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Proposée le 23/08/2011 par nemausus
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C'est dans un petit village de montagne que je fis mes premières armes dans l'enseignement. Dans un village où il y avait un pensionnat comme beaucoup d'autres villages dans les années 50/60. Et je logeais dans des locaux de la commune, dans un logement de vacances ! A l'époque on appelait ceci un meublé... Il y avait une cantine et la singularité, c'est que j'assurais les surveillances de dortoir en semaine... Et je ne couchais chez moi que le dimanche. C'est ainsi que j'eus les CE1 & CE2 car on regroupais les classes ! Et pour soixante gamins, à deux classes chacun nous avions tout le primaire. J'avais un petit garnement de 8 ans (redoublant) dont la maman veuve tenait l'un des trois cafés du village. Une femme d'une quarantaine d'année qui n'avait pas froid aux yeux et avait envie que son fils progresse en classe. Elle tenait le bistrot avec sa mère et je ne mis pas trois mois pour la voir arriver... Ce qui me frappa le plus, c'est son décolleté et sa tenue qui choquait dans ce village campagnard... Et après avoir parlé de son trublion, elle me regarda droit dans les yeux en me disant "J'espère vous voir un de ces dimanche matin !!!" et partit en se déhanchant outrageusement. Je ne me précipitais pas et ce n'est qu'au bout du premier mois que je décidais d'aller voir ce bistrot dont j'entendais tenir des propos limites. J'arrivais vers 9h30 et avec l'espoir de ne pas tomber en embuscade avec quelques "canonniers" de l'agglomération... Me voyant entrer, Val (Valérie) demanda à sa mère de garder la boutique et dit que nous allions discuter à l'étage dans l'appartement. Mais après avoir escaladé la quinzaine d'escaliers en bois, c'est entre les bras de la maman du petit André que je me retrouvais... Elle me fit entrer et se colla directement à moi, m'offrant sa bouche et une langue déjà prête à en découdre. Me serrant fort, écrasant ses seins, qu'elle avait libres, et son bassin vint s'écraser contre mon pantalon dans lequel elle sentit ma verge grossir... Grossir ! Je l'ai enserré moi aussi avec retard, du a la surprise, et nous nous frottions comme deux excités, ne sachant par quel bout commencer... Malgré mes 19 ans et l'expérience d'une première amante sérieuse sur la chose, je m'en tins à ce qu'elle m'avait dit : Ne jamais dire à une femme que tu sais !!! Elles adorent dépuceler des jeunes. Alors je ne dis rien sinon que "Oui, Val, c'est la première fois...". Ce que je ne regrettais pas... A 44 ans s'offrir un puceau, et en plus l'instit de son fils, imaginez sa joie. Alors elle me proposa un déjà-vu, mais qui, je l'avoue me convînt bien. Elle me demanda de lui défaire son chemisier pendant qu'elle me déshabillait en m'embrassant. Elle me posa une question que je n'attendais pas quand elle fut en slip... Devant moi : "comment me trouves-tu ?". Je lui avouais que c'était formidable... Alors elle baissa mon slip et se saisit de ma verge tendue et douloureuse... Elle fit glisser son slip et je vis apparaitre une toison bouclée et un clitoris qui déjà était bandé et dépassait des poils... Elle se saisit de ma main et la guida jusqu'à ce que s'ouvre ce sexe qui m'attirait de plus en plus. Elle se colla contre moi bouche contre bouche et se masturba avec mon gland qu'elle promenait dans sa raie humide et chaude à la fois. Elle m'aida à me libérer de mes vêtements au sol et, me tenant par la verge, me dit de la suivre. André étant chez son oncle ce dimanche, nous allions être tranquilles un bon moment... Elle s'allongea en travers sur le lit m'ouvrant sa chatte pour que je la contemple et me demanda si je voulais la sucer ! Me certifiant que les hommes adoraient et les femmes aussi ?... Alors j'entrepris un léchage en règle de ce sexe qui ruisselait et je le léchais et lui offrait ma langue à sucer et savourer sa cyprine. Elle me trouva bien doué pour un débutant et je lui expliquait qu'elle était tellement belle (c'est vrai) que je trouvais tout seul ce que je devais faire... Elle me laissa lui faire une gâterie qu'elle avoua "incroyable" !! Elle gémit et donnait des coups de reins comme pour faire l'amour. Elle me branlait de plus en plus rapidement et quand je lui avouais que j'allais jouir, elle prit mon gland et aspira engloutissant mon membre, avalant mon sperme sans en perdre une goutte. Nous restâmes un long moment en 69 jusqu'à ce qu'elle me murmure : "Pour un premier coup tu t'es bien débrouillé.". Et lentement elle me remit en forme et cette fois, elle releva les jambes et je la pénétrais d'un coup de reins assez fort et elle gémit en me sentant au fond de sa grotte... Nous fîmes l'amour comme de vieux amants et de coups de reins en coups de reins et de petits râles en petits râles, cette fois c'est dans sa chatte brulante que je déposais mon foutre... pris dans l'étau de ses cuisses... Elle râla de plaisir et le souffle coupé par mes lèvres collées aux siennes, je vis son regard chavirer. Elle me dit : "Tu n'es pas pressé ? Reste encore."... (à suivre )