Marie Caroline de Fabre-Riguier 1. La découverte

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 20/10/2007 par Antonio

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Marie caroline de Fabre-Riguier 1

La découverte



Marie caroline est une belle femme de 41 ans issue de la bourgeoisie, élevée selon les principes chrétiens et les règles les plus strictes qui ont cours dans son milieu.

Blonde, de taille moyenne, presque toujours coiffée en chignon, un joli visage, un regard bleu tendre et une bouche charnue et boudeuse, des seins hauts plantés, des hanches rondes et pleines, de belles jambes musclées que les robes qu'elle porte très souvent laissent deviner, malgré que celles-ci descendent en dessous des genoux (son éducation et sa pudeur l'obligent), de jolis pieds cambrés et bien déssinés chaussés de fines mules talons faites sur mesure par le chausseur.
C'est l'été ,et cette année la chaleur est accablante. Elle réside dans une grande maison retirée,entourée d'un immense jardin boisé, son mari et ses deux enfants adolescents sont souvent absents, ce qui lui permet d'avoir beaucoup de temps libre, qu'elle utilise pour cultiver et entretenir ses rosiers.

Pour faire vivre ce jardin il y a Ali, un nord africain d'une quarantaine d'années, petit mais fort, au visage très brun, sourcils et moustache épais et noirs, il se fait aider de temps en temps par un autre nord africain de couleur, bâti comme lui et aussi moustachu mais plus âgé.

Marie caroline avait été très choquée et avait même rougi lorsque la première fois elle l'avait croisé au fond du jardin en train de couper des branches, il était torse nu et elle avait constaté avec stupeur qu'il était très velu, ses bras son dos et son torse couverts d'une fourrure noire frisée, un vrai animal, il avait cessé son activité lorsqu'il s'aperçut de sa présence et l'avait regardée en la saluant, c'est à cet instant qu'elle avait rougi, elle avait lu dans ses petits yeux noirs et brillants qui fouillaient effrontément dans sa robe une espèce d'envie sale, elle ne put soutenir son regard et baissa les yeux, son cœur se mit à cogner dans sa poitrine et un frisson la fit trembler jusqu'au bout des orteils, elle s'était vite sauvée complètement retournée.
Ali loge au fond du jardin dans une petite pièce derrière la maison, au milieu des arbres, un endroit discret et retiré.

La vie de Marie caroline se déroule tranquillement, animée par ses deux enfants lorsqu'ils ne sont pas à l'école ou en voyage, elle sort très peu et les longs déplacements lui donnent des maux de tête et la rendent malade, son mari homme d'affaire très pris par la gestion de leurs biens est souvent absent.

Il lui arrive de rêver à une vie plus palpitante pleine d'imprévus, mais souvent lorsqu'elle est seule et se laisse emporter par ses rêveries cela la mène toujours à cette image qui la tourmente, celle d'Ali velu comme un singe, même quand elle tente, mais vainement, de rejeter cette pensée qu'elle trouve sale et obscène, celle-ci revient immédiatement la harceler et la faire frissonner, la rendant fébrile et incapable de penser à autre chose,alors pour échapper à ces saletés elle sort se promener dans le jardin.

Comme cet après midi, même si la chaleur est étouffante, abritée sous un chapeau à larges bords elle marche dans les allées, passe sous les arbres, se remémore son arrivée dans cette maison après son mariage, la naissance de ses deux enfants,sa famille ignore bien entendu qu'un mal la ronge,la tourmente, mais pour rien au monde elle n'en guérirait, dans son esprit se bousculent des pensées sales, immorales depuis la découverte d'Ali le jardinier quelque chose s'est réveillé en elle et cela la terrorise, mais aussi la fait frissonner la rendant molle et moite,incapable de réagir, elle la mère de famille, l'épouse respectable, la bourgeoise pleine de principes, elle rêve qu'elle est entourée d'hommes moustachus et velus qui parlent une langue étrangère et forcée de faire des choses dégoûtantes et obscènes pour satisfaire leurs désirs, qu'elle est malmenée,bousculée,contrainte.

Elle se rend compte soudain que ses rêveries l'ont menée au fond du jardin, elle aperçoit la maison ou loge Ali, son cœur se met soudain à cogner plus fort dans sa poitrine, il lui semble entendre les battements dans sa tête, sa gorge se serre.
Dans son esprit surgit Ali le jardinier torse nu. Une curiosité malsaine de revoir cette fourrure noire et frisée la pousse à avancer vers la maison mais en marchant silencieusement, la sueur perle à son front.

