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Proposée le 14/06/2011 par Chantale69
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Lire le chapitre 2.
Toujours enfermés dans la voiture lui et moi, il me regarde pendant que je me "rafraichis" et me rhabille, et certains de nos spectateurs, qui étaient encore loin de nous pendant nos ébats, se sont rapprochés de ma voiture, comme pour attendre que je sorte et être les suivants à pouvoir me sauter dessus.
Ils sont cinq autour de ma voiture, gros, moches, l'air sales, de vrais routiers basse classe, en marcel et survêt de sport, en train de se branler à travers les poches de pantalon, et lâcher à voix haute des insanités à Alex, genre "Alors ? elle était bonne cette pute ? Elle avale bien ?"
J'ai à peine terminé de me rhabiller, qu'une voiture arrive derrière nous dans le parking, puis une autre, qui s'avère être un véhicule de police. J'en suis vraiment rassurée, même si je ne peux leur dénoncer Alex pour son odieux chantage et pour ce qu'il était prêt à me faire faire avec tous ces porcs autour de nous si ils n'avaient pas débarqué avec leur véhicule à gyrophares bleus...
Les policiers sont sortis de leur véhicule et discutent avec d'autres personnes présentes à coté de camions garés un peu plus loin, Alex en profite donc pour démarrer la voiture et nous faire disparaitre de cet endroit le plus vite possible
- Eh ben ma Chantale, on l'a échappé belle, on aurait pu se faire ramasser pour prostitution, atteinte à la pudeur, incitation à la débauche, et que sais-je encore, devoir leur expliquer notre présence sur les lieux... En tout cas merci pour cette soirée fort excitante, j'espère que nous aurons bientôt l'occasion de nous amuser à nouveau
Je me contente de lui sourire en guise de réponse, mais aucun mot ne sort de ma bouche.
Tout ce qui vient de se passer tourne dans ma tête dans tous les sens, je suis mélangée d'excitation, de craintes, de plaisir, de doutes...
Nous arrivons chez moi, Alex gare ma voiture en face de mon immeuble, sort et passe de mon coté pour m'ouvrir la porte, une dernière occasion pour lui ce soir de me regarder écarter les cuisses et profiter de la vue sur ma petite chatte encore humide pendant que je sors du coté passager. Il referme ma portière, et me prend par la taille pour m'accompagner. Une fois à l'entrée de mon immeuble, il glisse mon trousseau de clés dans mon sac et me prend dans ses bras pour m'embrasser langoureusement sur la bouche, comme un amoureux avec sa promise. Je me sens comme une adolescente, jusqu'à ce que je sente ses mains me relever doucement la robe pour prendre mes fesses à pleines mains et me les écarter, afin d'y introduire encore une fois quelques doigts qui me font gémir une dernière fois ce soir, et s'en va, sans dire un mot, se contentant de me faire un clin d'oeil signifiant sans doute "T'inquiète, on se tient au courant.".
Je remonte chez moi, seule, prend un bain, et me couche immédiatement, mais je n'arrive pas à trouver le sommeil, malgré ma fatigue... Alex et nos ébats prennent toute la place dans ma tête, j'en mouille maintenant, rien que d'y penser, je crains le pire, à savoir, tomber amoureuse de mon maître-chanteur. Jour et nuit je ne pense maintenant qu'à son sexe en moi, à tout ce que nous pourrions faire, alors que cette situation m'aurait profondément dégoutée il y a encore quelques semaines, elle est maintenant muse de bien des masturbations de mes parties intimes...
Les jours passent, Alex ne m'a toujours pas recontactée... Je ne m'imaginais pas avoir envie qu'il rappelle et me fasse encore participer à un horrible chantage, mais mon excitation prend le dessus. Il m'a transformée en salope, et j'en suis arrivée à aimer ça, mais ne suis-je salope qu'avec lui ? Ou me plairait-il de l'être avec d'autres hommes, en choisissant de me comporter de la sorte, sans y être obligée ?...
L'idée de faire l'amour à des inconnus, comme il avait failli m'y forcer l'autre fois, occupait maintenant toutes mes pensées, j'en suis même arrivée à me dire qu'avec ou sans Alex je tenterais bien l'expérience.
