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Proposée le 21/05/2011 par Chantale69
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Dialogues très crus et chantage
Je suis Chantale, maman divorcée du papa de mes deux jolies filles et de mon beau garçon, tous les 3 ados. Malgré mes 49 ans, je fais encore tourner pas mal de têtes quand je sors. Je suis assez grande, blonde, aux yeux bleus, très mince, de longues jambes, pourvue d'une très généreuse et lourde poitrine, et d'assez jolies fesses. Je suis très coquette et passe beaucoup de temps à m'occuper de mon corps : soins du visage, du corps, séances UV, shopping régulier... Je suis en fait ce que les jeunes aiment appeler "une MILF" ! J'ai rendez-vous ce matin avec Alexandre, l'ex-petit ami de ma fille Nat, qui doit passer à la maison pour récupérer quelques affaires lui appartenant, et que Nat n'avait pu lui rendre, entre leur rupture et sa mise en ménage avec son nouveau petit copain.
La sonnette retentit à la porte, Alex est bien en avance, je suis toujours en peignoir mais ce n'est pas grave, il m'a déjà souvent vue dans cette tenue, et m'a même déjà surprise nue, aux toilettes, après toutes les nuits qu'il a passé à la maison en compagnie de ma fille... Et moi même l'ai déjà vu dans la tenue d'Adam, donc...
- Bonjour Chantale, désolé d'être là plus tôt que prévu, je ne te réveille pas au moins ?
- J'allais me faire une tasse de thé avant m'habiller, tu en veux aussi ? par contre je ne pourrai pas te consacrer beaucoup de temps car Michel doit arriver d'ici peu.
Je suis la maitresse de Michel depuis plusieurs mois, et nous avions prévus de nous voir ce matin après la visite d'Alex, pour passer une journée tranquille entre amoureux.
Justement, à peine ai-je préparé le thé d'Alex que Michel m'appelle sur mon portable.
Nos conversations étant souvent assez coquines juste avant de nous voir, je sors de la cuisine pour répondre à mon appel.
- Excuse-moi ma chérie, mais je ne pourrai pas venir tout à l'heure, ma femme est tombée sur ton dernier message et c'est Hiroshima ici à la maison, je pense qu'il est préférable qu'on arrête de se voir pendant un petit moment... Et bla et bla et bla.
Mais qu'ais-je donc pour ne tomber amoureuse que de connard ??? Je fonds en larmes, mais je dois me ressaisir car Alex est toujours dans ma cuisine et je ne veux pas lui montrer mon chagrin et ma frustration, mais je suis vraiment énervée, et excitée aussi, je me faisais une telle joie de partager un nouveau moment intime avec Michel, on se voyait déjà si peu avant, mais nos rapports étaient si forts, si intenses...
Je retourne à la cuisine, mais Alex a repéré directement mes yeux rouges, le maquillage qui a coulé, et suite aux élèvements de ma voix, a certainement entendu au moins des morceaux de ma conversation avec Michel.
Il se lève, me prend dans ses bras pour me consoler, me rassurer, en me parlant doucement, me caressant délicatement le dos et la nuque à travers mon peignoir de satin. Bien que ce soit l'ex de ma fille, et qu'il n'ait que 24 ans, je dois reconnaitre que ce jeune homme me fait de l'effet, ses caresses me font frissonner de partout, et, outre le bout de mes seins se durcir, je sens ma culotte se mouiller, et...
Il parcourt doucement tout mon dos du bout de ses doigts, de mes cervicales jusqu'au creux de mes fesses, ses caresses sont tellement agréables que mes mains se mettent machinalement à faire pareil sur son dos et ses cheveux
Je mouille déjà vraiment fort, pendant qu'il me "console" je repense à toutes ces fois où à travers le mur je l'entendais baiser ma fille, toutes ces fois je me faisais plaisir seule pendant que ma fille et lui en profitaient comme des cochons, ces fois où j'ai fantasmé sur Alex, mais bon, revenons sur terre, il ne fait que me consoler de ma tristesse du moment, puis je pourrais aussi être sa mère, puis c'est l'ex de ma fille, puis il n'a que 24 ans, puis il n'est certainement pas amoureux, je ne le suis pas non plus...