Elle veut juste l'épier sans qu'il s'en aperçoive, cette idée l'affole mais elle se sent attirée vers cet endroit comme si elle était téléguidée, elle s'approche de la fenêtre et regarde à l'intérieur, il n'est pas chez lui, déçue mais toujours curieuse elle décide d'y entrer pour jeter un œil, voir la couche ou Ali le jardinier se repose cette image alimentera ses rêveries immorales, peut être dort il nu, cette pensée enflamme son esprit et elle se dirige vers l'entrée.

Elle ouvre la porte et pénètre dans la pièce il y fait très chaud, elle sent tout de suite des perles de sueur couler dans son corsage et dans son dos, et jusque entre ses orteils qu'elle fait gigoter comme pour chercher un peu de fraîcheur, elle avance vers la couche de l'ouvrier, un matelas posé sur un lit en bois ordinaire, les talons de ses mules claquent sur le sol, et l'odeur de l'homme envahi ses narines, ça sent le tabac la sueur et les épices, ses joues sont cramoisies car son imagination tourne à plein régime, et si elle s'allongeait rapidement sur cette couche afin de mieux imprégner son esprit de ces odeurs? et pour s'en servir plus tard dans ses rêveries innommables et sales auxquelles elle s'adonne dans sa chambre,enfermée à clé.
Elle se penche et tapote le matelas, s'assoit, elle lève légèrement les jambes et remue ses orteils délicats en battant l'air de ses deux pieds cambrés pour faire tomber ses mules, puis comme poussée par une main invisible elle s'allonge.

Tout de suite l'odeur du mâle brun et velu lui saute aux narines, elle suffoque et transpire encore plus, ses cuisses s'écartent indépendamment de sa volonté, elle gémit, elle ne devrait pas faire ça, c'est de la folie, quelque chose d'invisible a pris possession de sa volonté, elle ne peut lutter, elle se résigne en sanglotant et ses cuisses se relèvent en s'écartant largement, ses genoux touchent ses seins, elle manque d'air et va tourner de l'œil.

Alarmée, avec des gestes fébriles et désordonnés elle retire sa robe, libère ses seins gonflés aux pointes tendues, arrache sa fine culotte blanche et écarte à nouveau ses cuisses en les relevant, la mère de famille n'est plus consciente de ce qu'elle fait, un seul désir domine effaçant toute retenue, celui de se toucher, elle sent sa chatte à la toison blonde épaisse s'ouvrir et un liquide chaud et onctueux couler entre ses fesses, cela lui apporte une brève sensation de fraîcheur, sa main gauche s'attaque immédiatement aux tétons dardés, les pinçant et les étirant, son autre main va farfouiller entre ses cuisses, dans les poils trempés de sa chatte, elle gémit sans se retenir, un doigt frotte l'entaille qui dégorge une goutte de mouille, s'introduit entre les lèvres et pénètre, un petit cris et un long gémissement suivent la progression du doigt dans la chatte mouillée.

Un tout petit reste de lucidité lui dit de se relever et de partir, sa curiosité étant satisfaite, mais il y'a toujours cette main invisible qui la maintient clouée sur ce lit les cuisses relevées et largement écartées, son odeur de femelle envahi maintenant la pièce se mêlant avec celle d'Ali le jardinier, elle se sent sale ainsi écartelée sur ce lit, dans cette position obscène, elle Marie caroline l'épouse et mère de famille, mais cela ne l'empêche pas de continuer à se pincer les pointes des seins et faire aller et venir son doigt dans sa chatte brûlante aux poils humides, soudain.

Comme dans un brouillard elle voit Ali le jardinier,mais il n'est pas seul,son compatriote de couleur est là lui aussi, ils sont à quelques pas du lit, elle n'avait rien entendu, comme s'ils avaient surgis par magie, leurs regards enflammés sont fixés sur sa main qui est toujours entre ses cuisses écartelées, tétanisée elle les entends respirer, les narines écartées se délectant du parfum de femelle, elle a l'impression que c'est deux bêtes prêtes à lui bondir dessus, elle tremble mais ne peut rien faire, elle les entend se parler dans leur langue natale, elle ne comprends rien mais elle est sure qu'il s'agit d'elle et peut être sont-ils en train de dire des obscénités, elle mérite ce qui lui arrive, sortir du droit chemin ou elle a toujours évoluée mène à ça, elle gémit et une larme coule le long de sa joue, elle ne pense plus à rien maintenant,elle se dit que ce n'est qu'un rêve et qu'elle s'éveillera bientôt dans sa chambre.