Un matin, alors que je sors de chez moi pour me rendre en voiture au bois où j'ai l'intention de faire mon jogging matinal, je trouve un mot sous l'essuie-glace de mon pare-brise "Souriez, vous êtes filmée". Des frissons me parcourent instantanément tout le corps, je regarde autour de moi, mais je ne vois personne, ni dans une voiture stationnée, ni à pied, ni à une fenêtre... Je monte malgré tout dans ma voiture et me dirige vers le bois. Pendant mon trajet, le téléphone sonne, c'est Alex.
- Bonjour ma coquine, en route pour faire du sport et transpirer un peu ?
- Tu m'espionnes maintenant ?
- Non, mais tu m'avais dit l'autre fois que tu aimais aller courir le week-end seule dans le bois, j'avais envie de t'accompagner, mais si tu ne préfères pas, ce n'est pas grave, nous pouvons nous voir ce soir.
- Ce soir je suis prise, je passe la soirée avec Michel
Il est vrai qu'entre temps, Michel m'a rappelé, et que nous nous sommes mis d'accord pour nous voir ce soir et mettre les choses au point entre nous. Il semble décidé à faire des efforts pour que notre couple reparte, mais ne se doute encore aucunement de mes ébats forcés, et maintenant désirés, avec Alex...
- Ahaah, les affaires reprennent entre ton homme et toi alors ? Sérieusement ? Ou juste histoire de remettre le compteur à zéro ?
- Ca ne te regarde pas Alex, et si les choses reprennent entre Michel et moi, notre relation sera basée sur la confiance, et je lui raconterai tout ce qu'il s'est passé entre nous, le chantage sexuel que tu me fais subir, et tout le reste, alors ce matin sera sans doute la dernière occasion que tu auras de profiter de moi, ensuite, si tu me menaces encore ou me forces à quoi que ce soit, je lui raconterai tout
- Attends Chantale, y'a quelque chose qui ne va pas là, d'abord tu me menaces de représailles si je continue à te faire chanter, mais d'un autre côté tu me proposes une dernière occasion de profiter du plaisir que l'on fait ressentir l'un à l'autre
- Ecoute, je suis en train de conduire, et je n'ai pas de kit mains-libres, et comme t'es certainement en train de me suivre avec ta voiture, rejoignons-nous et discutons de vive voix, ce sera moins risqué et dangereux.
- Tourne à droite dans le petit chemin à 100 mètres, et gare toi derrière les troncs d'arbres coupés, je suis derrière toi, à 20 secondes
Comme je m'en doutais, il était en train de me suivre, je me rends donc à la place qu'il m'avait indiquée et sors de ma voiture pour l'attendre. Il arrive aussitôt, gare sa voiture devant la mienne, mais attend avant de sortir. Ne me laissant pas démonter, je prends les devants, et m'installe dans sa voiture, juste à côté de lui :
- Quand vas-tu arrêter ce chantage ? Je ne supporte plus cette situation, je veux être heureuse, sans me demander quand tu vas m'appeler pour me soumettre encore à tes désirs, et tes fantasmes répugnants et vulgaires.
- Ne fais pas ta malheureuse Chantale, tu as autant pris ton pied que moi, tu as jouis comme jamais avec personne, sans t'en douter avant, ta vision du sexe et du plaisir a changé, tu t'assumes enfin en tant que salope, tu es autant excitée que moi quand nous baisons ensemble, le fait que tu sois la mère de mon ex-nana ajoute juste un peu de piment, juste ce qu'il faut pour que ta culpabilité appuie encore un peu plus ton plaisir.
- Je dois reconnaitre que tu as raison Alex, contre toute attente, j'adore ta façon de me traiter sexuellement, mais j'ai vraiment peur de la diffusion de ce film que tu as fait de moi, j'aimerais vraiment que tu l'effaces, détruises toutes les copies, je ferais n'importe quoi pour ça, avoir la certitude que mes enfants et mon entourage ne verront jamais ce que je suis capable de faire...
