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Proposée le 27/05/2011 par CAVAL
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Résumé du chapitre précédent : Elodie, née en 1975, est une jeune femme naturiste depuis toujours avec ses parents et son frère, Didier. Elle découvre ses premières émotions en observant les autres personnes nues sur les plages naturistes.
Puis elle a rencontré, à 16 ans, sur la plage naturiste, son premier vrai petit copain, Gérard, sans pour autant faire l'amour avec lui, ne partageant que d'agréables caresses.
CHAPITRE II
Ouvertures
C'est le dernier été que je passais avec mon frère. Il avait un an de plus que moi et l'année suivante, s'il réussissait son bac, il partirait pour d'autres destinations, bien que naturistes également.
Déjà, nos rapports étaient moins étroits, sans qu'ils se soient distendus, mais moi j'étais occupée avec mon copain et lui avait trouvé une compagne pour les vacances, Isabelle. Elle avait le même âge que lui. Il l'avait connue au camping textile où nous résidions. Il lui avait proposé de venir à la plage où nous allions tous les jours ne lui cachant pas qu'elle était dévolue au naturisme. Isabelle après un moment de réflexion, dit :
- Il faut tout connaître, je suis partante !
Mes parents firent remarquer à mon frère, qu'ils n'avaient rien contre le fait que sa copine nous accompagne, mais comme elle était mineure, l'autorisation de ses parents était indispensable. Les parents furent donc invités à un apéritif un soir à notre mobile-home. Ma mère expliqua les choses simplement : Que nous avions pris l'habitude de passer nos vacances au bord de la mer dans des lieux où les naturistes étaient admis et que nous vivions ainsi nus dans une atmosphère familiale, saine et sans aucune perversion.
- Mon mari et moi, répondit la mère d'Isabelle, nous n'avons rien contre le naturisme et si Isabelle accepte de vous suivre, nous ne nous y opposerons pas.
- Si vous voulez, vous pouvez venir aussi, ajouta ma mère.
- Non, je vous remercie. Je n'oserais pas me mettre ainsi nue devant d'autres personnes, je suis vraiment trop pudique. Je serais trop mal à l'aise et je ne suis pas sûr que mon mari, soit enclin à le faire. Maintenant si cela plait à ma fille, c'est très bien, au moins elle n'aura pas les mêmes inhibitions que sa mère.
Force est de constater qu'Isabelle après une petite appréhension, se fit très vite à la nudité. Dans les premiers moments, elle eut besoin de mon soutien et de celui de mon frère. Voici comment cela s'est passé :
Nous arrivons sur le bord de la mer avec nos affaires de plage. J'ai conseillé à Isabelle de ne pas mettre de maillot sous sa robe, juste une petite culotte, « c'est plus facile après pour se déshabiller ». Une fois nos serviettes étendues, nous ôtons nos fringues, jusqu'au dernier bout de tissu. Je sens une hésitation de la copine de mon frère. Je m'approche d'elle pour la rassurer et l'aider, un peu à l'écart des mecs (mon frère, mon copain et mon père). Elle quitte finalement sa robe et le string qu'elle porte et nous nous allongeons toutes les deux sur le ventre.
- Je suis toute nue, dit-elle, toute nue devant plein d'autres personnes. Je trouve ça totalement irréaliste !
- Mais ça te plait ?
- Je ne sais pas' En fait je suis horriblement gênée. J'en avais vraiment envie, mais là, une fois sur cette plage, je me demande vraiment ce que je fais ici. Et puis le pire, c'est que si je veux aller me baigner, tout le monde va me regarder.
- Personne ne te regardera au contraire, tu verras ça se passera bien.
Lorsque nous décidons d'aller nager, elle se lève très mal à l'aise, elle jette un coup d'oeil autour d'elle, comme un animal effarouché, pour savoir si on la regarde. Et une fois dans l'eau, je sens que les choses commencent à aller mieux. Le plaisir qu'on ressent de nager nu a conquis Isabelle. Pour revenir à nos serviettes, même si pour elle, marcher nu en public n'est pas encore naturel, elle n'en fait pas toute une histoire. En fin de matinée elle est déjà beaucoup plus décontractée et en fin de journée, c'est presque normal pour elle d'être nue sur cette plage avec son copain, la s'ur de celui-ci, mon copain et nos parents. Elle a oublié cette honte de montrer sa petite touffe de poil ou ses deux beaux petits nichons aux hommes qui l'entourent.