A travers ses paupières elle voit leurs regards de braise se promener sur son corps nu, celui du noir s'attardant sur ses jolis pieds cambrés, elle est consciente d'une chose, c'est que sa position écartelée sur le lit est obscène au plus haut degré, mais curieusement elle ressent une certaine satisfaction d'être ainsi dévorée des yeux, ces deux salauds sont placés à ses pieds afin d'avoir la meilleur vue sur sa chatte, elle ne cache rien, elle se dit qu'ils doivent voir même son anus, elle en frissonne de dégoût, mais découvre qu'elle aime être ainsi exhibée,cela lui procure des sensations sales qu'elle ignorait.

Elle va se lever et les gronder, elle est la patronne après tout, ces deux ouvriers sont ses employés, ils n'ont qu'à baisser la tête et obéir sous peine de renvoi.

Tout à coup elle ouvre grand les yeux et sa bouche forme un O sans qu'aucun son ne sorte, ils déboutonnent les braguettes de leurs combinaisons de travail, elle voit d'abord Ali introduire sa main velue dedans pour extirper une matraque de chair brune, épaisse et tendue, coiffée d'un gros gland circoncit et brun, il la secoue d'une façon obscène et vulgaire pointant dans sa direction en lui disant des mots en arabe, elle a la gorge nouée et ses joues sont cramoisies, son cœur bat à tout rompre, un gémissement glisse entre ses lèvres et elle referme tout de suite ses cuisses en allongeant les jambes.

Elle ne peux s'empêcher de regarder l'autre ouvrier arracher sa combinaison et se présenter en slip blanc le devant tendu et bien rempli, il met ses deux pouces derrière l'élastique et le baisse d'un coup, le cœur de Marie caroline l'épouse fidèle et respectable bondit dans sa poitrine et ses yeux s'agrandissent encore plus, le compatriote de Ali lui expose un gourdin noir gros et noueux, parcouru de veines saillantes, surmonté d'un gland épais et circoncis lui aussi.

Ali finit de se dévêtir tandis que le noir approche ses mains à la peau dure, il saisit les deux pieds blancs et cambrés et commence à les palper à pincer la plante et les orteils par-dessous, elle sent ses mains calleuses caresser ses pieds nus mais son regard est littéralement fixé sur le gros zob noir qui se cabre et grossit, il lui fait poser la plante du pied droit dessus, puis le pied gauche, elle sent le gland dur se frotter en dessous,lui chatouiller les orteils, elle trouve ça dégoûtant, elle tremble et veut se révolter mais elle reste sans réaction regardant ce que l'ouvrier fait avec ses deux
pieds blancs qui Contrastent de façon obscène avec le gros zob noir.

Elle voit arriver Ali vers elle tenant son gourdin dressé dans la main et le secouant, sa gorge se noue et elle croit s'évanouir, il s'approche de son visage et autoritairement lui pose le gros gland sur les lèvres, elle les serre en gémissant alors il force et elle finit par ouvrir timidement la bouche, il en profite pour l'empaler jusqu'au gosier,le cri indigné qu'elle allait pousser est étouffé par le gros zob dont le gland circoncis avait atteint sa luette, il le retire et elle respire bruyamment.

Les yeux grands ouverts, outrée, elle sent le noir la saisir par les chevilles pour la retourner, elle le laisse faire, elle se sent étrangement fiévreuse et des images sales issues de ses rêveries viennent tourbillonner dans sa tête inondant sa chatte de mouille.

Elle se retrouve à plat ventre, il plante ses doigts durs et rugueux dans la chair tendre et douce de ses hanches et la tire brusquement vers l'arrière, elle pousse un petit cri et se retrouve à quatre pattes comme une chienne, au bord du lit, la croupe tendue vers l'ouvrier noir, l'épouse et mère de famille est prête pour la saillie, il s'approche, saisit les deux pieds cambrés pour coincer son gros zob noueux entre eux, et commence à se branler avec.

Ali lui est à genoux sur le lit il lui prends la tête et l'attire vers son gourdin enflé, elle écarte les lèvres pour laisser passer le gros gland dur aussitôt gobé, sa langue commence à remuer, timidement puis frétille de plus en plus, ce n'est pas elle qui fait cela, c'est une autre Marie caroline, une sorte de double, mais elle l'épouse fidèle et respectable ne se souviendra bien entendu de rien puisque il s'agit de l'autre.

