L'ex-petit copain de ma fille m'a transformée, épisode 2

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Proposée le 5/06/2011 par Chantale69

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Lire le chapitre 1.


Hier, après plusieurs semaines, Alex m'a enfin recontacté. Je m'attendais à son appel, mais pas après autant de temps, surtout avec le plaisir magistral que nous avions pris à nous ébattre ensemble la première fois, que je pensais d'ailleurs être la seule fois...
Pendant notre conversation téléphonique, il n'entre pas directement dans le vif du sujet comme je l'aurais pensé, mais me pose des questions banales, sur ma relation avec Michel, si les choses s'arrangent entre lui et moi (A ce sujet, rien ne s'arrange, et mes derniers ébats sexuels datent de ma première relation avec Alex), me pose quelques questions à propos de Nat (qui est tellement heureuse avec son nouveau copain que je ne la vois même plus), si elle est tombée sur quelqu'un de bien, si elle bosse, ect..., façon habituelle de converser gentiment, poliment, comme si de rien était, avant d'enfin aborder ce qui me fait autant peur qu'il m'excite : L'objet de son chantage... Ce salaud a toujours cette fameuse vidéo sur son téléphone, celle qui dévoile au plus fort mon coté "cochonne" que je m'efforce tant de cacher dans la vie de tous les jours, et que je ne voudrais surtout pas porter à la connaissance de qui que ce soit parmi mes relations, tant directes qu'indirectes, telles que famille, amis, voisins, ect...
sachant de quoi Alex est capable au lit, si son audace est à la hauteur de son sadisme sexuel, j'ai de bonnes raisons de m'inquiéter.
Lors de son appel, je m'efforce donc d'être la plus gentille possible pour ne pas prendre le risque de le contrarier ou l'énerver au point de commettre l'irréparable avec cette vidéo de moi fort compromettante.

- Bonsoir Alex, je pensais presque que tu m'avais oublié, vu le temps que tu as mis pour me recontacter...

- Tu sais ma Chantale, quand on a la chance d'avoir gouté à l'intimité d'une Cougar telle que toi, tout d'abord on ne l'oublie jamais, puis surtout on est impatient de remettre ça, et la seule raison pour laquelle je ne t'ai pas appelé plus tôt, c'est parce que j'avais trop de boulot, que j'étais obligé de faire passer avant mon plaisir, mais je te donne rendez-vous demain soir, j'aimerais aller me promener dans les bois avec toi

Une Cougar, moi !!! Justement j'avais regardé sur tf1 une émission sur les femmes Cougar, donc des dames de ma tranche d'age ou plus, souvent divorcées ou veuves, voulant re-gouter aux joies du sexe, retrouver une "nouvelle jeunesse", seulement avec des hommes à peine sortis de l'adolescence, les plus âgés ont à peine vingt-cinq ans.
Je me suis mise à penser plusieurs fois que j'entamerais bien une relation avec un petit jeune, juste pour mon plaisir sexuel, lui montrer ce que c'est "une femme d'expérience", une relation sans conséquences, non-contractuelle... Mais je ne m'étais jamais imaginée vivre cela avec un ex-petit ami d'une de mes deux filles, à son insu, et surtout de cette façon des plus perverses et salaces
- Te promener avec moi dans les bois ? dans quel bois ? Et... Juste nous promener ?

- Tu te doutes bien que nous ne ferons pas que nous promener, mais si je te dévoile tout le programme de suite, l'attrait ne sera plus le même pour toi

Je m'imagine bien que si ce salaud veut m'emmener dans les bois, ce n'est pas pour cueillir des trèfles, mais même si son plan ne me rassure déjà pas du tout, je suis soulagée en me disant qu'au moins, dans les bois la nuit il fait bien noir, et qu'il lui sera très difficile de réaliser une nouvelle vidéo de moi dans de telles conditions de lumière