Elle passe ainsi 15 jours avec nous et je peux affirmer qu'elle a finalement beaucoup apprécié. Les bains dans la mer, les bains de soleil, dans la nudité intégrale du corps c'est vraiment une expérience inoubliable. Sa crainte qu'on le regarde, qu'on la mate a rapidement disparu. Elle a constaté que tout le monde est nu et que personne ne regarde les autres.
- Je n'avais pas une idée négative du naturisme, mais tout de même, je me disais qu'ils étaient étranges ces gens qui se mettaient tout nu sans ressentir aucune gêne. Sans l'insistance de ton frère et les sentiments que j'éprouve pour lui, je ne crois pas que j'aurais sauté le pas. Mais aujourd'hui, je peux dire que je suis une adepte inconditionnelle. Je sais que je continuerai le naturisme, même si je n'ose pas en parler avec mes parents. Ils savent où je suis, ils savent ce que je fais, mais nous n'en parlons pas.
Parfois mon frère et Isabelle s'éloignent. Je sais très bien qu'ils se retirent pour passer de doux moments en toute discrétion. La taille que prend alors le sexe de mon frère ne trompe personne. Vaillamment il lutte en lui pour ne pas être en pleine érection, mais immanquablement, sa tige gagne en volume. Je les regarde s'éloigner en me disant que l'année prochaine, j'accepterai de me donner à un beau mec comme mon frère et je connaitrai alors le plaisir que semble éprouver Isabelle. Car celle-ci est toujours partante, peut-être est-ce même elle qui sollicite mon frère. Lorsqu'ils réapparaissent, ils font toujours un tour dans l'eau, histoire d'effacer les taches douteuses, et les deux tourtereaux sont ravis, avec des étoiles dans les yeux et un sourire aux lèvres.
Ce qui est amusant, c'est lorsque Isabelle demande à son copain de lui étaler de la crème. Celui-ci s'exécute et immanquablement il se retrouve en érection. Car il ne s'agit pas d'omettre une seule parcelle de son corps : Il doit enduire le corps de la belle côté pile et côté face. Ses mains s'aventurent sur le dos, les fesses, les cuisses et les mollets mais aussi l'intérieur des jambes, et là ses doigts en remontant entre les cuisses, atteignent la conque de la dulcinée. Puis ce sont les seins qu'il doit caresser pour y faire pénétrer la crème, son ventre jusqu'à la limite de ses poils pubiens et enfin les jambes. Il reste le plus discret possible, mais en désespoir de cause, après avoir terminé son office, il se couche sur le ventre et attend que ça passe. En fait, Isabelle est un peu perverse, car elle sait très bien l'état dans lequel elle met son amoureux.
Mes parents laissent faire, d'autant plus que ma mère avait demandé à celle d'Isabelle, si elle prenait la pilule. C'était bien le cas et afin de limiter tout risque, mon frère promis de toujours mettre un préservatif. Ainsi il protège son amoureuse estivale de toute saloperie. Aucune des deux familles n'est dupe sur les rapports qui existent entre les deux jeunes gens.
Ils nous accompagnent souvent à la plage, mais on les voyait parfois s'éloigner comme pour aller se promener. Ils partent en fait pour un voyage vers Cythère, bien plus chaud que les tableaux de Watteau. Tout naturiste, sait trouver des endroits discrets, à l'abri de tout regard pour s'adonner librement à leur amour. Mes parents et moi-même savons bien ce qui allait se passer. Ma mère a même l'habitude de dire :
- Ils sont jeunes, ils sont beaux, c'est de leur âge de découvrir les plaisirs de l'amour.
Et du plaisir, mon frère semble savoir en donner à Isabelle.
D'ailleurs, un jour, mes parents sont partis à la plage et je suis restée faire la grâce matinée dans le mobile-home m'étant couchée très tard après une nuit passée en boite. La chambre que je partage avec mon frère est plongée dans une douce pénombre et je sorts tout doucement des bras de Morphée lorsque je vois la porte s'ouvrir. Mon frère et Isabelle entrent dans la pièce sans s'apercevoir que j'y suis : Ils me croient partie à la plage. Je ne bouge pas d'un pouce et les regarde.
