signe d'aller te mettre le bandeau. Il se lève lentement, se baisse pour saisir le morceau d'étoffe et il se dirige vers toi.
Dans la lueur dansante des flammes du feu dans l'âtre, je le regarde qui avec précaution te pose le bandeau avec soin.
Tu restes impassible, je t'imagine tremblante et apeurée dans cette position de soumission totale.
La soirée n'est pas encore commencée que déjà mon sexe est au garde à vous. Rien que de te voir approchée par un autre homme dans cette attitude soumise me fait bander.
David, qui revient lentement s'assoir, a lui aussi une bosse conséquente qui lui déforme le pantalon.
Je me lève pour nous servir à boire, sur la desserte tu as sorti plusieurs bouteilles et des verres. La glace est dans le seau accompagnée de la pince. Je fais le service, nous sommes tous silencieux, on n'entend que le crépitement des flammes et le tintement des glaçons qui viennent cogner les parois des verres.
Tu n'as pas bougé d'un cil depuis notre arrivée. Je trinque avec David et me penche à son oreille, lui disant « Donne lui les ordres que tu veux, nous verrons bien ».
Alors dans notre salon claque le premier ordre :
- Penche toi en avant, la tête sur le tapis.
Je te vois baisser la tête et ton dos s'arc-boute vers le sol. Tu prends la position que l'on t'a demandée.
Ce faisant dans le mouvement qui consiste à te pencher vers l'avant, ta nuisette elle, remonte le long de ton dos et laisse voir tes fesses pratiquement entièrement.
Malgré la pénombre nous en devinons les contours bien fermes, le galbe de tes hanches me fait bander encore plus comme si c'était possible.
David continue d'une voix qu'il veut « mâle ».
- Ecarte tes cuisses, montre nous mieux tes fesses, allez, vas-y montre nous tout ça.
Tes petites mains remontent le long de tes cuisses que tu viens d'éloigner l'une de l'autre, pour venir se mettre sur chacune de tes fesses et tu les écarte gentiment.
Immédiatement nous apercevons au fond de la raie, la tache sombre de ton anus, puis un peu plus bas la fente duveteuse de ton sexe.
Devant ce spectacle auquel je n'aurais jamais pensé un jour assister, je te vois différente, un peu chienne, un peu salope.
David est moi quittons prestement nos vêtements, maintenant nous sommes aussi nus totalement.
Tu ne bronche pas quand il s'approche de toi, « Remets-toi à genoux », tu obéis. Je suis scotché par cette docilité que je découvre.
- Debout, maintenant, petite salope.
Tu te lève sans un mot. Il fait glisser les fines bretelles de la nuisette et celle ci semble couler le long de ton corps qui nous apparait entièrement.
- Pose tes mains sur ta tête salope.
Tes bras remontent à l'endroit indiqué. Ta poitrine est devant nous car me suis rapproché aussi et l'envie de la toucher est bien forte, mais je retiens cette pulsion et je fais signe à David de continuer.
Il me demande de quoi t'attacher les mains et je m'éclipse quelques minutes pour ramener une pelote de ficelle qui se trouve au garage.
Quand je reviens, tu te trouves à genoux devant la table basse, le buste posé sur le plateau en verre de celle-ci, David maintenant tes mains dans ton dos.
Je lui tends la pelote de ficelle, les ciseaux et en deux temps et trois mouvements te voila poignets liés. Ton ventre épouse parfaitement le plateau de la table, tes seins s'écrasant contre ce dernier.
David va chercher quelques glaçons dans le seau et il revient vers toi. La glace glisse sur ton corps, le long de ton dos, je vois ton soubresaut sous la morsure du froid. Il continue sur toute la surface de ton corps qu'il peut atteindre, et il insiste beaucoup dans la raie pour finalement venir introduire dans ta chatte le reste du glaçon. Tu te cabres un peu, laissant échapper un gémissement.
Sous l'effet de la chaleur, je vois des gouttelettes d'eau perler à la naissance de tes grandes lèvres.
Maintenant les mains de David remplacent les glaçons et elles massent doucement ton cou ; puis descendent le long de ta colonne vertébrale. Les gestes sont doux, calmes, et ta respiration est régulière, je sais que tu aimes ça.
Le feu ronronne et dans la lueur mouvante, les ombres chinoises me donnent un doux vertige.
Tes fesses sont longuement caressées, puis le visage de David va se perdre dans les profondeurs de ta raie culière et sa langue commence un étrange ballet. Je suis subjugué, fasciné même par le spectacle d'un autre homme prenant lentement possession de ce corps que je prends tellement de plaisir à honorer.
