Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 21/08/2011 par Lange
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
3H00 du matin
Marc
La soirée se termine.
La journée s'est bien passée et le contrat commercial que je suis venu défendre à New York a été enfin signé après des mois de discussions.
Pour fêter l'évènement, John avec qui j'ai signé le contrat, m'a emmené dans un bon restaurant sur la cinquième et nous finissons la soirée dans un bar de nuit.
Baillant de plus en plus souvent, John me propose de me raccompagner à mon hôtel, proposition que je décline. En effet depuis le comptoir, une superbe blonde juchée sur un tabouret me sourit tant et plus, m'allumant copieusement, et je me dis que je finirais bien cette journée pleine de réussites par un bouquet final.
John parti, je commande un nouveau verre et la blonde s'invite à ma table sans complexe. Grande, cheveux courts encadrant un joli visage, sourire hollywoodien aux dents blanches et parfaites, ses formes impeccablement moulées dans une robe noire satinée près du corps assez courte d'où s'échappent de longues jambes gainées également de noir et chaussée d'escarpins assortis.
J'ai beau être assez bel homme, grand avec une belle musculature entretenue par la pratique de la natation l'été et de la course à pied l'hiver, je ne suis pas vraiment dupe, et j'ai été assez raisonnable sur l'alcool pour conserver encore un soupçon de lucidité. Pourquoi une si belle inconnue viendrait à ma rencontre, sinon pour de l'argent. Une prostituée me dis-je. Au moins il n'y aurait pas de complication.
Après avoir bavardé quelques minutes et que sous la table un de ses pieds déchaussé ait commencé à aller et venir sur mes jambes, sur mes cuisses, puis à malaxer doucement mais avec insistance mon entre-jambe, nous nous mettons d'accord sur le prix. Cher ! J'espère qu'elle en vaut la peine. Et le bonus que je vais toucher à mon retour peut me permettre cette folie.
En tout cas la main de Kate qui a pris la relève de son pied dans le taxi jaune qui nous emmène maintenant vers mon hôtel est pleine de promesses.
4H00 du matin
Cristina
Le réveil sonne. Un bol de lait dans le micro-onde, une tartine de pain dans le toaster, le paquet de céréales sur la table et hop à la douche. 3 minutes. Tout est chronométré le matin.
Finissant de me sécher je peigne mes longs cheveux bruns presque noirs et comme à l'accoutumée je me regarde sans complaisance dans la glace qui me renvoie le reflet d'un visage constellé de cicatrices consécutives à un acné particulièrement sévère et jamais soigné et d'un vilain nez déformé suite au jour où mon père encore plus ivre que d'habitude m'a fichu une baffe qui m'a envoyée au sol. Pour quelle raison ? S'il y en avait une je ne m'en rappelle plus.
Tout en filant à la cuisine, je maudis cette laideur qui me fait encore vivre en célibataire à l'âge de 26 ans.
5 ans plus tôt il y avait bien eu Juan. Il venait de Colombie, tout comme moi. Il n'était pas vraiment beau et plutôt gras. Ni particulièrement gentil. Mais il m'avait acceptée. Il m'avait rendue femme, même si je ne prenais pas particulièrement plaisir à ses assauts brutaux et rapides, trop rapides. Il exigeait sans cesse des fellations, m'imposait de violentes sodomies qui me faisaient hurler de douleur, lui qui croyait que je criais de plaisir. Heureusement, son sexe n'était pas bien volumineux, comparé au godemichet que je me suis acheté depuis.
Cependant, deux mois après le début de notre relation, il me mettait dehors.
Ce n'était pas le paradis, mais j'étais avec un homme. Et ce temps-là valait mieux que le temps présent où je vis seule. Rien de pire que la solitude !
Je n'ai jamais retrouvé quelqu'un depuis, sûrement à cause de ma laideur. Et peut-être aussi parce que de ces 2 mois m'est restée Bianca, ma petite fille qui vient d'avoir 4 ans.
Qui voudrait d'une fille-mère et moche ?
Et zut le temps passe. Il est temps d'aller mettre mon uniforme pour partir travailler.
4H30
Marc
Le travail de Kate dans le taxi déforme mon pantalon de costume, peu enclin à cacher mon sexe tendu et presque douloureux à rester ainsi confiné, quand nous entrons dans l'hôtel. Le veilleur de nuit nous souhaite bonne nuit d'une façon salace, alors que je demande les clefs de la chambre 412.