Didier, tout en embrassant fiévreusement Isabelle, fait glisser les fines bretelles de sa robe d'été sous lequel elle ne porte qu'un string. Sa jolie petite poitrine apparait. Mon frère prend en main et caresse les deux seins délicatement, il les embrasse. Isabelle le laisse faire et reçois ces palpations avec un réel plaisir si j'en juge par le sourire qu'elle arbore. Puis son amant tête littéralement le bout de chaque nichon comme le ferait un bébé. Isabelle se jette au pied de mon frère et lui baisse son short et son slip laissant apparaitre un sexe déjà bien gonflé. Sans hésiter, elle prend la queue en main, la branle un petit peu, regarde dans les yeux mon frère qui fixe le moindre de ses mouvements. Elle applique sa langue sur le gland brillant et le parcoure avec lenteur et agilité. Sa langue se glisse dans la fente du méat, donne des petits coups sur le frein et vient s'enrouler autour de la verge. Puis elle prend l'objet du désir entre ses lèvres et entame un mouvement de va-et-vient sur la tige qui est maintenant dans une parfaite érection. Mon frère qui est resté debout tout ce temps, se couche sur le lit et Isabelle vient se positionner entre ses jambes pour continuer son ?uvre. Il attire son corps contre lui, jusqu'à ce que sa bouche ait accès au sexe féminin. Il ôte le string et part vers les contrées secrètes de l'intimité de sa copine : avec sa langue il s'emploie à rendre sa partenaire heureuse. Il lèche le sexe entièrement de bas en haut, visite l'entrée du vagin, stimule le clitoris. Il lèche, il suce, il introduit un doigt dans les muqueuses de la belle qui tout en restant accrochée à la queue ressent une douce chaleur dans son ventre.
N'y tenant plus, mon frère la renverse sur le lit, met à la va-vite un préservatif et introduit son sexe en elle. Il la prend en missionnaire, ce qui ne dénote pas une trouvaille extraordinaire, mais qui pour moi qui suis voyeuse, constitue un spectacle particulièrement jouissif. Je vois le sexe de mon frère aller et venir dans celui de sa copine et l'excitation des deux amants est à son comble. J'entends les râles de plaisir de la jeune fille sous les assauts de son amant. Moi-même, j'ai le sexe en feu et inondé de mouille. Je me branle très discrètement de peur d'être découverte sous mes couvertures.
Après quelques minutes de cette chevauchée fantastique, les deux amants changent de positon. Elle s'agenouille, en appui sur les coudes et cambre ses reins. Didier s'agenouille derrière elle ; va-t-il la sodomiser ? Non, il frotte son sexe toujours aussi dressé entre ses fesses, mais arrive devant l'orifice vaginale qu'il pénètre jusqu'à la garde. Il presse son bassin contre la croupe et exerce, à l'aide de ses hanches, des mouvements de va-et-vient. Ses mains viennent se poser sur les seins de sa compagne ; il les caresse, les malaxe, en triture les pointes jusqu'au moment où la jeune fille atteint un orgasme qui fait sursauter son corps tout en poussant un petit cri.
Mon frère se retire prestement, prend son sexe en main et en quelques secondes éjacule abondamment à l'entrée des lèvres d'Isabelle, sur sa figure et sur sa poitrine. Elle accepte cette inondation avec un sourire radieux. Mon frère aide sa maîtresse à se nettoyer du sperme qui macule son visage et ses seins, puis, ils se rhabillent et quittent le mobile-home sans m'avoir vu. Je peux alors me masturber frénétiquement et sans retenu : Je ne suis pas longue à obtenir une grande jouissance.
Je ne pensais pas avoir été découverte jusqu'à ce que mon frère me dise vers la fin de la journée :
- Le spectacle matinale t'a plus petite s'ur ?
- Tu savais que j'étais là ?
- Pas depuis le début, mais lorsque j'ai changé de position pour prendre Isabelle en levrette, j'ai aperçu la forme de ton corps sous les draps. Cela ne m'a pas trop déplu qu'on nous regarde. C'était même assez plaisant. Tu fais une sacrée cochonne Elodie. Mais ça reste notre secret, Isabelle n'est pas au courant et je ne veux pas que tu lui dises quoique ce soit, je ne sais pas quelle serait sa réaction'
L'année suivante, je ne retrouvais pas Gérard. Nous nous étions écrits durant l'année et il m'avait dit qu'il ne pourrait pas venir me retrouver durant les vacances, ses parents avaient d'autres projets. J'en fus, sur le coup un peu déçue. En fait cela était fort bien. Je rencontrais un autre garçon, Helmut, un Allemand. Nous parlions en anglais, lui ne maîtrisant que quelques mots de Français et moi ne connaissant rien de la langue de Goethe. Je fus très flattée qu'il fasse attention à ma personne, car il était plus âgé que moi et beau comme un Dieu : Le corps musclé et fort, grand sans être grandissime, et un sexe très à mon goût, long et fin avec le gland décalotté. Et surtout, je n'étais pas sa première fille, il avait l'expérience que je n'avais pas et que Gérard n'avait pas non plus.