- A 22 heures précises, tu sortiras de chez toi, je te laisse le choix de la façon dont tu seras vêtue, mais tu as intérêt à être bandante, à mettre tes formes le plus en valeur possible, et à les rendre les plus accessibles possible, donc oublie le jean's moulant et le col roulé, c'est bien compris ? Je veux du "facile à enlever", et bandant au premier coup d'oeil, plutôt décolleté, et jambes nues, hauts talons et tout le bordel, et dans ton sac à main, tu auras une dizaine de capotes, du lubrifiant, et des lingettes humides. Compris ?
Tu quitteras la ville en voiture, en direction du bois. Une fois sur la route de La Pompadour, je te dépasserai avec ma voiture et tu me suivras jusqu'à l'endroit où je nous conduirai. Si il y a la moindre entourloupe, si tu ne suis pas mes instructions à la lettre, je te promets que tout ton immeuble saura de quelle façon une voisine comme toi aime s'envoyer en l'air

Le lendemain, précisément à l'heure convenue, je sors de chez moi, habillée d'une jolie robe noire, moulante en haut, décolleté plongeant, et nue dans le dos, entre les bretelles, le tissu des jambes volant jusqu'à mi cuisse, en somme une jolie robe d'été sexy.
J'avais pensé à mettre des jarretelles, mais même si ce n'est pas une mini-robe, elle tombe malgré tout bien plus haut que le genou, un peu trop pour une femme de mon age, puis il fait trop chaud en ce moment, et je n'avais pas envie de les abîmer. Je suis donc nue dessous ma robe, trouvant une culotte ou un string tout aussi inutile que les jarretelles et le soutien-gorge que je pensais mettre... J'ai aussi les hauts-talons qu'il voulait que je porte, noirs, avec deux lanières de cuir montantes et se nouant au dessus du mollet, ces chaussures me font franchement des jambes et un cul d'enfer, il devrait être content. Mes cheveux en chignon, coiffée d'un foulard noué sur la tête façon "gitane", j'ai mis mes lunettes plutôt que mes lentilles de contact ce soir. Déjà, les femmes à lunettes excitent bien plus les hommes, et m'attendant à au moins autant de cochonneries que la fois précédente, il est évident que je me prendrai à nouveau au moins une décharge en pleine figure, mes lunettes me seront donc plus pratiques que mes lentilles...
Un dernier coup d'oeil dans le reflet de la porte vitrée avant de partir, et me voilà en route pour mon rendez-vous qui me noue le ventre... Qu'a-t'il prévu ? Est-ce que ce sera bien la dernière fois ? Même si je suis terriblement excitée à toute cette mise en scène et cette situation, j'en demeure pourtant inquiète, énervée, impatiente d'enfin ne plus être sa proie, sa victime, impatiente d'en finir, malgré tout le plaisir insoupçonné que j'en ai tiré... Comme prévu, il me dépasse avec sa voiture, je le suis jusqu'à une petite allée en pierre, perpendiculaire à la route principale sur laquelle nous nous trouvions et gare ma voiture derrière la sienne, à une centaine de mètres de la première habitation visible du coin. Alex sort de sa voiture, la verrouille, et avance d'un pas décidé vers la mienne, de mon côté, ouvre ma porte, et me prie de passer sur le siège du passager, afin de s'installer au volant et nous conduire encore ailleurs. Je suis quelque part soulagée que nous poursuivions notre trajet dans une seule voiture, ensemble, et surtout dans la mienne, car je sais qu'au moins dedans aucune caméra ne peut y être cachée...
Pendant notre route, il conduit doucement, et bien sur en profite pour faire balader sa main droite un peu partout sur moi, et ne tarde pas à relever ma robe et y constater l'absence de lingerie, il sourit de plus en plus pendant que ses doigts commencent à s'aventurer un à un dans mon vagin et sur mon clito déjà bien gonflé

- Je suis vraiment agréablement surpris par le choix de ta robe ! Quel mec normalement constitué pourrait résister à ses envies, voyant une femme aussi belle que toi habillée de la sorte... Ecarte encore un peu les cuisses, voilàààà, là je sens mes doigts bien au fond... Tu mouilles déjà comme une folle ! Tu voulais vraiment de la queue toi ce soir, ne t'inquiète pas, tu vas en avoir !

Oh oui je mouillais déjà, malgré toutes les questions de moralité qui me passaient encore par la tête, je ne pouvais m'empêcher de m'abandonner au plaisir qu'Alex me procurait avec ses doigts, tout en conduisant ma voiture... Je gémis un peu à certaines caresses, mais je ne lâche pas un mot, il est évident que notre soirée ne va pas durer que quinze minutes, je me permets donc moi aussi de jouer un petit peu avec lui, et ne lui donne réponses à ses questions salaces sur le plaisir que par mes regards coquins et mes gémissements furtifs.