Elle pousse un cris étouffé par la matraque d'Ali, le noir derrière elle approche son visage de sa croupe blanche et plantureuse, sans cesser de se branler entre ses pieds joints et cambrés, elle sent quelque chose de chaud et de gluant balayer son anus, elle est scandalisée et pousse des cris étouffés, le noir lui lape la rondelle, elle frissonne de dégoût, ses joues sont cramoisies et sa peau est couverte de chair de poule, jamais aucun homme ne l'avait traitée ainsi, d'ailleurs le seul homme de sa vie était son mari et il ne se serrait certainement pas comporté de la sorte. C'est bestial, scandaleux et sale, mais elle ne fait rien pour se soustraire, elle fait légèrement saillir son derrière joufflu permettant ainsi à cette langue vicieuse et humide de mieux la laper.

Ali retire son gourdin luisant de salive de la bouche de sa patronne et remplace son compatriote,qui lui se place devant le visage de Marie caroline qui gémit anticipant la suite des événements, elle sent une main ferme et rugueuse la saisir par la hanche, Ali tient son gourdin dans la main droite et frotte le gland le long de la chatte baveuse, il cherche l'entrée dans le nid poils blonds, pointe entre les lèvres et donne un coup de rein, l'épouse fidèle recrache le gros zob du noir, se cambre et pousse un « OH!», Ali le jardinier l'a empalée, elle se sent remplie, es lèvres de sa chatte forment un O presque parfait, la matraque de l'ouvrier est bien moulée, elle n'a jamais reçue un tel calibre, elle s'imagine montée par un âne, elle se sent mourir, mais se cambre instinctivement pour être emmanchée, elle se sent chienne,et veut être salie comme elle le mérite.
Ali a maintenant ses deux mains rugueuses posées sur les hanches rondes et pleines, il la maintient fermement et donne de vigoureux coups de gourdin faisant claquer son ventre contre les fesses joufflues, il lui dit des mots en arabe, sans doute des obscénités, il la tringle sans ménagement, il grogne, ahane, c'est bestial et il lui assène des claques sur les fesses, puis d'une main ferme il l'a saisie par la nuque pour lui coller le visage contre le matelas, obligeant l'ouvrier noir à retirer son zob de sa bouche.

L'épouse respectable prosternée, le cul en l'air, cambrée, sanglote, couine, la matraque lui fouille la chatte sans ménagement, avec vigueur, Ali accélère le mouvement, lui dit encore plus de choses en arabe, elle sent les deux mains du jardinier se crisper sur ses hanches rondes et tendres, il l'embroche jusqu'à la garde, les jambes bien écartées, elle sent une giclée puissante et copieuse lui fouetter l'intérieur de la chatte, elle se cambre en criant, puis une seconde aussi puissante et une troisième et une quatrième, elle sent sa chatte tapissée de foutre gras et chaud, des larmes coulent sur ses joues, elle n'a jamais mouillé de la sorte, elle se croyait incapable de ressentir autant de plaisir, il se retire en marmonnant des mots en arabe, sa chatte déverse aussitôt le trop plein de foutre qui coule sur le matelas et le long de ses cuisses, elle est rouge et essoufflée, son cœur va cesser de battre.

Elle tourne la tête et remarque l'ouvrier noir en train de se branler, le zob raide et effrayant, il avait assisté à la saillie de la mère de famille et maintenant c'était son tour, cette pensée scandaleuse mais excitante la fait frissonner, elle se sent rougir de honte coupable.

Elle est toujours à quatre pattes comme une pouliche attendant d'être montée, le noir passe derrière elle et la pousse sans ménagements dans le dos, elle tombe à plat ventre et aussitôt il s'allonge sur elle, le zob dur callé dans la raie moite des fesses plantureuses il commence à le faire coulisser de haut en bas, elle frémit de peur en sentant cette matraque se frotter contre son anus, jamais elle n'a été touchée à cet endroit, elle est vierge, pour elle, seuls les dépravés pouvaient s'adonner aux pratiques de Sodome, elle l'entend respirer contre son oreille, lui dire des mots dont le sens lui échappe mais qui la font frissonner de peur et d'excitation.

L'ouvrier se décolle de la croupe, et descend plus bas jusqu'à ce que son visage se trouve à hauteur du cul dodu et bien fendu, aussitôt elle sent ses deux mains calleuses lui saisir à nouveau les fesses et les écarter, décidément il aimait ça. Une sensation de fraîcheur chatouille sa rondelle, elle pousse un « oooh! » indigné en se cambrant les yeux grands ouverts, par-dessus son épaule elle le voit se délecter de la vue de sa raie.