Avec lui, je l'ai su tout de suite, j'allais pouvoir sauter le pas pour entrer dans une nouvelle dimension. Cette fois-ci j'y étais prête, je savais et voulais que ce soit lui qui me ravisse ma virginité, qu'il brise mon hymen, que je devienne une femme avec lui. Avant de partir en vacances, j'avais discuté avec ma mère de cette question : « Faire l'amour pour la première fois. » Je n'ai jamais rien caché à ma mère, du moins à cette époque là c'était vraiment le cas. Ce serait la troisième personne qui apprendrait que je ne suis plus vierge, après moi et le garçon. Je prenais déjà la pilule, mais elle me recommanda d'utiliser des préservatifs pour me prémunir des MST.
Aussi, lorsqu'il voulut réellement faire l'amour avec moi, je ne refusais pas. Nous nous éloignâmes dans un coin discret, à l'écart de la plage. Nous étions déjà nus et je voyais son sexe gonflé de désir, tandis que je sentais mon entre jambe s'humidifier. Helmut employa beaucoup de douceur avec moi qui restais passive. Il m'embrassa très amoureusement sur la bouche avant de descendre à la découverte de mon corps. Il ne se contenta pas de me caresser les seins d'une façon divine, avec attention en formant des cercles concentriques jusqu'à la pointe, mais il les embarrassa, les suçota et le téta comme l'avait fait mon frère avec Isabelle. Enfin, pour les exciter définitivement, il les mordilla à la fois avec fermeté et avec extrême douceur. Je ressentis alors une première onde de plaisir.
Ayant obtenu sans doute ce qu'il voulait de ses caresses, il descendit doucement le long de mon ventre, déposant des baisers sur tout le long de son parcours. Arrivant à mon buisson, naturel, je n'étais absolument pas rasée, il y fourailla avec les doigts jusqu'à mon bouton qu'il ne toucha pas tout de suite. Il plongea la tête entre mes jambes. J'étais un peu intimidée. Lui montrer ma nudité ne m'avait posée aucun problème, mais là il s'agissait de mon intimité. C'était une autre étape, un reste de pudeur hors de la saine nudité du naturisme. Ce sexe pourtant je l'avais montré volontairement ou involontairement sur la plage, mais là, devant son visage, à quelques centimètres de ses yeux? Cependant ses gestes fermes et sans appels m'empêchaient de protester. Je me laissais donc aller en rengorgeant la pudeur que je pouvais encore éprouver. D'ailleurs elle disparut totalement dès que sa langue s'activa sur mes lèvres intimes déjà largement ouvertes tans cela était bon. Avec ses caresses buccales je perdis toute retenue et fut bientôt emportée par une seconde vague de plaisir au moment précis où il atteignit mon clitoris.
Dans mon lit, je me branlais souvent, me touchant les seins, ouvrant légèrement mes lèvres (en faisant attention de ne pas briser mon hymen) et titillais mon bouton sensible. Mais jamais je n'avais éprouvé ce que me procurait mon amant. Lorsqu'il introduisit son sexe en moi, je ressentis une petite douleur, mais qui se mua bientôt en un plaisir que je ne pouvais (ni ne voulais) dissimuler. Ses va-et-vient, tantôt doux, tantôt vigoureux eurent raison de mon esprit et une troisième vague de plaisir encore plus puissante que les deux premières me submergea. Lorsque je repris réellement mes esprits, il me tenait étroitement enlacé, et me couvrait la poitrine de doux et savoureux baisers. Mon ventre et ma toison étaient maculés de son sperme.
J'étais aux anges. Il m'avait fait femme.
