Elodie : une femme naturiste: chapitre 8 : Le centre

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Proposée le 14/07/2011 par CAVAL

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Résumé : Elodie vient d'avoir son bac à 19 ans. Elle a passé son année de terminale chez une amie avec laquelle elle partage son goût pour le naturisme et les amours lesbiennes, tout en restant hétérosexuelle.
Après les résultats du bac, elle s'éprend de Stéphane, un autre bachelier chez qui elle a emménagé. Comme il pratique également le naturisme, ils partent deux semaines dans un centre.


CHAPITRE VIII
Le centre


Donc mon copain était naturiste comme moi et nous allions partir ensemble durant deux semaines pour vivre nus en complète liberté. Aller se baigner, aller aux douches, faire du sport, revenir à la tente, faire nos courses' Tout cela sans avoir à se rhabiller, sans penser à notre pudeur, à l'inconvenance de ne porter aucun habit : Que du bonheur.

Nous sommes arrivés dans ce centre naturiste du sud de la France le samedi en fin d'après-midi. Il y avait des tentes, des caravanes et quelques mobile-homes. Pour notre part, avec Stéphane, nous avions choisi la tente, question de budget. Dans les centres naturistes, la nudité est en général totale. Pourtant ici elle était « autorisée » partout dans la propriété (entourée de hautes palissades) et « obligatoire » seulement autour de la piscine. Pourtant, en nous rendant à notre emplacement nous avons croisé des hommes et des femmes totalement nus pour la plupart.

Nous sommes restés habillés pour monter la tente. Elle était relativement spacieuse, permettant d'accueillir quatre personnes. Cela nous permettait de ranger nos affaires dedans. C'est après cette installation que nous nous sommes déshabillés.

J'allais aux douches avec mon homme. Si lui s'y rendit nu, la serviette sur l'épaule, pour ma part je nouais un paréo autour de ma taille. Il y avait deux types de douches, les communes où hommes et femmes, sans distinction, se lavaient et les cabines individuelles. Nous prîmes notre douche dans une de ces cabines, mais tous les deux ensembles. Je craignais le regard des autres vacanciers nous voyant entrer dans une de ces cabines, d'autant plus qu'elles étaient largement ouvertes sur l'extérieur avec un mur à hauteur du coup et l'absence de portes. Mais rien, aucune ne remarque, aucun regard. Sous l'eau, nous nous savonnions mutuellement avec mon copain. Je pris son membre dans la main, lequel ne tarda pas à grossir. Mon homme vint placer ses mains sur mes seins et les pelota, puis sur ma conque me provoquant des fourmillements agréables dans le bas ventre.

Mais nous nous sommes arrêtés avant d'arriver à la jouissance, voulant seulement effleurer le plaisir et ne pas le gaspiller. Je voulais la queue de mon amant en moi et il faut bien dire qu'une cabine de douche exiguë et ouverte sur l'extérieur n'est pas l'endroit le plus pratique pour faire l'amour. Une fois que le sexe de mon homme eut un peu dégonflé, nous avons regagné la tente, moi avec mon paréo et Stéphane totalement nu. Il semblait parfaitement à l'aise, bien plus que moi en fin de compte. J'appréciais beaucoup voir qu'il ne bandait pas malgré les femmes de tout âge que nous croisions : Des jeunes filles mignonnes aux corps appétissants, la taille svelte, des rondeurs pleines de charmes là où il faut ; des femmes mûres aux formes épanouies qui n'avaient rien pour déplaire ou plus âgées aussi, sur lequel le temps avait fait son ?uvre, mais avec parfois de beaux restes. Par contre, il y avait aussi des femmes qui étaient de véritables remèdes contre l'amour, il faut bien l'avouer. Toutefois, le naturisme c'est justement de respect de tous : Accepter le physique de l'autre, sa religion, ses opinions et vivre librement ensemble sans aucun préjugé. Ici on ne trouve personne dégoutant parce qu'il n'est pas beau. Dans un lieu naturiste tout le monde est au même niveau.

