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Proposée le 3/10/2007 par Ava_Tarre
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Lola, dix-sept ans, était dubitative, pourrait-elle se libérer ce soir pour rejoindre Quentin ?
Lola avait rencontré Quentin au club des cavaliers dès son arrivée chez sa tante Hélène, il y a quelques mois. C'est vrai qu'elle était bien chez elle. L'absence de son petit frère Matteo, renversé par un chauffard, était moins douloureuse.
Ici, dans cette demeure dont la sur de sa mère avait hérité de son premier mari, tout était impeccable, paisible. Même Leandro, le nouvel époux de tante Hélène, était intéressant. Lola vivait donc dans cette grande demeure dont l'activité principale était l'élevage de chevaux de course. D'ailleurs, à ce propos, une quantité d'employés vaquaient à leurs occupations sur les différents sites du domaine dans la journée. Certains autres étaient en déplacement pour des courses en extérieur.
C'est pendant ces après-midi au retour du collège et un vendredi soir, que Lola avait appris à manier le donnant - donnant avec un des palefreniers du domaine. Marco, à peine plus vieux qu'elle. Lola avait monnayé son laisser passer pour sortir en ville le soir. Elle y avait consenti en imaginant qu'elle pourrait toujours contrôler la situation pour ne pas dépasser ses limites. Lola connaissait le pouvoir de sa plastique, et savait en jouer. Ainsi, elle avait l'impression qu'elle pouvait contrôler sa vie, vivre.
Après le dîner du soir, elle retrouvait Marco dans les écuries et se laissait caresser le corps par ce garçon qu'elle croyait sous son emprise pour obtenir son ticket de sortie du soir.
Ce manège avait duré 5 à 6 fois sans anicroche, mais il avait fallu qu'ils soient démasqués tous les deux. Au cours de leur petite séance de « tu me laisses faire cela et c'est bon ce soir mais la prochaine fois, ce sera autre chose ». Elle aimait deviner ce nouveau contrôle acquis sur le sexe opposé. Tout cela l'aidait à atténuer les souvenirs du petit Matteo et de maman effondrée.
Affairée de plaisir, Lola vit la main de Marco s'approcher de sa petite culotte. Il lui murmurait qu'il voulait la toucher, lui demandait de mettre sa main sur son sexe en lui murmurant qu'il n'en pouvait plus d'attendre, qu'il bandait comme un cheval. Tout à coup, un bruit les surprit, Leandro fit irruption dans les paddocks, une grosse colère affichée sur le visage.
Il dévisagea sa nièce par alliance, le chemisier ouvert et les joues toutes roses ainsi que les lèvres gonflées de baiser. Il resta ainsi en silence, tout son être crispé par cette petite peste. Après un soupir, il la regarda et dit.
- Je te retrouve dans cinq minutes dans mon bureau. Il va falloir que je m'occupe de ce problème et bravo pour ta tante qui a tout fait pour ménager une vie calme et te sortir du climat pesant alors que tes parents sont dans le désespoir depuis 9 mois maintenant.
Elle sera heureuse de savoir comment tu occupes tes journées quand elle rentrera de son voyage pour acheter des chevaux...Ah vraiment, elle va être fière de toi. Son regard de glace passa de Lola à Marco.
- Marco, suivez-moi dans le local des soigneurs ; tout de suite. Marco se dégagea de Lola et parti de biais pour éviter que son employeur ne voit son érection.
Lola rajusta son chemisier et courra vers la demeure de sa tante. La poisse était avec elle, elle ne verra pas Quentin ce soir et se demandait s'ils se verraient à nouveau.
Arrivée à la maison, elle s'installa sur une chaise dans le bureau de Leandro. Tout dans cette pièce montrait qu'il aimait les belles choses, pas de luxe ostentatoire, mais de très beaux objets anciens. C'était d'ailleurs son métier, les antiquités, trouver des pièces rares. Moins de cinq minutes plus tard, Leandro fit irruption dans le bureau et elle sursauta, le souffle coupé. La grande discussion allait commencer.
Leandro s'assit derrière son bureau et soupira.
- Je vais te surprendre Lola, mais je suis au courant de votre marché à toi et à Marco, depuis 3 jours maintenant. J'ai même assisté à votre précédente réunion. Je t'ai suivie avec ton ami Quentin, un petit arriviste qui vit aisément sur les deniers de sa famille et qui n'est pas fichu de travailler pour finir sa dernière année de fac. Je reconnais qu'il est le play-boy du coin. Avec tes dix-sept ans, tu en es follement amoureuse, je comprends, mais lui, il n'y a qu'un truc qu'il l'intéresse au bout du compte.
- Pourquoi, ne puis-je pas sortir le soir ? J'ai dix-sept ans et je sais me tenir.
- Tu oublies les bétises qui ont conduit tes parents à nous demander de t'héberger et tu dois terminer ton année et surtout la réussir pour que ta mère ait au moins une satisfaction dans le chagrin qui la frappe, elle et ton père. C'est difficile de comprendre cela ?