- Tu commences à couiner ! Dis moi que tu aimes mes doigts au fond de ta moule baveuse, lâche-toi, sois chienne en chaleur, fais moi bander !

Quoi ? Après mes efforts vestimentaires et mon attitude des plus osées à son égard, sa vidéo de moi, ses souvenirs... Il ne bandait toujours pas ????? D'accord, j'ai 49 ans, mon corps, pourtant conservé du mieux que je peux, n'est plus "de toute première fraîcheur", mais à m'en remémorer nos premiers ébats, il bandait comme un taureau du début à la fin. Que se passe-t'il donc pour qu'il ne bande toujours pas malgré mes poses suggestives et ses possibilités d'en abuser ? Lui aussi serait-il tiraillé par sa mauvaise conscience ? Bien fait pour toi mon ptit gars ! Mais il faut que je vérifie. Pendant qu'il me doigte, ma main gauche s'aventure vers sa ceinture afin de l'enlever, et déboutonner son pantalon, en avoir le coeur net... Une fois sa braguette ouverte, je suis un peu soulagée, rassurée, de trouver un joli boxer, très doux au toucher, sous lequel il y a déjà une bosse fort impressionnante

- Eh ben, ex-belle-maman ? Tu pensais que tu n'arriverais plus à me faire bander ? Elle est dure comme du bois dès que je me met à penser à toi, et jamais une femme ne m'a fait ça, encore moins la mère d'une de mes ex !

Je remercie Alex par un regard insistant, à la mine triste, de me rappeler à quel point la situation dans laquelle il m'a mise peut me faire culpabiliser, malgré que ce soit pourtant lui qui me persécute...

- Arrête ton char, je suis certain que tu t'es fait plaisir toute seule chaque fois que tu le pouvais en pensant à ce qui s'est passé entre nous, pour toi comme pour moi jamais ne s'est produite une telle excitation et une telle envie de toujours recommencer

Il parle trop, mais il a raison, faisant abstraction du fait qu'il ait été mon beau fils, qu'il ait fait l'amour à ma fille durant plusieurs mois, même plusieurs années, que je l'ai presque considéré comme un fils, je reconnais qu'il m'a toujours plu physiquement, que plusieurs fois je me suis dit que j'en ferais bien "mon ptit quatre heures", mais jusqu'à notre aventure du mois dernier, jamais je ne m'étais encore autant masturbée en pensant à lui, rien qu'en une journée...
Toujours sans lui dire un mot, je libère son engin de son caleçon et me met à le caresser en le frôlant doucement du bout des ongles. Lui aussi aime les sexes joliment taillés. il est légèrement poilu, un peu comme une barbe de cinq jours, terriblement doux malgré les premières apparences, mais moi aussi, autant que lui, j'aime les sexes bien taillés, c'est aussi à ce détail qu'on reconnait qu'un homme aime prendre soin de lui... Sa queue bouge à chacun de mes mouvements de doigts, comme par décharges électriques, il râle un petit peu, mes caresses lui font plaisir, il continue de rouler, ne sachant apparemment pas trop où il va, ou en tout cas le feignant bien, nous sommes maintenant sur une nationale déserte, une voiture nous croise seulement toutes les cinq à dix minutes et nous nous arrêtons enfin, mais sur un parking routier, où stationnent pas mal de camions, arrêtés pour la nuit.
L'endroit est vraiment glauque, mais il s'en fiche, défait nos ceintures de sécurité, et de sa main, qui tout au long du trajet me trifouillait la chatte, me prend par l'arrière de la tête et attire ma bouche vers sa bite dressée. Je m'exécute et lui tire la pipe qu'il a tant voulu durant le trajet. A chaque coup de queue au fond de ma gorge je la sens grossir, et malgré l'endroit où nous sommes, où chacun pourrait nous surprendre, je me sens excitée comme jamais, et ravie d'avoir cette queue pour me satisfaire, comme si plus rien d'autre que notre plaisir sexuel n'avait d'importance, sensation que je n'avais plus ressenti aussi fort depuis le père de mes trois enfants. Alors que je m'attendais à être "sa salope" ce soir et pour la nuit, pas une fois il ne m'a encore insultée, même si il ne peut s'empêcher d'utiliser un langage cru pour me décrire ses envies, depuis cette fameuse première fois...