La tolérance est souvent de mise, même si parfois on trouve des extrémistes comme partout ; en tout cas beaucoup moins que dans un milieu « textile ». Deux filles qui se tiennent la main sur une plage et qui se font un petit bisou, ça va faire un scandale sur une plage textile, ça passera dans l'indifférence totale sur une plage naturiste. Certains diront que deux filles qui s'embrassent ou deux mecs même, c'est dégoutant... Ce n'est pas là le problème ! Le problème c'est ceux qui disent cela ou le pensent : Ils sont intolérants... Lorsqu'on se trouve dans un lieu naturiste, ce n'est pas pour se montrer nu ou voir les autres nus ; on y va pour se sentir à l'aise, bien dans sa peau et justement avec rien sur la peau.

Lorsque nous nous sommes couchés ce soir-là, Stéphane me fit l'amour avec sa fougue coutumière me donnant bien du plaisir. Le fait de vivre nu ne rend pas les naturistes impuissants ou dénués de toute envie sexuelle ; la seule chose, c'est que durant la journée, en public ils réfrènent leurs pulsions. Je m'efforçais de rendre ma jouissance silencieuse, étant consciente que la fine toile de tente ne pourrait pas retenir mes cris.
Le lendemain matin, lorsque je me levai, j'oubliai le paréo sans même y penser. C'est Stéphane qui me le fit remarquer lorsque je revins du bloc sanitaire :

- Bah ! Tu restes nue ?
- Oui, je ne m'en suis pas même rendu compte. Je suis bien comme ça. Je ne vais sans doute pas porter autre chose que ma propre peau jusqu'à la fin de notre séjour.
Puis je finis par un :
- Ca te plait mon chéri ?
- Tu sais bien que tu es divine pour moi, me dit-il me décochant un gentil baiser sur la bouche, tout en posant une main sur le haut de ma cuisse, à la naissance de mes fesses.

Je vis que son sexe montrait un aspect qui ne trompait pas. Un mec qui est en érection sur une plage naturiste ne sera pas fustigé? Sauf s'il s'affiche ainsi et montre son membre en forme ostensiblement à tous. Pourquoi devrait-on demander à un homme de ne pas prendre plaisir à avoir sa copine à côté de lui, de sentir les bienfaits du soleil, le souffle doux du vent en n'ayant aucune réaction. Je proposai donc à mon homme, de revenir dans la tente. La fermeture éclaire à peine baissée, il me prit sans ménagement comme j'aimais parfois qu'il le fasse, sans préliminaire, à la hussarde. L'étreinte fut rapide, mais si intense que j'ai joui.

Pour aller à la piscine, je suis restée nue, prenant juste une serviette sur l'épaule. Nous passâmes par les douches, sans prendre de cabine cette fois-ci, nous sommes entrés dans l'espace où tous, hommes et femmes, se douchaient sans pudeur. Pourtant, je n'osai pas, devant les autres, me frotter l'entrejambe pour effacer le foutre de mon copain. Mais mon inhibition s'effaça rapidement lorsque je vis un homme se décalotter sans prendre la précaution de se retourner face au mur, ou cette femme passer et repasser ses mains, sur ses seins et sur sa fente. Pourtant, il n'y avait aucune exhibions dans leurs attitudes : Ils ne se montraient pas pour être vus. Je remarquai que Stéphane, lui aussi, se nettoyait le sexe, avec tout de même un peu plus de discrétion. Donc je mis ma main sur ma vulve et mon entre jambe pour une toilette intime en public.