- Moi, je ne suis pas morte, je vis. Je ne vois pas ce que je fais de mal ! Leandro leva la main en riant. Lola, tu imites les grands avec des marchandages, et tu crois pouvoir tout maîtriser, tu te crois plus fine que les autres... Et tu cours à la catastrophe.
- Pourquoi ? Marco ne dira rien, vous allez en parler à Tante ?
- Et tu crois que si Hélène venait à apprendre tes manigances, elle serait rassurée ? Allez, tiens, voici un sac dans lequel tu vas trouver une tenue convenable à mettre. Je dois t'apprendre un truc d'ici 2 heures. Sois prête, je dois te présenter à des personnes.
- Vous allez en parler à Tante Hélène ?
- Tout dépend de ce qui se passera tout à l'heure, si tu auras mûri.
Je te laisse, je dois préparer des choses pour ce soir. Habille-toi avec tout ce que tu trouveras dans le sac. Je passe te chercher dans deux heures.
Leandro ferma la porte et Lola se rassit. Elle inspecta le dessus du sac et sorti une veste couleur sepia du sac, suivi d'un chemisier cache-cur blanc en organdi. Par réflexe, elle huma les tissus, ils n'avaient aucune odeur. Elle renversa délicatement le contenu du sac sur le bureau.
Il y avait même des escarpins crème. Où pouvait l'emmener Leandro ? Lola étala le contenu sur la table à côté du bureau et vit que rien n'avait été oublié, à l'intérieur se trouvait aussi un papier. Elle fila jusqu'à la porte du bureau et la ferma à clé avant de le lire. Il s'agissait d'une explication pour enfiler la tenue.
Lola se mit debout et enleva son chemisier de coton ainsi que sa petite jupe en jeans et le reste de ses vêtements. Dans le sac, elle avait trouvé un slip et un soutien-gorge blancs, plus une sorte de soutien-gorge qu'elle ne connaissait pas. Oh, ça y est, d'après le papier c'était un porte-jarretelles. Diable, où Leandro allait-il l'amener ?
D'après les indications du papier, elle devait mettre en premier le porte-jarretelles, elle le ferma et le fit remonter par-dessus ses hanches pour qu'il soit disposé à la taille et que les languettes se placent bien au milieu des cuisses.
Lola mit le soutien-gorge blanc et crème. Il était magnifiquement beau, fait de bretelles de rubans qui contournaientt la poitrine par l'extérieur pour continuer sous les seins et se rejoindre sur le sternum en un beau nud. La profondeur des bonnets n'était pas très importante, avec ce genre de soutien-gorge, la poitrine avait tendance à jaillir au-dehors. Les aréoles étaient à peine masquées par la dentelle, on aurait dit que le soutien-gorge était trop petit de 2 tailles. Il est certain qu'on ne ferait pas de sport avec un tel sous-vêtement. Lola enfila le petit slip qui lui aussi se ferma de chaque côté par ce même ruban crème, elle enfila les bas blancs et les clipsa chacun d'eux au porte-jarretelles. La jeune fille se retourna pour voir si les fixations arrière étaient bien mises. Elle s'enveloppa du cache-cur d'organdi et enfila cette longue jupe-portefeuille avant de mettre la veste pour attendre Leandro.
Négligemment elle s'assit à son bureau et feuilleta quelques revues qui s'y trouvaient. Des revues sur l'équitation.
Des bruits de pas se firent entendre et Leandro déboula dans la pièce.
- T'es prête ? Tu as su mettre tout convenablement. Oh, Lola, mets donc ces escarpins, merde.
- C'est quoi, ces vêtements Leandro ?
- Tu sembles vouloir faire des choses d'adultes et bien on va tester comment tu te conduis en femme ?
- Où va-t'on ? Il y a aura des gens ?
- Oui, il y aura des gens, allez suis-moi.
- Tante Hélène est revenue ? C'est ça ?
- Non, elle ne revient que demain soir. Leandro quitta la pièce et la précéda sur le chemin qui les conduisait aux paddocks. Lola se demanda bien ce qu'ils pouvaient venir faire ici. Elle espérait rencontrer des gens pour lui changer les idées. Avec une telle tenue, cela devait être une soirée.
Arrivés aux paddocks, il n'y avait personne, ce qui était étonnant à cette heure de l'après-midi. L'air sentait les chevaux. Leandro lui demanda de s'asseoir sur la table à outil qui avait été nettoyée. En face d'elle se trouvait 3 portes d'écuries vertes, mais les chevaux avaient été déplacés. Leandro revint vers elle et lui demanda de se mettre debout.
- Ta famille est dans le deuil et toi tu ne trouves rien de mieux à faire que de tromper la confiance d'Hélène en sortant le soir. Tu t'imagines si tu faisais une mauvaise rencontre ? Que quelqu'un te tue ?