- Je ne vais pas encore effacer ces copies, elles sont ma garantie de pouvoir faire de toi ce que je veux, comme maintenant, comme hier, et comme quand je voudrai, tu es et seras pour toujours MA salope, déjà que je t'ai fait l'autre fois la faveur de ne pas être ma pute...
Cependant, je te promets que tant que tu coopères, jamais je ne montrerai cela à qui que ce soit, et en ce qui concerne ta menace de tout révéler à ton Michel, ça n'aura pour conséquence que sa fuite, ou tout à coup un changement radical de comportement à ton égard, tu deviendras pour lui aussi juste une salope en laquelle ou sur laquelle se vider...
Ta menace ne me fait vraiment pas peur, et tu sais que tu n'as personne à qui révéler tout ça sans passer pour une vieille trainée...
Le salaud, quelle que soit la circonstance, il a toujours raison, et il ne peut s'empêcher de me rabaisser, de m'humilier, soit en me mettant dans des positions dégradantes, soit en me rappelant à quel point ma situation est médiocre si je veux m'en prendre à lui
Le pire dans toute cette histoire, c'est que je commence en plus à ressentir de l'amour pour lui, du désir... Peut-être un peu comme une kidnappée tombe amoureuse de son ravisseur...
Je m'approche de lui en pressant doucement ma poitrine contre son torse et lui sussure :
- Je te ferai ce que tu veux, quand tu veux, où tu veux, et comme tu veux, si tu effaces ce film et que tu me promets de ne plus en refaire. tu as fait de moi ta vieille salope, on ne peut renier ce qui s'est produit, tellement c'est allé loin. Je te promets que je connais une excitation sans pareil depuis la première fois que tu m'as prise, et j'aime de plus en plus les jeux et situations excitantes dans lesquelles tu me mets, Aucun homme n'a osé me faire découvrir le sexe de cette façon, même Michel, qui pourtant est pas mal cochon lui aussi...
Pendant que je lui parle, lui dit ce qu'il a envie d'entendre, ma main glisse langoureusement le long de son pantalon, contre la bosse qui déforme déjà fameusement la bas de la ceinture, ma langue parcours son cou, titille le lobe de son oreille, et la encore j'ajoute
- Je suis devenue ta salope, Alex, et je n'ai jamais eu envie d'une queue comme de la tienne en ce moment, prends-moi maintenant, comme une chienne, je suis trempée, regarde, si tu ne veux pas me croire.
Après ces mots, je retire ma main de sur sa bosse et la glisse dans ma fente trempée sous mon training pour lui faire voir ensuite mes doigts luisants de ma cyprine.
Il me prend la main et se met à doucement me lécher les doigts, avant de descendre une de ses mains écarter mon string et enfoncer quelques doigts dans ma chatte baveuse pour une branlette vaginale de plus en plus frénétique
Quel homme doué, vraiment, il me fourre de ses doigts jusqu'à l'orgasme, j'ai trop de mal à retenir mes cris, je gémis en mordant à pleines dents la manche de mon sweet, je me mets à jaillir, mon training absorbe rapidement mon liquide du plaisir et forme une tache dont l'origine est vraiment difficile à cacher. Ce salaud m'a encore une fois fait pisser de plaisir, littéralement. Je n'en peux plus, j'ai envie de sa queue, besoin de sa bite en moi, moi aussi je me remet donc à masturber mon ex beau fils, après avoir déboutonné son jean et sorti l'engin d'une taille encore plus impressionnante que les fois précédentes
- Je suis certaine que tu voudrais que je la prenne en bouche, j'ai pas raison mon salaud ?
- Tu sais Chantale, la partie de ton corps qui m'excite le plus, c'est ta poitrine, je suis dingue de tes gros seins bronzés, branle moi avec tes mamelles avant de la prendre en bouche, mais doucement, je n'ai pas envie de gicler trop vite.
