Expérience 2

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Proposée le 9/08/2011 par angedusoir

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Le lendemain de cette épique soirée avec Paul et Pauline, je me suis réveillé très tard, avec un terrible mal de crane. Madame était déjà levée et partie. Comme sa raquette de tennis n'était pas à sa place, je suppose qu'elle était allée taper quelques balles.
Je la trouvais en compagnie de nos nouveaux amis et elle faisait équipe avec Jim, le moniteur, un métis grand et costaud.
Pour me changer les idées en début d'après midi, je décidai de partir faire un tour en cata, seul.
Trois heures plus tard, émoustillé par les souvenir de la veille, je pensais rejoindre ma belle qui devait être en train de faire la sieste car elle n'avait pas beaucoup dormi, épuisée par son tennis du matin.
J'avais donc l'intention de la surprendre dans son sommeil et de lui montrer de quoi j'étais capable, je ne cache pas que j'avais également dans l'idée de la questionner son audace de la veille au soir.
Arrivé dans la chambre, surprise? Personne. Un peu contrarié par cette surprise, je pars à sa recherche.
Je ne sais pourquoi mais alors que j'approchais la chambre de nos amis, je fus étonné de voir la porte fenêtre de la terrasse entr'ouverte et je décidai d'aller voir s'ils étaient là.
Je m'approche de la terrasse, et je devine de loin une silhouette de femme, nue, alanguie sur le fauteuil. Décidé à me rincer l'oeil sur le superbe corps de Pauline, je me dissimule derrière un buisson, position me permettant d'une part d'avoir une vue directe sur le fauteuil et d'autre part, d'être caché du regard des occupants et des éventuels passants.
Quelle ne fut pas ma nouvelle surprise de voir Pauline ; nue sur le fauteuil, les jambes écartées, en train de se toucher gaillardement la chatte, le regard fixe droit devant elle, comme si elle regardait quelque chose.
Mes rêveries d'alors furent interrompues par un gémissement qui ne m'était pas étranger. Je décidai donc de changer de poste d'observation pour apercevoir ce qui captivait l'attention de Pauline et qui l'excitait au point de se triturer seule le clitoris.
Ma femme était totalement nue, allongée sur le lit, avec Paul, torse nu et en short, à son côté droit, en train de lui caresser le corps et lui bouffer alternativement les seins et la bouche, et pendant ce temps là, je vois également un homme à la peau très mate, également torse nu, allongé, la tête entre les cuisses grandes ouvertes de madame, sans qu'il puisse y avoir un doute sur ce qu'il lui faisait.
Je reconnus sans grande difficulté le dos parfaitement sculpté de Jim, le prof de tennis.
Je m'approche donc un peu et je remarque que de sa main gauche, il lui écarte les lèvres pour laisser apparaitre le petit bouton magique qu'il lui suce de ses lèvres charnues. Dans le même temps et avec sa main droite, je pouvais voir très distinctement les deux doigts bien insérés dans l'intimité de ma femme, aller et venir à un rythme soutenu.
Je savais depuis longtemps que ce genre de double caresse pouvait la mettre très rapidement en transe, ce qui, au vu de ses gémissements de plaisir, était déjà le cas.
J'étais sur le cul de constater qu'en moins de 24 heures, ma gentille et prude femme s'était transformée en salope capable de s'exhiber avec deux mâles en rut.
Alors que les caresses de Jim commençaient à produire l'effet voulu, je vis madame commencer à respirer plus rapidement, le regard fixé sur la bouche de Jim'j'hallucinais encore plus lorsque je l'entendis « Vas-y, oui, encore, bouffe moi la chatte, lèche moi fort' Hmmmm oui comme ça, c'est bon' ».
Plus elle l'encourageait, plus il la pénétrait de ses gros doigts et plus sa langue s'activait et Paul pendant ce temps-là s'occupait avec vigueur de ses seins.