- J'ai besoin de penser à autre chose Leandro, mon frère est toujours dans mes pensées. Même après neuf mois. Je n'ai pas voulu vous mentir. Je vis, j'ai envie de vivre. Moi, je ne suis pas morte !
- Et c'est pour cela que tu marchandes tes faveurs contre des sorties avec un de nos palefreniers ?
- Je voulais pouvoir sortir me changer les idées. Je voulais voir Quentin. Marco, c'était pour pouvoir y aller.
- Raconte-moi ce que tu faisais avec Marco ? Leandro s'approcha tout près et accompagna son geste en lui relevant le menton.
- Vous le savez puisque vous nous avez vu.
Leandro la regarda fixement dans les yeux.
- Dis-le à voix haute, s'il te plait.
- Il m'a demandé s'il pouvait caresser mes seins, Leandro regardait Lola et son regard descendit sur sa poitrine. De là, il toucha à peine son sein gauche. Lola se redressa comme si on l'avait électrocutée.
- Mais voyons, que faites-vous ?
- Je marchande mon silence. Donc, Marco t'a caressé les seins par dessus tes vêtements, mais vous n'en êtes pas restés là ? Leandro continuait à doucement tournoyer autour de son mamelon comme s'il le soupesait, flattant son volume, comme s'il voulait lui-même soutenir ses mamelons. Alors Lola, c'est quoi la suite ?
- Enfin, il me pelottait les seins, c'est tout.
- Pas la dernière fois que je vous ai vus.
- Il voulait que j'ôte mon pull. D'un geste assuré Leandro défit le bouton de la veste et l'ouvrit. Tu sais comme tu es belle Lola. Tu sais faire payer aux autres le prix de ta beauté. De son autre main, il se mit à caresser ses seins avec un savoir faire indéniable, la faisant languir. Lola était rouge de honte de sentir les grandes mains de Leandro la caresser si ostensiblement.
- Ce n'est pas tout Lola, raconte ce que tu permettais de faire par un de nos employés.
- Il me pelottait les seins, c'est tout...
- Je ne pense pas, j'ai vu autre chose.
- Il voulait les caresser sur la peau.
Leandro s'écarta un petit peu et en la regardant dans les yeux, défit le petit bouton qui empêchait le cache cur de bailler et écarta les pans de celui-ci. En voyant le soutien-gorge « Janet Reger » il sentit la décharge dans son bas ventre. Cette fille deviendrait un véritable poison pour lui, il en était certain. Incroyable comme il avait envie de la tringler sans autre cérémonie, mais le châtiment n'aurait pas été suffisant pour cette peste.
- Qu'est-ce qu'il voulait Marco ? Hein, dis-moi, que demandait-il ?
- De me toucher ...
- C'est tout, il me semble qu'il voulait autre chose la dernière fois. Leandro approcha ses mains en coupe sur les mamelons de Lola. Les tétons durcis étaient un supplice. Au travers de la dentelle, il en pinça un.
- Aïe ! Qu'est-ce que vous faites ? Ça fait mal. Lola se sentait mal à l'aise tellement ses mamelons étaient peu cachés, ce vêtement était pire que si elle avait été nue.
- Dis-moi, ce que voulait Marco. Répète ces paroles.
- Il voulait que je le touche... Nouvelle pincette. Il me disait qu'il n'en pouvait plus qu'il bandait comme un cheval et qu'il voulait que je le touche.
- Et alors ? Il bandait donc... Continue...
- Il a juste pris ma main et l'a plaquée sur son pantalon, j'ai senti qu'il était tout chaud, gonflé et dur. Il voulait que je touche son, enfin, vous savez ce que je veux dire. Il voulait que je vois ce que c'était un homme quand il réagit. Leandro reprit ses caresses au-dessus du tissus et tout à coup à voix forte.
- Dis-moi donc ce qu'il voulait que tu touches chez lui Lola.
- Ben, son ... enfin...
Leandro la pinça à nouveau.
- Tu n'arrives pas à mettre un mot sur ça, et pourtant tu joues avec tous les hommes. Ben, voilà ce qu'il voulait, que tu lui touches la queue. Se tournant, il dit le reste de la phrase de manière haute et claire.
- Marco, c'est bien cela ?
- Oui Monsieur. Lola se redressa à nouveau mais sans trop pouvoir parce que Leandro était juste devant elle.
- Marco, vous n'avez pas pu lui montrer, n'est-ce pas ?
- Monsieur, vous êtes arrivés et nous avons dû nous arrêter.
- Lola n'a jamais vu de sexe d'homme en érection alors ?
- Pas chez moi.
- Vous deviez me dire quelque chose tout à l'heure ? Expliquez-vous, Marco.
Marco se rapprocha de Lola, il avait les joues en feu et ne cessait de regarder les seins de la jeune fille divinement mis en valeur par ce sous-vêtement.
