Le coach partie 4 - A la recherche d'un bouche trou (6ème jour)

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Proposée le 10/10/2007 par Malou

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Je me réveille toute excitée ce matin, il est à peine 7h30 mais je n'arrive plus à dormir, une sensation d'angoisse m'emprisonne sous ma couette. Elle est lourde ma couette mais ça me fait du bien. J'ai chaud mais je ne veux pas me lever. Comment ça va se passer si je trouve un mec qui veut de moi ? J'ai l'habitude de m'enfiler des objets dans le vagin mais cette fois, je ne serrais pas aux commandes. Est-ce que ça fait mal ? J'espère qu'il saura bien l'utiliser son engin. C'est la première fois que je vais écarter les cuisses pour me faire baiser. C'est excitant, je suis pressée mais terriblement anxieuse.
Je décide enfin à me lever, tout le monde dors encore. Je découvre un mot sur la table du salon, Clément nous demande de partir dés notre réveil à la rencontre d'hommes sans se préoccuper de lui. Il nous souhaite bon courage en nous conseillant d'aller sur la plage pour en trouver. Il nous dit aussi que si on en veut plus, il va falloir être patientes. Seul un mec est autorisé pour cette grande première.
Clément dort encore alors qu'Ingrid arrive le regard vide du matin. Elle descend l'escalier en tee-shirt et culotte. Elle est vraiment belle cette nana, elle vient de se lever et même endormie, je la trouve radieuse. Elle à de belles jambes dorées et des pieds vraiment sexy. Elle lit le mot. Nous en parlons 5 minutes, nous sommes toute les deux très inquiètes. C'est une grande journée aujourd'hui. Ca va nous changer des sex-toys.
Nous allons nous doucher. Clément dort encore et nous partons pour la plage. Arrivées sur la plage, il y a déjà beaucoup de monde. Nous nous déshabillons pour nous mettre en maillot de bain. Un groupe d'adolescent nous regarde faire. Nos maillots étaient pourtant déjà sur nous mais ils espéraient sans doute apercevoir un petit bout de fesses. Je vais pour retirer mon débardeur, croise mes bras, attrape aux extrémités le bas de ce dernier et remonte les mains le long de ma silhouette. Arrivée au niveau de ma poitrine, je ne me rends compte de rien mais mon maillot s'en va avec mon top laissant ainsi à ces quatres pervers la joie d'observer mon bonnet C. Cette situation ne m'intimide pas du tout. Au contraire, je trouve ça excitant de se montrer. La moitié d'entre eux bavent déjà. Ca fait rire Ingrid qui leur demande leur âge. 16 ans répondent-ils.
- Ingrid me murmure qu'ils sont pas mal, qu'on pourrait sympathiser et en ramener à la maison.
- Ils ne vont pas vouloir laisser leurs potes pour venir avec nous. Et puis, ils sont sans doute puceaux, ça va être nul, J'ai envie de bien me faire baiser moi pour cette première.
- T'as raison répond-elle on va juste jouer un peu avec eux. Regarde y'en a déjà un qui bande.
On rigole en regardant la bosse d'un de ces gars près de nous. Ses copains remarquent aussi son intérêt certains pour mes nichons et se moquent de lui en rigolant à pleins poumons.
- Haha il a la gaulle le gros cochon.
Tout gêné, le jeune homme se retourne et fait mine de bronzer. Je ne sais pas ce qui a piqué Ingrid mais elle me demande si je suis prête. Prête à quoi, je ne le savais pas alors j'acquiesce timidement. Elle vient se mettre derrière moi, pose ses mains sur mes seins, les sous pèses et le remue de haut en bas. Tous les garçons ont la bouche ouverte, ils apprécient le spectacle. Y'en a pas un qui ne bande pas. Ils ont tous le membre gonflé à bloc. Avec Ingrid, on rigole bien. On leur dit même d'aller se branler ailleurs pour arrêter de bander. Ils se sont retournés et ne nous ont plus regarder jusqu'à leur départ. Je remets mon maillot, retire ma jupe et aperçoit le bas de mon maillot humide. Cette expérience m'avait fait mouiller. Je crois vraiment que j'aime me montrer en public.