J'ôte alors mon sweet, et me retrouve devant lui en soutien-gorge noir, tout en dentelles, très transparent. Alex me prend contre lui, me fourre sa langue au fond de la gorge pour un long et profond baiser, et d'une de ses mains, extirpes mes seins emprisonnés, sans dégrafer le soutien, mes lolos se retrouvent compressés l'un contre l'autre, je suis alors surprise de voir à quel point mes tétines pointent. Rapidement sa langue descend jusqu'à mes tétons qu'il se met à mordiller, m'arrachant encore quelques gémissements.
- Maintenant baisse-toi, à genoux, je vais te baiser la bouche avec ma queue entre tes gros nichons d'ex-belle-mère salope.
Dire qu'il y a encore quelques semaines, aucun homme n'avait osé me traiter ainsi, jamais la vulgarité n'avait été plus loin que quelques claques sur mes fesses, quelques surnoms cochons et de rares sodomies, ou plutôt tentatives de sodomie, et là je me sens de plus en plus excitée à chaque fois qu'il m'appelle sa salope, sa chienne, même me faire appeler sa pute me fait maintenant mouiller... Quelque chose de nouveau vient de se produire entre Alex et moi, à l'instant. J'assume maintenant complètement le plaisir que je prend de cette situation, mes seuls restes de culpabilité concernent ma fille, que je soupçonne être encore amoureuse d'Alex, ou qui regrette certainement de ne plus pouvoir profiter de ses atouts comme avant, Si elle apprenait que je me fais prendre par son ex comme une vieille salope (que je reconnais de plus en plus volontiers être devenue), je crois qu'elle ne m'adresserait plus jamais la parole, tout comme Virginie et Nicolas. Tout ce qui compte pour moi maintenant, c'est le plaisir que j'arrive à prendre en étant traitée ainsi par Alex, et que jamais mes enfants n'apprennent d'aucune manière à quel point leur mère est devenue traînée...
Je suis à genoux devant Alex, son chibre entre mes seins, entre lesquels j'ai craché plusieurs jets de salive pour faciliter la glisse entre ceux-ci.
à chaque coup de sa bite entre mes lolos, je titille du bout de ma langue son gland, je ne me retiens plus, j'enfonce de moi même sa bite au fond de ma gorge, ça me fait tousser, je salive abondamment, des coulées autour de ma bouche, tombant doucement sur mes seins, puis sur mes cuisses, enfin, mon pantalon de training, déjà bien trempé de taches bien visibles... Il me caresse les cheveux, et en profite pour guider ma tête contre sa queue, il me prend la bouche en gorge profonde, je m'étouffe pratiquement à chaque va-et-vient, mais je suis excitée comme jamais, il me baise vraiment avec passion
Je n'arrive pas à m'empêcher de me caresser pendant la pipe que je lui prodigue. A peine l'a-t-il remarqué, qu'il se retire de ma bouche, me relève, et retire mon pantalon de training qu'il laisse à mes pieds, écarte mon string et contemple ma chatte taillée un long moment avant de la pénétrer avec force dès l'entrée, une fois installée sur le capot de sa voiture, mon dos contre le métal encore chaud de l'avant de sa voiture.
Il me baise comme jamais, je retiens mon souffle et mes cris, je ne veux pas tout lui dévoiler de son pouvoir sexuel sur moi, il me met en transe, je ne contrôle plus mon corps, je fais n'importe quoi, des spasmes m'envahissent, je sans ma mouille couler entre mes cuisses pendant qu'il me défonce sans retenue, je n'en peux plus, j'ai besoin de crier :
- Vas-y Alex, défonce-la ta salope, fais moi couler de la chatte, j'aime ça, encoooore, fais tout ce que tu veux de moi, j'aime tout de toi
Il ralentit alors sa pénétration, et m'attrape les seins de ses deux mains, et se met à les pétrir, jouer avec mes bouts bien durcis, les pincer, m'arrachant encore quelques cris qui l'excitent. Une fois mes nichons bien en mains, il s'y accroche, comme à des poignées, et s'y tient pour me défoncer de toutes ses forces, j'ai cru qu'il allait me les arracher, mais quel plaisir je ressens à ce moment précis. son entre-jambes et ses couilles claquent à toute vitesse contre mes fesses et mes cuisses,
- T'as fini par devenir accro à la baise avec moi, hein ma vieille chienne ? T'aimes ça, te faire démolir la chatte par l'ex de ta fille, t'es une vieille nympho toi, tu ferais n'importe quoi pour une bonne baise...