Une fois dans l'ascenseur, je me presse sans retenue contre Kate, mes mains ayant pris possession de ses fesses, mes lèvres cherchant les siennes qui malheureusement se dérobent, fuyant tout contact.
Je suis en feu, et je n'ai qu'une envie, la prendre, là, tout de suite, dans l'ascenseur. Mais déjà les portes s'ouvrent et Kate tout en se dégageant de mon étreinte, me prend par la main et m'emmène vers la chambre.
Arrivés dans la chambre, fidèle à mon idée fixe, je l'étreins de nouveau, commence à lui soulever sa robe, mais tout en m'écartant elle m'envoie sous la douche, m'expliquant qu'une surprise m'attendra ensuite, si je me montre sage.
Tout émoustillé, je tombe le costume, entre dans la salle de bain et fais descendre mon slip au grand bonheur de mon pénis qui peut tout à loisir se déployer, se dressant fièrement à la recherche du contact de mes abdominaux.
5H00
Cristina
Le train de banlieue est à l'heure. Direction « Grand Central » et le c'ur de New York.
Une fois Bianca déposée chez Anita, ma voisine jamaïquaine, j'ai marché vite jusqu'à la gare pour ne pas louper le train. Le suivant passe une demi-heure plus tard et m'aurait fait arriver en retard au travail.
Anita, ma voisine plantureuse qui prend son travail plus tard, se charge de conduire Bianca et sa propre fille à peine plus âgée au jardin d'enfants, et c'est moi qui les récupère vers 15 heures et les garde jusqu'au retour d'Anita. Échange de bons procédés quand chaque dollar compte.
Anita est merveilleuse, chaleureuse et serviable, sauf quand certains soirs je suis obligée de me boucher les oreilles pour entendre le moins possible ses miaulements de plaisir à travers la cloison mince de l'appartement, quand son mari, routier, est de retour au bercail. Ses cris et ses gémissements me rendent folle.
Le wagon est presque vide. Deux rangées plus loin un jeune d'à peu près mon âge se balance lentement au rythme de la musique qui doit s'échapper du walkman posé sur sa tête. Plutôt mignon dans son blouson de cuir.
Il doit se sentir observé, car il me regarde soudain et oh surprise me sourit. Je lui renvoie son sourire, mais très vite ses paupières se referment et sa musique l'entraine à nouveau dans son monde.
Un sourire d'un garçon mignon. Ce n'est pas tous les jours. C'est à lui que je penserai ce soir, alors que Bianca sera enfin endormie, et que mon jouet s'insinuera en moi et que mes doigts glisseront sur mon clitoris. Pour une fois ce sera mieux que de fantasmer sur un acteur d'une de ces séries télé du soir.
Rien que d'y penser, je me sens m'humidifier.
Et puis, j'espère avec ma prime de Noël, s'il me reste un peu d'argent, pouvoir acheter bientôt un godemiché électrique, vibrant qui me donnera encore plus de plaisir, de ce que j'ai pu lire dans un magazine féminin.
5H15
Marc
Je reste un bon moment sous la douche. D'abord chaude puis froide pour tenter de me calmer. Enfin mon sexe s'est détendu, pointant de nouveau vers le bas et la pression qui l'enserrait s'est relâchée.
Je me savonne abondamment, et une fois rincé et sec, je me résous à me raser, ma barbe ayant commencé à se transformer en toile émeri.
Brossage de dents en règle, une touche d'Yves Saint Laurent, sur me joues et mon torse, serviette éponge enroulée autour du bassin, me voilà prêt à prendre possession de Kate. J'élude vite les images qui m'assaillent l'esprit, et notamment une levrette bien profonde depuis que j'ai pu constater la consistance et les arrondis parfaits des fesses de la belle.
Je sors donc vite, avant qu'une érection ne vienne à nouveau déformer mon pagne de fortune.
5H30
Cristina
20 minutes de marche maintenant jusqu'au boulot. Je commence à 6 heures. Tout va bien.
J'ai suivi quelques instants des yeux mon mignon au walkman à la sortie de train, mais il a bifurqué à un moment dans un couloir, certainement pour aller chercher une correspondance.
Je vais garder en tête bien précieusement son sourire tout au long de la journée.
Il fait un peu frais et les rues commencent à s'animer. La « Grosse Pomme » s'éveille.