Après une longue séance de feuille de rose, David se relève et t'ordonne de faire la même chose. Tu te remets sur tes pieds, dépliant tes longues jambes.
- Couche toi sur le dos, sur le tapis, t'ordonne notre invité.
Tu fléchis lentement sur tes genoux, prends la position que l'on t'a demandée.
Le coté face laisse David rêveur. Il faut dire que tu es d'une beauté à couper le souffle. Tes seins sont haut perchés, et même allongée ils restent bien en place malgré leur lourdeur apparente. Tes longues jambes laissent deviner, le sillon attirant de ta chatte. Une petite touffe de poils en forme de c'ur nous renseigne sur le soin tout particulier avec lequel tu t'es préparée pour cette soirée.
David se tourne vers moi et me déclare :
- Tu as une sacrée chance d'avoir une aussi jolie salope.
Il s'agenouille prés de toi. Son sexe tendu te frôle pendant que ses mains se baladent sur ton corps de ton cou jusqu'à ton ventre. Il passe rapidement sur la touffe du pubis ne s'y attarde pas, pour aller explorer l'intérieur de tes cuisses.
A un moment il revient vers moi, me demande jusque où il peut aller, quelles sont les limites que je fixe pour une vraie séance de SM.
La question me surprend et je ne sais pas trop quoi répondre, mais finalement je lui dis que seules, celles que toi tu voudras bien nous indiquer seront celles que nous respecterons.
A présent c'est à toi qu'il s'adresse :
- Tu vas être fessée petite salope, tu veux être fessée ? Réponds.
J'entends surpris que tu acquiesces à cette demande. David désire ensuite savoir si nous avons des sextoys et puisque c'est oui, il aimerait que je les lui apporte.
Je vais donc dans notre chambre à coucher, et je reviens avec les godes que nous possédons, ainsi que le seul objet qui me semble approprié, un martinet qui au début servait pour notre chien, qui n'a plus aucune utilité depuis que notre fidèle animal n'est plus.
Je vois que les yeux de David pétillent de plaisir à la vue de l'instrument.
Tu es à nouveau à genoux, plaquée contre la table du salon. David ouvre tes fesses et pose un olisbos contre l'oeillet sombre et il commence une lente poussée.
J'entends ton souffle qui s'accélère et je te vois crisper les doigts qui sont toujours liés dans ton dos. Tu serres les dents pour ne pas crier, je le remarque sur ton visage, mais tu ne dis rien.
Le gode est maintenant entièrement enfilé dans ton cul, notre invité appuie sur le bouton et le ronronnement de l'appareil qui vibre se fait entendre dans le silence du salon.
- Serre les fesses, ne le laisse pas ressortir »te dit David en se relevant.
Puis se tournant vers moi :
- Si nous buvions un verre !!
Aussitôt dit aussitôt fait. Confortablement assis sur le canapé, nous te contemplons, toi si belle, si BCBG, toi si étrangement accoutrée avec le gode dans le cul, nue, à la merci de nos envies.
David prend le martinet, touche les lanières s'assurant par la même que c'est bien du cuir. Il se dirige vers toi, dont la croupe se balance doucement. Il passe lentement le cuir sur tes reins, puis le bras se lève et d'un geste sec le martinet entre en contact avec ta peau. Tu pousses un petit cri, vite réprimé par tes lèvres que tu te mords violemment.
L'invité continue d'abattre son bras et le martinet rougi les endroits où les lanières claquent sur ta peau.
Tu trembles et remues comme pour tenter d'échapper aux coups qui reviennent, moins espacés et je vois les zébrures sur la dorure de ton épiderme.
Comme j'ai l'impression que David met plus d'ardeur dans les coups, je lui fais signe de se modérer, je ne veux aucunement abimer ton corps.
Il respecte immédiatement mes instructions en se calmant.
Nous voyons aux bords des lèvres de ton sexe, perler la rosée de ton envie alors que tes fesses restent occupées par la queue de latex qui vibre toujours.
- Regarde cette salope mouille d'être fouettée, elle jouit de prendre des coups » , déclare David qui vient d'arrêter la punition en posant le martinet sur la table, juste à coté de toi.
Il retire aussi le sextoy qui sort d'une seule traite, douloureusement si j'en juge à la grimace que tu fais lors du retrait du vibromasseur. Ton anus longtemps occupé reste ouvert, outrageusement attirant.