Aujourd'hui j'ai une mission, ramener un mec dans mon lit. Je suis plus salope que jamais. Je veux une queue une vraie qui vienne heurter mon utérus jusqu'à m'en faire jouir. Nous allons en direction de l'eau. Ingrid à trouvé judicieux de laisser un gode en évidence dans son sac grand ouvert. Nous arrivons au bord de l'eau, elle est bonne mais qu'importe de toute façon je ne pense pas à ça, je regarde tous les mecs qui passent. Certains sont mignons, d'autres vieux ou semblent être bien montés au vu de leurs entre-jambes. Nous avons les mêmes maillots Ingrid et moi. Le haut est rose. C'est un bout de tissu qui part de derrière le cou pour venir s'étaler sur les seins sans les recouvrir entièrement laissant apparaître nos formes et se terminant par une grosse boucle argenté entre les deux seins. Ingrid à voulu jouer avec moi tout à l'heure, a mon tour de m'amuser un peu, le bas de nos maillot est très sexy, il est très taille basse et très fin. Sur les cotés, deux nœuds permettre de se maintenir. Ingrid est au bord de l'eau. Les vagues viennent à peine recouvrir ses chevilles que je me poste derrière elle, attrape ses hanches et tire sur les deux nœuds en même temps. Pour être sûre de la mettre cul nu, je tire bien les ficelles vers le bas. Ingrid pousse un cri de sursaut. Tout le monde la regarde. Ca y'est, tous les monde voit sa chatte. Je pars en courant, le maillot à la main. J'entends Ingrid m'appeler, elle me demande de revenir, me traite de salope. « Si tu ne reviens pas je te prive de godes à vie ». Je suis à quelques centimètres de cette jolie chatte imberbe à la vue de tous. Je brandis sa culotte avec fierté. Elle essaye de l'attraper en sautant sur mon bras mais n'y parvient pas, elle commence alors à arracher mon maillot. Mes gros seins ne sons plus soutenus. J'ai les seins à l'air. Elle ne s'arrête pas la, elle m'arrache ma culotte décousant les ficelles. Un vrai combat de cochonnes. A mon tour de lui enlever le soutif. Je tourne autour d'elle le cul à l'air. J'apprécie que l'on me regarde. Je m'agrippe à son soutif laissant jaillir sa poitrine hors du tissu. A ce moment là, deux maîtres-nageurs plutôt jeunes et mignons viennent nous blâmer de notre comportement. Il y a des enfants ici. Il nous raccompagne jusqu'à nos serviettes, nous demande de nous rhabiller et de nous en aller. L'un d'entre eux voit le gode dans le sac d'Ingrid. Sans doute intéressé, il nous demande ce qu'on fait ce soir, si on voulait bien les revoir. Je me dis, c'est le moment d'agir.
- OK Mais à une seule condition, vous venez nous baiser et vous repartez sans rechigner.
Surpris par mes propos, ils hésitent et accepte cette proposition en bafouillant.
- Alors à ce soir les gars 20h chez moi.
Nous rentrons à la maison, il est 15h. Clément est décidément un fan de branlette puisqu'on le retrouve à se branler dans un de mes strings et à sucer un gode utilisé la veille. On arrive l'air penné, lui disant qu'on à pas trouver de quoi se faire mettre. Mais le sourire d'Ingrid nous a trahit. Il remarque bien qu'on est tombé sur deux hommes aptes à nous sauter. Il nous demande comment ils sont, comment on les a rencontrés et si on pense qu'ils sont suffisamment ouverts pour qu'il soit présent à regarder nos ébats. Clément nous donne quelque conseil pratique sur comment organiser le salon pour les mettre a l'aise et se faire confortablement sauter sur les canapés. Nous allons maintenant nous habiller pour recevoir nos sauveurs. Clément est présent, nous voit cul nu tester des fringues, nous dit si oui ou non ça convient.
- Ne t'arrêtes-tu dont jamais de bander mon coco ? demande Ingrid à Clément.
- Bah t'es marrante toi. J'ai les deux filles les plus bandantes de la ville à poile a coté de moi, à me demander quel string irait le mieux avec tel ou tel soutif, si on voit pas trop ma fente, et tu voudrais que je ne bande pas ?
- Wai ok mais t'as l'habitude maintenant de nous voir à poil non ?
- Bah wai mais écoute tu me fille la gaulle j'y peux rien. Ca te dérange ?
- Oh bah non pas du tout c'est agréable de voir ta grosse bitte gonfler.
On fini enfin de se préparer, j'ai opté pour une longue robe noire fendue tout le long de la jambe droite. J'adore cette robe, elle compresse bien mes seins et offre un superbe décolleté à qui veut me regarder. Ingrid à mis en valeur sa jolie cambrure avec un top blanc trop court, laissant apparaître sont tribal dans le bas du dos et une mini jupe noire. Elle à de jolies chaussures à talons hauts noires ouvertes sur le dessus rendant ses jambes fines longues et élancées.
