Le Nord

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Proposée le 21/09/2007 par dolmance

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Nicolas aimait bien aller voir les putes; il y allait tous les jeudis soirs vers 22 heures 30, retrouver cette fille, toujours la même, celle qui le rendait fou.

Elle devait venir d'un pays nordique, la Suède, ou le Danemark, ou un truc comme ça, parce qu'elle était l'incarnation même de la beauté du Nord et du froid: des yeux bleus glacés, presque gris, qui brillaient d'une lumière vicieuse; un corps mince et svelte, athlétique, qui s'était musclé à force de faire jouir; et une taille fine, un cul parfait qu'on avait envie de s'enfiler.

Il allait toujours dans cette sorte de petit bordel, un bâtiment déguisé incognito en hôtel dégueulasse, et se rendait dans la même chambre, là où cette fille l'attendait.

Il entra dans la chambre, et elle était sur le lit, étendue, à peine dévêtue : elle l'attendait. Et comme chaque jeudi, il était ébloui par son charme; c'est troublant comme la beauté ne se déprécie pas au fil
des semaines...au contraire, à chaque fois qu'il la retrouvait, il la trouvait encore plus attirante, parce qu'il se rappelait comme il jouissait sur elle à chaque fois. Comme un chien.

Ses cheveux blonds lui tombaient doucement sur les épaules, et lui encadraient son visage fin, coquin. Avec ses yeux bleus, elle le regardait d'un regard violent, comme si elle allait le bouffer; elle
avait faim, elle voulait son sexe. Lui la regardait, avidement aussi, car il y avait pensé toute la semaine à cette pétasse, il avait vraiment envie de la baiser de toute ces forces, de la faire hurler.

Nicolas savait qu'il était un gros pervers, et c'est pour ça qu'il aimait cette petite vicieuse, bien bandante, allongée sur le lit. Elle lui souriait, il aimait ça; sur ces joues, de minuscules tâches de rousseur qu'on avait envie de lécher; et son nez, si fin, si mignon, un nez de petite fille, un peu retroussé, il aurait voulu poser son gland dessus.

Elle caressait la grosse bosse qui se dessinait maintenant sur le pantalon de Nicolas, elle venait même y frotter son visage. Il se disait alors qu'elle serait bien joli avec du foutre plein la gueule.

Brusquement, il sortit son vit et lui fourra en entier dans la bouche, pour la surprendre. Apparemment ça la dérangeait pas, elle continuait à sourire, tout en bavant sur sa queue. Son sexe se gonflait sérieusement au contact de la salive chaude et à la vue de son visage angélique, une figure de petite fille démoniaque. Il mit délicatement une main dans ses cheveux, puis commença à aller et venir dans la bouche toute chaude, en enfonçant au maximum sa verge: il voulait la mettre le plus profond possible. Ca la faisait gémir la garce, ce truc dur qui venait presque dans la gorge, mais elle aimait le goût de son sexe, qu'elle léchait le plus possible. Comme elle était encore allongée sur le lit, il pouvait, tout en lui fourrant la bouche violemment, lui caresser ses petits seins, qui étaient cachés derrière un joli haut moulant, de couleur blanche. Il était si moulant, ce haut, que Nicolas voyait les deux tétons durs qu'il recouvrait. Alors il redoublait d'excitation, et dans la bouche chaude il promenait son gland partout, sur et sous la langue, au fond pour lui toucher la luette, et sur les côtés de manière à ce que ça lui fasse, de l'extérieur, des bosses sur les joues. Ca la faisait sourire...

Il retira son sexe, parce qu'elle était quand même plus mignonne sans ce gros machin dans la bouche. Elle descendit du lit, se mit à genoux devant lui, et tout en le regardant droit dans les yeux, toujours de ce regard coquin, elle lui donnait de petits coups de langue sur sa verge.

Elle faisait exprès de bien baver sur sa queue, et ça rendait fou Nicolas de sentir cette bave tiède qui coulait lentement sur son gland...

Tout en se faisant lécher délicatement, il regardait ses jambes, ses genoux d'une peau blanche, qui sortait de dessous sa jupe noire, une petite jupe d'écolière.

-Tu aimes ?

-Ah! j'ai envie de te jouir dessus, de lécher ta peau blanche! Laisse-moi caresser ton visage, si doux, tu ressembles à ma fille...Ah! Il faut que je te pelote de partout, t'es trop belle...

Il la repoussa sur le lit, et il commença à la caresser de partout.

C'est ça qui l'aimait le plus, la tripoter. Il passait sa main partout, sur son visage, le long de son dos, sur ses hanches, et surtout il s'attardait sous sa jupe, où il tâtait sa culotte du bout des doigts, et c'était chaud dessous, et humide...

Alors il commença doucement a lui enlever sa culotte, en la faisant glisser, le plus lentement possible, le long de ses grandes jambes, qui avaient la peau si douce; Nicolas adorait regarder les jambes d'une femme, et surtout celles-là, tellement elles étaient agréables au toucher; et leurs couleur, quelle couleur! Blanc pur, la couleur de la virginité, de l'enfance, de l'innocence... Et pourtant, quelle garce!

Il fit tomber sa culotte au pied su lit.