- Que c'est bon, Chantale ! Voir mon ex-belle mère me tailler une super pipe en voiture, sur le parking d'une nationale, comme une vieille pute, ça m'excite trop !

Tiens, première insulte, justement j'y pensais... Qu'il me traite de salope, j'ai passé le cap, il m'a même appris à apprécier, et j'ai de moins en moins de mal à reconnaitre que j'en suis une, une vraie ! mais jamais je n'ai pris d'argent ou quoi que ce soit en échange de sexe, j'ai toujours partagé mon plaisir sexuel gratuitement, non mais ! Pendant que je lui caresse le gland du bout de ma langue, à genoux, les fesses contre la vitre de la voiture, il relève ma robe, faisant apparaître mon cul, nu, collé contre la vitre, et sa main redescend entre mes cuisses, s'occuper de mes orifices, me procurant un plaisir indescriptible

- Aleeeexxx, j'aaime tes doigts, j'aime ta queue, c'est booooonnnnnn.

- Je veux te prendre, te défoncer, te faire gueuler ! viens, grimpe-moi dessus, branle moi la queue avec ta chatte, bouge !

J'obéis à son ordre, je suis étrangement "ultra-soumise" à lui. Je suis tellement trempée qu'il entre en moi sans aucune difficulté, mais m'arrachant un puissant cri de plaisir.
Pendant que je monte et descend doucement mon bassin contre lui, il libère mon sein gauche de ma robe, et me fait de petites pincettes sur le téton pour me faire crier. il me fait un peu mal, mais j'aime sa façon de s'y prendre, il est comme "tout puissant" malgré sa jeunesse, et, bien que je prenne un immense plaisir grâce à ses coups, il m'énerve tout de même, à me soumettre aussi facilement pour lui à ses désirs, ses ordres, ses caprices, d'autant plus que je n'ai aucun moyen, aucune possibilité de m'y refuser, sans quoi il pourrait diffuser la vidéo sur son téléphone portable, qu'il ne me servirait à rien d'effacer, vu qu'il en a fait une sauvegarde en plusieurs endroits sécurisés, donc que je le veuille ou non, il me tient "à ses pieds". N'ayant plus le contrôle sur le rythme des assauts de sa queue au fond de ma chatte, il me martèle littéralement, me faisant hurler telle une chienne en chaleur. Orgasme, première "coulée" !!! Pour moi, mais pas encore pour lui, il est toujours en moi, toujours aussi dur, prenant toujours autant de place, ça me frustre encore plus, moi aussi je veux entendre Alex en plein plaisir, je décide de le provoquer comme il l'avait voulu la dernière fois...

- Alors mon cochon ? T'aimes baiser ta belle-mère comme une salope hein ?, ça te plait de jouer avec mes gros nichons ? ça te plairait d'y lâcher ton sperme ?
Tout en me roulant la langue sur les lèvres en le regardant de temps en temps, je continue à crier des insanités pour l'exciter

- Oh oui t'es bonne, j'adore tes loches, sors l'autre, j'aime trop les voir se cogner pendant que tu ramasses dans la moule !

Au plus il est insolent, au plus je mouille, mais lui comme moi commençons à avoir des crampes dans cette position. je couche alors mon fauteuil et me retourne en lui présentant mon cul, accoudée à la plage arrière, et lui, aussi à genoux derrière moi, passe la tête par le toit ouvrant pour pouvoir se redresser (c'en est même drôle, nous en rions beaucoup sur le moment, malgré l'action) pendant la levrette que j'encaisse en ne pouvant m'empêcher de gémir et crier un peu, tentant d'étouffer les sons sortants de ma bouche, impossible... Jusqu'à ce que j'aperçoive, à quelques mètres de notre voiture, deux mecs, sans doute des camionneurs, en train de nous regarder en souriant, et se touchant à travers leurs poches, chacun d'eux bière en main. L'excitation reprenant le dessus, il arrive à me les faire oublier, et me refaire crier de plaisir.
A un moment, j'entends un des gars s'adresser à Alex

- Eh, mets-lui un coup dans le cul de notre part, mec, fais la gueuler, ta pute, si elle est vraiment bonne, on se fera péter un coup avec elle nous aussi, essaies de pas trop nous la crever pour après !

