Diner aux chandelles

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Proposée le 27/08/2011 par charline88

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Comme le stipule la description, âme sensibles s'abstenir, ce récit est hard!



La table est longue, unique, belle. Michel est placé face à moi et à ma gauche un homme brun, qui n'arrête pas de jeter des coups d'oeil vers moi. En vis-à-vis, la femme qui dîne devant lui, doit être son épouse.
Il y a un peu plus d'une heure que nous sommes arrivés dans cette étrange demeure. Je ne connais personne en dehors de mon mari bien entendu.
La dame à ma droite s'esclaffe sans cesse et je ne comprends pas les raisons de ses rires.
L'apéritif que l'on nous a servi, le même pour tous, est un cocktail à base de brimbelles et de champagne, un vrai délice.
L'endroit où se situe cette maison est totalement isolé dans la montagne Bressaude et je ne sais pas non plus comment mon mari connait tous ces gens. J'ai bien senti qu'il y avait une certaine connivence entre eux, mais là non plus je ne vois pas d'où elle peut provenir.
Maintenant des serveuses assez courtement vêtues viennent de servir l'entrée. L'assiette est garnie de salade et un pâté lorrain chaud me donne faim. Le fumet agréable de ce plat me donne l'eau à la bouche.
Le bruit de cette dizaine de personnes attablées côte à côte me gêne considérablement et j'ai bien du mal à te répondre alors que tu me demandes si j'apprécie la nourriture.
Je te fais signe en hochant la tête de bas en haut et mon voisin, continue sans vergogne à me déshabiller du regard. Cela t'amuse puisque que tu me fais un clin d'oeil malicieux, je sais que le jeu te plait. Je suis la souris et le chat est face à moi, ou alors sur le coté, je me le demande pour le moment.
Je prends le temps d'apprécier le pâté qui est un régal, un incontournable de nos Vosges, au même titre que la quiche lorraine.
Un petit vin blanc d'Alsace, un Riesling est servi avec notre entrée et le mariage de l'un et de l'autre est prometteur.
Mon voisin s'est enhardi et il a laissé sa main glisser le long de ma chaise, puis elle vient frôler ma cuisse. Ses doigts se posent sur le bas noir que j'ai mis.
Je monte ma serviette à mes lèvres, faisant mine de m'essuyer la bouche et ensuite je fais comme si je la posais sur mes genoux. En passant, je prends la main et la remonte sur la table. L'homme a un sourire gêné, mais il vient de comprendre qu'il ne m'intéresse pas du tout.
Toi tu me regardes sans rien dire, mais c'est bien ainsi, tu le sais je veux dîner en paix.
Arrive ensuite « les toffailles » plat typique également de notre contrée.
Ce dîner me surprend, me donne un bien-être fou et je voudrais te remercier pour celui-ci, mais le brouhaha des conversations autour de nous interdit d'entrer dans les détails d'une discussion particulière.
Nous avalons ensuite une merveilleuse tarte aux pommes, le tout arrosé par un champagne bien frappé, un bonheur en quelque sorte.
C'est l'heure du café. Il est agrémenté pour ceux que le souhaite d'un alcool fort et tu choisis un vieux cognac qui semble te satisfaire.
Nous avons toi et moi quitté la salle à manger et nous sommes gentiment installés sur un immense sofa.
Il est si grand que le couple qui nous côtoyait à table y est lui aussi assis et nous ne nous gênons absolument pas.
Ma petite jupe est remontée légèrement sur mes cuisses et je la remets en place.
La femme et son compagnon s'embrassent et j'ai soudain très chaud, j'ai envie que tu en fasses autant. Je m'approche de toi, chatte en attente et tu me prends par le cou, m'attires contre ta poitrine. Le baiser que nous partageons est sublime, intense et ma chaleur monte d'un cran.
J'ai envie de hurler au monde entier que je t'aime, que j'ai envie de toi, de te faire l'amour.
Mon souffle est suspendu par ton baiser qui n'en finit plus de m'enivrer.