5H45
Marc
Kate m'attend au sortir de la salle de bain juchée sur ses escarpins. String et soutien gorge de dentelle noire. C'est vrai que le noir lui va bien. Et les bas noirs partant de son porte-jarretelle habillent ses longues jambes galbées qui n'en finissent pas.
Ma douche froide n'a pas servi à grand-chose, car déjà je sens ma bite se gonfler, mon gland poussant agressivement la serviette passée autour de mes reins.
Kate a un léger sourire sur les lèvres et contemple ravie la bosse en train de naître sous la serviette, sûrement satisfaite de l'effet qu'elle produit sur moi.
Elle tient quelques cordelettes dans sa main droite.
A mon regard interrogateur, elle me répond que je vais avoir droit à quelque chose de spécial.
Du bondage ? Du sado-maso ? Je n'ai jamais essayé. Et pourquoi pas me dis-je. On verra bien.
Docilement je m'exécute quand elle me demande de laisser tomber la serviette et de m'allonger nu au milieu du lit.
Écarte bien les jambes et les bras me dit-elle tout en commençant à passer une cordelette autour de mon pied droit et en l'attachant au pied du lit.
6H00
Cristina
J'ai badgé, mis mon manteau au vestiaire. Rapidement je lisse mon uniforme. Chemisier bleu ciel, jupe bleu-marine, socquettes blanches et chaussures plates bleu-marine également. J'ajuste une coiffe bleu-ciel qui m'emprisonne les cheveux que j'ai préalablement enroulés en chignon.
Petit briefing. Le 4ème étage est pour moi aujourd'hui. Que ce soit celui-ci ou un autre, peu m'importe. Le travail reste le même.
Quelques paroles banales échangées avec les collègues, et me voilà me dirigeant vers l'ascenseur de service.
6H15
Marc
C'est qu'elle serre fort la vache !
Mes deux jambes bien écartées sont déjà fixées solidement aux pieds du lit ainsi que ma main droite.
Kate s'affaire à attacher ma main gauche. Bientôt je ne vais plus pouvoir bouger du tout.
Je suis curieux mais aussi fortement excité de ce qui va se passer ensuite.
C'est fait, mon bras gauche est complètement immobilisé à son tour. Kate fouille dans son sac et en sort un rouleau de chatterton assez large.
Ferme la bouche me dit-elle, et d'un geste précis elle applique l'adhésif d'une de mes joues à l'autre, ma bouche complètement recouverte et emprisonnée.
Je frémis aux délices sexuels à venir.
6H15
Cristina
Je commence à prendre d'abord le matériel dans le placard de service puis me dirige vers le petit salon de l'étage. J'essuie les bibelots, aligne les revues posées sur la table basse, replace fauteuils et canapés. Les fleurs commencent à se faner. Direction le sac poubelle. Il faut que je pense à le dire à la gouvernante qu'elle en fasse venir de nouvelles.
Maintenant l'aspirateur sur la moquette du couloir.
6H20
Marc
Plein d'attentes je regarde Kate.
A mon étonnement, elle prend sa robe posée sur le dossier d'une chaise et l'enfile. Elle lui va vraiment comme un gant.
Elle s'éloigne du lit et se dirige vers le valet où j'ai posé négligemment mon costume. Et la stupeur et horreur, elle fouille dans mes poches, en sort mon portefeuille, et en retire les billets et la carte de crédit.
La salope !
Il doit me rester plus de mille dollars, même si une bonne partie était pour elle. Et merde, c'est la carte de crédit de ma boite qu'elle prend maintenant.
Qu'est ce que j'ai pu être con ! Je suis en train de me faire avoir en beauté. Pas moyen de bouger n'y de proférer un son.
Elle entre dans la salle de bain. Et non, ce n'est pas vrai, elle en ressort avec la Breitling que mon ex-femme m'a offerte pour mon anniversaire il y a 2 ans. A l'époque nous n'étions pas encore divorcés, même si nous sentions les nuages noirs s'amonceler.
La Breitling dans son sac, le téléphone portable suit.
Enfin elle se dirige vers la table et se saisit de mon ordinateur qu'elle range dans sa housse.
Elle me regarde, m'adresse un baiser avec sa main en me disant, ciao beau gosse. Elle tourne les talons et j'entends la porte de la chambre se refermer.
Je maudis ma crédulité. Et maintenant que vais-je bien pouvoir faire, saucissonner comme je suis ?