Arrivée à la piscine, je me suis sentie parfaitement dans mon élément : un lieu où on jouait et se baignait sans pudeur et sans gêne. Au fil des heures je me sentais de mieux en mieux dans cet environnement naturiste. Après la piscine je participais à d'autres activités physiques : Volley-ball, badminton' C'était très agréable avant de repiquer une tête dans l'eau. Normalement on ne pouvait pas sortir du centre nu, il fallait se rhabiller. Mais par un petit chemin désert (peut être y avait-il quelques voyeurs derrières des buissons) on pouvait rejoindre la rivière où il était très plaisant de piquer une tête, puis de s'étendre nu au soleil pour se laisser sécher. De plus c'était une occasion de pouvoir se promener nu, sans le problème de se rhabiller à un quelconque moment.

De même, il fut tout naturel pour moi de faire mes courses dans le plus simple appareil à l'épicerie de centre. Les produits étaient plus chers que n'importe où, mais au moins pas besoin de prendre la voiture et toujours la même chose? Se rhabiller.

Oui, je le reconnais et le revendique : Pendant les deux semaines que nous avons passées dans le centre : Je suis restée totalement nue sans gêne, sans pudeur, le plus naturellement du monde. La nudité c'est la vérité, la réalité de ce que l'on est, pas de ce que l'on veut faire paraître sous le couvert de l'habit. La nudité, encore de nos jours, s'apparente à tant et tant de préjugés, de tabous, d'interdits, alors qu'en fait il n'y a rien de plus naturel. Nous sommes tous nés nus, les vêtements nous sont nécessaires pour nous protéger des insectes, de la pluie, du froid.

Il est parfois difficile de convaincre les filles ou les femmes de franchir le pas. Parfois à la simple évocation du naturisme, de grands cris sont lancés. On sait alors qu'on n'arrivera pas à les convaincre. D'autres fois, il faut d'abord révéler qu'on est naturiste, ensuite le faire accepter et enfin expliquer sans brusquer. Dire que le seul regard qui importe, ce n'est pas celui des autres, mais celui qu'on porte sur son propre corps ; or le naturisme permet de mieux accepter son corps et ses imperfections. Quant à la connotation sexuelle de la nudité ; le naturiste fait une distinction importante entre la sexualité et la nudité. Le naturiste ne cherche pas, au travers la nudité, à séduire mais simplement à vivre librement sa vie. Alors, les nouveaux adeptes deviennent souvent des habitués des plages naturistes et même des inconditionnels.

Dans le centre naturisme nous fîmes la connaissance de jumeaux, une fille, Nathalie, et un garçon, Jacques, qui avaient un an de moins que moi, 18 ans. Tous les deux étaient très beaux. Un soir, Stéphane me dit :

- Il ne te laisse pas indifférent Jacques ?
- Il faut avouer qu'il est beau mec avec un corps musclé et bien fait'
- Et sa queue, tu la trouves comment ?
- Pourquoi veux-tu que je le juge selon la taille ou la grosseur de sa queue. Il n'y a pas que ça dans la vie. Un mec, même avec la plus belle queue du monde peut être à chier, par son caractère, sa façon de penser? Où même, il ne sait peut-être pas s'en servir convenablement, de son membre.
- Réponds à ma question, tu la trouves comment sa queue.
- Bon tu veux savoir ? Et bien, il a une très belle queue décalottée, même au repos. Et son corps musclé doit attirer les filles. Et toi, tu crois que je n'ai pas vu les regards que tu jettes sur le corps de Nathalie? Avoue !
- Oui, elle a des nichons parfaits et une chatte poilue, juste ce qu'il faut : irrésistible. Lorsqu'elle écarte les jambes, on voit apparaitre sa vulve? C'est divin.
- Gros mateur.
- Mais il y a une chose qui ne va pas.
- Quoi donc ?
- C'est que je t'aime toi mon amour, que je n'aime que toi. Elle, c'est pour le plaisir de voir une belle fille. Mais toi tu es aussi belle et ton corps est à moi. Tes seins sont aussi parfaits que les siens, mais au moins je peux les toucher, les embrasser.