Alors que tes mains se déplacent sur ma nuque, j'ai l'impression d'un frôlement dans le dos. Tu viens de glisser ta main sur mes épaules et elle caresse la peau sur le tissu très fin du chemisier que j'ai assorti à ma jupe.
Alors que tes lèvres quittent les miennes pour lécher le lobe de mon oreille, ta main elle, est arrivée à la fermeture éclair de la jupe. Je suis blottie contre toi, je réclame en ronronnant une caresse, j'attends que tu me donnes ce plaisir que je transpire doucement par tous les pores de ma peau.
Quand j'ouvre les yeux, je vois que le couple près de nous est plus avancé en besogne que nous ne le sommes. La femme a les seins à l'air et son mari les suce, je vois par instant sa langue qui va et vient sur le téton, en ombres chinoises.
Alors que tu commences à faire descendre la petite pièce de tissu qui masque encore mes fesses, j'ai la nette impression que tu dégrafes également les boutons de ma chemise.
Ma poitrine, ferme, et arrogante jaillit de cette dernière avant même que l'ultime bouton ne soit ouvert et je suis en petite culotte sur le canapé, dans le même état que ma jolie voisine.
Tu m'as fait m'allonger et ma tête est toute proche de celle de cette femme que l'autre homme vient de mettre aussi en position couchée sur le divan.
Je ferme les yeux et une bouche se colle à la mienne. Elle me ventouse littéralement, sa langue entre en force dans mon palais et le comble c'est que je me laisse faire.
Le baiser est complètement différent du tien, celle qui me le donne est aussi une experte.
Pendant qu'elle m'embrasse la bouche que veux-tu ? Toi tu retires ma culotte et tes lèvres s'allient à ta langue pour s'occuper de mon petit minou.
La femme qui me baise la bouche et elle aussi assaillie par son mari et la voila qui me lâche le visage, pour geindre doucement, sourdement sous la caresse intense de son compagnon.
Elle est moi, nous regardons avec un éclat particulier dans les yeux, jouissances balbutiantes provoquées par vos attouchements divins.
Finalement je me livre à toi, je te laisse maître de mon corps pour mieux profiter de ces instants où toutes les sensations sont amplifiées par cette montée en moi de mes envies.
L'autre femme et moi gémissons de concert, pour sans doute les mêmes raisons, les mêmes rituels étant travaillés sur nos chattes brûlantes.
Alors que je vais pour te serrer contre moi, un homme surgit de nulle part, me prend par les poignets et me tire doucement la tête vers lui. C'est ce moment que tu choisis pour me pénétrer. Ton sexe écarte les lèvres du mien et le gland bouillant entre sans aucun temps d'arrêt. Il se plante dans cette fleur que tu vénères, tu me pourfends de ta queue de velours, avec mon assentiment le plus vif.
Alors que je suis la tête dans le vide, sur les genoux d'un inconnu, tu débutes tes mouvements qui entraînent eux, l'irrésistible montée de ma jouissance. Comme je cherche un peu d'air tant l'entrée de ta bite m'a surprise, j'ouvre la bouche pour aspirer et c'est un autre sexe qui vient se loger entre mes dents ainsi entrouvertes.
L'homme me force un peu la gorge et il fiche son sexe épais et long dans cette gorge qu'il convoite.
Il continue à me tenir les poignets, alors que toi tu relèves mes deux jambes, pour les faire passer chacune sur une de tes épaules.
Le reste se met en place sans autre forme de discours. Les deux vits commencent à me pistonner, et pourtant je sens bien que l'on me pose quelque chose sur chaque poignet, mais aussi sur chaque cheville.
Ce que l'on a mis est serré et je ne comprends pas tout de suite qu'il s'agit de bracelets de cuir.
La cadence qui s'accélère provoque la montée du plaisir dans mon ventre je sens que je coule, que ma cyprine me glisse le long des fesses, que vous aussi vous prenez du plaisir à me maintenir dans cette position. Ta bite va très profondément en moi et l'autre qui ne ressort plus la sienne de ma bouche. Je suis clouée par ce vit qui se trémousse juste un peu dans ma gorge. Les sensations sont étranges, presque irréelles.
