Délices interdits

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Proposée le 13/09/2011 par Smith

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Ce récit relate une relation incestueuse entre un jeune homme et sa grand-mère, ne poursuivez pas la lecture si ce sujet vous offense, merci.



Mes vacances d'été s'égrenaient gentiment et comme tous les ans une partie du programme était toute tracée.
Plus jeune je me morfondais parfois de passer mes vacances ici car les distractions étaient peu nombreuses. Mais depuis peu, ces vacances-là recouvraient un intérêt particulier car mon fantasme y était associé.
Seul dans mon lit je faisais preuve d'une imagination débordante pour réaliser ce fantasme.
Mais en réalité, une fois les pieds de nouveau sur terre, je me disais que je ne le réaliserai jamais et surtout que tout ce que j'imaginais n'était que fadaise.
Pour le moins, je me disais qu'il fallait que je me nourrisse des différents moments que j'allais vivre pendant ces vacances et trouver de la matière pour alimenter ce fantasme. Rien que cela était déjà en soi une perspective très motivante.
Voilà dans quel état d'esprit j'abordai mon séjour.


Cela faisait maintenant deux jours que mon séjour ici avait débuté.
Cet après-midi, calé dans mon fauteuil, je faisais semblant de lire un livre pour la détailler tranquillement (et alimenter mes futurs fantasmes !).
Elle était assise en face de moi, les jambes croisées et lisait également.
Afin de ne pas être surpris, je vérifiais fréquemment que, derrière ses lunettes, ses yeux parcouraient les lignes qu'elle lisait.
Je regardais ses fines chevilles, puis remontais le long des mollets joliment dessinés. Je faisais durer ce moment car je savais que ce qui m'attendait faisait battre mes tempes. Mes yeux se posèrent sur ses genoux, puis entamèrent la lente avancée en profondeur le long d'une de ses cuisses.
Ses jambes croisées m'offraient une vue intéressante sur le dessous de la cuisse et ce jusqu'à entr'apercevoir la chair nue après le bas.
Mon c'ur s'emballa à cette vue. Pour moi les bas ont une puissance érotique incroyable. Et surtout, je ne m'imaginais pas qu'elle puisse en porter. Elle n'avait aucune raison d'en porter. Pour moi la seule raison valable d'en porter était de le montrer. Et à part moi, elle ne verrait personne aujourd'hui. Mon c'ur accéléra encore.

Mes yeux se détachèrent de la cuisse et s'attardèrent sur l'échancrure du chemisier et le léger mouvement des seins dû à la respiration. Je devinais sa poitrine généreuse.
Mes yeux repartaient vers les épaules et descendaient jusqu'aux mains. Les mains semblaient si douces, les doigts aux ongles vernis si experts'
J'avais pris l'habitude de l'examiner ainsi?

Elle leva les yeux, je baissai les miens.
« Merde ! », pensais-je. Elle s'était surement aperçu que je la regardais.
Elle me demanda, comme prévu plus tôt dans l'après-midi, de me lever et de me rapprocher d'elle pour qu'elle recouse ma braguette.

Je me tenais maintenant debout face à elle qui était restait assise. Seule une petite lampe était allumée et l'atmosphère du salon était tamisée. Dehors la nuit tombait sous une pluie fine.
Elle avait décroisé les jambes et les laissait très légèrement écartées et avait délibérément retroussée sa jupe jusqu'à mi-cuisse pour être à l'aise. Je le remarquais et mes tempes commencèrent à bourdonner?
Le silence était complet pendant qu'elle me recousait la braguette.
Sa langue pointait entre ses lèvres comme pour montrer une totale concentration.
En tout cas c'est ce que je pensais. Il ne pouvait pas en être autrement'
Mais si j'avais eu le pouvoir de lire dans les pensées, j'aurais décelé chez elle une volonté délibérée d'érotiser la situation pour que l'idée germe en moi que celle que j'avais à mes genoux avait une langue qui pourrait prodiguer quelques caresses'

Pendant qu'elle recousait l'entre-jambe ses mains frôlaient subrepticement mon sexe.
Je n'imaginais pas que cela était intentionnel. Cela était impossible !
Quoiqu'il en soit, je sentais poindre l'excitation que je tentais, bien entendu, de réprimer. Il ne fallait pas que je m'abandonne, cela était inconcevable. Mais plus je me concentrais moins j'étais efficace.
Je fermais fermement les yeux, mais ne voyait défiler dans ma tête que des images de la tête située à quelques centimètres de mon sexe, de la pointe de sa langue, de la naissance des belles cuisses habillées de bas noir et cette maudite main qui effleure réellement mon sexe et m'empêche d'imaginer autre chose que l'inimaginable?

Elle jouait et abusait de la situation en gémissant doucement quand elle rencontrait une difficulté. Toujours pour apporter de l'ambiguïté à la situation. Elle savait y faire.
Je me sentais durcir de plus en plus, lentement mais irrémédiablement. La bosse sous mon pantalon trahissait mon excitation et aucun doute n'était permis. J'étais terriblement gêné d'offrir un tel spectacle. Il était impossible qu'elle ne voit pas le pantalon se tendre de plus en plus, je me demandais combien temps elle ferait semblant de ne pas s'en apercevoir?
Elle de son côté, constatait avec plaisir que ce qu'elle avait mis en ?uvre produisait l'effet dont elle rêvait depuis si longtemps. Elle ne laissait rien transparaître de sa propre excitation. Pourtant son pouls s'accélérait et sa gorge devenait sèche.

