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Proposée le 25/07/2011 par nemausus
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Cette journée avait bien commencée... Me retrouver avec mes deux amies était plus qu'inespéré, surtout que Domi m'avait laissé entendre que je logerai chez elle. Après tout avait-elle invoqué, nous nous entendions bien malgré une bonne différence d'âge. Vers 10h00 c'est le mari de Domi qui sema le trouble. Il fallait qu'il parte trois jours à Paris et sa banque souhaitait qu'il le fasse dans la journée. Dans les années 70, il n'y avait pas autant de trains qu'aujourd'hui, mais il put trouver un départ en milieu d'après-midi pour être en fin de soirée dans la capitale...
Aussi Nicole nous invita à venir souper avec elle, pour ne pas languir, disait-elle. Le repas fut frugal, il faut le reconnaître puisque imprévu mais la soirée, en revanche dépassa tout ce que j'avais imaginé... Pour nous divertir, Domi proposa une soirée slow, tango !!! Ce à quoi Nicole souscrivit de suite. Ainsi je découvris ce qu'était la soirée slow /tango... La tenue tout d'abord... C'est Domi qui, grande habituée des lieux savait tout aussi bien que la maîtresse des lieux... Elle m'accompagna à l'étage et me demanda de me déshabiller totalement et revêtir le peignoir qu'elle alla chercher !! Même le slip ! A poil sous la garniture ??? Elle en fit de même tout comme Nicole que j'entendis monter dans sa chambre... Elle apparut quelques minutes après dans un peignoir style japonais sous lequel elle, comme Domi, était nue. En souriant elle nous demanda si nous étions prêts et nous la suivîmes jusqu'au salon ou elle mit en marche le pick-up !! Trois bougies brûlaient devant la cheminée (car il faisait chaud cet été-là) et une lumière tamisée laissait deviner les ombres chinoises de nos tenues. C'est Domi qui ouvrit le bal avec moi pendant que Nicole triait les disques de la soirée. Domi, passant ses bras autour de la taille, me serra contre elle, provoquant une érection soudaine et collée à mon oreille me murmura "Laisse- moi t'apprendre ! et tu verras !". J'avoue que je ne voyais pas ce que j'aurais à apprendre, même si je n'étais pas un bon slower ! ou tangueur ??? Mais c'est quand je sentis que les mains innocentes de ma compagne avaient trouvé une entrée et étaient dans le peignoir, cherchant l'une à caresser mes fesses et l'autre saisir ma verge que je compris que nous allions passer une soirée inoubliable...
Je tâtais de mon côté et trouvais sur le peignoir les entrées qui me permirent de sentir les reins tendus et la toison abondante de celle qui m'avait déjà reçu plusieurs fois. Etant presque de la même grandeur, elle me glissa à l'oreille, tu pourras faire la même chose avec Nicole car elle a très envie de toi !!! Pendant que nous commencions ce frottage de corps plus qu'une danse, je découvris que grâce aux plis du vêtement Domi pouvait mettre ma verge contre son ventre et se caresser avec mon gland. Elles avaient trouvé cela pour des soirées à quatre (deux couples) mais ce soir était exceptionnel. Ainsi pendant un bon quart d'heure je me suis masturbé entre les cuisses de Domi sentant sa cyprine couler sur ma verge prête à exploser et quand le troisième de la série se termina, je sentis les cuisses de Domi se serrer et un soupir qui en disait long sur sa jouissance... Doucement elle me libéra de l'étreinte, appelant Nicole pour la remplacer. Nicole était vraiment excitée d'avoir deviné ce que nous faisions et quand mes doigts arrivèrent sur les petites lèvres de son sexe, elle se raidit et me serrant d'un coup, jouit en me murmurant "Attends pour jouir ! Tu viendras en moi."... Je ne puis lui garantir de pouvoir tenir le coup alors elle se haussa sur la pointe des pieds et je pus glisser en elle car elle était inondée. Je vins la coucher sur le canapé et devant son amie, je la possédais et me mis en mouvement, encouragé par les deux voix qui me disaient d'aller au fond !!! De la faire jouir et la remplir de mon bonheur. Je ne sais trop combien de fois je giclais au fond de son sexe mais ce qui est sur c'est que elle ne laissait rien échapper. Nous sommes restés quelques instants soudés et c'est Domi qui nous tira de la léthargie par des baisers et des caresses entre nos cuisses, me rendant cette vigueur que j'avais déjà libérée. Je léchai les lèvre de Nicole, heureuse, qui remuait doucement pour déjà recommencer. Mais Domi nous sépara et vint s'allonger sur le corps de son amie et, langue contre langue, bouche contre bouche, elles se caressèrent longtemps sous mes yeux jusqu'à ce que je vienne me mêler à leur jeu. La soirée ne faisait que commencer...