La déferlante qui depuis les débuts de vos intromissions, me creuse le ventre, me surprend et un immense tsunami me porte vers des sommets vertigineux.
Je ne contrôle plus du tout mon corps, je laisse faire ces envies, vos bites me labourent et j'en suis ravie.
J'ai l'impression que tu m'arraches les tripes alors que tu te retires brutalement de mon sexe, laissant un vide incommensurable.
L'inconnu aussi se retire. As tu fais un geste qui m'aurait échappé ? Lui as tu dit un mot sans que je l'entende ?
Je n'ai guère le loisir de réagir, que déjà plusieurs hommes sont là qui m'empoignent par les bras et les chevilles. Je suis portée, par des mains solides, et je me retrouve sans avoir pu faire un geste les bras attachés en croix, les jambes écartées et elles aussi enchaînées à des anneaux contre un mur.
Celui-ci est recouvert par une sorte de velours rouge.
Devant moi il y a des hommes et des femmes qui m'observent, qui m'épient.
C'est ma complice d'un instant, mon embrasseuse d'une minute qui s'approche de moi. Autour du cou, elle porte un bracelet en cuir noir lequel est muni d'anneaux métalliques qui luisent sous les lampes.
Elle tient dans la main une sorte de boule noire, reliée à des lanières de cuir. Elle me demande d'ouvrir la bouche. Je vais pour lui dire non mais dès que mes lèvres se séparent, elle en profite pour loger la boule dans l'ouverture que j'ai involontairement créée. Il ne lui reste plus qu'à lier les lanières sur ma nuque et me voila dans l'impossibilité d'émettre d'autres sons que des grognements inaudibles.
C'est un inconnu de haute stature qui maintenant s'approche de moi. Dans ces yeux, je lis la perversité, la joie qu'il a de me voir ainsi transformée en proie.
J'ai une peur panique de la cravache qu'il tient dans une main par le manche. De l'autre, il l'a fait plier et la détend soudain devant moi dans un sifflement strident.
Elle est passée tout près de moi, mais ne m'a pas touchée. J'ai peur, je voudrais crier, mais les bruits qui sortent de ma bouche ne sont que d'infâmes gargouillis.
Le bout fin de la cravache est posé sur ma peau et il l'a fait monter de ma chatte à mon nombril, puis il vient lentement la faire glisser sur les pointes de mes seins. J'appréhende la suite des événements, mais je ne peux absolument pas m'y soustraire.
L'homme me parle, j'entends mal, la panique commence à me faire trembler de partout et il rit de me voir affolée.
La badine est de retour sur cette fente que quelques minutes plus tôt tu occupais si gaillardement. Elle remonte, en forçant un peu et la voici qui ouvre mon abricot, comme pour le fendre en deux.
Elle fait le geste de me limer le sexe d'avant en arrière et comme elle est littéralement plaquée entre les lèvres, elle s'enduit de ma mouille.
Le silence est total dans la pièce, je suis l'unique objet de toutes les attentions. Le clou du spectacle de ce soir ce doit être moi. Je n'y crois pas encore quand l'homme me dit : « Je veux que tu te pisses dessus, que tu te vides de partout. Je serai très patient, mais plus vite tu obéiras et plus rapidement nous te libérerons. ».
Puis il me redonne l'ordre d'uriner. Bien-sur que je n'y parviens absolument pas. Et je n'ai pas envie de m'humilier ainsi en public.
Son bras se lève, la cravache le suit et soudain, en même temps que j'entends le sifflement, je ressens la première morsure de la baguette qui vient de s'écraser sur mon sein gauche.
Sous le choc, je me mets à hurler mais le bâillon que l'on m'a posé empêche mes cris de fuser dans la pièce.
Alors commence pour moi, une véritable correction à laquelle je ne peux échapper. Mes cuisses sont rougies, mon ventre et ma poitrine également.