Je me sentis rougir quand elle leva les yeux sur moi. Je ne pouvais soutenir son regard mais j'avais pu y lire une certaine malice?
J'étais incapable de dire quoi que ce soit et lui laissais l'initiative. J'attendais, fébrile sur mes jambes lourdes.
Qu'allait-elle faire ? Me sermonner et arrêter là ou bien' Non je ne pouvais pas imaginer autre chose, cela était tout à fait utopique. Tellement inimaginable dans la réalité mais si souvent fantasmé par ailleurs.
Ces minutes duraient des heures. Mon excitation était à son comble.
Elle brisa le silence en me demandant de la façon la plus innocente possible si je bandais ?
Je rougis intensément. J'étais démasqué ! Je n'osais pas répondre et quand bien même, ma gorge était tellement sèche qu'aucun son n'en serait sorti.
Elle ne reposa pas la question voyant l'état de sa proie mais se décida à faire courir doucement son index sur toute la longueur de la verge. Je sursautai et restai tétanisé.
Elle insista : « Elle est toute dure, dis-moi ! ». Elle ricanait nerveusement.
Je rougissais tant et plus !
« Voyons si ta braguette s'ouvre bien. », marmonna-t-elle.
Elle déboutonna lentement mon pantalon, marqua une pause et baissa la braguette.
Mon pantalon en toile légère tomba sur mes chevilles.
A la vue de mon slip exagérément tendu elle émit un imperceptible « Oh » aigu et nerveux. Les légères pulsations de mon sexe en train de se gonfler se remarquaient.
Elle fit de nouveau courir son index le long de la hampe qu'elle devinait clairement sous le tissu tendu. Cela eu pour effet de provoquer un soubresaut du membre dur.
« Eh bien mon poulet, tu es dans un sacré état ! », dit-elle.
J'étais crispé d'embarras pendant que mon membre affichait ostensiblement sa raideur.
La situation était insupportable pour moi.
« Tu laisserais ta petite mamie la regarder ? », se risqua-t-elle. Elle utilisa intentionnellement un ton guilleret pour feindre de désamorcer toute intention sexuelle. Ainsi, sa question pouvait paraître naturelle et tout à fait innocente.
Je compris plus tard qu'elle ne voulait surtout pas m'effrayer.
Mais sur le coup, je n'osai pas croire qu'elle avait des intentions. J'en rêvais intensément mais je ne pouvais pas y croire, c'était impossible, cela aurait été trop beau !
Le ton guilleret qu'elle avait employait me fit penser, déçu, qu'elle profitait de la situation juste pour se rincer l'oeil.

Je ne pouvais pas me dérober à sa demande. Cette situation ne se reproduirait jamais plus si je refusais. Je fantasmais tellement sur elle, qu'il fallait que je prenne mon courage à deux mains et que je la laisse regarder. J'étais sûr et certain qu'il ne se passerait rien mais je me disais que cela la troublerait peut-être de voir de si près ma jeune et vigoureuse verge en érection. A son tour de fantasmer sur moi ! Me dis-je.

D'un côté je souhaitais qu'elle voie ma bite, de l'autre j'appréhendais le moment où elle se dévoilerait sans pudeur. Il était tout à fait normal que je n'assumai pas complétement de me montrer nu, bandant comme un taureau, devant ma grand-mère. Cette dualité était exquise et amplifiait mon excitation.
Dans ma tête j'étais très fort mais pour signifier mon accord de vive voix c'était autre chose. Finalement j'appréhendais plus que je ne me l'imaginais et j'émis un fébrile « Oui, si tu veux ».

Ces doigts se posèrent alors à la commissure de la peau et du slip. Je frissonnai. Enfin nos peaux rentraient en contact'
Elle fit glisser lentement ce léger morceau de tissu qui avait du mal désormais à dissimuler quoique ce soit.
Mon esprit était complétement embrouillé, je sentais en moi une retenue morale qui voulait me faire décamper.
« Merde », me dis-je, « Que dois-je faire ? ».
Pendant ce temps, mon slip descendait irrémédiablement.
Tant pis, je décidai d'abandonner toute résistance aux bonnes m'urs, cela me libérerait profondément de savoir que j'allais enfin lui montrer mon désir inavouable.

Elle profita des derniers millimètres pour les faire durer indéfiniment. Elle était également dans tous ses états à l'idée de voir surgir ce pal tendu par ses soins. Elle tremblait de l'avoir à sa portée.
Plus rien ne la retenant ma hampe se dressa promptement et se stabilisa net tellement l'érection était vigoureuse.
A ce spectacle elle poussa un petit cri aigu.
Moi, ayant abandonné toute résistance, je laissais mon sexe s'exhibait avec arrogance.
Je me savais totalement ahuri et n'avais jamais été aussi proche de mon fantasme le plus inouï. Je me disais naïvement qu'elle n'imaginait surement pas à quel point elle jouait avec le feu de m'exciter à ce point, moi qui ne rêvais que de ça? Je me disais également naïvement que j'étais loin d'être à l'abri d'éjaculer immédiatement et qu'alors elle serait assurément outrée d'un tel abandon'

Mais elle leva les yeux et me sourit pour me montrer combien elle pensait elle aussi à l'impensable et qu'elle était tout à fait satisfaite du spectacle? Tant et si bien que ses yeux se fixèrent de nouveau sur ma hampe dressée. Elle la contemplait, la regardait intensément pour savourer chaque détail, le gland bien gonflé, les veines qui se dessinaient le long de ma verge, les légers soubresauts' Elle aussi désormais se sentait fébrile.
« Ooh mon chéri? », balbutia-t'elle. Ses joues étaient rouges. Ce magnifique manche qu'elle avait à quelques centimètres la chavira. Elle n'avait plus la force de jouer l'innocente grand-mère. Elle brulait de désir et s'abandonna à son tour.

Son index frôla doucement la corolle de mon gland.
Elle fit durer cette caresse et son doigt faisait désormais le tour du gland qui devenait turgescent, proche de l'explosion'
J'avais une respiration haletante. Je résistais car j'appréhendais le moment où je ne pourrais retenir mon éjaculation. Je me disais que tant que je n'aurais pas joui, si tout s'arrêtait là, tout pourrait être oublié, cela n'aurait été simplement qu'un petit dérapage, rien d'irréversible. Mais l'éjaculation, elle, nous ferait passer dans un autre monde, un monde interdit et cela serait irréversible. Cela je le savais et en avais peur mais je voulais aussi me libérer de ce fantasme entêtant qui me torturait si délicieusement et atrocement... Il fallait que je me délivre par elle, sur elle, dans elle?

Parallèlement, et malgré cette irrépressible envie, une autre chose m'effrayait : La perte de contrôle qui se produit pendant le moment que dure l'éjaculation. Dès que je sentirais ma jouissance atteindre son paroxysme je ne pourrais plus retenir mon sperme avide d'exploser au visage de mon fantasme.
J'avais accepté d'en être là où nous en étions, mais la culpabilité me tiraillait encore et je savais que si tout devait s'arrêtait je devais le décider maintenant, avant de perdre le contrôle de mon corps. Car quand l'orgasme poindra, il me sera impossible de réprimer l'incroyable explosion qui se produira car toutes les molécules de mon corps tendront vers mon sexe incroyablement raide et toutes seront mobilisées pour expulser le plus abondamment possible de sperme pour signifier à ma bienfaitrice combien furent nombreuses mes nuits de fantasmes. Plus aucune molécule n'aura prise sur le reste de mon corps qui sera totalement incontrôlable, seulement capable d'éjaculer. Je savais également que dès que le premier jet de semence sortira, je commencerai déjà à regretter cette transgression, mais mon sexe, lui, pendant ce temps se videra? Et malgré tout je jouirai, intensément, longuement, et coupablement, ce qui décuplera mon plaisir que j'imagine pourtant déjà si intense.