Nous refîmes souvent l'amour ensemble au cours de ce séjour. Je vécus un mois de plaisirs sans cesse renouvelés. Car mon amant n'avait pas brulé toutes ses cartouches dès notre première étreinte. Il m'initia à différentes positions bien loin de celle du missionnaire. J'acceptais tout de lui, ne ressentant en tout, que de l'amour. Ce que j'aimais le plus je crois, ce sont ses caresses. Il savait aller à la découverte des moindres parcelles de mon corps avec ses doigts agiles, la paume de ses mains. Il accompagnait parfois ses expéditions avec ses lèvres me couvrant de baisers ou de la langue pour lécher mon épiderme au goût salé. Bien sûr, lorsqu'il s'occupait de mes zones érogènes, j'étais en extase.
Lors de notre première relation j'étais restée passive, lui laissant prendre possession de mon corps, comme une ville assiégée ouvrant ses portes à une armée à la fois redoutée et attendue. Par la suite, je fus plus réceptive et même entreprenante. Je répondais à ses caresses et à ses baisers fougueux. Bientôt, je prenais son sexe en main, je le cajolais, le branlais doucement. Je voulais lui donner le même plaisir qu'il m'avait prodigué avec la bouche. Il m'initia à la fellation, me conseillant sur ce qu'il fallait faire et ne pas faire. Je suivais ses directives en amantes soumises, en bonne élève. Il m'apprit tout de la fellation : Je prenais sa tige entre mes lèvres et allais et venais, glissant sur toute la longueur, j'agaçais le gland avec le bout de ma langue, je m'attaquais parfois à ses bourses que je voyais se mouvoir sous le coup de l'excitation.
Au début je ne voulais pas avaler sa semence et je le laissais se répandre en l'air. Mais il a su me persuader avec douceur. Après avoir éjaculé ainsi, il recueillit du bout des doigts quelques gouttes et les porta à sa bouche, puis reprit à nouveau quelques gouttes en dirigeant sa main vers moi :
- Goûte.
- Non, je n'aime pas.
- Tu n'as jamais goûté, juste un goute et après tu pourras dire si tu aimes où non.
Je cédais et constatais avec surprise que ce n'était pas si répugnant que ça. Ce n'était ni bon ni mauvais, juste un peu visqueux sur la langue.
Tant et si bien, que le lendemain, lorsqu'il éjacula sur mes seins, je recueillis moi-même son sperme sur mes rondeurs et le portai à mes lèvres.
Un peu plus tard, alors que je lui suçais avidement le sexe, il me fit comprendre qu'il allait partir, mais cette fois-ci je ne quittais pas son membre et je reçus tout son foutre dans la gorge. Je faillis m'étouffer avec les puissantes giclées. Mais j'étais contente d'avoir réussi à repousser ce qui était pour moi comme une barrière. En plus, je lus dans les yeux de mon amant un tel plaisir que j'en ressentis une petite fierté. Par la suite, je recueillis avec joie son jus et je l'avalais avec délectation.
Je le remercie de m'avoir si bien éduquée afin de pouvoir donner du plaisir à mes partenaires. Ceux-ci ne s'en sont pas plains. Nous les femmes, à certains moments, l'intronisation d'un sexe dans nos muqueuses n'est pas toujours plaisante. La bouche est alors un bon substitut. De plus, une giclée de sperme dans la bouche ne porte pas à conséquence : Pas de grossesse et peu de risque d'attraper une maladie.
Une seule chose constitua pour nous un interdit : Nous n'avons pas pratiqué la sodomie. Il était Allemand, mon beau Helmut, je le rappelle ; or, la sodomie est un fantasme et une demande masculine très française. J'ai entendu une callgirl québécoise, qui disait que si son client était de notre hexagone, elle était certaine à 90 % qu'il lui demanderait la pénétration anale. Chez ses autres clients, c'était beaucoup plus rare. Donc mon amant étranger ne me proposa pas un seul instant de me prendre par un autre orifice que mon vagin ou ma bouche.
J'ai parlé de la douceur avec laquelle il faisait l'amour avec moi. Parfois il savait se montrer beaucoup plus brutal tout en faisant attention à mon plaisir. A chacune de nos joutes, j'ai joui entre ses bras. Il faut dire que c'étaient des moments où nous étions particulièrement excités.
A la fin des vacances, nous avons du nous quitter en étant persuadé que jamais nous ne nous reverrions. C'était mieux ainsi. Il m'avait appris beaucoup et donné beaucoup. A présent je devais faire ma route seule, de mon côté. Je savais très bien que dès son retour dans son pays il trouverait une nouvelle fille et que je ne compterais pas plus que cela dans son c'ur. Il était donc inutile que je m'attache plus que cela à lui et que je passe à autre chose.