- Alors Marco ?
- Ben c'est que, disons que les choses sont plus compliquées... Un jour en descendant de mon pick-up avec Lola, un prof de son collège nous a remarqué. Un peu plus tard, alors que je buvais une bière à la taverne du centre, il m'a accosté et ma dit qu'il m'avait vu plusieurs fois déposer Lola et la reprendre très tard le soir, trop tard, et qu'il savait que c'était interdit. Je lui ai dit que ce n'était pas arrivé plusieurs fois mais seulement une fois. Il m'a menacé de venir vous parler sauf si j'acceptais un marché avec lui.
- Un marché, quel marché ?
- Et bien les soirs où je conduisais Lola en ville, il devait venir nous regarder dans le paddock.
- Et il l'a fait ? Il est venu ?
- Oui Monsieur.
- Qui est cette personne ?
- Son prof de religion. (Sifflement de la part de Leandro).
- Tiens donc, Monsieur Biasutti. Monsieur Biasutti, vous êtes là ?
Un bruit se fit entendre et des pas amenèrent Monsieur Biasutti, professeur de religion dans le cercle de lumière.
- Monsieur Biasutti, vous aimez regardez Lola se faire peloter ?
- Oh que oui, Monsieur Leandro. Je fantasme sur elle très souvent en cours et je ne suis pas le seul, mon collègue aussi a remarqué le petit jeu, il était là lui aussi.
- Monsieur, approchez-vous.
Lola interloquée regardait son professeur de religion avec dégoût, ils étaient là pour la mater. Elle entendit les pas d'un autre homme plus pesant qui arrivait, et quand elle le vit, elle eu un geste de répulsion. C'était le professeur d'éducation physique, Monsieur Selvaggi. Monsieur Selvaggi était connu pour avoir des manières assez libidineuses. On le soupçonnait de mater les filles pendant qu'elles prenaient leur douche au lycée.
Lola se sentait honteuse avec le chemisier défait face à ces quatre hommes. Leandro continua à caresser les seins de Lola.
- Que faisiez-vous quand vous étiez présents ?
C'est Selvaggi qui répondit.
- Monsieur Biasutti et moi, nous nous branlions derrière la porte. Lola se retourna vivement vers Marco et comprit qu'elle avait été dupée, elle se souvenait des bruits.
_ C'est ça que j'entendais, Marco ! Elle s'avança vers lui, voulant le frapper et ce faisant un de ses mamelons jailli du soutien-gorge. C'est pour cela que tu avais amené une radio, salop ! Je ne devais pas entendre que l'on n'était pas seul.
Leandro se plaça de côté de manière à ce qu'il la voit bien tous.
- Lola est insupportable et croit qu'elle peut faire ce qu'elle veut aux dépens des autres. Elle se croit adulte, alors nous allons donc jouer un jeu d'adultes. Voyez-vous, messieurs, Lola n'hésite pas à passer prés de moi quand elle sort de la piscine et que son bikini blanc est tout mouillé. Elle aime demander des choses en échange de pouvoir admirer sa plastique. Messieurs, ma nièce n'a jamais vu le membre d'un homme en érection. Peut-être l'a-t'elle vu chez les chevaux mais pas les nôtres. Cette ignorance est intolérable.
Négligemment Leandro flattait ses tétons qui étaient tous les deux sortis des bonnets du soutien-gorge.
- Regardez-moi cette jeunesse, ses mamelons dressés et gonflés qui ne peuvent tenir en place. Regardez-là ! Leandro fit silence un instant alors qu'il plaçait ses mains sous les seins de Lola. Alors, Messieurs, est-ce que vous bandez ? Marco ? Assentiment de tête de Marco, Monsieur Biasutti ?
- Oui, répondit Biasutti, oh que oui, Monsieur mais heureusement ma veste le cache. Les regards se posèrent sur Selvaggi.
- Quand vous m'avez appelé pour cette séance, je n'en revenais pas. Je dois dire que j'aime les voir après le sport, quand elle courent et que, enfin vous voyez...
Lola tenta de se redresser. Ne faisant que remuer ses seins sous leurs yeux libidineux.
- C'est dégoûtant ce que vous dites, je le savais, on le savait, entre nous les filles. On voyait bien que vous nous regardiez étrangement. Votre respiration, oui, cette respiration, comme maintenant...
- Jeune fille, tu monnaies tes charmes pour braver des interdits et tu me dis ce qui est dégoûtant, lui répondit Selvaggi. Tu sais ce qui nous intéresse et tu le donnes en échange de service. Tu aimes jouer avec le feu et imaginer ce pouvoir.
- J'y mets des limites moi, répondit Lola.
Selvaggi se plaça devant elle et regarda ses seins avec ostentations en se passant la langue sur ses lèvres et en se caressant l'entrejambes caché par sa veste. Leandro leva les bras et dit d'une voix haute.