Son index s'arrêta sur le frein du prépuce, remonta par le côté du gland avant de longer, toujours très lentement, toute la longueur de la verge, jusqu'à sa base. Cette légère caresse, ce léger contact de son index sur le sexe constituait une phase préliminaire qu'elle voulait faire durer indéfiniment, tellement elle était attendue. Son index repartit vers le gland en frôlant le dessous du sexe, le long de la grosse veine. En arrivant au niveau du gland, son index fit mine de soupeser l'ensemble afin de jauger de l'élasticité et de la lourdeur de ce membre qu'elle trouvait impressionnant et intimidant.
Elle perdait peut-être un peu la confiance qui lui avait permis de franchir tous les obstacles moraux pour pouvoir en arriver là. Elle savait qu'elle dompterait ce sexe mais elle savait aussi qu'il n'aurait aucun scrupule à la souiller. Elle en mourait d'impatience mais elle l'appréhendait. Elle en a tant rêvé mais en être si proche cela la troublait et qui plus est avec ce sperme là? Elle avait peur, elle aussi, d'aller plus loin, mais il était déjà trop tard, l'excitation était trop forte?

Elle se décida à le prendre dans sa main, elle l'enveloppa d'abord délicatement puis le serra progressivement.
Moi, j'étais en extase, enfin elle me tenait fermement et me traitait avec la force que méritait mon membre viril. Elle s'engagea dans un lent mouvement de va-et-vient.
Cette nouvelle étape exacerba le gland enflé par un énième afflux sanguin.
Elle et moi furent submergés par une bouffée de chaleur.
Me sentant presque à bout elle n'insista pas dans cette voie, elle voulait délivrer quelques autres caresses'Elle le contempla une nouvelle fois, remonta ses yeux sur mon ventre plat qui se creusait nerveusement.
Je sentis alors ses mains caresser l'intérieur de mes cuisses, repartir sur l'extérieur pour remonter délicatement sous mon tee-shirt sur mon ventre et mon torse. Elle enveloppait mon corps et cela me faisait défaillir. Je fermais les yeux et me représentais ses mains et ses doigts que j'avais scruté auparavant pour me les fantasmer courir sur mon corps. Aujourd'hui cela était réalité.
Elle avait ses deux mains sur mes pectoraux. Cette position l'obligea à écarter un peu plus les cuisses et à rapprocher sa tête de mon corps. Je sentis ses cheveux frôler mon membre. Je n'en pouvais plus. Décidément, chaque nouveau contact était plus délicieux que le précédent. Cela rajoutait à mon excitation de savoir que mon sexe touchait ses cheveux, et encore n'avais-je pas vu que les cuisses maintenant bien écartées avaient eu pour effet de faire remonter la jupe un peu plus haut et dévoilait la fin des bas et la naissance de la peau nue du haut de ses cuisses.
Je décidai de regarder l'improbable contact des cheveux sur son sexe. J'eus la bonne surprise de voir également le spectacle de ses cuisses offertes. Je contemplai la position incroyablement excitante.
Je fixais la peau nue de ses belles cuisses découvertes entre les bas et la jupe. Je savourais cet étalage d'érotisme car à plusieurs reprises, par le passé, en croisant et décroisant ses jambes, elle s'offrait en spectacle mais tout en retenu et ne dévoilait jamais que très furtivement cette zone terriblement érogène. Ces petits jeux pervers avaient semés le doute en moi. Etait-elle innocente ? Me provoquait-elle ? Bien sûr, Je n'avais pu être certain de mon interprétation.
Quoiqu'il en soit, cette position impudique montrait qu'elle s'adonnait totalement à son office.
Je relevai les yeux pour ne pas succomber à ces visions affriolantes.

Je frissonnai quand elle fit descendre ses mains des pectoraux vers le ventre, en me griffant délicatement. Par ce geste, elle me confirmait qu'elle était une experte, que je ne le regretterais pas. Moi, en m'imaginant ses ongles vernis, je chavirais de plaisir.
A peine ses ongles arrivèrent sur le bas de mon ventre que je sentis sur mon gland se poser ses lèvres humides. Elle venait de me faire un bisou. Elle recommença frénétiquement plusieurs fois ce geste, pour montrer tout l'amour qu'elle pouvait ressentir sans pouvoir l'exprimer d'une autre façon avec sa bouche. Je frémissais tant et plus, car ce geste trahissait une sorte de pudeur. Il me semblait également qu'elle m'amenait gentiment, sans à coup, comme pour me préparait, vers des pratiques plus sulfureuses. Je trouvais ce geste incroyablement charmant mais malgré ce qu'elle pensait mon sexe tendu était bel et bien prêt à toutes les caresses.

L'étape affectueuse des bisous s'acheva, s'en était trop pour elle. Maintenant, tremblante, elle sortit sa langue, effleura mon gland, puis en fit le tour. Je percevais la salive humecter mon sexe. Pour moi, c'était encore un nouveau tabou transgressé, une nouvelle étape. Sa langue, sa salive, à elle, sur mon sexe, à moi?
A l'instar de son index, sa langue parcourra la longueur de la verge jusqu'à sa base et fit le chemin inverse instantanément. En arrivant à l'extrémité de la verge, la langue titilla le dessous du gland et recueillit la goutte de substance qui perlait.
Je le sentis. Je respirais intensément. Ma tête bourdonnait. Je pensais devenir fou d'excitation. Ma grand-mère venait d'avaler un peu de moi et le gémissement gourmand qu'elle émit amplifia la tension sexuelle qui me tiraillait. Je me disais qu'elle était dans le même état que moi et cela me rendait heureux de pouvoir lui offrir cela.

Je n'eus pas le temps de reprendre mes esprits, que j'avais perdu depuis longtemps d'ailleurs, que mon gland fut enveloppé par ses lèvres. Elles marquèrent un temps d'arrêt puis la bouche fit progresser goulument mon membre jusqu'au fond de la gorge. La bouche, dont le rouge à lèvre était encore intact, entama un délicieux va-et-vient. La salive lubrifiait mon membre et le mouvement s'en retrouvait plus doux. Je défaillais de savoir mon sexe dans sa bouche.
Après quelques aller-retour, elle le retira de sa bouche, recula un peu, serra vigoureusement la base du pieu pour le faire durcir un peu plus encore si cela était possible. Elle le regarda avidement et me demanda si j'aimais ce qu'elle me faisait. Je n'osais pas, ne pouvais pas répondre, je ne pus laisser échapper qu'un râle de satisfaction.