Là, j'ai peur, Alex, qui me traite de pute, des mecs dehors qui nous regardent en nous "encourageant", me prenant eux-aussi pour une pute de parkings routiers... Il ne se rend pas compte, pendant qu'il me défonce, qu'à mes cris de plaisirs sont aussi mêlés des cris de craintes, de frayeurs, mais je n'ose encore dire quoi que ce soit par rapport à ma révolte, mon plaisir augmente, je ne veux pas casser cette montée, et heureusement, la voiture est bien fermée pour le moment...

Alex crache alors plusieurs fois sur mes fesses, sors sa queue de ma chatte, et s'en sert pour pousser sa salive juste crachée, à l'entrée de mon petit trou. Je la sens couler dedans, et le long de mes cuisses, le long de ma moule... Pendant qu'il me bourre toujours la chatte en levrette, un pouce s'enfonce dans mon deuxième trou, accompagné d'une grosse claque sur ma fesse gauche, de l'autre main, m'arrachant un grand cri

- Vas-y Chantale, fais leur plaisir à ces cochons, fais leur entendre à quel point tu prends ton pied.

- Ouiiiiii, elle est bonne ta queue, prend moi encore la chatte, je la veux pas par derrière, fais moi jouir par la moule, comme une fontaine, comme la dernière fois.

- Tu vas pisser ton plaisir, maintenant ou plus tard, tu vas encore gicler, ne t'en fais pas, mais là, que tu le veuilles ou non, je vais te défoncer le trou de balle, encore mieux que la dernière fois.

Nooon, par pitié, vraiment je ne peux pas le supporter, ça fait trop mal, la dernière fois j'en ai eu mal durant plusieurs jours, s'il te plait, prends-moi encore la chatte, pétris moi les seins, fais jouir ta salope, fais moi couler de la moule.

Pendant qu'il continuait à m'enfoncer son pouce, puis un ou deux autres doigts en même temps dans mon petit trou anal, j'essayais de lui dire n'importe quoi d'excitant pour l'inciter à continuer dans mon vagin, plutôt que d'avoir à supporter les douleurs d'une sodomie profonde et puissante, trop profonde et puissante pour moi en tout cas...

- T'en as eu mal, mais t'as eu bon aussi, reconnais le, tout est sur la vidéo, souviens-t'en ! Je peux te remontrer le passage si tu veux.

- Noon, s'il te plait, je ferai tout ce que tu veux, mais ne me prends pas par là.

- Tu refuses ? Pas de souci ! Tu as bien dit que si je ne te sodomisais pas, tu ferais tout ce que je veux ? c'est bien ça ?

- Ou ouou... Oui.

Mes craintes s'amplifient encore davantage, à quoi venais-je de dire oui ??? Ses allusions, ses délires, mais qu'est ce qu'il me réserve, ce salopard ??? Qu'est ce que je viens de lui promettre ? Comment m'en sortir ? Je ne peux même pas aller à la police... Comment expliquer aux flics que je prend mon pied en me faisant baiser par un maître-chanteur qui est en fait l'ex de ma fille ? Dans tous les cas, et dans tous les sens, je suis baisée !

- Commence par me branler avec tes gros nichons alors, avec quelques petits coups de langue bien sur, t'as intérêt que je me sente entre tes seins comme dans ta petite moule rasée de vieille pute

C'est la deuxième fois qu'il me traite de pute là, en plus de m'humilier par ses mots, il m'énerve, mais demeurant pourtant tellement excitée, je change de position, lui aussi, place sa queue entre mes deux melons, sur lesquels je crache aussi, un peu pour le remercier de pas m'avoir fait mal comme je le craignais, et les resserres pour lui faciliter ses allers-retours mammaires. Pendant qu'il bourre mes nichons comme si c'était ma chatte, il me donne quelques petites claques sur le visage, ce qu'il n'avait pas fait la première fois, on dirait que malgré mes "excuses" il veut me punir de ne pas le laisser me prendre par le petit trou...
Il reprend sa queue en main et la branle frénétiquement, son gland, à hauteur de mon visage, crache tout à coup toute sa sauce blanche, plusieurs jets puissants s'écrasent contre mon front, mon nez, j'en ai sur mes verres de lunettes, je me dis que j'ai vraiment bien fait de ne pas mettre mes lentilles

- Tire la langue, lèche autour de ta bouche, y en a plein, racle avec tes doigts jusqu'à ta bouche, avale tout !