Inutile de dire que nos deux bites sont raides comme des barres de fer. J'ai mal aux couilles d'avoir envie de toi.
Je vois briller le long de tes cuisses un liquide clair, c'est bougrement vrai que tu mouilles. Bon sang comme tu m'excites, comme je te désire, comme tu me surprends. Et à mon avis je ne suis pas le seul à en avoir envie.
Nous te laissons un moment, pour boire encore un verre, je suppose que les brulures des coups de martinet s'estompent un peu.
Tu continues à bouger tes reins, tes cuisses maintenant se frottent l'une contre l'autre, tu cherches ton plaisir.
David te demande d'arrêter, de ne pas jouir, d'attendre son ordre et je te vois te calmer, tu ne bouges plus, tes cuisses se desserrent.
Nos sexes ne se calment pas eux.
Notre invité me demande si je vois une objection à ce qu'il fasse venir un de ces amis, s'il est disponible. Je réclame des précisions et je veux aussi m'assurer de la fiabilité du possible nouveau venu.
David me le décrit comme un jeune homme bien bâti d'une trentaine d'années et comme une personne discrète et courtoise.
Finalement j'acquiesce et David fouille dans sa poche de veste, à la recherche de son portable. Il passe dans la cuisine et donne son coup de téléphone. Lorsqu'il revient au salon, il me fait signe de la tête pour me dire que c'est ok, que Franck, c'est ainsi qu'il se prénomme va arriver dans une vingtaine de minutes.
A nouveau il s'approche de toi et une claque bien donnée arrive sur ta fesse qui prend une belle couleur écarlate. David joue un peu avec tes rondeurs, caressant ton derrière tendu par la position dans laquelle tu te trouve. Ses doigts glissent vers ta fente qui est encore luisante de ta mouille et ils n'ont aucune peine à entrouvrir ta chatte, puis à la pénétrer.
Commencent alors des mouvements circulaires et un petit bruit de clapotis se fait entendre parallèlement à tes soupirs qui s'amplifient au fur et à mesure de la caresse.
Là aussi il sent que tu va jouir et il t'ordonne de retenir la montée de ton plaisir.
Soudain la sonnette retentit et je vais à la porte d'entrée. Par le judas j'aperçois la silhouette d'un jeune homme. J'ouvre et Franck entre dans notre maison. Je réalise que je suis à poils mais je vois que l'arrivant ne fait pas mine de s'en être rendu compte, comme si la situation était normale.
Si la description de Franck par David est rigoureusement conforme à la réalité, il a cependant omis un léger détail.
L'homme qui vient d'arriver est du plus beau noir. Finalement je me dis que tout cela devient passionnant et je le conduis au salon.
Encore un verre pour tous les trois, et Franck se retrouve lui aussi dans une nudité intégrale.
Ta croupe tendue, offerte, a un effet instantané sur le troisième homme et sa bite est aussi raide que les nôtres.
Il en bave presque de ce cul qui lui attire le regard. Sa main vient trancher sur la dorure de ta peau et il commence à te flatter comme il le ferait pour une pouliche. Tu n'es nullement insensible à ses attouchements et tu gémis doucement sous les doigts qui auscultent chaque centimètre carré de ton derme offert.
Tu dodelines de la tête, tu bouges légèrement et les doigts arrivent au sanctuaire que tu ne peux refuser. Le premier tourne vivement, écartant les grandes lèvres, puis s'insinue entre les petites, pour s'enfoncer enfin au fond de ton ventre alors que tu laisses jaillir un petit cri. Cette longue attente, cette insupportable attente t'a amenée au bord de la jouissance et pour peu qu'il insiste encore une minute ou deux tu vas exploser littéralement.
La queue de Franck est énorme, hyper tendue, elle pointe vers le bas tant elle semble lourde. Le diamètre est imposant et je l'imagine écartelant cette fente qui reste impatiente d'être remplie. Sous les doigts qui t'explorent tu crie maintenant sans discontinuer. La bouche du nouvel arrivant vient comme une ventouse sur ton anus.
Sa langue se met à te lécher, elle laisse une trace abondante de salive dans ta raie qui se dandine au rythme des doigts qui te câlinent. David s'est mis devant toi et ses mains prennent possession de ta tête, la redressent, passent et repassent dans ta chevelure. Je sais combien tu aime cela. Tes petits cris sont devenus gloussements. Je vois que tu frémis, tes mains se crispent dans ton dos, toujours reliées entre elles par la ficelle.
Franck défait le n'ud qui les retient et il continue la reptation de sa langue vers ta chatte qui coule d'envie.