Après une bonne dizaine de coups de ce jouet si finement manié, j'entends l'homme me redire tout haut : « Alors tu vas pisser oui où non ? ».
La cravache m'atteint encore et encore frappant au hasard, touchant aussi bien mes tétons tendus que mon ventre que je tente de rentrer. En vain, rien n'y fait, j'ai mal, je suis zébrée de partout, même si l'homme n'appuie pas totalement ses coups.
La volée de bois vert qui m'arrive me fait baisser la tête et je commence vraiment à être vaincue.
Mes larmes coulent le long de mes joues, creusant des sillons de plus en plus larges. Mes sanglots sont visibles et pourtant du fond de je ne sais où, commence à monter cette chaleur que je connais si bien.
Chaque fois maintenant que la badine me touche, je sens qu'arrive cette espèce de monstre dévorant, cette incroyable envie, cette peste de jouissance qui va me submerger. Lorsque l'homme stoppe pour quelques instants de me cingler les seins, qu'il me prend le menton dans sa main, qu'il me dit « Alors tu vas obéir ? Oui où non ? », je sais d'avance que je suis vaincue. Mais ma fierté m'empêche de me rendre, la honte serait alors totale. Dans mon corps, dans ma tête, je refuse encore de me laisser faire, de m'humilier, de me laisser aller finalement.
Il change d'instrument, et c'est un martinet, qui maintenant vient laisser quelques traces supplémentaires sur ma peau dorée.
Je reçois une vingtaine de coups dans un silence presque religieux et soudain, alors que rien ne le laisse présager, mon corps m'abandonne et je ressens ce feu qui couve en moi. Je sais que celui-là va exploser sans que je puisse le retenir. Alors, entre mes cuisses, je laisse aller et devant tous ceux là qui me regardent, la tête baissée, les yeux emplis de larmes, des spasmes violents me secouent.
Un geyser fuse du fin fond de moi, je relâche sans plus pouvoir rien faire cette vessie que je maudis du plus profond de mon être.
L'urine blonde coule de moi, comme d'une fontaine elle s'échappe, d'abord à petits jets chauds, qui m'atteignent les cuisses, puis plus brutalement en un flot continue. Devant ces personnes là, je me pisse dessus, mais l'homme en veut encore plus.
Il n'arrête pas de me haranguer pour que je relâche aussi mes sphincters et cela c'est la pire des désolations pour moi, la déchéance suprême.
Alors que sa main passe sur ma petite touffe, les quelques poils pubiens que je ne taille pas et qui sont mouillés par mon urine, il m'écarte les fesses et me dit tout haut : « je vois que Madame est rétive, qu'elle n'a pas vraiment compris que c'est moi qui commande, qui décide ici de ce qu'elle doit où ne doit pas faire ».
Il me tire les cheveux en arrière et la gifle qu'il m'assène sonne le glas de mes dernières réticences.
Il ordonne et maintenant j'ai compris, j'obéis. Tant pis pour cet amour propre qui ne me vaut que des coups.
Je pousse une bonne fois et le long de mes cuisses ce n'est plus de l'urine qui s'échappe. Les premiers excréments qui s'évadent de mon fondement sont recueillis par l'homme qui en remontant sa main en barbouille tout mon ventre.
Je sens que je vais défaillir et alors que, avec une dextérité inouïe, il délie les lanières qui retiennent mon bâillon, il enlève celui-ci à toute vitesse et me tend, comble de l'horreur ses doigts à lécher.
Et devant cet auditoire muet, loque inerte, pantin retenu par des chaînes, abjectement, juste pour échapper à cette douleur qu'il voudrait m'infliger, je lèche les doigts enduit de cette matière qui vient de mes plus bas instincts'
Je regrette presque ce merveilleux repas qui me revient de cette manière, et c'est à ce moment là pourtant que je jouis si fort que j'ai l'impression que les spasmes qui me tordent les boyaux vont me déchirer totalement. Mes jambes tremblent et cette jouissance est l'une des plus puissantes que j'ai jamais vécue.