- Alors, Messieurs, brandissez vos verges turgescentes bien à la vue de notre demoiselle. Il est temps qu'elle voit à quoi ressemble un beau braquemart. Parmi vous, celui qui aura le plus grosse queue pourra caresser les seins de Lola, qui sont très réactifs comme vous pouvez le constater. Regardez comme ses petits tétons sont dressés. Elle aime ça !
- Non, je ne veux pas ! S'écria Lola.
_ Tu n'as pas le choix, c'est toi qui a commencé le jeu. Allez Messieurs, nous allons regarder celle de Marco.
Marco s'écarta pour se placer dans la lumière, remonta sa chemise à carreau et défit les boutons de sa braguette. Lola eut le temps de voir combien son jean était serré à cet endroit. Marco passa une main dans son slip et extirpa une verge bien dure.
Monsieur Selvaggi se tourna vers Marco et lui demanda ses mensurations. Marco lui dit qu'elle faisait 17 centimètres pour un diamètre de 3,5 cm. Monsieur Biasutti observa longuement la verge de Marco et sourit.
- Je crois que c'est à moi, lança le prof de religion. Il s'avança au centre, lui aussi et regarda Lola dans les yeux. Je crois que c'est moi qui vais te caresser, ma petite. Il écarta les pans de sa veste et son pantalon à pince révélait une belle érection. Sa verge semblait peser contre la braguette demandant à ce qu'elle s'ouvre. Monsieur Biasutti abaissa lentement sa braguette et laissa son slip apparaître. Sa queue semblait vouloir jaillir au dehors. En un tour de main Biasutti sort sa verge avec un gland dissimulé, il sort tout son attirail avec ses testicules toutes poilues. Sifflement de Leandro et de Marco. Tu vois Lola, il faut toujours attendre,... et choisir... Tu sais pour passer aux hommes, il faut choisir. Il te faut un homme qui sache y faire. Marco est bien et je dois dire qu'il a une belle queue mais il n'est pas encore aguerri et ne pourra répondre à tes attentes de jeune fille. Regarde ma pine Lola, et regarde mes testicules pleine de semence, oui de semance pour toi. Biasutti fit tourner sa verge pour laisser voir ses couilles, jouant avec la hampe de sa verge. Je suis toujours prêt, mes gonades gonflées à bloc de vis.
- Ce n'est pas tout, la taille. Il faut aussi de la vigueur répondit Marco. Ma jeunesse peut lui assurer plus longtemps du plaisir, Monsieur le professeur de religion.
Leandro les regarda tous les deux, et soupesa 2, 3 fois les mamelons de Lola. Pinçant légérement l'un d'eux.
- On verra celui de vous trois qui la mérite. Monsieur Selvaggi vous êtes prêt à relever le défi, il semble que Lola ne vous apprécie pas beaucoup, peut-être que votre verge la fera changer d'avis.
Le professeur de gym prit la place de son collègue, et défit les pans de son blazer. D'un geste, il écarta sa veste, il portait un pantalon d'équitation et diable, on ne voyait que cela. Quelque chose d'énorme. Il défit sa braguette et d'un ample mouvement sorti une énorme bite veinée accompagnée de testicules fort respectables. Il glissa négligemment sa main le long de sa verge pour flatter son sexe, et celle-ci rebondit se redressant, un énorme gland goulu pointé en avant vers Lola. On ne voyait que lui et son petit trou prêt à arroser. Marco et Biasutti sifflèrent.
- J'aurais dû mieux vous regarder les dernières fois, vous faites combien cher collègue ? Lâcha Biasutti. Il se pencha pour prendre sa verge en main et la soupesa. Quant à la mienne, elle fait dans les 22 cm et en diamètre, un bon 4 cm. Il continua à faire bouger sa main le long de sa queue pour en assurer la raideur. Selvaggi le poussa délicatement pour se retrouver au centre simplement en bougeant et en faisant danser son énorme bâton
- Je fais un petit 24 cm pour un 5 cm de diamètre, mais 5,5 à mon gland. Et je peux dire que je suis en super forme. J'ai une verge super bien veinée, et là, j'ai une envie incontrôlable de m'en servir.
Leandro le congratula.
- Nous avons des attributs similaires vous et moi, et il est indéniable que de vous 3, vous êtes le gagnant. Approchez-vous de Lola, il faut qu'elle apprenne. Après chacun de vous ira se placer près des 3 portes qui sont derrière nous et vous vous masturberez. Ce soir, elle deviendra une femme. Il faudra qu'elle soit assez lubrifiée pour sa première pénétration. Le dernier à éjaculer viendra lâcher sa semence sur le sexe de Lola.