Je vis la main de madame se diriger vers la grosse bosse du short de Paul et lui empoigner le membre durci à travers le short. Paul se redressa alors, à genou à la gauche de ma femme en transe, ce qui permit à ma belle de sortir tant bien que mal son sexe déjà dressé et manifestement à l'étroit'. « Viens, je veux te sucer », lui dit-elle dans un souffle.
Alors Que Jim la besognait de plus belle, je la vis se pencher et avaler goulument la grosse bite de Paul, la léchant de bas en haut.
Le spectacle était digne d'un film de cul, ma femme entrain de sucer un type pendant qu'un autre lui bouffait la chatte, je n'en croyais pas mes yeux, et je n'oubliais pas que pendant ce temps là, Pauline n'en loupait pas une miette.
Au bout d'un court moment, je vois Jim se rapprocher de madame et prendre place à sa droite. Comprenant l'invitation, madame se détacha du sexe de Paul et entreprit de s'attaquer à la bouche de Jim, tout en tentant également d'enlever son short' Sans grande surprise, je remarquait que Jim bandait également déjà comme un turc et que sa bite n'avait rien à envier à celle de Paul' Une fois l'engin en main, je vis madame le regarder avec un grand sourire avant de fondre sur cette nouvelle proie et de l'avaler également avec gourmandise.
Alors que Jim soufflait bruyamment face à l'activité féroce de madame sur son engin, Paul profitait de ce répit pour se glisser derrière elle.
Délicatement, il l'amena à quatre pattes et la pénétra brutalement en levrette. Le choc fut si fort qu'il arracha un cri de plaisir à madame, qui, au passage, déclencha également un orgasme à Pauline, en tous cas, c'est ce que je crus entendre de l'autre côté, et madame recommença alors à sucer de plus belle le prof de tennis.
Pendant près de dix minutes, j'assistais à cette scène surréaliste de ma femme enquillant orgasme sur orgasme sous les coups de boutoir de Paul dont la résistance ne manquait pas encore de m'étonner. Elle suçait Jim et ne s'arrêtait que pour manifester bruyamment le plaisir qu'elle ressentit à se faire prendre par derrière tout en suçant l'autre. Plus Paul accélérait, plus elle branlait Jim avec vigueur, tant et si bien que celui-ci finit par lui éjaculer sur le visage et sur le dos, tant ses jets furent longs et puissants'ma femme était ruisselante de sperme et de sueur, Paul finit par se retirer et je voyais madame totalement alanguie, le corps secoué de spasme, la bouche ouverte, elle ne cessait de jouir et de réclamer « Encore, encore, baisez moi encore?.. »
Je vis alors Jim, qui n'avait étonnamment pas débandé d'un poil depuis son éjac, revenir vers elle et l'embrasser fougueusement'. Il la redressa et la fit s'allonger sur le dos, se coucha sur elle et la pénétra d'un trait, lui arrachant un nouveau « Ooooui? ».
Alors qu'il la besognait, Paul un peu à l'écart fit signe à Pauline de le rejoindre et sans se faire plus prier elle prit place sur son homme, et l'enfourcha tout aussi violemment.
Tout en entamant un long mouvement de haut en bas sur la bite de son mec, je la voyais qui ne loupait rien de la scène de ma femme totalement hors d'elle, criant sans aucune retenue sous les assauts de Jim' J'entendais le bruit des couilles de Jim s'écraser contre les fesses de madame à chaque coups, et devinais qu'à chaque fois, il la pénétrait de plus en plus'
Jim finit par jouir à nouveau, cette fois dans ma femme qui se délectait de ça et qui connut un nouvel orgasme tout aussi fort à la sensation de ces jets de sperme qui s'écoulait au plus profond d'elle-même.
Pauline et Paul s'abandonnèrent également dans le même temps'
Je compris alors que j'aurais du mal à retrouver une place dans ce balai et je me demandais si j'avais eu une si bonne idée que ça à entraîner madame dans mes fantasmes' Et dire qu'il reste encore trois jours de vacances'