Elle replongea impatiemment. Et le délicieux mouvement repris. Elle posa ses mains sur mes fesses, les malaxa quelques secondes puis les immobilisa pour imprimer un mouvement d'avant en arrière pour amplifier le mouvement de sa bouche. J'étais cerné de toutes parts, totalement enveloppé, subissant bien volontiers ce mouvement de balancier.

Au bout de quelques aller-retour, je sentais monter l'orgasme et un torrent de sève, encore retenu, allait briser le barrage et déferlerai violemment.
En une fraction de seconde je repensais à mes réflexions sur le point de non-retour. Et celui-ci s'annonçait au plus profond de mon corps, une question de seconde. Si je devais arrêter tout, si je devais m'enfuir, c'était maintenant ou jamais. Mais même si la caresse de trop, le déclic qui aller déclencher mon orgasme ne s'était pas encore produit, je savais que je n'avais déjà plus la force de me soustraire à cette bouche défendue, c'était trop tard. Cette surabondance de caresse m'avait empli de jouissance que je ne pourrais contenir. Malgré les restes de pudeur que j'avais d'éjaculer sur elle, j'étais bel et bien vaincu. Je ne pouvais que m'abandonner, exposer crument ma jouissance et hurler mon plaisir.

Dans un dernier sursaut de lucidité, les yeux fermés, je me représentais la scène comme si j'en étais le spectateur. Je voyais d'abord un jeune homme, le pantalon et le slip abaissé sur ses chevilles, un sexe dur qui entrait et sortait de la bouche d'une femme. Je voyais également cette femme sexagénaire, au corps encore très attirant, assise, cambrée, la jupe haute sur ses cuisses.

Je rouvris les yeux, regardai une dernière fois le visage immaculé de ma grand-mère. Plus jamais je ne la regarderai de la même façon. Je constatai qu'elle avait les yeux fermés, absorbée toute entière par la caresse qu'elle me prodiguait avec soin.
Quand mon sexe sortit de sa bouche, je le vis incroyablement gonflé, les veines bleues pulsant sous la peau fine. La puissance que déployait mon membre annonçait l'ampleur du déferlement qui allait se produire. Je n'avais jamais vu mon sexe aussi énorme et je m'alarmai de ce qu'allait devoir subir ma grand-mère? Cette femme d'expérience savait bien-sûr ce qui l'attendait mais avait-elle conscience que le corps mince qu'elle tenait entre les mains, dénotait avec l'incroyable vigueur du membre qu'elle était en train de sucer ?
Je savais que j'allais la submerger, la souiller incroyablement. J'avais du mal à assumer cela.

Alors que j'haletais, elle, pompait doucement. J'avais l'impression que tout mon sang s'était dirigé vers mon sexe. Je ne sentais plus le reste de mon corps, je n'étais plus qu'un sexe rigide.
Sa bouche remonta de la base du sexe vers le gland. L'arrivée des lèvres sur mon gland devenu hypersensible déclencha chez moi la décharge électrique. La décharge électrique que je souhaitais repousser le plus loin possible. La décharge électrique que j'appréhendais. La décharge électrique que j'attendais tant, je n'en pouvais plus.

Je me cabrai. Elle comprit. Elle retira le sexe suintant de sa bouche, le prit dans sa main, le serra en tirant la peau vers la base. Elle en profita pour reprendre sa respiration. Elle voulut jetait un rapide coup d'oeil à son chef d'?uvre avant de regarder le visage de son jeune amant mais elle resta comme hypnotisée par ce qu'elle avait devant elle. Elle avait eu tout le temps d'apprécier la vigueur et la taille du membre mais elle constata que le pieu était non seulement épais comme jamais, mais que l'enveloppe charnelle semblait distendue, que les veines étaient prêtes à éclater et que le gland, oh mon dieu se dit-elle, il avait atteint une proportion et une couleur pourpre impressionnante. Elle en rougit et en tira une certaine fierté. Elle, sexagénaire, avait transformé le sexe d'un jeune homme en un volcan prêt à cracher sa lave.
Elle reprit ses esprits mais était troublée par l'orgie de virilité qui s'annonçait. Elle leva les yeux, entrouvrit sa bouche et attendit...

J'inspirai profondément, fermai les yeux et me tint prêt à subir la mise en branle de mon corps.
Je fus pris d'une bouffée de chaleur incroyable.
Mes bourses se contractèrent pour rassembler leurs forces.
Ma verge se raidit dans un dernier effort, elle ne voulait cesser de durcir et de grandir. Cela me faisait divinement mal. J'allais plonger dans le vide.

J'expulsais, dans un râle profond, une première giclée effilée et rapide qui alla atterrir sur la joue de celle qui poussa alors un petit cri aigu.
Les décharges qui suivirent faisaient jaillir de mon sexe une semence riche et abondante. Je criais mon plaisir.
Ma jeunesse, associée à cette incroyable scène, libéra une orgie de foutre. L'éjaculation était interminable, jamais je n'avais éjaculé autant.
Elle poussait un petit cri aigu à chaque giclée reçue. Je jouissais à en pleurer.
Ma semence s'étalait sur les joues, le front, les cheveux, les lunettes et sur la langue sortie ou s'engouffrait directement dans la bouche ouverte.

Moi qui m'étais ému du déferlement qui attendait ma grand-mère, revu ma position car elle qui depuis trop longtemps avait été si perverse en me provoquant subrepticement et en faisant naitre chez moi un désir irrépressible méritait ce déluge de foutre. Je déchargeais enfin, et sans aucune retenue, ce trop-plein si longtemps accumulé.

Je transpirais et étais toujours parcouru de spasmes incontrôlables mais avait fini d'asperger ma grand-mère.
Je la regardais. Elle achevait d'avaler ma sève qu'elle avait reçu dans la bouche ou à proximité. Elle savourait la semence chaude de son petit-fils qui coulait dans sa gorge.
Son visage en était couvert. Il coulait le long de son cou pour aller se perdre sous le chemisier blanc ou bien se déposait sur le col. Ma semence qui dégoulinait de son menton tombait sur ses cuisses ou sa jupe. Cela ravivait presque mon excitation'
Elle en avait partout. Entièrement maculée de sperme.