Stéphane parlait tout en me prouvant avec ses mains et ses lèvres qu'il appréciait mon anatomie.
- Et les tiens sont doux, alors qu'elle je n'en sais rien' Ta petite chatte toute claire, crois-tu que je préférerais celle de Nathalie ? Et ta vulve qui s'offre si complaisamment à mon regard, à mes doigts, à ma langue, à ma bouche? la sienne,, je n'ai fait que l'entre apercevoir, rien de plus, et jamais je ne la toucherai. Et mon sexe, comment le trouves-tu ?
- Très à mon goût, dis-je en le prenant en main et en le léchant sur toute sa longueur. Et j'aime avaler ton sperme, tendis que celui de Jacques, je ne le goûterai jamais. Oui mon chéri, c'est toi que j'aime.
- Et Nathalie, elle te fait fantasmer ?
- Elle est très belle, répondis-je, mais c'est toi que j'aime. Avec toi je ne suis plus qu'une hétéro, je ne vais pas aller voir une femme alors que tu es là pour me satisfaire.

Mes paroles n'étaient pas tout à fait sincères. Si j'avais eu des opportunités avec la fameuse Nathalie, je n'aurais pas dit non. Mais voilà, mon homme m'avait prévenu : Plutôt le tromper avec un mec, il comprendrait, qu'avec une fille, là il se sentirait trahi dans sa virilité. Mais je me demandais si à ce moment-là il ne souhaitait pas voir deux femmes se brouter le minou devant lui et' Peut-être, participer. Je ne lui laissai pas le plaisir de développer le fond de sa pensée.

Pourtant, Nathalie et Jacques ne furent pas totalement innocents dans la relation amoureuse qui me liait à Stéphane. Le frère et la s'ur étaient dans une tente proche de la nôtre, alors que leurs parents logeaient dans une caravane un peu plus loin. Un jour Nathalie me dit, alors que mon homme et son frère s'étaient absentés :

- Le moins qu'on puisse dire, c'est que le soir vous ne vous ennuyez pas dans votre tente. On entend tout depuis la nôtre et je peux te dire que tes halètements et les grognements de Stéphane ne laissent pas de marbre mon frère. La nuit dernière, il avait beau porté un caleçon, il avait une trique d'enfer.
- Vraiment, on nous entend tant que ça.
- Remarque, cela ne nous dérange pas. D'ailleurs moi aussi j'étais assez excitée, dommage que ce soit mon frère qui couchait à côté de moi, sinon je lui aurais certainement sauté dessus. Pour te dire la vérité, comme il faisait très chaud, je m'étais couchée nue sous un drap. Je commençais à mouiller et je ne pus m'empêcher de me caresser les seins et tirer sur leurs pointes. Mon frère se retourna vers moi et me regarda faire, j'étais un peu gênée, mais il me dit de continuer à me faire du bien tout en tirant le drap qui me couvrait. Il m'a regardée en train de me masturber avant de retirer son caleçon et de prendre sa queue en main pour la branler. Il ne m'a pas touchée, c'est mon jumeau, il n'oserait jamais le faire. Nous avons réussi à jouir l'un et l'autre. Lorsqu'il a éjaculé, deux jets de son sperme ont atterri sur mon ventre, sans qu'il le veuille vraiment. J'ai alors fait une chose sans réfléchir, dans le feu de l'action. J'ai recueillis la semence du bout des doigts et je l'ai goûtée? Lorsque je suce mon copain, j'ai toujours refusé catégoriquement d'avaler sa semence. Et là, volontairement j'ai goûté à celle de mon frère.
Par ses paroles, elle me rappelait les relations que j'avais pu avoir avec mon propre frère. Nos petits jeux sexuels étaient bien loin de toutes relations incestueuses.

Une autre fois, j'étais accroupie dans la tente à faire je ne sais quoi. Stéphane arriva derrière moi, me caressa les fesses et vint se lover contre moi en me titillant les seins. Je constatai immédiatement que sa queue gonflait dangereusement. Il fallait que j'agisse. Il me donna pour toute explication :

Penchée ainsi, tu exposes ta vulve entre tes deux belles fesses, je ne peux résister.