Pour mon frère, il prenait tout autant que moi, plaisir à vivre nu l'été. Le bac en poche a 18 ans, il décida de partir en Grèce avec un copain pour un séjour d'un mois. Fini les parents, vive la liberté.
- Mais, lui demandais-je, tu vas faire du naturisme là-bas en Grèce ?
- Naturellement frangine, tu ne crois pas que les vêtements, j'en ai pas assez soupé toute l'année scolaire.
- Et ton copain, il est naturiste ?
- Il ne l'était pas vraiment. Mais il était partant pour essayer. Alors je l'ai converti. D'abord, on a passé une journée nudiste chez lui, pour voir comment il réagissait. Puis, je lui ai fait découvrir un étang où il y a pas mal de naturistes. Maintenant il connait notre philosophie. A l'entendre, il serait presque plus naturiste que moi.
Mon frère me raconta son voyage à son retour. Comme je n'avais que 16 ans et que leur « naturisme » n'avait pas été très conventionnel il hésita. Sous le feu de mes questions, il rendit les armes. Voici son récit :
« Le bac en poche, nous sommes partis Fred et moi pour nos vacances dans les îles grecques. Nous avons pris l'avion jusqu'à Athènes, puis un Ferry pour gagner les îles. Là-bas, les bateaux qui vont d'îles en îles sont comme de gros bus de transport de ville à ville chez nous. Nous espérions bien rencontrer quelques filles peu farouches sur les plages naturistes d'une des ces îles. En fait nous misions sur les étrangères sachant que les autochtones sont malheureusement très pudiques et qu'un maillot deux pièces est déjà pour elles d'un grand dévergondage. Il est amusant de constater que ce pays soit devenu si prude alors que dans l'antiquité la nudité s'affichait : Les sports se pratiquaient sans costume, même le public assistaient aux jeux nus ; dans certaines pièces de théâtres des personnages étaient nus sur scène sans que personne n'y trouve rien à redire, les dieux, les déesses et les héros étaient plus souvent représentés dans une totale nudité plutôt qu'habillés'
Nous sommes arrivés dans la première île à l'aube. Le temps de nous installer dans une chambre louée par des habitants nous partîmes à la découverte de lieux où l'on pouvait se baigner nu. Il suffisait de regarder la tenue où étaient les étrangers présents : Ici maillot intégral, là topless et un peu plus loin' Nu intégral.
Nous nous installâmes dont sur l'une de ces plages à l'écart des villages. En cette matinée il n'y avait pas encore grand monde. Nous avons posé nos serviettes sur le sable, quitté nos vêtements et allâmes piquer une tête dans l'eau. Ce bain salvateur avec un long voyage et le plaisir de pouvoir le prendre nu nous requinqua ; une fois terminé nous regagnâmes la plage. Nus étendus sur nos serviettes nous attendions. Quelques couples arrivèrent, mais aucune fille seule.
Un peu plus tard, nous décidâmes de retourner à l'eau. Au moment d'en sortir, je vis que tout près de nos affaires, s'étaient assises deux filles. Elle avait gardé la culotte de leur maillot de bain, mais elles ne portaient pas de haut. Je ne pus m'empêcher de les envisager et de me dire tout de suite qu'ils étaient prometteurs de bien des caresses.
Nous sommes sortis de l'eau tous les deux pour regagner nos serviettes sous le regard appuyé des filles, pas du tout gênées de nous voir nus, nous diriger vers elles. Je suis même certain qu'elles appréciaient bien attentivement nos queues. Nous nous sommes assis à côté d'elles. Tout naturellement, nous avons commencé à discuter tranquillement. L'une s'appelait Fanny et l'autre Thérèse, elles étaient flamandes. Mais rien à voir avec celles évoquées par Jacques Brel. Leurs regards s'abaissaient souvent vers notre taille pour contempler nos sexes. On aurait dit qu'elles les appréciaient, les jugeaient. Si elles avaient pu prendre nos membres en main pour pouvoir émettre un jugement plus précis, cela ne leur aurait pas déplu. Ce voyant envisagé ainsi ouvertement, mon copain et moi, nous sentîmes, contre notre volonté, nos sexes se gonfler. Pourtant nous faisions tout pour éviter cette excitation ostensible : Nous ne voulions pas choquer les des jeunes filles. Mais cela ne semblait pas leur poser le moindre problème.