Alors que je bandais encore vigoureusement, le sentiment de culpabilité me submergea. Je regrettais de m'être livré ainsi, de ne pas lui avoir résisté et d'avoir joui ouvertement. Mais, elle, insatiable, donna un dernier coup de langue sur le bout de ma verge pour recueillir la dernière goutte?

Nous nous regardâmes. Honteux et libéré à la fois, j'eus du mal à soutenir son regard. Elle esquissa un sourire et me dit :
« Eh bien dis donc, mon chéri? Oooh, oh la la? », dit-elle.
Mes palpitations diminuaient progressivement et je reprenais peu à peu conscience du monde qui m'entourait. Le salon, les meubles et la pluie dehors qui tombait toujours.
Nous étions seuls, complices désormais, enveloppés par l'odeur enivrante de ma jouissance.
Trop timide pour faire un geste, je lui laissai encore l'initiative. Elle posa ses mains sur mes hanches, me recula doucement pour pouvoir se lever.
« Il faut que je me débarbouille maintenant ! », me dit-elle avec un très léger ricanement.
Le mot « débarbouille » me mit mal à l'aise car, seule dans la salle de bain, quand elle aurait constatée l'ampleur de la souillure, c'était bien plus qu'un débarbouillage qu'il lui faudra mais bel et bien une douche et changer de chemisier, de jupe et de bas'
Je n'en revenais pas. Je n'oublierais jamais ce samedi-là.
Il me sembla que cela avait duré une éternité car j'avais savourait ardemment chaque caresse mais en réalité cela n'avait pas duré plus de cinq minutes. Je n'avais pas pu résister à l'intensité de cette expérience sexuelle.
Je ne me posais pas encore la question de savoir si j'aurais un jour envie de goûter de nouveau à cette ahurissante transgression.


Elle revint de sa toilette et me demanda d'un ton léger ce que je souhaitais diner.
J'hésitais, apparemment notre relation normale avait repris comme si de rien n'était.

Le diner se passa normalement. Nous discutâmes de tout et de rien. Je n'étais pas très à l'aise.
La soirée se déroula tranquillement devant la télévision. Quand nous nous séparâmes pour aller se coucher, comme d'habitude nous nous embrassâmes.

Le lendemain matin, je me réveillais après elle. Comme d'habitude quand je passe les vacances chez ma grand-mère, le petit déjeuner m'attend.
Elle me demanda si j'avais bien dormi. Je dénotai dans son intonation un très léger sous-entendu. Je répondis que j'avais très bien dormi sans aucun sous-entendu, j'en étais bien incapable. J'étais jeune, l'expérience manquait, et assumais certainement beaucoup moins que ma grand-mère.
Je crus comprendre qu'elle ne souhaitait certainement pas s'arrêter là?

Elle avait tellement déployé de stratagèmes et de patience pour avoir ce qu'elle voulait.
A force de réflexion, j'en ai déduit une hypothèse.
Elle ne sortait jamais, elle avait une vie rangée. Elle se sentait coincée, aucune perspective ne lui faisait espérer qu'elle pourrait encore gouter au sexe.
Pourtant elle se savait encore désirable et au fond elle le désir n'était pas éteint.
Le désir la tiraillait tellement qu'elle en souffrait, il fallait qu'elle épanche sa soif. Absolument.
Petit à petit, année après année, la vue de mon corps, fit germer certainement une idée en elle.
Elle rejeta cette idée immorale chaque fois qu'elle apparaissait. Ce n'était certainement pas une femme dépravée.
Mais ce feu intérieur l'a rendait folle. Elle voulait caresser, sucer, se faire culbuter, être souillée?
L'idée fit son chemin en elle.
Seule dans son lit, elle se surprenait en train de fantasmer aux douces caresses qu'elle pourrait me prodiguer, elle imaginait des scènes de la vie quotidienne qui basculaient, elle rêvait aux nuits d'initiation qu'elle pourrait m'offrir, en échange elle gouterait la jeunesse de mon corps'
J'étais en pleine effervescence, plein de sève.
Elle ne put résister plus longtemps et convoita alors son petit-fils.
Elle commença timidement puis les petits jeux pervers s'assumèrent de plus en plus. Cela l'excitait de dévoiler discrètement ses charmes et d'enfiler la peau d'une perverse.

Elle savait le jeu très risqué. Elle devait restait lucide. Elle devait certes m'exciter mais aussi laisser flotter une part de doute dans ma tête. Je ne devais pas faire la distinction entre ce qu'elle provoquait et ce que je croyais être mon propre désir. Elle devait me faire croire qu'elle n'avait rien fait pour attiser l'attirance que j'éprouvais pour elle.

Ces jeux se traduisaient par des mots tendancieux, des croisements de jambes, des portes de salle de bain légèrement entr'ouverte, des chemisiers échancrés. Les jours où le désir l'embraser plus que d'habitude elle écartait les jambes un peu plus, elle négligeait une jupe un peu trop remontée? Elle jouait avec le feu, mais elle brulait intérieurement'

Elle avait donc dû contenir ses pulsions jusqu'à ce qu'elle me sache vraiment à bout et mûr pour violer la moralité avec elle.
La première étape avait été de me donner un plaisir fou en libérant toute la charge accumulée. Elle n'avait pas été en reste mais elle restait sur sa faim. Bien qu'extraordinaire fut cette première étape, elle ne l'avait pas rassasiée. Cela lui ouvrait un appétit féroce. Elle allait maintenant m'initier progressivement. Cette perspective l'enchantait mais elle n'était pas sure que j'oserais encore sauter le pas, rien n'était gagné. Elle devrait se montrer lascive pour m'attirer et me permettre d'enfreindre de nouveau ses barrières morales.