L'autre homme te tient le visage entre ses mains et son sexe est à quelques centimètres de ta bouche qui râle de plaisir. Il lève le regard vers moi, cherchant sans doute une approbation que je ne saurais lui refuser.
Son ami te demande de te lever et il te dit de t'allonger sur le tapis. Je remets une buche dans la cheminée. Les flammes s'élèvent, crépitent, entourent vos formes qui n'en forment plus qu'une. Le tableau est changeant, l'air s'emplit de nos envies de sexe.
La bouche de Franck est sur ta fente qui mouille abondamment, tu hurle sous les coups d'une langue qui se délecte de ton miel.
L'autre, à genoux devant ton visage pose le gland de sa bite sur ta bouche et c'est ta langue à toi maintenant qui commence à découvrir ce vit qui enfle davantage, cherche à entrer plus avant dans cet endroit que tu ouvre pour le laisser passer.
Les doigts de Franck se sont regroupés, et ils entrent et ressortent de ton minou, alors qu'il continue de te lécher le bouton. Tu ronronne, pareille à une chatte en rut, tu vas au devant des caresses tout en suçant doucement la queue qui lime ta bouche.
Franck se met en position, place sa queue à l'entrée de ton vagin et sans vraiment te pénétrer, il se frotte contre la fente baveuse. Je regarde ce spectacle et j'ai l'impression que tu deviens comme folle. Tu réclames que l'on te prenne en gémissant :
- Baise moi, vas-y, mets la moi, baise moi.
Tes mots sont comme des caresses pour moi et je dois faire un effort pour ne pas éjaculer là comme cela, juste en t'écoutant implorer une pénétration qui tarde à venir.
La bite qui te prend la bouche a elle, un soubresaut et se cabre, elle s'enfonce le plus loin possible dans ta gorge et les couilles de David déversent leur semence que tu es forcée de boire, jusqu'à la dernière goutte.
Il jouit en te traitant de "salope, de petite pute, de garage à bites".
Tu ne peux même pas imaginer combien je dois faire d'efforts pour éviter de me les vider aussi tant j'ai envie de toi à ce moment là.
Franck est entré en toi et la taille de son sexe écarte les lèvres du tien, il glisse le long des parois de ton minou et je te vois qui cherche de l'air alors que les dernières gouttes blanches du sperme de David coulent à la commissure de tes lèvres. Ta langue dans le mouvement qu'elle fait pour que tu respire se charge des restes de la semence. Le tout disparait dans ta bouche et j'aperçois les filets du liquide qui s'effiloche entre tes dents quand tu ouvre à nouveau les mâchoires.
Pendant que David, repu se laisse aller sur le coté, offrant son torse et son ventre à la lueur des flammes qui dansent, son ami lui, retient la montée de son envie. Il module en fonction de l'avancée de ton ventre les mouvements du sien. Pour le spectateur que je suis c'est incroyable ce que la vision des choses me crispe le ventre, me serre les entrailles ? Je n'ai même pas besoin d'effleurer ma verge, elle est depuis mon retour en permanence bandée.
Il se couche sur toi et je vois ses coups de reins qui te font hurler de plaisir, tes doigts viennent labourer son dos de leurs ongles acérés. Tes jambes sont remontées et elles s'enlacent autour de sa taille comme une liane autour d'un arbre.
Lui a le visage près du tien et il vient chercher un baiser que tu ne refuses pas. La aussi, le fait de te voir embrasser un autre homme que moi me semble être érotique au plus haut point. Vous roulez sur le coté, enlacés, rivés l'un dans l'autre, vous roulez encore d'un demi tour.
Tu as posé tes mains sur son torse, te redressant ainsi, tu le chevauche maintenant et sous mes yeux j'ai tes fesses qui montent et descendent, laissant apparaitre ce sexe noir planté dans la chaire rose de ta chatte écartelée.
Tu projettes ta tête en arrière en hurlant des mots insensés, je comprends juste que tu dis :
- Encore, encore, vas-y donne moi tout, baise moi.
Comme tu es belle quand tu fais l'amour et comme tu te donne quand tu t'offre ainsi. Il est vrai que quand c'est moi le partenaire, je ne peux pas apprécier ainsi ce que tu vis. Je suis trop pris par mon propre plaisir et là maintenant je profite au maximum de ce que je vois.
Tu es déchainée et David devant tes cris, devant ta fougue se remet à bander dur, raide comme un piquet.