Oh oui, il m'a rendue accro, et il ne s'imagine même pas à quel point, je ne lui en veux même plus du tout du chantage qu'il me fait subir, j'en suis devenue tellement excitée, tellement épanouie de mes nouvelles découvertes sexuelles que je lui en suis plus reconnaissante que rancunière, Je suis prête à être SA salope, à être salope tout court, d'ailleurs...
- Retourne toi, ma salope, je vais te prendre en levrette, plaque tes seins contre le capot, et mets ton pied sur la barre du pare-chocs
J'exécute son souhait, et lui offre mon cul cambré, prêt à ses assauts puissants. Il me met quelques petites claques bruyantes, mais pas douloureuses, même si elles me font tout de même crier ou gémir
- Ecarte les fesses ma belle, montre-moi tes trous, fais moi voir comme ils sont accueillants, sois salope jusqu'au bout.
Comme il me le demande, toujours penchée contre la voiture, je m'écarte les fesses et ballade mes doigts autour de mes trous, avant d'enfoncer deux doigts dans ma fente vaginale et entamer une jouissive masturbation.
- Arrête de te branler la chatte, maintenant que tes doigts sont bien trempés de ta mouille, ils lubrifieront idéalement ton trou de balle avant que je t'encule.
Sans protester, même en le regardant de façon aguicheuse, je fais doucement glisser mes doigts trempés de ma chatte à mon petit trou si étroit, et y enfonce un doigt, puis un deuxième pour de lents allers-retours profonds. Je ne peux plus me retenir d'exprimer mon plaisir.
- Aaaaah, c'est si bon, tu vas me faire jouir par le cul, vas-y, encule la bien doucement ta vieille chienne, puis accélère, jusqu'à me faire encore pisser.
Sa queue, raide comme du bois, se fraie doucement un passage dans mon conduit anal, il y va de plus en plus fort, je ne ressens que du plaisir, aucune douleur, ses mouvements et la profondeur de ses assauts s'accélère et s'accentue, je sens ses couilles contre ma chatte à chaque pénétration, sa queue entre entièrement dans mon anus, je n'arrive presque pas à parler.
- Aaaah, c'essst aaaah, c'est si boooooon, ta queue au... Fond... De mon cul... Ouiiiiii, je la veux encore, t'arrêtes paaaaaaaaaasssss... Démolis-moi par derrière, encoooore...
Il me met encore quelques claques sur les fesses pendant qu'il me démolit complètement le conduit, de par son diamètre
Pendant que je prends encore, je tourne la tête, et aperçois sur le chemin, à une vingtaine de mètres, un homme d'une 60aine d'années, avec son chien, tous deux entrain de regarder Alex me prendre le cul
Pendant qu'il accélère ses va-et-vient, il me demande :
- Alors ma salope, ça te dirait qu'il vienne nous rejoindre, histoire de te gratter une petite bite pendant que je te prends ?
- Aleeeex, je ne... Ouiiiiii, aaaaaaahhh, encooooore, défonce-moi
- Et sa queue, là, au mec, tu la veux dans ta bouche ? Ca te dirait de faire jouir un inconnu ? Je vais lui faire signe de venir, et lorsqu'il sera près de toi, tu vas le déboutonner et prendre sa queue dans ta bouche comme si c'était le plat le plus excquis que t'aies à déguster, même si sa queue ne te plait pas, même si il pue, ou que sais-je...
- Ouiiii, Aleeex, je ferai ce que tu veux, je suis ta pute.
Dans un court instant de lucidité, j'attrape mon sac qui était posé par terre contre la roue de la voiture, et me met mes grosses lunettes noires sur le nez, celles-ci cachant quand même pas mal mon visage, quelle honte si je me faisais reconnaitre, en train de sucer un voisin, un ancien collègue, le ré-assortisseur de rayons de mon supermarché ou qui sais-je... Voilà l'inconnu à ma hauteur, il tourne autour de nous en se touchant la bite à travers son pantalon, attache son chien à un arbre tout proche, s'approche à nouveau de moi et me tire la tête par les cheveux pour poser mon nez contre la braguette de son pantalon.