Je pris donc son sexe en main ; après quelques mouvements, il avait perdu toute mollesse ; je le pris en bouche. Nous nous étions mis en 69, et pendant que je lui faisais une belle pipe, il fouillait mon intimité avec sa langue. J'avais la tête tournée vers l'ouverture de la tente que nous avions omis de fermer et je vis alors nos deux amis nous regarder intensément depuis leur propre tente. Cela aurait pu me bloquer. Mais bien au contraire, mon excitation fut décuplée.

- Ils veulent avoir du spectacle ? Ils vont en avoir, me dis-je.

Mon homme ne savait pas qu'on nous regardait et il s'activait admirablement sur tout mon bas ventre, sa langue allant sur mon clitoris, ma vulve, entrant entre les lèvres, et me faisant des feuilles de roses du côté de mon cul. Bientôt pourtant, la langue quitta l'oeillet entre mes fesses, tandis qu'un doigt inquisiteur et lubrifié de ma propre mouille prenait place.

Je sentis le plaisir venir, tant le mien que celui de mon partenaire, mais je ne voulais pas que cela aille trop vite, je voulais en donner plus à nos spectateurs. Je vis d'ailleurs Nathalie et Jacques qui dans leur tente se branlaient sans retenue. Elle était légèrement soulevée du sol et s'introduisait un doigt dans le vagin, tout en se malaxant les seins avec son autre main. Jacques lui tenait à pleine main une queue en érection qui me parut énorme. Au repos il était déjà très bien pourvu par la nature, mais quand il bandait, c'était phénoménal.

Je quittai donc la queue en pleine forme de mon partenaire, je le laissai sur le dos et vint m'allonger sur lui. Je fis glisser en moi son gourdin. J'écartai bien les jambes pour que mes témoins ne ratent rien de cette pénétration où je fis le choix du tempo des mouvements de va-et-vient. Stéphane me tenait par la taille et pour mieux fouiller mes entrailles, il exerçait avec son bassin des mouvements de bas en haut, des petites rotations et pressions... Il venait aussi malaxer mes seins ou s'aventurer jusqu'à mon clitoris qu'il massait divinement bien.

Mais je changeai bientôt de position pour adopter celle dite d'Andromaque. Je chevauchais mon homme en m'empalant sur son sexe turgescent. Je repris mes mouvements de va-et-vient. Je sentais les parois de mon vagin être parfaitement labourées par cet instrument qui me donnait tant de plaisir. Pendant ce temps nos deux jumeaux se branlaient toujours. Je enjambais mon amant en lui tournant le dos, ainsi j'offrais aux regards des jeunes voyeurs, cette belle queue en érection entrant et sortant de mon con largement ouvert et mes seins ballottant au rythme de mes mouvements. Je vis jaillir plusieurs jets de sperme sortant de la queue de Jacques. Sa s'ur semblait prise de tremblement. Tout deux jouissaient intensément.

Je savais qu'avec une situation si excitante, je n'allais pas pouvoir tenir très longtemps sans jouir. L'orgasme m'envahit et presque au même moment, Stéphane éjacula en moi.

Lorsque nous nous retrouvâmes avec Nathalie, elle me dit :

- Merci pour ce magnifique spectacle. Tu es totalement impudique, c'était très beau, très érotique. Jamais je ne pourrais m'exhiber comme ça. Faire l'amour en public devant une autre personne, je ne m'en sens pas capable.
- Pour être franche avec toi, je ne peux pas comprendre comment j'ai pu me livrer ainsi à vos regards. Je suis plutôt d'un naturel pudique? Sauf dans un lieu naturiste où tout le monde vit nu. Mais la nudité et la sexualité sont deux choses. La première peut se partager et se vivre en commun, la seconde non. Je ne sais pas ce qui m'a prise lorsque j'ai vu que vous nous regardiez faire l'amour, mais cela m'a terriblement excitée et toutes les postures que j'ai prises étaient pour vous plaire, vous en montrer le plus possible. J'ai presque honte à posteriori.
- N'ai pas honte, seul mon frère et moi avons assisté à cette séance. Ça nous a beaucoup plu et tout deux nous avons pris un pied énorme en nous masturbant.