Lola eut un hoquet de répulsion, mais Salveggi s'approcha d'elle avec son membre dansant doucement tout en restant dressé, le gland fier prêt à s'accoupler. Il tendit les mains vers la poitrine de Lola et commença à faire des tourniquets, faisant réagir les tétons. Doucement le prof passa les mains sur l'extérieur des mamelons et revenant par en dessous pour bien les avoir en main, avant de remonter un doigt sur les tétons autour desquels il s'attardait. Lola se sentait devenir une marchandise de plaisirs pour cet homme, en plus il sentait fort le sexe. Une de ses mains força Lola à le regarder dans les yeux.
- Je te dégoûte, hein, c'est cela. Il soupira et ajouta... et cela fait partie de mon plaisir. Et te voilà les seins à l'air pour que tout le monde en profite, tu es faite pour le pêché Lola. Depuis le temps que je t'observe, toi et tes amies, si j'avais su que je pourrais te palper les seins, te les lécher, oh. Selvaggi se pencha sur Lola et de sa langue toucha un de ses tétons qu'il aspira doucement avec des petits mouvements de sucions très bruyants.
- Regarde Marco et Biasutti comme ils s'activent en pensant te la mettre. Ils ne pensent qu'à une chose, t'écarter les cuisse et te fourrer de leur semence en te bourrant à fond... Salveggi se redressa et dans ce mouvement il captiva le regard de Lola. Avec un sourire pervers il toucha sa queue plusieurs fois ainsi que ses testicules et avec la salive qu'il avait laissé sur la peau des seins de Lola, il étendit la salive.
- Je mets mon odeur sur toi, petite, tu es faite pour le sexe, et ce soir, tu seras une vraie femme. Avec mon odeur sur les nichons. Regarde-moi bien m'astiquer, ce sera pour toi, tu devras t'imaginer me sentir en toi...
- Allez, allez, Salveggi, rejoignez les autres. Montrez-vous bien les autres, montrez à cette demoiselle ce que fait un homme quand il a envie d'une femme.
Les deux mamelons de Lola était à l'air, durs comme ils ne l'avaient jamais été et luisants de la salive de ce satire. D'un coup de genou Leandro lui écarta les cuisses. Lola voulait refermer ses cuisses, mais Leandro les écarta tout grand et posa 2 ballots de pailles de part et d'autres pour qu'elle y repose ses pieds munis d'escarpins. Les pans de sa jupe s'ouvrirent entièrement laissant voir son slip et ses portes jarretelles. Lola vit les 3 hommes à 2 mètres d'elle, occupés à s'astiquer en alletant. Ils avaient des mines concentrées tout en la regardant.
Leandro commença à caresser le tissu du slip de Lola, doucement. Elle sentait que quelque chose se gonflait comme quand elle se caressait le soir. Leandro lui caressait l'extérieur des seins en même temps qu'il titillait son sexe au travers du slip.
- Est-ce qu'elle mouille Monsieur ? demanda Salveggi s'astiquant en rythme son énorme membre veiné dont le gland se détachait parfois comme un gros fruits demandant à être avalé. Elle les voyait tous les trois occupé à s'imaginer s'accouplant à elle. C'est ce qu'ils voulaient, la pénétrer et la féconder de leur semence. Ils avaient tous le regard rivé sur son petit slip.
- Alors, Monsieur ?
- Hum, voyons cela, Leandro se fraya alors un chemin sur le côté du slip et arriva à toucher le clitoris de Lola. Il le titilla plusieurs fois.
- Pas assez, j'ai besoin de votre semence pour la lubrifier.
- Montrez-nous sa chatte Monsieur. J'ai bien envie de la voir et de m'imaginer m'accoupler bibliquement...
Leandro continua à chatouiller les lèvres derrière le mince tissu et de l'autre main flatta un de ses seins. Il lâcha le mamelon et défit sa veste. Le pantalon à pince de Leandro révéla que lui aussi était en proie avec une énorme érection.
- Cette jeune fille aime jouer avec le feu, messieurs.
Pour vous dire, une fois nous étions dans la maison, elle revenait de la piscine avec son petit bikini blanc, elle était dans le hangar à bateau et je suis venu chercher un outil, mais elle était assise sur un des congélateurs et n'a pas voulu se bouger. Elle voulait que nous allions au cinéma et je n'en avais pas envie. Lola nous savait à l'abri des regards de sa tante et de ses amies. Je me suis penché par-dessus elle pour attraper l'outil que je cherchais mais il était haut et moi, j'étais entre ses jambes. Lola minaudait pour qu'on aille au cinéma, et moi toujours en extension pour trouver l'outil, j'étais mal situé.
Et bien, je vous le dis, elle a commencé à bouger le bassin et j'ai senti qu'elle bougeait contre moi. J'ai instantanément eu un braquemart de tous les diables. Quand elle a senti que j'étais dur comme du béton, elle s'est repliée sur le côté et m'a dit. « donc, c'est d'accord pour ce soir ! »
- Je savais bien que c'était une petite salope lança Selvaggi.