On prépare de quoi s'abreuvoir et se nourrir puis on entend sonner à la porte. Nos deux dépuceleurs sont arrivés. Pile à l'heure. Ingrid et moi allons leur ouvrir. Ils sont beaux nos deux amants, tous les deux blonds, des looks de surfeur, bien bronzés et bien bâtis. Ils sont habiller classique en bermuda et tee-shirt. Rien de bien excitant. Nous les invitons à pénétrer dans le salon, nous leur présentons notre coach Clément. Ils n'ont pas l'air surpris par sa présence et trouvent intéressant le principe de coacher deux jolies nanas aux joies du sexe. Les couples se forment de suite, je suis avec le plus petit, ont s'assoit par couple sur les canapés, Clément sur le fauteuil et papotons quelques instants. Nous leur racontons ce que nous avons appris depuis qu'on suit les cours de Clément, qu'on est déjà dépucelées grâce aux godes et aux mains qu'on reçoit souvent en nous mais que jamais on ne s'est fait prendre par des mecs. Je croise mes jambes, le tissu de ma robe court le long de ma jambe pour aller s'échouer au sol, j'ai maintenant les jambes complètement nues, avec une sorte de cap formé par ma robe. Le copain d'Ingrid qui est assis en fasse de moi à une vue plongeante sur mon entre jambe. Réaction immédiate de sa part, son pantalon gonfle à la vitesse « grand V ».
- Et bah mon cochon, tu bande déjà ?
Carrément gêné, il rougi et place ses mains sur son sexe pour le cacher. Son ami rigole pour se moquer de lui.
- Mais non ne rougit pas mon lapin, c'est normal elle est belle ma copine lui dit Ingrid pour le mettre en confiance. Je vais te venger et tu pourras te moquer de ton pote.
Ingrid écarte les jambes, elle n'a pas besoin de remonter sa jupe pour y laisser pleine vu sur son jolie string noire. Mon copain croise les jambes pour ne pas montrer qu'il commence à bander mais ça ne marche pas avec nous. J'attrape sa jambe et la décroise violemment, j'aperçois un début d'érection et plaque ma mains sur son short. Je commence à malaxer son entre jambe, il semble apprécier. Il à les bras croisés derrière la tête. Il se croit à la plage sur sa serviette, tranquillement posé, monsieur se laisse caresser l'air de rien. Il pourrait siffloter que ça ne m'étonnerait même pas. Il ne va quand même pas se laisser faire tout du long. Je veux qu'il me saute, alors je glisse ma mains sous son short par la jambe, atteint son caleçon, puis son sexe, il est déjà bien dur. J'exerce dessus quelques pressions avant de ressortir ma main pour y déboutonner sa braguette. Je baise son attirail et libère une belle et épaisse queue, le gland à l'air. Il sourit mais ça ne me plaît pas, je n'ai pas envie qu'il reste la sans rien faire. Je le laisse en plan quelque instants et je vais voir Clément pour lui demander comment faire pour qu'il ait une réaction à mon égard. Clément sourit et me dit de lui attraper la tête et de la foutre entre mes seins, et de lui dire des choses salasses. Pendant se temps, Ingrid était déjà en train de sucer son compagnon, le short aux chevilles, la tête de madame entre les jambes et les mains sur sa tête pour la diriger dans sa pipe. Je m'approche d'elle et appuie sur sa tête, elle s'est pris le gland de sa sucette au fond de la gorge, elle ressort en rigolant et en me traitant de salope. Je retourne donc près de mon incapable et m'exécute, ouvre un peu mon décolleté et plonge sa tête dedans. Je lui dis qu'il n'aura rien d'autre s'il reste inactif comme ça, que j'ai besoin de sa grosse bite, qu'il me lèche et qu'il me fasse jouir. Sur ces mots, il m'attrape par le cul, ses deux mains emprisonnent mes belles fesses fermement et me soulèvent pour que je m'accroupisse à califourchon sur lui. Je suis encore droite, il est juste à hauteur de mes nichons et apprécie d'y avoir le visage fourré. Il attrape ma robe et me la retire délicatement, lui laissant admirer mes jolies formes. Je n'ai pas de soutif, il s'attaque directement à mes tétons, les lèvres autour de ceux-ci, il les mordille, les suce et les lèche. C'est agréable, ça chauffe dans mon entre jambe. Je sens sa queue grimper le long de ma cuisse, le gland déjà humidifié par sa semence m'excite, sa queue est à trente centimètre de mon intimité. D'un coup, il me soulève à nouveau et me bascule sur le canapé, je suis maintenant assise sur le doux coussin rouge les seins à l'air et les jambes écartées. Ingrid est déjà pleine