Elle trouve ça scandaleux, elle rougie de honte et sanglote lorsque l'ouvrier avance sa bouche et colle ses lèvres charnues à son petit trou et y dépose un baiser sonore obscène, il recule pour regarder et avancer à nouveau la bouche, son baiser innommable résonne dans la pièce aussitôt suivi d'un « ouuhhh » suppliant, elle se sent femelle à la disposition du mâle, elle lui appartient sur ce lit, il décide et elle se soumet le laissant faire, tout faire, n'est-ce pas elle qui est venue de son plein gré répandre son odeur de femelle en chaleur dans cette pièce?

L'ouvrier noir se jette d'un coup bouche en avant entre les plantureuses fesses blanches, les maintient écartées avec ses deux mains et colle sa langue épaisse chaude et baveuse sur la rondelle qui frémit, la mère de famille scandalisée et affolée pousse un cri, il la maintient fermement par les fesses et lape en grognant, elle se relâche devient toute molle, frissonne de dégoût mais fait saillir sa croupe en sentant cette langue chaude lécher son anus de haut en bas, tourner vicieusement autour, la pointe tapoter au centre, sa moustache la chatouille, elle sanglote la joue collée contre la matelas respirant l'odeur d'Ali.

Elle soupire, relève la tête et voit Ali debout près du lit la matraque dressée à la main en train de se branler, les yeux rivés sur ce que fait son compatriote.

Le noir remonte et s'allonge sur elle, appuyé sur un coude, de sa main libre il tient son gros zob et lui calle le gland enduit de salive entre les fesses, elle pousse un cri en sentant le nœud peser contre sa rondelle vierge, elle se sent condamnée à être enculée.
C'est trop tard, le mâle avait décidé, elle n'avait plus qu'a se soumettre, jamais elle n'aurait pensé qu'un jour un homme la sodomiserait, et encore moins un ouvrier nord africain, cette idée la fait trembler d'excitation, son anus s'arrondit et s'élargit pour gober le gros gland dur et le zob noueux pénètre lentement et facilement jusqu'au fond, elle se cambre en poussant une longue plainte qui accompagne la pénétration, « OH! Mon dieu », l'ouvrier appuyé des deux mains sur le matelas commence à remuer les reins, il entame un va et vient lent qui la fait sangloter en poussant des « ouh » suppliants,

Ali les yeux luisants branle son gros gourdin en la regardant couiner, elle rougit et tourne la tête, l'épouse et mère de famille de quarante et un ans se fait dépuceler le cul, elle ne trouve pas ça aussi désagréable que l'on dit, l'ouvrier aussi sait y faire, il la fouille lentement mais fermement, à chaque fois qu'il la pénètre elle ressert son anus comme pour l'empêcher d'aller plus loin,ignorant que cela allait être compris comme un encouragement.
Il accélère soudain les coups de zob entre les fesses dodues, elle le sent gonfler en elle, se cabrer et lui cracher puissamment une giclée épaisse et chaude, elle couine et se cambre à nouveau, le gourdin continu à la remplir de foutre par saccades,copieusement,il accompagne ses cris et ses gémissements de mots en arabe et de grognements.

Elle sent une main la prendre par la tête, elle se tourne et tombe nez à nez avec la matraque d'Ali, d'un geste autoritaire il lui fourre son gros gland dans la bouche en lui parlant dans sa langue natale, elle remue la langue sur ce zob dur tandis que l'autre se retire lentement de son cul, aussitôt le trop plein de foutre déborde entre les fesses joufflues, elle gémit tout en remuant la langue.

Elle n'avait jamais sucé un homme auparavant, cette grosse matraque qui lui remplit la bouche et qui n'en finit pas de grossir lui fait monter le rouge aux joues et soudain une giclée gluante et abondante lui tapisse le palais, coule dans sa gorge, elle a un hoquet veut se retirer mais il lui maintient fermement la tête, elle doit avaler pour ne pas suffoquer, plusieurs autres giclées suivent la première et enfin il se retire de sa bouche brusquement.

Haletante, les yeux larmoyants,elle regarde par-dessus son épaule et voit le noir s ‘essuyer le zob sur la plante de son pied droit.
Les lèvres luisantes de foutre, la langue pâteuse, la rondelle encore entrouverte et gluante, elle se lève comme un automate, les joues rouges, revêt sa robe en évitant leurs regards, chausse ses fines mules et se dirige vers la porte qu'elle ouvre.

La chaleur est toujours aussi pesante dehors, elle se dirige vers la maison d'un pas rapide, elle sent la plante de son pied droit glisser et coller à l'intérieur de sa mule, son mari doit être dans son bureau car aujourd'hui il revenait de Nice pour prendre un dossier et repartir aussitôt vers Paris pour une semaine.

(Histoire éditée le 20 octobre à la demande de l'auteur)