6H30
Cristina
Je passe l'aspirateur dans le couloir. Il est long ce couloir. Au passage je repère déjà les pancartes attachées aux boutons des portes qui mentionnent « chambre à faire ». 402 et 407 !. Des clients qui sont partis de bonne heure. Encore une ou deux et j'aurai encore de quoi faire avant la pause de 8 heures.
Tient ! La cliente de la 412 sort avec sa mallette à la main et son sac à l'épaule. Une très belle femme. Celle-ci m'adresse un léger signe de tête en me croisant sur le chemin qui mène à l'ascenseur. Pour une fois, je ne suis pas totalement invisible.
Et une chambre de plus à faire. C'est bon jusque 8 heures.
6H35
Marc
Je suis désespéré. Est que quelqu'un va me sortir de là ? Porter plainte chez les flics ? Pas question, ils vont vraiment rigoler. Je n'ai plus qu'à inventer une excuse bidon. Un vol à l'arraché dans le métro ou dans la rue. Heureusement, je crois que Kate, ou peu importe comment elle s'appelle, n'a pas touché à mon passeport ni à mon billet d'avion.
Il se regarde, écartelé sur le lit, son sexe pendant désormais mollement entre ses jambes, témoignage vivant de sa déconfiture.
6H40
Cristina
Je roule mon chariot avec le linge propre de rechange. Draps et serviettes. J'ai laissé l'aspirateur au voisinage de la 412.
Je sors le passe de ma poche, et entre.
Un coup d'oeil dans la salle de bain. Les serviettes sont à changer. Oh la cliente a oublié sa trousse de toilette.
J'entre plus avant dans la chambre et fais un bond en arrière de surprise. Un homme nu est allongé sur le lit. Précipitamment je recule. Encore un de ces obsédés exhibitionnistes. Personnellement je n'en ai jamais vu, mais une de mes collègues en a déjà fait l'expérience.
Je m'apprête à sortir de la chambre pour aller prévenir la sécurité. Et tout d'un coup, je réalise que l'homme est bâillonné. Pire, il est attaché !
Je m'approche pour lui enlever ses liens et finalement je reste paralysée mes yeux commençant à s'égarer sur sa nudité.
Marc
Du bruit.
Quelqu'un vient.
Par réflexe, je veux recouvrir mon sexe de mes mains, et une douleur cuisante dans mes poignets me rappelle ma situation délicate.
Une femme de chambre. Elle sursaute, recule. Non, ne t'en vas pas. Détache-moi !
Ouf, elle a entendu mes pensées. Elle s'approche, puis s'immobilise tout à coup.
Cristina
Il est grand, blanc. Environ la quarantaine. Plutôt bien bâti et ses pectoraux ainsi que ses abdominaux sont bien dessinés. Immanquablement mon regard glisse vers son sexe. Il est recroquevillé entre ses jambes. Bizarre qu'il soit totalement imberbe alors qu'elle a remarqué une pilosité marquée autour du nombril. S'épilerait-il ? Oui, ses aisselles sont nettes également.
Je veux détourner mon regard et je n'y parviens pas. Un étau commence à serrer mon bassin, me prenant du bas de la colonne vertébrale et m'enserrant ma vulve.
Marc
C'est désagréable d'être détaillé comme un animal dans un zoo. Je dirai bien qu'elle me déshabille de la tête aux pieds, mais c'est déjà fait.
Je me mets à l'observer à mon tour. Elle est petite, pas plus d'un mètre soixante. Latina je dirais. Sa fine silhouette n'est pas bien mise en valeur dans sa tenue vraiment ringarde. Et de plus son visage marqué et son nez de travers la rendent vraiment vilaine.
Cristina
Aller, il faut que je le détache. Mes mains s'approchent du poignet gauche et inexplicablement n'arrivent pas à leur objectif. Elles s'arrêtent en chemin et se posent sur sa poitrine. D'abord intimidées, elles se mettent à bouger, caressant les seins de l'homme, puis plus bas son ventre plat. Mes doigts palpent et apprécient la musculature.
Je devrais le détacher, mais les pulsations que je ressens au fond de moi m'en empêchent. Je sens ma chatte commencer à fondre.
Et une petite voix me murmure : « Profites-en. Dieu la mis sur ton chemin. Et si tu le détaches il va s'en aller. »
Marc
Mais qu'est ce qu'elle fait ? Elle me caresse la conne ! Je n'ai qu'une idée, c'est d'être libéré pour m'occuper de mes papiers, appeler ma boite pour qu'elle me dépanne d'urgence et pendant ce temps la perverse en profite pour me papouiller.