Jacques ne parla pas à Stéphane de cet épisode, comprenant bien que l'initiative venait de moi et que mon copain ne serait peut-être pas ravi de savoir qu'il avait été la victime de voyeurs. Il n'en sut donc absolument rien.


Pour prendre nos douches, nous ne prenions plus la peine de nous enfermer dans une cabine individuelle. Je n'avais plus aucune vergogne à me savonner les seins et la chatte devant d'autres hommes et femmes. Un jour nous sommes entrés dans cette pièce où les douches étaient communes. Un couple s'y trouvait, l'homme et la femme devaient avoir entre 50 et 60 ans. Je vis tout de suite que le sexe de l'homme était emprisonné dans la main de sa compagne. A notre arrivée, elle ne lâcha pas la queue de son homme et même continua à la branler tout doucement. Stéphane fut tout de suite émoustillé par cette vision. J'avais constaté, à plusieurs reprises, qu'il avait un côté quelque peu voyeur, tout comme moi. Par contre, il n'était pas du tout exhibitionniste, tandis que moi j'éprouvais parfois le désir de me montrer. Pour assouvir mes désirs, je le poussais dans ses retranchements, c'est pour cela que je m'emparais donc, comme la femme, du sexe de mon homme qui commençait à grossir. Je me mis à le malaxer doucement. Pris dans le feu de l'action, mon partenaire ne perdit pas de temps. Il me savonna abondamment la chatte et de ses doigts savonneux, il me pénétra sans ménagement avec ses doigts. Je poussais un petit cri de surprise et de plaisir.

L'homme et la femme nous regardaient intensément. Au bout d'un moment, l'homme colla sa partenaire contre le mur de la douche, la souleva légèrement pour qu'elle vienne s'empaler sur son sexe dressé. Pour ma part, ne les perdant pas des yeux, je m'assis aux pieds de Stéphane que je gratifiai d'un pipe magistrale. L'homme éjacula dans le con de sa compagne tendis que Stéphane ne fut pas long à cracher sa semence dans ma bouche et sur mon visage. J'en avalais une bonne partie.

Après cela, le couple, tout comme nous, fît sa toilette le plus naturellement du monde, comme si rien ne s'était passé. Je ne sais pas qui ils sont, nous ne les avons pas même revus dans le centre les jours suivants. Mais cela reste également un excellant souvenir où je pus constater que mon homme avait lui aussi d'excellentes dispositions pour s'exhiber en faisant l'amour devant d'autres personnes.

Me vient en mémoire un autre petit épisode. Nous étions allongés sur le bord de la piscine sur des transats. Presque en face de moi se trouvait un homme et son épouse couchés sur le dos, elle lisant un livre et lui une revue. Je m'aperçus que le sexe de l'homme, au repos tout d'abord, commença à grossir alors que rien ne pouvait provoquer la moindre émotion, sinon sa lecture. Plus les minutes s'écoulaient, plus le sexe s'allongeait, se relevait, jusqu'à être en complète érection, totalement tendu le long de son ventre. L'homme semblait quelque peu mal à l'aise. Il remonta une jambe, histoire de dissimuler son érection. Par moment il se caressait la cuisse, mais rien n'y faisait' il restait dans des dispositions assez incongrues dans un lieu naturiste. Après quelques instants passés ainsi, il réussit à faire retomber la pression, son sexe se ramollit et dès que ce fut possible, il se jeta rapidement dans la piscine.