Ce matin-là, pendant que je terminais mon petit-déjeuner, elle épluchait des carottes pour le midi. Je me levai pour aller me doucher et avant de disparaître derrière l'embrasure de la porte elle me proposa de venir me frotter le dos si je le souhaitais. Je stoppai, ne me retournai pas et bredouillai un « Oui, si tu veux ».
Elle me répondit sans trémolo dans la voix :
« Vas-y, je te rejoins. ».
Dans le couloir qui m'amenait à la salle de bain je sentais les battements de mon c'ur s'accélérer.
Toujours naïvement je n'étais pas sûr qu'il allait se passer quelque chose dans la teneur de ce qui s'était déjà passé deux jours auparavant. Cette inconnue m'excitait terriblement, comme s'il ne s'était jamais rien passé et que la première fois pourrait enfin arriver.
Sans vraiment savoir si j'avais envie d'une deuxième fois et si ma grand-mère en avait envie également, je cherchai rapidement quand-même le meilleur scénario à mettre en ?uvre pour encourager ma grand-mère à basculer encore une fois' Le désir était plus fort que moi.
Devais-je commencer à me savonner ? Ne me faire savonner que le dos puis me retourner pour demander la serviette et exhiber ainsi mon sexe ?
Ne le devais-je pas et ainsi inciter ma grand-mère à ne pas se cantonner au dos mais permettre à ses mains de s'aventurer ailleurs et les amener petit à petit sur mon sexe ?
J'étais trop embrouillé pour faire un choix. J'improviserai si la lucidité me le permettrait'

Je me déshabillai et enjambai le rebord de la baignoire. J'avais laissé la porte entr'ouverte pour confirmer ma disponibilité.
J'ouvris le robinet d'eau, pris le pommeau de douche dans ma main et commençai à me mouiller. Je sentais mon sexe se gonflait tout doucement, prêt à se dresser au moindre stimulus'
Je commençais à me savonner, le torse et le ventre.
Je ne l'entendis pas entrer dans la salle de bain. Je tournais le dos à la porte de la salle de bain.
Mon c'ur fut comprimé quand je l'entendis dire : « Je suis là? ». Au son de sa voix mon membre se dressa encore un peu. Je ne bandais pas encore vigoureusement.
Je ne me retournai pas. C'était trop tôt. Il fallait profiter du scénario qui n'était pas encore écrit.

Elle prit du savon et posa ses mains sur mes épaules. Elles faisaient des mouvements circulaires en descendant jusqu'aux hanches. Elle reprit du savon, posa ses mains sur le bas du dos et frictionna doucement.
« ça te plait ? C'est agréable ? », demanda-t-elle.
« Oh oui ! », osai-je.
Si je m'étais retourné, elle aurait effectivement constaté que cela me plaisait'
Devant tant de satisfaction, ses mains descendirent sur mes fesses. Elles les caressaient plus qu'elles ne les frottaient'
Je sentis les mains s'aventurer entre mes jambes sous les fesses, ses ongles effleurèrent mes testicules puis repartirent en arrière. L'effet fut immédiat, je bandais fortement désormais !
Elle m'annonça qu'elle avait fini.
Je ne sus quoi faire.
Mes doutes étaient-ils fondés ? Ce que nous avions osé faire la veille n'était-ce qu'un accident ? Jouait-elle encore une fois ?
Trop novice dans la question je ne trouvais pas la réponse.
Pendant mes réflexions, elle était sortie de la salle de bain, me laissant là, bandant comme un taureau'
J'étais complétement perdu. Parallèlement, j'étais un peu rassuré car si cela ne se reproduisait pas, notre relation redeviendrait comme avant et cela serait plus facile à gérer pour moi. En même temps, je restais profondément excité?

La matinée et le déjeuner passèrent normalement, sauf que je me posais des questions et que l'excitation ne me quittait pas.
Elle savait probablement qu'elle me torturait et que je cogitais. Ce petit jeu l'amusait surement terriblement, cela reculait la prochaine échéance et par là-même la garantissait car tous les tabous réunis ne pourraient résister à la seule force de l'excitation.

L'après-midi caniculaire fut propice à me tourmenter mais rien ne se produisit.
Comme à mon habitude je l'avais discrètement observée quand elle se reposait sur le transat installé sur le balcon en plein soleil. J'avais pu m'abreuver de la vision d'une petite partie de ses cuisses car le soleil justifiait de relever la jupe.
Quand elle s'était allongée sur le ventre, j'avais pu regarder longuement sa croupe et deviner la courbure de ses hanches que j'aurais bien encerclée de mes mains'
Plus tard dans l'après-midi, alors que je tentais de me concentrer pour lire quelques lignes, elle s'assit en face pour se chausser et aller faire quelques courses. Je passai les yeux au-dessus de mon livre pour l'espionner. Je fixai mes yeux sur les doigts s'activant pour boucler autour de ses fines chevilles les chaussures à lanières.

Cela m'excita. J'étais complétement fétichiste. Dans mes fantasmes, je me retrouvais toujours complètement nu mais sur elle restait toujours un accessoire propre à décupler mon plaisir.
Souvent le chemisier restait sur ses épaules mais complétement ouvert, le soutien-gorge baissé sous les seins, la jupe retroussée et la culotte sur les genoux. Parfois elle se retrouvait à quatre pattes la croupe offerte portant seulement ses bas et ses chaussures'
Dans mes rêves, toucher sa jupe, ses bas ou n'importe quel tissu me procurait autant de plaisir que lui caresser la peau.


La soirée fut également des plus tranquilles. Je m'agaçais car ma grand-mère ne m'avait provoqué nullement même pas subrepticement. Je sentais la frustration montait en moi comme celle qui me tiraillait deux jours auparavant'
Elle savait qu'elle me manipulait à merveille et que j'étais déjà et encore à bout. Elle le voyait dans mes yeux qui cherchaient le moindre signe. Elle n'était pas tellement étonnée de me savoir dans cet état, j'étais jeune et plein de sève mais elle était ravie de savoir qu'elle était la cible de mes pulsions.

Le moment était venu de se coucher. J'embrassai ma grand-mère qui me retourna cette marque d'affection.
Dans mon lit, je fantasmais plus vivement que jamais. Le pantalon de mon pyjama était tendu'
J'entendis la porte grincer légèrement et une ombre vient s'asseoir au bord de mon lit. L'éclairage du couloir apportait un soupçon de lumière.
Elle me dit qu'elle m'amenait un verre dans la chambre car la nuit allait être chaude.
Je la remerciai.
Elle trempa le bout de ses doigts dans le verre et me mouilla le front en jouant comme une gamine et me disant qu'il fallait m'arroser pour me rafraichir.
Elle insista sur ce thème et baissa d'un grand geste le drap avec lequel je m'étais recouvert. Dans la pénombre, elle ne remarqua surement pas le pyjama tendu.
Ne sachant plus désormais sur quel pied danser j'appréhendais de me faire surprendre dans cet état.
Elle continuait à jouer, en ricanant. Elle remonta nerveusement mon haut de pyjama pour en découvrir le ventre. Ce geste m'électrisa car je sentis ses ongles m'érafler.
Elle trempa de nouveau ses doigts dans le verre d'eau et déposa délicatement le bout de ses doigts sur mon ventre. Je sentis mon ventre se creuser machinalement.
Sans un mot, ses doigts humides dénouèrent les cordelettes qui retenaient le pantalon et écarta les deux pans de tissus et pris dans sa main mon membre durci.
Elle me masturba délicatement du bout des doigts. J'exultais.
Sa main quitta le sexe rigide et caressa mes cuisses, remonta vers le ventre, puis redescendit lentement vers les cuisses. Elle répéta cette caresse plusieurs fois sans même effleurer ma verge qui était traversée de soubresauts. Je sentais mon gland décalotté se gonfler au rythme des afflux sanguins. La caresse qu'elle m'infligeait était exquise. Au passage des ongles qui me griffait doucement, mon ventre se creusait nerveusement et cela inclinait mon sexe qui patientait tendu comme un arc.
Elle me reprit dans sa main. Elle me masturba avec une amplitude qui allait de la base du sexe jusqu'à franchir le gland et le libérer, le tout avec une cruelle lenteur. Apparemment elle souhaitait être la plus douce possible.