Cristina
Mes mains descendent sur ses cuisses puis remontent lentement. L'une d'elle enroule ses doigts le long du membre flasque, tandis que l'autre se saisit des bourses étonnamment gonflées. J'exerce des petites pressions rythmées sur son sexe tandis que je malaxe doucement ses bourses pleines de promesses.
Marc
La voilà sur ma bite maintenant. Si elle croit, après ce que je viens de vivre qu'elle va pouvoir en tirer quelque chose la gourde, elle se trompe. Je n'ai pas vraiment le c'ur à la bagatelle maintenant. Et en plus ce n'est pas un thon pareil qui va m'exciter.
Mais au moment même où je me dis ça, une chaleur trop bien connue commence à monter en moi.
Cristina
Mes mains s'activent toujours. J'ai augmenté un peu le rythme. Un désir si puissant qu'il me dévore, prend le pas sur ma raison.
Enfin son sexe se durcit. Une de mes mains pressant toujours délicatement ses bourses, l'autre change de mouvement et fait coulisser entre ses doigts de bas en haut la peau du sexe de l'homme, découvrant un peu plus à chaque mouvement le gland qui grossit à vue d'oeil.
Marc
Merde, ce n'est pas le moment ! J'ai beau essayé de me contracter, de bloquer l'afflux sanguin, ma bite, devenue indépendante, s'étire, grandit, s'épanouit sous les caresses insistantes de la femme de chambre. A croire que ma bite possède une volonté propre et veut se venger de toutes les érections qui n'ont abouti à rien pendant toute une partie de la nuit.
Cristina
Sous mes caresses, le sexe de l'homme gonfle, se durcit. Bientôt mes doigts n'arrivent plus à en faire totalement le tour. J'accélère le mouvement et lui donne de l'amplitude au fur et à mesure que le sexe s'allonge. Il est désormais épais, dur et bouillant dans ma main. Dans un mouvement un peu plus large, je décalotte complètement le gland qui surgit de sa peau protectrice, rouge et palpitant. Je m'arrête un moment et je contemple toute fière mon ?uvre. En deux minutes, j'ai transformé un bout de chaire pantelant en un pénis flamboyant. Le souvenir que j'ai de celui de Juan me parait bien petit à côté de celui que j'ai devant les yeux.
Il me semble même que mon jouet est moins imposant et en tout cas beaucoup moins épais.
J'ai devant moi en fait une formidable queue que mon vagin qui se contracte en cadence réclame comme un affamé.
Marc
Mais c'est qu'elle sait y faire la soubrette. Elle arrive vite à me faire bander comme un âne.
Et dans ma position, les jambes très écartées, je sens mes bourses et mes boules qui remontent le long de ma bite tellement celle-ci est tendue. Tout mon entre jambe est en feu, comme si c'était de la lave en fusion qui venait abreuver la soif de mon sexe désirant s'étirer toujours plus haut.
Voilà qu'elle s'arrête. Mince ! Elle n'était pourtant plus très loin. Encore une érection pour rien ?
Cristina
Je jette un coup d'oeil à l'homme. Son regard est dur et me semble lourd de reproches. Mue par une impulsion, je retire ma collerette, défais mes barrettes libérant mes longs cheveux. Ma bouche comme aimantée par cette queue dressée devant moi, plonge à sa rencontre. Ma langue d'abord effleure le gland, tente de s'insinuer dans le méat, puis descend en faisant de nombreux aller retours le long du frein. Puis n'y tenant plus, j'engloutis tout son gland qui vient se heurter à l'intérieur de ma joue. Je le suce alors, je l'aspire, l'enveloppe de mes lèvres, à l'abri de ma chevelure qui sert de paravent à ma folie.
Marc
Que c'est bon ! Sa langue électrise mon gland, m'envoyant des ondes de plaisir dans le bas ventre. Sa bouche m'englobe maintenant et ma bite se tend à se rompre, irradiant tout mon corps. Ses cheveux qui dansent sur mon ventre, me masquant complètement la vue rende cette pipe magique et merveilleuse.
Cristina
Ma main gauche vient enserrer la base du sexe de l'homme, le presse et le masturbe. Ma langue continue sa ronde autour du gland tandis que ma bouche l'enrobe de salive. Ma main droite glisse sous ma robe puis sous ma culotte. Le protège slip est débordé et ma culotte bien trempée. Ma main se plaque sur ma vulve et mon majeur se glisse à l'intérieur de mes lèvres à la recherche de mon clitoris. Il le trouve vite. Son gland déjà décalotté est gonflé comme jamais, comme si par effet de mimétisme, il voulait se faire aussi gros que celui que ma bouche savoure.