Il se glisse à nouveau derrière toi, alors que Franck écarte tes fesses en retenant son envie d'éjaculer. La bite de David est en buttée sur ton trou du cul. Tu t'empales pratiquement toute seule sur ce pieu de chaire en reculant pour mieux revenir sur la queue noire qui te baise.
Voila, ils sont les deux en toi, tu es femme sandwich, et ils te liment de concert. Tu gémis, tu cries, tu hurles et tu te fais mettre d'une bien belle manière.
Moi qui te connais, je sais quand ta jouissance monte du fond de tes entrailles. Elle arrive soudainement, entrainant les deux hommes avec elle, tes cuisses tremblent, tout ton corps est secoué par un spasme immense. Tu n'es plus que jouissance, tes lèvres sont pincées, tes seins se tendent toutes pointes hérissées, et ton cri ressemble à un cri d'agonie.
Et cela dure, continue au moins cinq bonnes minutes ; alors que je vois apparaitre une écume blanche qui coule de ta chatte et sort de ton derrière. Vous venez tous les trois de prendre un pied magistral.
Plus rien ne bouge, vous restez serrés, imbriqués les uns dans les autres, incapables de faire ou dire quoi que ce soit.
Les deux hommes ont le sexe flasque, tout mou et ils se relèvent pratiquement en même temps. Toi tu ne bronches pas, comme endormie.
Nous te laissons là sur la peau de bête, étendue, assouvie. David et Franck boivent un dernier verre tout en se rhabillant.
Ils me remercient pour cette folle soirée et ils quittent la maison en m'assurant qu'ils sont à mon service si tu as d'autres envies à partager.
Ils me demandent de te transmettre leurs félicitations pour ta prestation, et me disent qu'ils m'envient beaucoup d'avoir une merveilleuse petite salope sous mon toit.
Voila, ils sont partis, la maison est calme, juste le bruit du feu qui continue de vivre dans la cheminée.
Je suis étendu près de toi, dans la douceur du salon ou flottent encore les effluves des ébats qui viennent de prendre fin.
Je retire délicatement le bandeau qui est toujours sur tes yeux. Des cernes profonds montrent clairement combien les assauts des deux hommes ont marqué ton corps. Tu es toujours immobile et j'ai toujours une gaule d'enfer.
Il s'écoule un temps appréciable avant que tu ne bouges légèrement. Ta main vient se poser sur la mienne et tes doigts serrent les miens. Tu te redresses un peu, penches ton visage sur le mien et tu viens poser tes lèvres sur ma bouche. Un long baiser nous unit ce qui n'est pas pour arranger ma queue qui reste tendue.
Tu découvre celle-ci et je t'entends, pleine de gourmandise dire :
- Ah ! Ah ! Monsieur a aimé le spectacle, Monsieur bande de m'avoir vue me faire mettre ?
Tu descends tout tranquillement vers ma bite tes lèvres entrouvertes. Tu commence à me sucer comme je t'ai appris à le faire ; avec douceur et tendresse, câlinant de la pointe de ta langue le gland qui n'attendait que cela.
- Elle est la meilleure, cette belle bite, déclare tu en continuant la fellation que j'espérais depuis un long moment.
Le reste de la nuit nous le passons à faire l'amour avec tendresse, mais tu n'as pas un mot sur ce que tu viens de faire, c'est déjà enfoui dans ton jardin secret, celui où je ne vais jamais, de peur d'y abimer les fleurs.
C'est seulement vers midi que je suis réveillé par les rayons du soleil qui viennent lécher ma peau, dans la cheminée, il ne reste que les cendres d'un feu mort de n'avoir plus été alimenté.
Allongée près de moi, tes bras en travers de mon torse, tu es lovée contre moi et la chaleur de ton corps me donne faim de toi.
Sans doute parce que j'ai bougé trop rapidement, tu t'es toi aussi éveillée et gardant les yeux clos, tu t'exclame :
- Mon Amour, si tu nous préparais le petit-déjeuner ?
Je pose un baiser tendre sur ta bouche, me lève et me dirige vers la cuisine.
Quand je reviens avec notre plateau, tu t'es tournée vers la lumière et tes yeux sont clos.
Je pose le petit déjeuner et ma bouche vient lentement embrasser ta foufoune. Tu mets ta main dans mes cheveux et tu me dis :
- Doucement, tout doucement, c'est un peu endolori après les traitements de cette merveilleuse nuit.
Je m'allonge sur toi et ma queue trouve toute seule le chemin de sa plus tendre maison, nous commençons ce dimanche par une visite de ta chapelle.
Comme tu es belle, comme je t'aime !!!