Je haletais de plus en plus vite et elle, me masturbait de plus en plus lentement. Qu'elle était douée me dis-je. Je posai ma main sur son genou nu et, tremblant, je la fis remonter le long de la cuisse. C'était la première fois que je touchais sa peau nue.
Cela déclencha mon orgasme. Il fut profond et accompagné de longs râles.
J'éjaculais longuement et la semence atterrissait sur mon ventre. Tout le temps que dura l'éjaculation ma grand-mère tenait la base de ma verge entre son pouce et son index et me masturba délicatement afin de laisser jaillir le sperme sans entrave. Cette subtile caresse amplifia mon orgasme.
Elle aimait me voir éjaculer. Elle prenait autant de plaisir à faire qu'à voir. Elle continua à me masturber quelques instant afin d'accompagner mes derniers soubresauts.
Elle se leva, sortit de la chambre et revint quelques secondes plus tard avec de quoi essuyer mon ventre maculé. Elle me fit un bisou sur le front et alla se coucher.
Je repris ma respiration puis m'endormit.

La journée suivante fut une nouvelle fois marquée par la proposition de me frotter le dos. J'acceptai, bandai, et rien ne se passa. J'interprétais cela de deux façons. Soit elle s'amusait à m'exciter pour amplifier le plaisir quand elle décidait de me le procurer, et j'aimais assez ce petit manège, je trouvais cela exquis et terriblement efficace, soit il n'y aurait jamais de prochaine fois.
Je ne savais pas si cela m'ennuyait mais cela me laisser dans une situation de frustration, ce qui me maintenait en tension et augmenterait alors mon plaisir si elle décidait de recommencer.
J'en avais marre d'être traversé de sentiments contradictoires. Je n'arrivais pas à choisir ce que je voulais.
Assumer pleinement cet inceste et en jouir pleinement, même en acceptant les règles perverses de ma complice ? Ou refuser les caresses offertes car bien qu'elles soient incroyables elles étaient immorales. Je ne voyais pas s'il y aurait des conséquences et s'il y en avait de quelles natures elles seraient.
Je me disais qu'aujourd'hui je ne pouvais pas trancher et mes pulsions seraient encore mêlaient à l'angoisse de l'interdit, mais ces pulsions étaient les plus fortes, et l'interdit les renforçaient.
J'étais pris dans un piège inextricable. La peur me freinait mais amplifier encore plus mon désir?

Le reste de la journée fut une de ses longues journées d'été habituelles. Pour moi ce fut chaleur, repos et pensées érotiques. Je pensais à la douceur de la cuisse que j'avais eu le courage de toucher. Je voulais désormais explorer chaque centimètre carré de cette peau que j'imaginais fruitée, légèrement salée à la couleur d'abricot.
Je me disais qu'elle avait un grain de peau superbe pour son âge.
Je me demandais parfois s'il était normal d'être attiré ainsi par les femmes bien plus âgées que moi. Mes camarades de mon âge flirtaient avec des filles et certains allaient même au-delà. Moi je n'étais pas vraiment attirée par les filles de mon âge.
Je ne les trouvais pas assez tentantes. Elles portaient rarement des jupes, surement jamais de bas, leur féminité était peu mise en valeur?
Mes yeux n'étaient attirés que par les femmes mures.
N'ayant jamais eu aucune occasion d'en approcher une comme je l'aurais souhaité, seule ma grand-mère faisait une partenaire potentielle.
L'écart d'âge était important certes, mes pensées et maintenant mes actes en choqueraient certainement plus d'un, mais elle était très appétissante. Appétissante étant l'adjectif qui exprimait le mieux ce que je ressentais. Et maintenant, me disais-je, en plus d'être appétissante, je la savais experte. Je me dis que mon attirance pour les femmes mures était vraiment justifiée.

Le lendemain, en fin d'après-midi, alors que je regardais la télévision installé dans un fauteuil, positionné au fond du salon, elle entra dans le salon et pris place sur une chaise. Elle était dans mon champ de vision, assise légèrement de profil par rapport à moi.
Elle était assise sur le bord de la chaise. Je constatai qu'elle avait les cuisses écartées. Ostensiblement écartées. La jupe était relevée jusqu'à mi-cuisse. Quand elle ne regardait pas dans ma direction, je posais mes yeux sur ce spectacle.
Une de ses jambes était pliée, le pied appuyé sur la barre horizontale qui relie les pieds de la chaise et l'autre jambe était tendue et le pied reposait sur le sol. Cette position très étudiée, permettait de mettre en valeur le galbe du mollet de la jambe repliée. De même les cuisses s'offraient différemment. Quoiqu'il en soit la vue était plongeante sur l'intérieur des cuisses'
Je n'osai pas bouger ni dire un mot. Je me rinçais l'oeil, je n'eus pas le courage de faire plus que de bander dans mon pantalon. Une fois de plus, j'étais en ébullition'
Après quelques minutes, elle resserra ses cuisses lentement, se leva et disparut dans le couloir.

Après le diner et après s'être mis en tenue pour dormir, moi en pyjama, elle en chemise de nuit, il était fréquent que nous regardions la télé ensemble dans sa chambre.
En effet, elle avait installé dans sa chambre une télévision pour la regarder depuis son lit.
Nous nous retrouvâmes donc tous les deux allongés sur le lit sous un drap à regarder un film.

Il était également fréquent qu'elle s'endorme à la fin du film tout en me laissant regarder la suite des programmes. Ce qui se passa ce jour-là.