Marc
Le plaisir monte, il est désormais tout proche. Tous mes soucis sont désormais envolés. Au diable ma montre et ma carte de crédit. C'est mon corps et mon esprit tout entier qui ont besoin de se libérer, comme de la vapeur trop longtemps enfermée dans une cocotte minute. Instinctivement je me cambre, allant à la rencontre de sa bouche qui n'en finit pas d'affoler tous mes sens.
Cristina
Mon majeur imbibé de cyprine frotte furieusement mon clitoris. Je sens l'homme se tendre, s'enfoncer un peu plus loin dans ma bouche. Je le masturbe plus vite. Et enfin, j'accueille sa semence avec délectation. Un jet puissant, puis un second. Au même moment je jouis. De longs frissons me parcourent tout le bas ventre. Je ralentis mon majeur qui ne fait plus qu'effleurer mon bourgeon.
Ma main gauche remonte le long de la hampe pour en ramener les dernières gouttes. Je garde son nectar dans ma bouche. Son gout est bon, légèrement sucré. Bien plus agréable que celui de Juan qui était acide et épais, et qu'il me forçait à avaler. Aujourd'hui c'est avec délice que je l'engloutis.
Marc
Le plaisir est trop intense. J'éjacule en deux violentes saccades qui me laissent au bord du coma. Sa bouche continue à me laper, sa main à me presser, prolongeant divinement ma jouissance. J'aimerai que le moment s'éternise.
Cristina.
Ma jouissance m'a laissée inassouvie, et je sens toujours les parois de mon vagin qui se contractent à me faire mal, tant elles en ont assez de broyer du vide. J'ai agi comme une idiote. Sa queue va se ramollir et ce sera fini. Je n'aurai jamais du aller jusqu'au bout. Même si c'était bon. Délicieux même.
Marc
Sa bouche continue à me pomper en douceur, comme un derrick dans le désert qui cherche à extraire jusqu'aux dernières gouttes. Ma jouissance s'éloigne déjà, mais je sens monter une autre source de plaisir. Plus douce. Le lent va-et-vient de ses longs cheveux fait naitre peu à peu une résonance au plus profond de moi, et après mon corps ce sont mes pensées qui désirent désormais cette femme.
Cristina
Étonnamment sa queue reste toujours aussi raide. Mieux, je sens ses veines se gonfler de nouveau sous ma main et son gland s'arrondir dans ma bouche. Je me redresse, et me déchausse vivement. Le regard de l'homme est plus doux, presque amoureux. Je me débarrasse de ma culotte, je relève haut ma jupe, monte sur le lit, m'agenouille autour de lui. Mes pieds toujours dans leurs socquettes blanches s'appuient sur ses jambes. Je m'assois lentement, et de ma main je guide le sublime engin fièrement dressé vers l'entrée de mon vagin. Je force l'entrée du gland luisant de ma salive, et le reste suit d'une traite jusqu'à ce que mes fesses reposent sur ses cuisses. Je ne me suis jamais sentie autant ouverte, autant offerte. Il me remplit entièrement, intégralement. Je sais enfin ce que le mot plénitude veut dire. Les parois de mon vagin se contractent autour de mon homme en signe de bienvenue.
Marc
Elle se redresse, me jette un coup d'oeil, envoie ses chaussures sous le bureau et relève sa jupe. Elle vient s'agenouiller sur moi. Elle est obligée d'écarter amplement ses jambes pour épouser la forme de mon corps. De sa toison noir et drue, émerge un coquillage au rose profond, et je regrette profondément de ne pas pouvoir y tremper mes lèvres et m'abreuver de son suc.
Elle m'introduit tout en douceur. Un écrin de velours m'enveloppe et mon sexe palpite en harmonie avec son vagin qui me presse délicatement. Je la regarde. Sa laideur a disparu. Je ne vois que ces yeux d'un noir de jais, au regard farouche et tendre à la fois, plein de défit et de détresse aussi.
Cristina
Je me recule un peu, de manière à ce que la queue de mon homme appuie plus sur la paroi antérieure de mon vagin que je sais plus sensible. Je me redresse et commence à coulisser le long du membre viril. Une fois, deux fois. Le plaisir monte instantanément et mon corps mécaniquement prend la relève. Je monte je descends, de plus en plus vite de plus en plus fort. Chaque aller-retour m'envoie des décharges de plus en plus intenses qui m'irradient totalement.