- Alors, vieille chienne, t'en rêvais hein ? de te faire défoncer pendant que tu suces la bite d'un inconnu comme moi, hein ? T'as mis tes lunettes noires ? Tu veux faire ta star ? Tu seras ma star du cul maintenant, je vais te défoncer la bouche, t'inonder la gueule de sperme bien chaud, tu vas te régaler, ton mec et moi, on va te mettre une sacrée raclée.
Là il commence à me faire peur, et Alex aussi. Non seulement cet inconnu se montre particulièrement excité et violent, mais en plus Alex le laisse faire, et semble même excité par le comportement de ce porc.
Voilà maintenant l'inconnu la bite à l'air, prêt à me l'enfoncer au fond de la gorge.
Là j'ai une nouvelle frayeur : Elle est EEENOOOOORME, bien plus grosse que celle d'Alex, bien plus grosse que n'importe quelle queue ayant parcouru mes orifices.
Pendant qu'Alex continue de me sodomiser, l'autre mec me tient toujours par les cheveux, me donnant des coups dans le visage avec son bâton déjà bien dur.
Pendant qu'il me tient d'une main, de l'autre il me pince violemment le nez, me forçant ainsi à garder la bouche ouverte, il mime un brossage de mes dents avec sa queue, me la tape contre la langue qu'il me force à garder hors de ma bouche...
- Mec, elle est vraiment terrible ta pouffiasse, vraiment merci de me laisser en profiter, une sacrée suceuse cette blondasse, elle a de ces nichons, t'es vraiment un veinard d'avoir un garage à bites comme celui-là, pas mal de kilomètres au compteur, mais elle a encore du souffle et encaisse pas mal de chevaux, cette vieille truie...
Ce porc n'arrête pas de parler de moi comme d'un simple objet, mais je m'en fiche, je jouis comme jamais, et malgré la monstrueuse queue de l'autre me remplissant la bouche, Alex m'arrache un nouvel orgasme anal, je sens que mon trou est grand ouvert, et que la queue d'Alex ne frotte pas contre toutes les parois, tellement je suis dilatée
Au bout d'un moment, mon maitre-chanteur se retire, et fait signe à son nouveau compère pour lui faire comprendre qu'il faut changer de place
L'inconnu retire son manteau, l'étale par terre pour se coucher dessus, sur le dos, et me tire contre lui pour que je m'accroupisse et m'empale sur sa queue gigantesque
Je la sens dans ma chatte comme ma première queue en moi à mon adolescence, dans ma petite chatte bien dilatée, et pourtant si étroite pour ce membre démesuré.
Je ne me retiens plus, outre le plaisir arrivent les douleurs, il me tient par les avant-bras, puis les lâche pour s'accrocher à mes seins, il y est littéralement pendu, pendant que le rythme de ses assauts atteint une vitesse vertigineuse. Je hurle, j'ai mal, ce dégueulasse est persuadé que je prend mon pied, mais il ne me fait que du mal. Je ne montre rien de mes douleurs à Alex, et ne cesse de le regarder droit dans les yeux pendant que sa queue s'agite devant ma bouche. Je l'attrape, la lèche, l'embrasse, la prend au fond de ma gorge... Mon inconnu me reprend contre lui, mes seins se frottent au tempo de ses aller-retours dans ma moule contre son torse velu et mal-odorant, il veut m'embrasser sur la bouche, me mettre la langue, mais sa dentition est affreuse, et son haleine d'alcoolo me rend malade, je détourne la tête, il m'embrasse, me lèche le cou, j'en suis dégoutée, même si ses caresses et baiser m'excitent. Lui aussi se met à me claquer le cul, et me palpe énergiquement les fesses pendant qu'il me défonce encore la chatte
- Eh mec, viens voir par ici, y'a encore une entrée de libre, on va la faire hurler ta pétasse...