Ensuite d'autres mains me détachent, d'autres bras me soutiennent pour que je rejoigne la cabine de douche.
L'eau qui coule sur moi me fait un bien fou, même si elle me fait gémir en glissant sur les petites marques rouges laissées par la cravache.
Quand je sors de là toute propre et presque de nouveau fraîche, ils me remettent les bracelets, chevilles et poignets, comme pour me rappeler que cette nuit, tu m'as donnée à eux, que mon avis n'a pas d'importance. Je suis résignée et me laisse guider, dans cette longue descente aux enfers que tu as sans doute planifiée avec eux.
Je suis encore attachée les bras et les jambes en croix. C'est un autre qui me fait face tout aussi menaçant que le premier.
Celui-ci me fait encore plus peur. Il tient entre ses doigts une chaîne, laquelle se termine par deux petits étaux.
Il pince entre son pouce et son index la pointe de mon sein gauche, la malaxe, la tord un peu, la compresse et elle se tend, entre complètement en érection.
Puis le voici qui passe ce téton entre les deux mâchoires de l'étau et il commence à visser. Au début ça serre juste un peu, mais au fur et à mesure que la vis resserre les deux mâchoires, la pointe est comprimée et je me mets d'abord à gigoter vraiment sous la sourde douleur qui s'insinue lentement en moi. Je ne peux pas retenir mes premiers cris et l'homme à un rictus de contentement.
Il continue à visser et mon téton se trouve littéralement aplati par l'objet infernal qu'il me pose, le pire c'est que même en cherchant à lui échapper, je ne peux que faire irradier la douleur un peu plus au fond de moi.
C'est au sein droit maintenant d'être harnaché de la même manière que son frère jumeau.
Mes larmes coulent, de gros sanglots qui ne font absolument pas fléchir mon bourreau.
C'est fait, les étaux retiennent la chaîne qui les relie. Elle me tombe sur le ventre et l'homme s'agenouille. Il enfile des gants de latex, les enduit longuement avec un gel lubrifiant et d'une main, il écarte les lèvres de mon sexe.
De l'autre, il introduit dans ma chatte son majeur qu'il fait coulisser dans la fente ainsi ouverte. Un deuxième doigt le rejoint rapidement, un troisième accompagne également les deux autres, et enfin c'est tous les doigts qui s'enfoncent en moi. Seul le pouce est encore à l'extérieur de ma chatte.
Il commence alors des mouvements rotatifs qui me donnent l'impression qu'il va me déchirer la foufoune. Il va de plus en plus vite et chaque soubresaut que je fais pour suivre les ondulations de sa main, tire sur ma poitrine, entraînant ainsi des vagues de douleur dans les seins prisonniers des instruments de torture qu'il a posé.
Je pleure sans discontinuer, je sens le ruissellement de mes larmes qui inonde ma figure, coule le long de mes joues.
Et soudain, j'ai la sensation que je suis remplie complètement. Il vient de faire pénétrer le dernier doigt qui se trouvait encore dehors. C'est toute sa main qui disparaît ainsi en moi. J'aperçois son avant bras qui monte et descend dans ma chatte alors qu'il serre le poing à l'intérieur de celle-ci.
Il remue très vite et mon corps doit accompagner ses gestes, sans que je puisse d'une quelconque manière échapper à ce traitement douloureux.
Et de sa main libre, il tire maintenant sur la chaîne qui ballotte entre mes seins. C'est une douleur sans nom qui me prend à la gorge, me coupe le souffle ; mais aussi, je sens la bête qui est en moi qui se réveille et je comprends que je vais jouir dans cette insupportable posture. Je sais que je ne peux plus rien faire pour empêcher le feu qui couve en moi d'exploser au vu et su de tous ceux qui assistent à ce spectacle que tu leur offres finalement.
Je tremble de partout, les muscles de mes cuisses me supportent à peine, mais quel plaisir je prends, c'est effrayant de savoir que l'on va jouir et que l'on ne peut rien faire pour se protéger du regard des autres.