Je patientai pendant de longues minutes afin d'être sure qu'elle soit endormie. Je n'avais que faire du programme qui était diffusé? La scène des cuisses écartées de l'après-midi m'avait décidé, alors je patientais.
Une fois assuré qu'elle dorme bien, je glissai ma main sous le drap et commençai à remonter avec une lenteur infinie la chemise de nuit. Entre le pouce et l'index je pinçais la chemise de nuit et pendant que je la remontais, le bout de mon index frôlait la peau nue de la cuisse. Ce contact m'électrisait, c'était merveilleux de progresser sur cette peau douce et interdite au toucher.
Elle dormait sur le ventre et petit à petit je sentais que la chemise de nuit arrivait au niveau des fesses. Toujours du bout du doigt, je frôlais la fissure qui sépare les cuisses des fesses. Je bandais comme un taureau.
Je continuai à retrousser doucement la chemise de nuit jusqu'à découvrir entièrement les fesses.
Je soulevai légèrement le drap pour les voir. Seule la télévision éclairait la chambre. Je regardai longuement ses fesses. Je fus étonné de voir une si belle croupe, si bien dessinée.
Je posai ma main sur le creux des reins et caressai délicatement. Je tremblai de plaisir.
Elle gémit dans son sommeil.
Cela me motiva et je remontai ma main un plus haut sur le dos puis redescendis dans la chaleur du creux des reins. Elle gémit de nouveau.
Je m'armai de courage et caressai les fesses. Je les trouvais magnifiquement douces.
Je sursautai quand elle me demanda ce que je faisais.
Comme à mon habitude, je ne répondis pas.
Elle se retourna sur le dos et me dit que de continuer ce que j'avais commencé.
Je posai ma main sur le haut de la cuisse et remontai lentement en tremblant.
J'atteignis un sein, que je malaxai précautionneusement. Elle m'encourageait en gémissant doucement. Elle était aux anges d'avoir cette main baladeuse sur elle.
Elle me prit la main et l'amena entre ses cuisses. Je caressai du bout des doigts le pubis. Je descendis un doigt sur la fente que je frôlais de haut en bas. De mes doigts j'écartai doucement les lèvres et mon doigt caressa l'intérieur humide, toujours de haut en bas. Je trouvais cet endroit très doux. Elle gémissait. Tantôt mon doigt la pénétrait, tantôt il titillait son clitoris, je prodiguai cette caresse avec application et fébrilité? Elle avait les cuisses totalement écartées et son bassin ondulait au rythme de mes caresses. Elle goutait pleinement son plaisir, cela faisait si longtemps qu'on ne l'avait pas caressée. Quelques minutes suffirent pour qu'elle pousse plusieurs petits cris de jouissance.
Je n'en revenais pas d'avoir fait jouir ma grand-mère et d'avoir touché son intimité.

Sans un mot, elle se redressa, posa ses mains sur mes épaules pour m'allonger sur le dos. Elle écarta le drap qui me recouvrait encore et s'installa entre mes jambes. Je sentis ses lèvres encercler mon gland, sa bouche fit quelques va-et-vient puis sa langue tourna sur mon gland. Elle posa ses mains à plats sur mes cuisses puis de nouveau sa bouche enveloppa goulument mon sexe. Je ne m'explique pas pourquoi ses deux mains posées comme ça sur mes cuisses me plaisaient considérablement.
Rapidement je saisis sa tête pour tenter de la retirer de mon sexe car je sentais mon éjaculation imminente. Elle résistait en grognant, une de ses mains empoigna mon sexe, comme pour s'accrocher, et me masturba alors que mon gland était toujours dans sa bouche.
Alors que j'étais prisonnier de sa main et de sa bouche, je déversai de longs jets chauds dans sa bouche. Je fus parcouru de spasmes jusqu'à ce qu'elle achève de tout avaler. Elle me suça quelques secondes puis se rallongea sur le ventre. Elle me dit au passage que cela avait été très bon puis me souhaita bonne nuit.
Je bandais encore et cela ne semblait pas vouloir s'arrêter.
Je repensais à sa croupe que j'avais caressée. Mes mains avaient pu discerner la courbure des hanches, la cambrure des reins et la rondeur des fesses. J'avais envie de caresser de nouveau cette partie de son corps et de la voir sous cet angle.
Je n'attendis pas qu'elle s'endorme cette fois, je brulais d'excitation. Je retirai le drap, me mis à califourchon sur ma grand-mère à hauteur des genoux et relevai la chemise de nuit.
Je fixai ses fesses et posai mes deux mains dessus. Je les remontai jusqu'au hanches, les encerclai et imprimai un mouvement pour les soulever. Surprise, ma grand-mère accompagna le mouvement en émettant des petits « oh ». Elle avait désormais les genoux repliés sur le lit, la croupe relevée, offerte.
Je la contemplai, la tête enfouie dans le coussin, la chemise de nuit retroussée qui laissait nues les hanches et les fesses. J'étais à bout, je ressentais comme des picotements exquis au bout de mon sexe raide, la moindre caresse l'aurait fait exploser.
Je caressai quelques instants de mes deux mains les hanches et les fesses, ce contact m'électrisait totalement. J'introduis mon sexe en elle doucement, les mains toujours sur ses hanches. Je la pénétrai fiévreusement puis imprimai un mouvement de va-et-vient régulier. Elle était cambrée et poussait des gémissements de plus en plus haletants, la tête toujours enfouie dans le coussin. Voir sa croupe généreuse exhibée était un régal. Mon pal se tendait tant et plus, elle le sentait dur au fond elle.
Je n'allais pas tarder à jouir. Pouvais-je jouir en elle ? Pour l'avertir, je lui dis que j'allais jouir et j'attendis de savoir ce que je devais faire.
Elle répondit, haletante « Oui, oui, vas-y mon chéri, vas-y, vas-y ! ».
Mon excitation ne m'accorda pas une seconde de plus. Mes mains se crispèrent sur ses hanches et j'explosais violemment en elle, mon corps imprima longtemps ses convulsions au corps de ma grand-mère qui les subissait en couinant de plaisir.
Je me retirai, m'allongeai sur le dos. J'étais en sueur.
Elle s'allongea également sur le dos et rabaissa sa chemise de nuit. Elle tourna la tête vers moi et me dit d'un ton faussement outré et encore émoustillé « Oh mon poulet' Dis donc ta petite mamie? Dans cette position' Allez, va te coucher maintenant. ».
Je me levai et allai me coucher dans ma chambre après avoir souhaité bonne nuit.

A suivre?