Leandro défit les nuds qui retenaient le petit slip de Lola et titilla son clitoris, à ce moment-là Marco émit un râle terrible et lâcha un jet blanc sur la porte du paddock, plusieurs goûtes suivirent.
- Ça fait du bien, hein petit ? Lanca Selvaggi.
- Elle ne mouille pas encore assez, allez activez-vous ! Leandro continuait ses caresses, Lola sentait ses lèvres gonfler.
Aah, Lola commence à un peu mouiller. Lola les voyait la regarder. De sa main libre, Leandro défit sa braguette et sorti un phallus comparable à celui du prof de gym. Le même genre de queue veinée et trapue avec des testicules poilues.
- N'essaye pas de refermer tes cuisses Lola. Puisque tu veux une permission pour sortir, c'est à moi de te l'accorder. Et ce sera le même prix. Puisque tu aimes nous aguicher à toi de savoir ce qu'est le désir d'un homme. Tu mouilles ma chérie, c'est que ton corps réponds à l'appel de la nature.
- La petite vilaine mouille chers messieurs, un tout petit peu mais elle mouille, sa chatte réclame une queue...
À ce moment-là, un autre râle se fit entendre et le professeur de religion gigla quelquefois sur sa porte en s'activant de plus en plus belle. Le professeur de gym se retourna franchement vers elle avec énorme queue rose bleue et s'approcha de la jeune fille dont tout le corps était exposé. En marchant il fit danser sa verge qui restait toujours dressée.
- Ma chérie, ma semence est pour toi, il s'avança en s'astiquant, la peau du prépuce laissant apparaître son énorme gland puis la recouvrait et recommençait ainsi. Leandro le félicita pour son endurance.
- J'ai la forme physique, c'est normal Monsieur. Tout à coup un jet de sperme atteignit les poils de Lola. Lola eu le reflexe de refermer ses cuisses mais le vis atteint sa chatte. Selvaggi s'approcha et écarta brutalement les jambes de Lola. Doucement il s'approcha, la bite en main près du con de Lola qui avait les cuisses crispées, mais que son autre main empêchait de se refermer.
- J'ai pas fini, ma petite. Je suis un gros éjaculateur. Son gland cogna plusieurs fois le clitoris de Lola, étalant sa semence toute luisante et très odorante. En se masturbant il claquait son nud sur le sexe de Lola, elle pouvait sentir comme ce membre était lourd et dur.
- Oh, je vais t'inonder ma petite, après moi, tu sauras ce que c'est qu'un homme qui gigle, tiens, et dans un autre mouvement, un autre jet de sperme inonda une deuxième fois le con de Lola écurée par l'odeur et cette sensation. Selvaggi tient fermement son gland et l'approcha tout près des grandes lèvres de Lola. Celui-ci remuait sur le sexe de Lola qui se sentait partir dans une danse, celle d'une bite qui veut investir un con, avec toute la force sauvage du désir d'un homme.
Leandro, voulu l'éloigner.
- Selvaggi, c'est bon...
- Je n'ai pas fini de lâcher monsieur, et j'en ai sur le gland. Vous la voulez bien lubrifiée, n'est-ce pas ? C'est moi qui ai gagné. Le prof de gym remit son énorme gland à l'entrée des grandes lèvres et une autre giclée parti, il tournoya son gland tout contre, comme une énorme chose qui voulait rentrer. Elle sentait ce membre se presser contre elle.
Lola sentit tout à coup, cet objet chaud et dur tout contre elle, énorme !
- Je ne peux pas, vous êtes trop gros. Vous ne pouvez pas avec cette chose...
- Allons, Lola, c'est le moment de payer l'addition. Tu me sens, tu sens ma grosse queue, elle est te paraît trop grosse hein. Ahhh, une autre giglée chaude se fit sentir. Je vais t'innonder Lola, j'ai encore plein de foutre dans mes testicules, tu vois j'éjacule toujours. Selvaggi pressa son gland plus près encore et tenta de forcer. Il était énorme, Lola qui malgré ses lèvres gonflée se sentait trop petite.
- Vous n'allez pas la pénétrer Selvaggi ! La queue de Leandro semblait s'impatienter tout contre la cuisse de Lola.
- Et patron, juste un petit peu patron, c'est moi qui ai la plus grosse queue ici, c'est normal. J'ai encore du sperme à lâcher. Vous voyez comme je vous la prépare.
Lola regarda Leandro, regarda les autres qui semblaient encore tous bander n'attendant que de rentrer en elle. Que ce soit le prof de gym ou Leandro, Lola savait qu'elle allait déguster en voyant leurs regards.
Et Salveggi avec son petit ventre tout poilu s'approcha un peu plus pour faire levier, de son autre main, il étendit sur les seins de Lola son foutre, il râla encore une fois, le gland tout contre le sexe de Lola. Enorme, couvrant tout son sexe, chaud dur et énorme, immense même. Quelque chose qui se pressait pour rentrer, il fit tourner son nud plusieurs fois en le pressant et tout à coup, il pénétra Lola qui lâcha un cri démentiel. Selvaggi continua à faire tourner sa queue mais sans l'enfoncer plus. Lola se sentait déchirée. Ecartelée pour que ce membre y trouve sa place.