Ces genres de petits épisodes m'ont toujours ravie.


Durant le séjour eut lieu une élection de miss-nue. Le concours était réservé aux jeunes filles de 16 à 23 ans. J'étais parfaitement dans le créneau. Stéphane n'émit aucune protestation à ce que je participe à ce défilé. Je m'inscrivis donc. Je proposai à Nathalie d'en faire autant, mais elle n'était pas très chaude. Par contre, elle m'assura qu'elle serait parmi le public pour me soutenir.

Le défilé avait lieu sur les bords de la piscine. Nous étions dix filles et devions faire trois apparitions. Le jury était constitué d'hommes et de femmes naturistes, de tout âge, sur le bord de l'eau, tous dans le plus simple appareil. Un photographe était chargé de nous prendre en photo en bout de piste alors que nous lui présentions toutes nos facettes : De face, de dos, de profil. Une femme se chargeait de commenter les passages annonçant le prénom de chacune des filles, leur demandant leur âge, la région d'où elles venaient'

Le premier passage devait se faire? Habillé, alors que tous les gens autour de la piscine étaient nus. C'était selon moi le moment le plus déplaisant ou gênant : Je ne me sentais pas du tout dans mon élément. Lorsque les gens sont nus autour de moi, j'aime bien l'être également. La femme qui présentait avait revêtu à ce moment-là une minuscule jupette (sous laquelle elle ne portait rien) et avait les seins nus. Si elle s'était tout simplement mise totalement nue, elle aurait été moins impudique que dans cette tenue.

Pour le second passage, nous étions toutes nues et passions les unes après les autres, individuellement. La présentatrice elle aussi avait quitté sa petite jupe. Nous avancions sur le bord de la piscine sur environ 50 mètres, au bout nous tournions lentement sur nous-mêmes offrant notre nudité au photographe. C'était plaisant de se faire prendre en photo ainsi sous tous les angles. Lui aussi était tout nu et contrairement à ce qu'on pourrait penser, il ne montrait aucun signe d'excitation devant les nymphes qui se présentaient à lui. Je ne dis pas que son sexe était totalement mou, mais aucun gonflement notable n'apparaissait. Puis nous revenions sur nos pas jusqu'à la présentatrice qui nous posait quelques questions. Pour moi ce fut :
- Bonjour comment t'appelles-tu ?
- Elodie.
- Et quel âge as-tu Elodie ?
- 19 ans
- D'où viens-tu ?
- De Bordeaux où je fais mes études.
- C'est la première fois que tu participes à une élection de Miss nue ?
- Oui, c'est la première fois.
- Ca te plait ?
- Oui, beaucoup.

Il est vrai que je ressentais un réel plaisir à m'exposer ainsi nue à tous. Bien sûr, dans ce centre j'étais nue continuellement, mais personne ne me regardait plus que ça. Tendis que là, je m'exposais, je présentais mon corps, ma nudité et acceptais qu'on me regarde, qu'on m'admire sans pudeur. Cette pudeur je l'aurais eu incontestablement si le public avait été habillé, tandis qu'ici, la présentatrice était nue, le photographe était nu, le jury était nu et tout le public autour de la piscine était nu. C'est cette situation qui m'enlevait toute inhibition et qui me faisait ressentir un véritable plaisir de défiler. De plus je ne ressentais aucun voyeurisme des gens qui étaient là, ni d'exhibitionnisme, de nous, les filles.

Enfin, pour le troisième passage, nous étions toujours nues, mais c'est ensemble que nous sommes apparues. Nous portions chacune une petite plaque avec un numéro d'ordre. Nous nous plaçâmes devant le jury qui put nous envisager tout à loisir. Ce spectacle n'avait rien d'érotique, c'était seulement une représentation charmante. Toutes les filles défilaient en toute innocence. D'ailleurs cela devait rester très sain, très pure, car parmi les concurrentes se trouvaient plusieurs filles mineures de 16 ou 17 ans.