Elle était allongée, les cheveux un peu décoiffés, et le regardait comme une petite fille qui a fait quelque chose de mal.

- Allez Nico, baises moi...s'il te plaît...

- Tournes toi.

Elle s'allongea sur le ventre, lui montrant son dos et sa taille fine.
Il lui retira son haut, pour voir son dos nu, cette apparence de pureté qui émanait d'elle... Il lui laissa juste sa petite jupe noire.

- Mets toi à quatre pattes.

Elle s'exécuta. Elle le regarda d'un oeil malin, lorsqu'il fit entrer doucement son gland dans son anus. Il l'enfonça à fond. Elle gémit un peu, un gémissement léger, heureux, juste pour le plaisir. Il avait bien soulevé sa jupe pour avoir une vue complète de ses deux fesses si parfaites. On dit souvent que la perfection n'existe pas; et bien si, et c'était une pute qui l'avait inventée.

Il commença à aller et venir dans son cul, en essayant de ne pas s'emballer; il fallait que ça dure, que ça dure...

De sa main droite, il lui tenait une mèche de cheveux blonds, pour lui tirer la tête en arrière; de l'autre main, il caressait ses épaules, puis son bras, jusqu'à ses doigts. Elle avait des mains si délicates...

Son corps ondulait à chaque coup de queue.

C'était beau de telles secousses sur un corps, ce dos qui se cambre de manière saccadée...

Nicolas se pencha sur elle, pour être encore plus près de son corps, pour sentir avec son torse toute l'excitation de la fille, et amener son visage contre le sien, jusqu'à sentir son haleine, une haleine animale, chaude, une incitation au viol. Il sentait sa verge se gonfler atrocement, ça venait, ça venait...

Alors il se retira net, pour éviter d'éjaculer maintenant. Non, il fallait que ça soit une éjaculation mémorable, qui recouvre son corps magnifique, ça servait à rien d'en remplir son cul.

Il attendit un peu, histoire de se calmer. Elle le regardait, coquine, elle en voulait encore. Une nymphomane. Insatiable. Elle avait choisi la prostitution pour allier l'utile à l'agréable. Elle était payée pour se faire prendre, et elle en avait jamais assez.

Nicolas la regardait, captivée par cette déesse, et il se disait qu'il ressentait bien plus qu'un violent désir sexuel. Il était amoureux.

Elle était sur le dos. Il s'allongea sur elle. Il l'enserra de ses bras, et l'embrassa le plus sincèrement possible. Elle avait des lèvres fines, humides. Il suçait sa langue, goûtait sa salive, elle était presque sucrée. En même temps, ils se regardaient tous les deux, droit dans les yeux, un peu surpris. Nicolas n'avait jamais ressenti ça. Il rebandait, et de plus en plus fort, de plus en plus violemment. Ca serait bientôt fini.

Il arrêta de l'embrasser pour aller lui lécher les jambes. Puis il prit les deux jambes dans ses mains, les disposa à la verticale, contre son torse; il avait ses deux pieds sur une même épaule, donc ses jambes n'étaient pas écartées. C'était encore plus excitant comme ça, parce que des jambes écartées en grand, ça cassait tout le charme de la femme. Là au moins, toute la silhouette et les formes de la femme étaient préservées.

Il la pénétra doucement, mais c'était trop bon, il ne tiendrait pas longtemps. Il lui léchait les pieds en même temps. Il la tenait par les hanches (il lui tenait la jupe), et il la faisait aller et venir sur sa queue, d'abord doucement, mais de plus en plus vite. Elle gémissait de plus en plus, elle savait que Nicolas était au bord de l'extase; c'est pour ça qu'elle le regardait, amusée à chaque fois du plaisir des hommes.

Il lui donnait de sacré coups de reins maintenant, et ça lui faisait vraiment du bien à cette garce.

-Putain, je vais plus tenir longtemps!

-Vas-y, baises moi plus fort, continue!

Nicolas sentait ses jambes douces qui se frottaient contre son torse à chaque coup de reins, ça montait, ça montait... la jouissance arrivait...

-Ah! Ah! ça vient! Tu me fais jouir!

-Vas-y, jouis, jouis! Je veux ton sperme, donne le moi!

Il sortit vite sa verge et lui rabaissa les jambes.

-Allez éjacule, salaud! Du sperme, du sperme! J'en veux! J'en veux partout! Arrose moi, arrose moi! Partout! Eclabousse moi de ton foutre chaud! J'en veux plein la gueule! Et sur les seins! Dans le cou aussi!
Allez!

Les jets de sperme partirent avec une puissance incroyable, dans un énorme cri de jouissance de Nicolas.

-Je t'aime! hurla-t-il.

Le premier jet recouvrit son visage : elle en avait sur le front, sur le nez, et sur la bouche. Elle souriait. Elle adorait en avoir sur la tête.
Le deuxième jet, Nicolas l'orienta sur son cou, un peu dans les cheveux, et sur les seins. Et ce qui lui resta de sperme chaud, il lui étala sur le ventre et les cuisses.


Il l'embrassa longuement, puis il la paya, et s'en alla. En sortant dans le couloir, il croisa le client suivant qui attendait son tour.