- Tu vois ce que c'est d'aguicher un homme, Lola, tu sens ma queue en toi, tu me sens, et tiens, j'éjacule encore en toi poupée, oh bien dieu, que c'est bon un petit con comme le tien, tout sérré. Je te rempli de mon foutre, diable, je n'ai jamais lâché autant de purée. Ah, aaaah, encore un jet chaud à l'intérieur d'elle et encore, avec sa main qui caressait son sexe en même temps.
Quand on joue, il faut savoir perdre en beauté. Tu vois où je suis, c'est moi qui te baise, petite. Et encore, je me retiens. Je t'ai préparée pour Leandro. De moi, tu as senti la grosse bite mais Leandro va te montrer combien elle peut être longue, longue pour s'enfoncer en toi.
Selvaggi se retira avec un bruit de sussions et continua à se masturber quand Leandro approcha son phallus raide aussi gros que celui du prof de gym. Derrière eux, Biasutti et Marco continuaient à se masturber, une petite érection semblait leur être revenue. Elle les entendit en cur dire.
- Allez patron, fourrez-là maintenant, jusqu'à la garde.
Leandro approcha son gland et le fit claquer quelquefois sur les lèvres de la jeune fille. Lola regarda le pénis de Leandro titiller son clitoris, il s'activait rapidement dégageant sa verge et son énorme nud du con de Lola. Elle vit que Leandro la regardait à présent comme une proie, claquant son dard contre son corps avec brutalité. Sa verge était rose bleutée et des grosses veines semblaient saillir de toute part pour mener au gland. Avec son corps, il imprimait des mouvements de va et vient mais la queue se courbait avant de rentrer et Lola soupirait à chaque fois, comme sauvée momentanément.
- Allez patron, fourrez-là maintenant, jusqu'à la garde.
Le phallus reprenait sa forme en s'éloignant, comme s'il voulait prendre de l'élan et recommençait à cogner contre son clitoris... Le nud tout luisant reprenait son élan vers Lola.
- Tu vois ma grande, il faut toujours assumer ses actes et là, j'ai une envie de te tringler terrible. Il saisit sa verge à deux mains et s'enfonça d'un coup. Lola sentit de nouveau cette sensation de quelque chose se frayait un chemin envers et contre elle et qui explosait ses entrailles. Mais si tout à l'heure cela avait suffit, ici elle sentit le membre de Leandro butter tout au fond d'elle.Ses entrailles s'ouvrirent sous le coup de glaive et la profondeur des assauts du phallus impatient. Lola cria comme jamais, d'une main, Leandro la bascula sur la table, avant qu'elle ne se soit couchée, elle a vu la verge de Leandro ressortir recouverte de sang.
Les autres gémirent de joie. Elle était dépucelée et ces imbéciles se félicitaient alors qu'elle souffrait. Pire que cela, Selvaggi contourna la table et la tira par les cheveux pour que sa tête se rapproche du bord. Il continuait à se masturber au-dessus d'elle, des goûtes de sperme tombèrent sur sa joue. La tête de Lola allait et venait en rythme des assauts de Leandro.
- Ça c'est pour le coup de congélateur... Tu la sens bien maintenant, ah. Ça fait mal, hein ? Tu sens comme elle est immense, Lola cria encore plus parce que Leandro semblait vouloir la défoncer... Je te tringle tellement que tu sens mes testicules claquer contre toi, et plus elles claquent plus elles lâcheront de foutre. Tu sens mes gonades et tiens encore une fois. Ça fait mal quand on doit se retenir Lola. Ses propres cris lui rappelèrent les juments qu'ils mettaient en saillie. À croire qu'il avait deviné ses pensées.
- Oui, c'est bien cela Lola, tu es une femelle prête pour les mâles, regarde-nous, je t'encule, je te féconde, je te remplis de mon sperme, je t'entube à fond, c'est moi qui même la danse... Les bourses poilues de Leandro claquaient toujours... Sa voix partait dans des intonations de rage. Tu me sens bien, ça te fait mal. Ton petit cul n'est pas encore fait pour nos queues mais nos queues aiment les petites chattes... Crie, Lola, crie encore. Plus tu cries et mieux j'aime. Regarde-les, ils ne veulent qu'une chose, te remplir de leur foutre. Et à ce jeu, c'est moi qui gagne, tu voulais vivre Lola...
- ah.
Lola sentit que la verge de Leandro se crispait et elle le sentit éjaculer. Elle se laissa aller dans le tourbillon des va et viens de Leandro. Il ne l'entendait plus. Quelque part, une sensation de quelque chose qui se remplit se fit ressentir, pas vraiment du plaisir, mais quoi d'autre ?