L'ambiance était excellente. Les filles étaient là pour concourir, mais par pour gagner. Moi-même j'étais persuadée de ne pas pouvoir remporter le premier prix. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'avais incitée Nathalie à m'accompagner, elle avait autant de chance que moi, sinon plus, d'avoir la préférence du jury. Nous étions toutes là pour passer un bon moment, la compétition n'étant qu'une adjonction donnant du piment à la pratique du naturisme.

Sur les dix filles, seules les trois premières furent nommées. Les sept autres n'eurent pas droit à leur classement, histoire de ne pas trop peiner la dernière. On appela donc la troisième :
- Elodie.
Ce fut une réelle surprise pour moi et un grand plaisir. J'aimais plaire et effectivement je plaisais. Puis ce fut la seconde et la première. Il est vrai que la première était une superbe beauté de 18 ans, grande et élancée. Elle avait tout d'un mannequin avec des formes en plus.

Les trois premières reçurent un cadeau : Une serviette de bain (pas un maillot tout de même) et une coupe. Toutes les candidates eurent droit à une photo prise par le photographe. D'autres photos pouvaient être achetées par les vacanciers. Cela ne me gênait nullement que des personnes que je ne connaissais pas achètent des photos de moi où j'étais nue : Elles avaient été prises dans un milieu naturiste et n'avaient rien d'avilissant pour moi, bien au contraire, elles me mettaient en valeur, me sublimaient en quelque sorte.

La femme qui se fait prendre en photo nue, dans une pause où elle présente sa personnalité, sans contrainte, sans pornographie proprement dite, cette femme se met en valeur tout simplement. Tout du moins c'est ce que j'ai toujours ressenti lorsqu'on me prit en photo nue sur une plage ou dans un centre naturiste. A aucun moment je ne me suis sentie dégradée.

Ce séjour de deux semaines dans ce centre naturiste passa avec une rapidité folle. J'allais avec joie et le plus naturellement du monde, faire mes courses, participer aux diverses activités sportives et culturelles (musique, théâtre?), faire ma toilette au bloc ne me cachant plus dans les cabines mais prenant ma douche dans la pièce commune? Un véritable bonheur.

Mais voilà tout à une fin.

Nous sommes donc retournés sur Bordeaux.

Mes rapports sexuels avec Stéphane étaient parfaitement satisfaisants. Nous ne nous embarrassions plus de préservatifs ayant fait les examens nécessaires, ce qui nous donnait plus de liberté dans nos ébats. Jusqu'à présent, je n'avais pas osé pratiquer la sodomie avec lui. Il ne me l'avait pas demandé. Cependant, j'estimai qu'il était temps de lui accorder un plein accès à mon puits secret.
- Est-ce que tu voudrais me sodomiser ?
- Tu accepterais que je t'encule ?
- Pourquoi tu emploies un mot si ordurier ? J'aimerais que tu prennes possession de moi par l'arrière, voilà tout, je n'aime pas le mot que tu emploies pour l'un des rapports les plus intimes qu'il puisse y avoir entre deux amants.

Dire que j'ai joui, serait faux. Pourtant, mon partenaire fit tout dans les règles de l'art, il m'anesthésia par des caresses de toute sorte, il apprivoisa le passage, l'enduit de crème, en enduisit son préservatif? Il n'en demeure pas moins que l'entrée fut assez douloureuse. Je ressentis une once de plaisir, mais qui ne réussit pas à supplanter la douleur. Aussi, lorsqu'il se retira pour éjaculer abondamment sur mon dos, je n'avais pas joui et restais assez insatisfaite.

Nous étions à la fin du mois de juillet. Stéphane avait d'autres projets à partir du 7 août auxquels il souhaitait m'associer : Une randonnée pédestre de 10 jours dans les Causses avec son frère et sa s'ur.

A suivre

Vous pouvez me contacter : caval77@sfr.fr