Un moment elles parlèrent dans leur langue, rirent et Fanny nous dit :
- Si vous voulez faire plus ample connaissance avec nous, venez, nous connaissons un coin agréable. Mais pour traverser la plage remettez vos slips, sinon comme c'est parti, c'est le sexe au garde à vous que vous allez déambuler.
Ces mots ne firent qu'amplifier notre début d'érection. Nous les suivîmes jusqu'au bout de la plage. Là nous entrâmes dans l'eau en suivant le bord d'une petite falaise. L'eau nous arrivait à mi-cuisse. Et bientôt nous apparut une minuscule crique de sable fin cachée aux regards de la plage principale. Elle était déserte. Une fois arrivés, les filles quittèrent les culottes de maillots nous laissant découvrir leurs petites chattes partiellement épilées, nous les imitâmes. Nous les suivîmes dans l'eau. Fanny semblait avoir jeté son dévolu sur moi, tendit que Fred était entrepris par Thérèse. Fanny s'approcha de moi et dans l'eau, sans la moindre hésitation, prit mon sexe et le caressa, pour ma part je ne tardai pas à lui peloter les seins et à en baiser les tétons. Elle avait d'adorables nichons tout en rondeur. J'avais déjà pu les juger de vue lorsque les deux filles étaient venues nous entreprendre, mais là sous la pression de ma main, la douceur de la peau et la souplesse de la chaire me ravirent. D'ailleurs, elle n'était pas insensible à mes attentions, car sa poitrine se gonflait, durcissait et leurs pointes s'érigeaient de façon notable.
Quant à mon sexe, il se raidissait de plus en plus. Il était dans l'eau en pleine érection, presque collé sur mon ventre. Elle savait y faire ma petite flamande, elle me branlait magistralement, tantôt tout en douceur, tantôt vigoureusement, contrôlant à merveille ma jouissance pour qu'elle n'arrive pas trop rapidement. Cependant, sous ses caresses expertes, je ne mis pas long temps à éjaculer dans l'eau. Elle m'embrassa alors avec fougue. Après quelques brasses où j'essayais de la poursuivre dans l'eau, nous avons regagné la plage.
Elle s'étendit sur le dos jambes écartées devant moi me laissant complaisamment admirer sa vulve accueillante. Je mis ma tête entre ses jambes et lui léchais le sexe, j'allais et venais des poils de sa chatte à son cul en passant par sa vulve aux lèvres juteuses et son clitoris extrait de son capuchon. Par un regard de côté, je pus constater que mon copain était lui aussi très occupé avec Thérèse. Je ne mis pas longtemps à bander à nouveau. Je me couchais alors sur ma belle flamande et m'enfonçais en elle [Je te passe sous silence la mise nécessaire d'un préservatif, protections que nous avions et qu'elles avaient aussi, de quoi baiser sans retenue et sans risque pendant toutes les vacances].
Elle gémissait de plaisir. J'ai pu tenir longtemps ayant déjà éjaculé une première fois. J'allais profondément en elle. Puis je me retirais et malgré ses protestations, je m'occupais à nouveau des ses adorables tétons, les léchant, les tétant, les prenant en bouche. Puis je redescendais vers son sexe qui avait perdu le goût salé de l'eau de mer, mais avait pris celui de sa cyprine. J'allais faire un petit tour par son cul pour lui prodiguer de ce côté-là aussi quelques manipulations digitales. Enfin je reprenais ma queue en main pour l'enfoncer en elle, vigoureusement. Cela lui arracha un râle qui ne pouvait être que de plaisir. Je l'astiquais ainsi durant un bon moment. Mais je me retirais une nouvelle fois pour prendre ma partenaire différemment. Je substituais la position en levrette à celle du missionnaire. Cela me permettait d'avoir une vue imprenable sur le trou de son petit cul, je ne pus résister au plaisir d'y enfoncer un puis deux doigts ce qui décupla la jouissance de Fanny. Elle eut un premier orgasme alors que j'allais toujours en elle. Le temps qu'elle reprenne son souffle, je ne sortis pas d'elle, mais je minimisais mes mouvements. J'en profitais pour regarder où en était l'autre couple. Fred était au-dessus du corps de sa complice et lui couvrait le ventre et la poitrine de son sperme, tout deux étaient comme ne transe.