Les éjaculations faciales, ça va, je gère, mais avaler le sperme, surtout quand on m'y force, j'ai vraiment du mal, mais j'ai peur, de la suite, des conséquences ect... Mais personne n'est mort de quelques gouttes de sperme avalées, le sachant relativement attentif au choix de ses partenaires, se protégeant lors de rapports avec des inconnues, j'exécute son ordre, et porte à ma bouche son sperme, comme la salope qu'il veut que je sois, la salope que je suis devenue...

- Ouais Chantale, t'as assuré, tu m'as bien fait jouir, comme une vieille pute ! Je suis certain que les deux porcs là bas se sont bien régalés du spectacle, eux aussi...

C'est la troisième fois qu'il me traite de pute, là, c'en est trop !

- Alex, je veux bien être ta salope, mais pas ta pute, essayons de garder des limites. Même si j'aime de plus en plus tes jeux coquins et salaces, j'aimerais tout de même que nous conservions un peu de respect mutuel...

- C'est No Limit ce soir, cette nuit, tu seras ma pute, et je vais être ton mac ! Après t'avoir bien défoncée, malgré tes réticences, tu vas te rhabiller, te nettoyer le visage, sortir de la voiture, et je vais te regarder tapiner ensuite devant les porcs qui se branlaient pendant que je te défonçais.

- C'est hors de question, là ça va beaucoup trop loin.

- Tu refuses ? Alors que tu m'as promis de faire tout ce que je veux étant donné ton refus de te faire casser le cul, et bien non seulement tu vas tapiner, mais en plus tu vas accepter la première passe qu'on va te proposer, peu importe l'allure du gars, ou des gars, peu importe le prix, même si ils sont fauchés et que tu dois te faire mettre pour dix euros, tu vas faire ce qu'ils veulent, TOUT ce qu'ils veulent ! Du moment qu'ils te paient, et que tu ramènes la tune comme une bonne putain que tu seras pour moi

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Merci aux modérateurs de ce site d'avoir déjà publié mon premier récit, bien que classé dans la rubrique des fantasmes, alors que ce salopard d'Alex me fait bien subir un odieux mais terriblement excitant chantage. Merci à tous pour vos lectures, et la publication de vos récits. J'aime lire vos commentaires, tant qu'ils sont en rapport avec mon histoire, et non avec ma façon de la raconter. Je ne suis pas une écrivain, je n'attends donc pas de critiques littéraires, ou que des réincarnations d'enterrés au Panthéon viennent me dire comment orthographier mon prénom. Je constate que plusieurs femmes écrivent sur ce site, ce sont d'ailleurs certains de leurs récits qui m'ont incité à finalement vous faire part des miens. J'ai la chance d'être une femme relativement bien conservée pour mon age, et qui, malgré les apparences, qu'elle tente de préserver aux yeux de son entourage, prend depuis peu un pied sexuel total dans les situations les plus insolites. Je découvre via ce site une nouvelle forme d'épanouissement sexuel grâce aux récits de mes aventures que vous lisez, et je vous remercie du fond du coeur pour le plaisir que vous y prenez. Que certaines personnes doutent de l'authenticité de mes ébats, ou que d'autres n'aiment pas la façon dont mon prénom est orthographié, ce n'est pas important. Encore une fois merci pour le plaisir que vous prenez à lire mes aventures, j'en prend autant à vous les raconter, et à profiter de mon corps et de ma libido, avant qu'elle ne disparaisse, comme chez beaucoup de mes copines de la vie de tous les jours, dont spécialement une, celle qui m'a incité à publier mes ébats les plus chauds ici, ou d'après ce que j'y ai déjà lu, tout est permis... :-)