Oh mon dieu, moi qui n'ai jamais fait de double pénétration, ma dernière heure a sonné, je vais me faire déchirer les trous, ça va se finir à l'hôpital, et je ne peux plus reculer.
Oh la la, comment vais-je expliquer ça aux enfants ?
Alex s'approche de mon petit trou, pendant que la queue de l'autre me laboure encore la moule. Avant qu'il me pénètre, je sens les deux mains du vieux porc se poser violemment sur mes fesses, l'index et le majeur de chacune de ses mains venir m'écarter l'entrée de mon anus, comme des crochets qui me tirent de plusieurs côtés en même temps
Mon cul est grand ouvert, Alex crache quelques fois de la salive à l'entrée, et la pousse de plus en plus loin avec sa queue, les claques de l'un et de l'autre fusent sur ton mon corps, mes fesses, mes seins, l'inconnu va même jusqu'à me gifler, j'en hurle, ils sont persuadés que c'est de la joie de me faire prendre ainsi, sans penser à la douleur qu'ils m'infligent ensemble, malgré le plaisir...
- T'aimes ça hein, vieille chienne ? Te faire défoncer, y'a que ça que tu aimes hein ?
- Ouiiiiii, aaaaah, je n'suis qu'une chienne en chaleur, défoncez-moi les mecs, faites moi gueuler, mouiller, trembler, aaaaah, oooh ouiiiii...
- Tu vas te ramasser notre sperme maintenant, ton mec et moi, on va te tartiner la face !
- Accroupis-toi contre la voiture, joue avec tes nichons devant nous, pince-les, prends-les en bouche.
Pendant que je les excite en me branlant la chatte, le cul, en me pelotant mes gros seins, l'inconnu me reprend par les cheveux, et même manège que tout à l'heure, me pince le nez, me forçant à garde la bouche ouverte.
Après s'être branlé de longues secondes devant mon visage, l'inconnu gicle, des litres !!!
j'en ai dans la bouche, sur toute la moitié du visage, sur mes lunettes noires,il me racle les joues avec ses doigts et porte son sperme à ma bouche, me forçant à de bien vilaines et humiliantes grimaces.
A peine l'inconnu en a-t-il fini avec moi que c'est Alex qui me décharge abondamment dessus, pendant que l'autre cochon se rhabille.
- La vache, elle était vraiment bonne cette salope, on se remet ça quand vous voulez mes cochons !
Pendant que je me lave et me rhabille, Alex, faisant de même, s'adresse à notre participant de dernière seconde :
- Ecoute, espèce de vieux porc, t'as baisé ma salope uniquement parce que je vous l'ai permis à tous les deux et que c'était notre trip à elle et moi. Maintenant que tu t'es bien vidé sur elle, tu vas oublier que nous existons, et te contenter de baiser ma chienne seulement dans tes rêves, car tu ne nous reverras plus jamais, c'est bien compris ? Si j'apprends que tu l'as suivie, ou importunée, je te retrouverai grâce à ton adresse que j'ai regardé pendant que t'étais occupé à te faire sucer par ma pétasse, et je ferai te faire par ton chien tout ce que tu as fait à ma salope, et je suppose que t'as pas envie de te faire fister le cul par une ou deux pattes de ton cher toutou, t'as percuté ? Alors maintenant dégage, JEAN-PIERRE DUBOIS, habitant rue Ernest Richet, je continue ?
Le mec s'en va, tout penaud, il en a presque failli oublier son chien attaché tout près, pauvre bête...
Je suis contre Alex maintenant, un dernier câlin, tendre, doux, dernières caresses de nos zones sensibles, histoire de nous donner envie de la prochaine fois, un baiser très coquin, bien appuyé, et nous remontons chacun dans notre voiture, je rentre chez moi, et tombe à mon arrivée à la maison, sur ma fille (l'ex d'Alex), et son actuel copain, en train de se disputer dans ma cuisine, Ils ne font même pas attention à mon arrivée...
Nous ne saurons que plus tard la raison de leur dispute, et les envies dont Nat m'a fait part, comme de reconquérir Alex, ce que je vais bien sur m'employer à lui déconseiller vivement...