Un orgasme d'une violence inconnue jusqu'à ce jour s'empare de moi. J'ai l'impression que mon vagin se retourne comme un gant. Je me redresse abandonnant la queue bienfaisante. Je me cambre, je rejette ma tête en arrière, et enfin je me libère, mon corps chancelant sous les myriades de frissons de plaisir qui le parcourent.
Voyant ce que j'ai fait, je dis bêtement « Disculpeme señor », avant de m'effondrer au bord de l'inconscience, en m'empalant jusqu'à la garde sur mon homme.
Marc
Elle s'active de plus en plus vite. Elle s'est reculée tordant un peu mon sexe. Et à chaque fois que son corps revient à la rencontre du mien, je sens mon gland qui fouaille ses entrailles.
A un moment elle se redresse, se tend en arrière, et je sens ses cheveux caresser mes cuisses.
Elle pousse un long feulement rauque, venant du fond de sa gorge, au même moment où elle éjacule. Un long jet translucide qui jaillit de sa chatte, qui m'inonde le torse, et j'ai juste le temps de fermer les yeux avant que le plus fort du jet vienne arroser mon visage.
J'avais déjà entendu parler des femmes fontaines, mais je n'en avais jamais fait l'expérience auparavant. Spectaculaire et vraiment jouissif. Ah si seulement je n'avais pas ce chatterton que je puisse goûter à ce nectar.
Elle bredouille quelque chose, puis se laisse aller sur moi, enrobant à nouveau mon sexe de ses velours.
Jamais je n'ai vu une femme jouir pareillement. C'est magnifique. Et dire que je n'y suis pour rien, enfin presque.
Cristina
Je reprends peu à peu mes sens. J'ai honte. Je me savais fontaine mais jusqu'alors mes émissions s'étaient plutôt limitées à quelques gouttes, voire un ruisselet. Jamais je n'avais autant éjaculé. Cependant, ma honte s'efface doucement, faisant place à de la sérénité.
Je me lève, saute du lit, ramasse la serviette, et j'essuie tout d'abord le visage de mon homme puis son ventre. Je me penche et lèche ses bourses glabres toujours aussi pleines et sa queue toujours aussi raide et droite.
Il me regarde avec des yeux d'enfant. On dirait qu'il est émerveillé. Presque amoureux. Serait-ce possible ? Je pense un moment à le détacher, à lui enlever le bâillon de sa bouche pour pouvoir l'embrasser, mais une petite voix en moi arrive bien vite. « Ce gars-là n'est pas pour toi. Dès qu'il sera libre il va t'envoyer promener. Tu es trop laide pour lui plaire. »
Et j'ai encore envie de lui.
Marc
Elle m'éponge délicatement, tendrement. J'apprécie particulièrement la toilette intime.
Elle me regarde. Elle est plus détendue, apaisée. D'ailleurs elle me sourit, ses dents très blanches éclairant son visage mat.
Un à un elle défait les boutons de son chemisier. Un soutien gorge très simple en coton blanc apparaît. Elle finit de faire tomber son chemisier, se débarrasse de sa jupe et révèle alors toute sa beauté. Une peau cannelle habille son corps menu et tout chez elle n'est que douceur et harmonie des formes, de l'arrondi de ses épaules, au plat de son ventre et au bombé de son pubis, jusqu'à ses jambes finement sculptées. Elle passe ses mains derrière son dos et dégrafe son soutien gorge. Ses deux petits seins se révèlent, plantés haut et visiblement fermes dont les aréoles sont particulièrement sombres. Elle se retourne, ramasse son chemisier pour le mettre sur le dossier de la chaise, puis enlève ses socquettes. Se faisant elle se penche, et la masse de sa chevelure découvre ses magnifiques fesses.
Cristina
Je m'allonge sur lui. Je sens son pénis sur ma vulve. Je me frotte à lui. Je caresse sont torse, je l'embrasse, parcours sa peau de mes lèvres. Il sent bon. Le contact de son membre contre mon clitoris m'arrache un nouvel orgasme. Je descends, glisse vers son sexe, ma bouche s'en empare goulument, puis je me retourne, caresse l'intérieur de ses cuisses, les embrasse, revient vers sa queue, l'avale de nouveau, puis je remonte vers sa tête, rampant sur lui, le caressant. Je redescends ouvrant légèrement les jambes, son sexe entrant naturellement en moi, sans effort, comme si cela avait toujours été sa place.