Quand je sentis que Fanny était prête pour de nouvelles chevauchées, je repris mon va-et-vient en elle. Comme elle s'était écroulée lorsqu'elle avait eu son orgasme, je décidai de rester derrière elle, mais l'un à côté de l'autre en chien-de-fusil : Ce qu'on appelle la position des cuillères dans le kamasoutra. Cela me permettait d'embrasser ma belle amante dans la nuque tout en lui caressant le clitoris. Parfois je remontais jusqu'à ses seins que je malaxais sans vergogne et avec beaucoup de plaisir. D'autant plus qu'elle semblait aimer ça. Je sentais que ma jouissance n'était pas loin, pourtant, je ne voulais pas là laisser là en plant, il fallait que je lui fasse atteindre à nouveau le nirvana avant de juter en elle. Heureusement, elle ne fut pas longue à pousser un rugissement tout en frappant le sable de la main. Je lâchais alors la bride à mon plaisir et communiait avec elle dans un orgasme d'une rare intensité. Je n'eus pas le temps de me retirer comme Fred et c'est en elle que je lâchais mon jus' Enfin dans ma capote.
Je peux te dire s'urette, que le reste des vacances ne fut pas triste. Nous vivions quasiment en permanence nus, tantôt faisant l'amour sur la plage, tantôt dans la mer. Parfois, nous changions de partenaire moi limant Thérèse tandis que Fred s'occupait de Fanny. Nous alternions coïts vaginaux et anaux à la demande et pour le plus grand plaisir de ces deux furies du sexe. Elles aimaient goûter nos sexes dans leurs trois orifices. Les deux filles, lorsque nos vigueurs venaient à décliner se lançaient sur les chemins de Lesbos.
Un jour Fanny pris la queue de mon copain dans la bouche tandis que je la pilonnais. Thérèse regardait avec concupiscences nos ébats. Nous éjaculâmes simultanément, Fanny ne perdant aucune goutte de notre foutre. Après cela, sa copine, qui n'était pas la moins vicieuse des deux, dit :
- Ce que j'aimerais, c'est d'être prise par vous deux dans le cul et dans la chatte.
Comme nous étions partis pour cette double pénétration, sans autre forme de procès, Fred s'allongea sur le dos. Fanny ne voulant pas rester en dehors de ces jeux lubrifia avec sa salive son sexe déjà dressé. Elle le fit tendre puissamment en le léchant tandis que de ses doigts (couverts de salive également) elle préparait le petit trou de sa copine. Cette dernière vint s'empaler tout doucement sur le sexe ainsi bien préparé. Elle geignait à la fois de souffrance et de plaisir. Quand la queue fut en elle bien profonde, elle me fit un signe de la main pour que je vienne dans son con. Je m'enfonçais comme dans du beurre tant elle était déjà mouillée. Ca me fit bizarre de sentir, presque contre le mien, le sexe de mon copain tant ils étaient proches l'un de l'autre, mais ce ne fit que décupler mon plaisir. Nous partîmes dans une chevauchée fantastique atteignant un orgasme conjoint qui nous laissa tous les trois pantelant pendant plus d'une heure. Devant ce tableau, Fanny voulut, le lendemain, elle aussi, être prise ainsi. Là encore ce fut extraordinaire.
Lorsque nous nous sommes quittés après deux semaines de baise, d'un commun accord, nous ne nous sommes pas donné nos coordonnées. Cet épisode n'était qu'une folie de passage sans lendemains, mais au combien forte.
Ce séjour comme tu peux le constater ne fut pas seulement naturiste. Nous vécûmes nus comme lors de notre naissance, dans la nature, mais là s'arrête la notion du naturisme comme nous l'entendons. Nous avons également vécu un séjour de baise avec deux compagnes voulant explorer des pratiques oh combien jouissives, sans se prendre la tête. Avec elles, nous avons revisité plusieurs positions du kamasoutra, bien moins usité que la levrette, le missionnaire ou même les cuillères comme je l'évoquais plus haut. »
Ce récit m'excita beaucoup et j'espérais pouvoir moi aussi vivre des expériences aussi vibrantes lorsque je serais majeure. Je me voyais à la place de Fanny ou Thérèse en trains de faire l'amour en plein soleil. Et même, d'être prise en sandwich par deux hommes. J'étais persuadé que cela m'arriverait un jour.
Prochainement : chapitre III : Le plus naturellement du monde
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