Ces yeux qui attendent à l'inverse de ce que je crois, mon offrande sans retenue, amplifie sans doute même cette montée d'un plaisir inavouable et mes cris sont maintenant autant de réclamations pour que cela continue que des restes de craintes.
C'est moi, toute seule qui avance mon bassin sur cette main qui me fouille, qui donne le mouvement du coït à mon cul pour que l'homme reste encore plus profondément enfoncé en moi.
C'est les ailes de la jouissance qui viennent de se refermer sur mon pauvre corps et la douleur accélère la montée de celle-ci. Je deviens une salope qui hurle, pour que rien ne s'arrête plus jamais, je suis la pute qui veut du sexe, qui veut qu'on la bourre sans retenue, qui réclame un mâle au fond de son ventre.
D'un coup, sans crier gare, l'homme retire brutalement sa main de mon minou et je suis comme folle de désir, je me débats, comme si le fait de gesticuler allait ramener en moi cet énorme membre dont il vient de me priver.
« Je vous en supplie, baisez moi, faites moi mal si vous voulez, mais donnez moi une bite, baisez moi, s'il vous plait ! ! »
Je supplie, je crie et le cercle des curieux qui visionnent la scène se met à battre des mains, m'encourageant à réclamer, à m'humilier de la sorte, alors que l'homme s'est remis debout et qu'il présente à ma bouche, pour le lécher, le gant qui m'a investi.
Docile et vaincue, gardant l'espoir d'être encore prise, je tète fortement ces doigts qui dégoulinent de ma mouille, de mes envies, des mes entrailles.
Pendant que je suce, bonne salope soumise, le latex humidifié par mes sécrétions vaginales, lui en profite pour mettre un poids sur la chaîne qui pend sur mon ventre.
Les étaux se tendent, entraînant mes mamelles vers le bas, ils ont beaux être fermes, ils descendent sous le poids et la douleur me monte au cerveau, aigue, violente.
Puis il me détache une main, puis l'autre et enfin il décroche aussi mes chevilles, mais c'est pour mieux me rattacher dans l'autre sens.
Les voyeurs en rond autour de la scène sur laquelle je suis l'unique attraction, ne voient plus que mon coté pile.
J'essaie de souffler un peu, de me détendre mais rien n'est fini et cela au fond de moi je le sens. Mais du reste, aurais-je vraiment envie que tout s'arrête là, comme cela ? Non, je veux encore qu'il me fasse des choses, des trucs, et je sais aussi que tu prends un immense plaisir à me voir ainsi livrée aux folies de cet homme.
Mes fesses sont écartées, et quelque chose vient buter sur le petit oeillet brun que je tente de garder fermé. Mal m'en prend car la pression ne se relâche absolument pas et l'engin qui se présente commence à me rentrer dans le cul sauvagement.
L'enculage commence, plutôt rudement. Quand cela s'arrête j'ai les dents tellement serrées que si l'objet avait eu un centimètre de plus elles auraient toutes volées hors de ma bouche. Ce qu'il m'a enfoncé dans l'anus est si énorme que mes fesses en restent écartées au possible.
« Mesdames, Messieurs, vingt-huit centimètres de long et sept de diamètre, notre belle pouliche supporte bien les godes. Elle ne dit rien, elle obéit, c'est une bonne salope, que nous allons fister par l'arrière train ».
Deux hommes viennent d'entrer dans mon champ de vision. Chacun me détache un poignet et celui qui m'a forcé le cul m'appuie sur le dos. Je suis forcée de me pencher en avant et je me retrouve vite à genoux. Une chaîne fixée au sol est immédiatement reliée à mon collier.
Je suis en laisse, dans la position d'une chienne. Mes mains sont aussi arrimées à des anneaux sur le sol.
Le gode énorme qui est dans mon rectum commence à aller doucement d'avant en arrière tout en vibrant électriquement. Celui qui le manie le pousse à gauche et à droite, histoire d'élargir encore la place.