Marc
Elle s'allonge sur moi. Et aussitôt toute sa passion se déchaine. Elle est partout. Elle me caresse, me mordille, me pince, me griffe, me lèche. La traine de ses cheveux me balaie sans cesse. Elle met tout mon corps en feu, de longs frissons me parcourant sans discontinuer. Les pointes de ses seins gravent un sillon de plaisir sur ma peau partout où elles passent. Je ne suis plus que sensations, toutes mes terminaisons nerveuses excitées, et tout d'un coup sans trop savoir comment, je me retrouve fiché en elle.
Cristina
Je me mets à onduler autour de lui, d'avant en arrière de droite à gauche. Son sexe embrase à nouveau mon vagin, qui se contracte, enserrant toujours un peu plus sa prise, me déclenchant de brefs orgasmes qui s'enchainent l'un après l'autre. Je continue à l'embrasser. J'ai faim de lui, envie de le dévorer.
Son bassin vient à la rencontre du mien, je sens son souffle s'accélérer, je continue de plus belle.
Marc
Les fils de soie de ses cheveux et le velours de ses lèvres continuent à m'électriser. Elle remue autour de moi. Son vagin comme une main me presse par saccades. Je sens venir un orgasme puissant. Mécaniquement je tire sur mes bras ignorant mes blessures, je sens mon corps s'arquer, mes fesses décoller du lit. Aussitôt une de ses mains se faufilent entre elles, et fait son chemin jusqu'à mon anus ou un de ses doigts s'y insinue. Sous cette nouvelle caresse j'explose alors, éjaculant longuement, secoué de spasmes. L'orgasme se prolonge, jamais je n'en ai vécu de pareil alors qu'elle continue ses va et vient et ses caresses. Et ce n'est seulement qu'au bout d'un très long moment que mon corps se relâche et que mes fesses se posent à nouveau sur le lit.
Bien qu'épuisé, les ondes de plaisir arrivent toujours et encore.
Cristina
Il me soulève dans les airs, mes mains s'emparent de ses fesses. Il gémit longuement alors que je le sens venir en moi. Je me sens comblée et je ne cesse pas de le caresser et d'aller et venir tant je le sens bien en moi. A mon tour je me sens partir. Une longue décharge de plaisir, moins violente que celle de tout à l'heure mais plus profonde plus délicieuse. De nouveau je me sens couler sur lui, mais peu importe cette fois-ci, je suis heureuse. Je me blottis sur lui, le prenant par le cou.
Marc
Le plaisir est toujours là, refluant lentement. Tout s'est apaisé. Elle repose sur moi, alanguie.
Je me sens en totale harmonie avec elle et je désespère de ne pas pouvoir la prendre dans mes bras. Elle est vraiment merveilleuse. C'est la première fois que je me sens si bien avec une femme.
Cristina
Je m'endors presque sur lui. J'ouvre les yeux. Le radioréveil sur le bureau marque presque 8 heures. Déjà. Je me détache de lui, à regret. Je m'essuie et me rhabille. Je n'ose pas le regarder. Je remets un peu d'ordre dans mes cheveux, les remets en chignon avec la coiffe par-dessus. Je commence à m'éloigner du lit.
Et puis non, je ne peux pas le laisser comme ça. Je reviens près du lit et lui délie sa main gauche. Au moment où je la libère, je fais un petit saut en arrière. Il a tenté de m'attraper.
Je le regarde une dernière fois, puis je tourne les talons et me dirige vers la sortie sans me retourner.
8H00
Marc
Elle s'est levée et j'admire son corps harmonieux et ses gestes gracieux tandis qu'elle s'habille. Mais que fait-elle ? Elle s'en va ? Non, elle revient et commence à me détacher. J'essaie de lui prendre sa main, mais elle se recule. Je la regarde, incrédule, et je découvre alors ses yeux empreints d'une tristesse infinie.
Elle se détourne et s'éloigne.
Vite j'arrache le chatterton de ma bouche, d'un coup sec et douloureux. Je veux lui dire de revenir, que je veux la revoir, que je l'aime.
Trop tard. La porte s'est refermée avec un claquement sec.
Cristina
Je m'éloigne dans le couloir. C'est mieux ainsi. Jamais il n'aurait voulu de moi. Deux longues larmes coulent le long de mes joues.