de sperme, j'avais entendu crier son camarade mais je ne pensais pas qu'il avait déjà giclé. Clément comme à son habitude, se branle en nous regardant. Ma moitié s'agenouille entre mes jambes et attrape mon string, le fait glisser le long de mes cuisses, l'entre-jambes reste plaqué à mon vagin pour se décoller lentement, découvrant mes lèvres humides, brillantes et chaudes. Il me met les jambes sur les épaules, approche sa bouche de mes grosses lèvres gonflées et attrape mon clito du bout des lèvres, ça me fait gémir, il le mordille, des montés de pressions apparaissent dans mon bas ventre, je me crispe quand il touche une zone sensible, il passe sa grosse langue sur toute ma fente, comme pour la nettoyer avant d'y pénétrer. Du pouce, il caresse mon clito, le fait tourner de plus en plus vite et pousse sur sa langue pour explorer mon vagin. C'est trop bon, il me lèche les parois, pendant que je vois Ingrid debout, cambrée en avant, les mains posées sur le dossier du canapé et les jambes écartés se faire lécher le sexe bien humide, ses cuisses sont trempées. On gémit toutes les deux de plus en plus fort, Clément s'est approché de moi la queue entre les doigts, il se branle toujours mais se crispe. On jouit tout les trois en même temps, quet trio, je me prends la grosse giclé de Clément en pleine tronche, j'en ai sur tout le visage, le sperme coule par-dessus mes yeux que je ne peux même pas ouvrir. Et l'autre qui me lèche toujours alors que lui aussi vient de se faire remplir la bouche de ma semence. Je lui attrape l'arrière de la tête et le plaque contre ma chatte pour ne plus qu'il bouge. Je me remets, relâche un peu sa tête, il comprend qu'il faut qu'il arrête. Je le relève, positionne son sexe à la hauteur de ma bouche. Je lui compresse d'une main sur la verge, voit son gland gonfler sous la pression et le masturbe activement. J'aime cette vu du gland qui se décalotté au seul fait de ma mains qui va et qui vient rapidement. Je lui décalotte encore le gland mais reste dans cette position, j'attrape son gland entre mes lèvres et le lèche, je prépare de la bave pour l'humecter complètement. Je le retire de ma bouche, il brille, je crache une dernière fois dessus et reprend ma branlette en effleurant la verge comme Clément me l'a apprit. Monsieur à l'air d'apprécier car en moins de trente secondes, il arrive à me rendre sourde avec un énorme cri et muette avec une quantité impressionnante de sperme qu'il déverse avec violence sur ma bouche grande ouverte. Ses giclées sont vraiment puissantes, elles fouettent mon visage et le fond de ma gorge. Ingrid vient à mon secours et me lèche le visage pour me nettoyer du mieux qu'elle peut.
Bon ça va bien les préliminaires, j'ai envie de me faire prendre, alors je me lève, me retourne, écarte les jambes, me penche en avant pose une main sur le canapé et attrape la queue de mon otage de l'autre, je la dirige vers mon vagin, il comprend ce que je veux et avance tout doucement en direction de mon sexe. Je sens déjà la chaleur de son sexe entre mes jambes, il n'est plus très loin, il s'approche encore. Ca y'est, la collision est inévitable. Son gland vient de percuter mes lèvres, cette agréable sensation m'envahit, c'est autre chose que la froideur d'un gode, sa queue est bouillante, et force l'entrée de mon vagin pour venir s'éclater sur mon utérus. La violence de ce geste me fait jouir, juste une petite poussé pour me faire jouir, je suis si excitée à l'idée de me faire enfin pénétrer par une queue que je ne m'arrête pas de jouir. Mon sex-toy humain a attrapé mes hanches, il s'en va et revient d'un coup sec, à chaque fois, le contact de son sexe sur mon utérus me laisse échapper un cri. Je l'entends gémir aussi. Des sons bien graves qui sortent de sa cage thoracique. Il continue avec ses coup de reins, il me malmène. Se retire et me retourne, viens s'asseoir sur le canapé et me fait m'asseoir dos a lui sur ses cuisses. Sa bite n'a aucun mal à trouer l'entrée de mon vagin complètement dilaté. J'ai à présent un sexe qui me pénètre et la vue d'Ingrid se faire prendre en levrette, la bouche grande ouverte laissant jaillir des cris de bonheur. Dans cette position, il en profite pour malaxer mes gros seins, me pincer les tétons tout durs et jouer avec mon clito dur lui aussi. Je fais du trampoline sur sa queue, toute sa longueur traverse mon vagin