J'imagine que tous ont les yeux rivés sur mon derrière, sur ce vit de caoutchouc monstrueux qui me lime l'anus.
La honte me submerge soudain et je te traite mentalement de « salaud », je t'en veux de m'exhiber de la sorte. J'ai la sensation aussi que le gode n'est plus seul en moi. L'officiant a mis un doigt le long du vit et il me pénètre en même temps.
Il sort brutalement l'ersatz de bite, et me plante quatre doigts directement à la place. Maintenant il force pour faire pénétrer le dernier. C'est encore son pouce qui me fait souffrir.
Le muscle cède sous la terrible pression et voila la main complètement engloutie par mon petit trou. C'est douloureux et j'en oublie les pinces aux seins, mais je hurle à la mort, louve soumise aux caprices des mâles dominants.
L'homme serre le poing en moi et c'est comme s'il me déchirait les entrailles. C'est là que de son autre main, il vient caresser mon clitoris et qu'instantanément, ces douleurs me tétanisent et qu'une vague de plaisir me submerge des pieds à la tête.
Tout bouge, tout remue dans mon corps, et le voyage insensé de mon plaisir se multiplie à l'infini.
Sous mes paupières closes, des myriades d'étoiles se bousculent alors que dans ma croupe s'agitent les doigts et que de mon sexe s'écoule ma mouille.
Mes cris sont devenus gémissements de plaisir, mes fesses ondulent au rythme des caresses sur mon bouton. Ma poitrine est en feu, mon sexe en fusion et dans ma tête c'est l'apocalypse.
Ensuite les choses vont très vite. Il me libère les seins qui continuent à me faire souffrir bien que les pinces soient enlevées. Déliée, je suis assaillie par plusieurs mâles et des mains inconnues se frottent à ma peau. Il n'est plus d'endroit qui ne soient visités par des doigts inconnus.
J'ai honte d'être ainsi jetée en pâture à cette meute d'affamés. Pourtant, quand l'un d'entre eux tire sur ma chevelure, me redresse le visage, qu'il présente à mes lèvres sa queue raide, j'ouvre d'instinct celle-ci. Je happe le membre dur et chaud, ma langue passe lentement sur le velours du gland.
Son propriétaire se cabre un peu, puis d'un puissant coup de reins, il me pénètre brutalement, enfonçant son mandrin jusqu'au fond de ma gorge.
Pendant que je lui assure un plaisir buccal certain, un autre se met en devoir de me fesser en criant des obscénités.
Je suis l'objet sexuel de ces couples qui jouent de mon corps. Je me roule dans cette fange avec honte, mais elle entraîne une sorte de délectation qui me donne mille frissons. Plus je m'enfonce dans la bassesse de l'acceptation de ma soumission totale, plus ma jouissance grandit.
Cela me semble fou, insensé, mais plus les uns et les autres pratiquent sur moi des choses dégradantes et plus je jouis.
Je ne suis plus rien d'autre qu'une femelle entourée de ses mâles. A tour de rôle, ils me prennent, devant, derrière, dans la bouche. Je subis les assauts de ces bites tendues, le sperme m'arrive sur le ventre autant que dans la chatte, dans le rectum mais également dans la gorge.
J'avale tout, sans me préoccuper de savoir de quelle queue il est tiré.
La fin de la nuit tourne à l'orgie. D'autres femmes sont entrées dans le jeu. Des couples et des trios se sont formés partout dans la salle.
L'ambiance est faite de râles, de gémissements et de cris. L'air empeste le sexe, ce qui renforce encore les désirs de tous.
J'ai reçu les bites de combien d'hommes présents ? Peu importe puisque c'est avec toi que je m'offre le bouquet final.
Tu t'es couché sur moi, relevé mes cuisses et tu me prends tendrement. Tes mains empaument mes seins, ta bouche cherche la mienne.
Le corps à corps est épique, nous prenons le bon rythme et c'est très calmement que nous jouissons ensemble alors que tu me murmures en éjaculant

« Merci ma belle salope ».