par des coups violents, j'ai les cuisses trempées, ma mouille se propage sur les sienne, je fonds. J'en profite pour attraper ses couilles et les malaxer tendrement comme des boules chinoises. Je l'entends, il apprécie ce que je fais, je vais bientôt jouir, nos mouvement sont de plus en plus rapides, et nos respirations de plus en plus fortes. Je sens son souffle dans mon dos, je sens sa queue se contracter sans cesse. Le passage de son gland à proximité de mes petites lèvres me fait jouir, j'adore cette grosse boule qui vient écarter ma porte, discrètement pour courir au fond de moi. Mes lèvres sont complètement détendues. Ca fait 45 minutes que monsieur me chauffe le vagin, j'ai déjà joui 5 ou 6 fois. Il à de l'endurance, je le sens qui se retient de temps en temps. Mais là, j'en peux plus, je sens que je vais jouir encore plus, ses mains me caressent partout, je sens que ça monte, chez moi et chez lui aussi. Je remonte une dernière fois le long de sa verge jusqu'à la laisser s'échapper de mon intimité et je m'asseois sans retenue, de tout mon poids sur sa queue. Son gland traverse l'entrée de mon vagin à toute vitesse, sa verge suit ce dernier comme un serpent qui se faufile entre des rochers. Son gland vient heurter violement mon utérus me faisant presque mal et me forçant à hurler de bonheur. Je n'ai jamais autant joui, je n'arrive pas à m'arrêter. Je recommence ce mouvement plusieurs fois et je crie à chaque fois plus fort. La dernière pression sur mon utérus laisse jaillir mon liquide dévié par son membre vers le haut allant s'échouer sur le dos d'Ingrid à 1 mètre de la. Mon homme me relève, m'accroupit sur le carrelage froid, attrape son membre à pleine mains, pousse des hurlements rauques. Ca me fait flipper, il se branle à toute vitesse et j'appréhende son jet, il va me fouetter le visage de toute sa puissance. Je vois le méat de monsieur s'ouvrir, aperçoit sa semence s'approcher de l'entrée comme si je regardais une séquence sportive au ralenti puis tout s'accélère, la semence jaillit de son méat à une telle vitesse qu'elle vient heurter ma gorge jusqu'à m'en faire presque vomir, j'ai cru que j'avais mis mes doigts au fond de ma gorge. En un seul jet, ma bouche est pleine, je n'arrive pas à avaler, je peux plus respirer. Je recrache tout sur mes seins, ce liquide blanchâtre envahit ma poitrine mais a peine le temps de faire tout ça qu'un deuxième jet vient rencontrer la fin du premier qui est encore en train de s'échapper de ma bouche comme pour le forcer à rester dedans telle une vague qui vient heurter sa précédente sur le sable. Ainsi suivent trois autres giclées qui inondent mon visage et qui ne me laissent aucune voie respiratoire libre. J'avale le sperme qui réchauffe ma bouche pour enfin prendre une bouffé d'air. Clément à la bouche grande ouverte, il n'en revient pas de ce que je venais de me prendre. J'entends qu'Ingrid chuchote à son homme lui disant de venir avec elle. Celui-ci n'a pas encore éjaculé mais vient de passer 45 minutes à aller et venir dans ma copine. Celui-ci s'approche de mon visage à peine remise de mes émotions et me déverse sa potion sans me demander mon avis. Je me retrouve le visage blanc, dégoulinant le long de ma gorge comme une rivière qui trouverait son lit au milieu de mes seins pour parcourir mon ventre, caresser mon clitoris et poursuivre son chemin le long de mes lèvres et au niveau le plus bas de mon entre-jambes pour former une cascade qui s'échoue sur le carrelage. Ingrid attrape mon visage de ses deux mains, le caresse étalant les deux éjaculations puis me caresse les seins. Cette sensation est agréable, le liquide qui sépare ses mains de ma peau me laisse une sensation indescriptible qui me fait jouir à nouveau. Au carrelage, on retrouve un mélange de mouille et de sperme qui stagne sous mes fesses. Je suis vidée, je respire fort et très vite. Je m'allonge sur le carrelage qui me refroidit le corps d'un coup, laissant échapper un grand frisson. Je m'endors ainsi, laissant mes invités me regarder dans mon plus simple élément baignant dans un bain de semence encore chaud.
Le lendemain, Ingrid me raconte que nos deux trouvailles n'en revenaient pas de nos performances dignes des plus grandes salopes. Ils sont tous les deux repartis vers 1 heure du matin nous laissant tous les trois nous endormir avec des étoiles plein la tête.