Dans ma tête se mélangent l'excitation et les questions de moralité, jusqu'à ce qu'une nouvelle sensation m'envahisse : Tout en continuant ses douces caresses dans mon dos, pendant que ses doigts descendent de plus en plus bas sur mes fesses à chaque aller retour, il se met à m'embrasser tendrement dans le cou, une série de bisous du bas de ma nuque jusqu'à l'arrière de mes oreilles, où j'y ai même senti sa langue
- Alex, on va s'arrêter là je pense, on s'égare, et je ne veux pas faire de mal à ma fille, Nat nous en voudrait certainement, sans parler de ce qui se passerait si Virginie et Nicolas l'apprenaient. (mes deux autres enfants)
- Il nous suffit de rester discrets, et de se contenter de juste profiter du moment présent.
Je sais que tu es excitée Chantale, je suis certain que t'es déjà trempée, je sens que t'as envie de te faire prendre dans tous les sens, par tous les trous...
Je suis presque outrée par la "crudité" de son langage, lui que j'ai toujours connu aimable, gentil, bien éduqué, je ne l'imaginais certainement pas me parler de la sorte, même si j'ai déjà eu des hommes qui aussi m'insultaient pendant l'amour, en me traitant de tous les noms
- Ne fais pas ta choquée, je sais que t'aimes qu'on te parle ainsi, j'ai tout de même souvent passé pas mal de temps dans la chambre située juste à coté de la tienne...
Il est vrai que si je l'avais déjà entendu baiser avec Nat, il était tout à fait possible qu'il m'ait entendu aussi à travers le mur m'envoyer en l'air avec Michel, à qui il prenait de temps en temps de me lâcher un "T'aimes ça hein salope" ou "Dis moi que tu la veux dans le cul",... même si je n'avais jamais été une fan de ce genre d'ébats vulgaires
- Tu ne dois pas t'inquiéter, personne ne dira rien à personne, et j'en ai envie autant que toi si pas plus, regarde si tu ne me crois pas
Il prend alors ma main pour la poser sur la bosse de son pantalon, que je me mets à palper doucement, et en même temps ce petit salopard tire sur le noeud de mon peignoir pour l'ouvrir, profitant de ce que ma main occupée ne retient plus.
- Ouaw, quelle paire ! Ils vont se faire dévorer, ceux-là !
Le voir si content, étonné et admiratif devant ma poitrine, aux tétons maintenant bien durs, m'excite encore plus, mes mains débouclent sa ceinture et la droite s'enfonce sous son caleçon pour le branler lentement. Malgré que je sois tout à fait consciente de ce que je fais, je suis malgré tout surprise de mes réactions et de mon attitude.
Il me ressert contre lui, m'embrasse à pleine bouche et me fourre sa langue au fond de ma gorge, je me laisse faire et lui rend ses baisers, ses mains palpent mes fesses doucement mais fermement, et je sens ses doigts glisser sous mon peignoir, sous mon string trempé et un puis plusieurs doigts entament un va-et-vient de plus en plus rapide au fond de mon vagin dégoulinant.
- Mais oui, j'avais raison, t'es trempée comme une salope toi, et en plus tu t'es taillée la moule, j'adore ! Je suis certain aussi que t'es une super-suceuse, prend-la en bouche maintenant, lèche moi la bite et les couilles.
J'ai maintenant mis toutes mes questions de moralité aux oubliettes, tellement excitée par la situation. Ses mains remontent jusqu'à mes épaules, en passant sur mes seins et tirant sur mes tétons, jusqu'à me faire gémir, et même crier. Ses mains remontées sur mes épaules me pressent à m'agenouiller pour exécuter son plaisir buccal.
Sa queue est vraiment énorme, bien plus grande que celle que j'imaginais quand je l'entendais niquer avec Nat, et j'ai du mal à la prendre profondément, du moins autant qu'il le souhaite. Il appuie sur l'arrière de mon crane, je m'étouffe, crache, et manque de peu de vomir, mais en même temps c'est vraiment bon, je suis folle d'envie de me faire prendre. Je le suce de longues minutes, lui caresse les couilles et le cul du bout de mes ongles... Il me baise la bouche, littéralement ! Il y met tant de hardeur que je n'ose imaginer ce qu'il va me mettre ensuite.
- Quelle suceuse ! J'avais raison, mais je vais gicler si tu continues ainsi, et j'ai trop envie de te pénétrer et t'entendre hurler de plaisir. Couche toi sur la table et écarte les cuisses,
branle toi la chatte et les seins, tu m'excites, t'imagines même pas...
Oh si, j'imagine très bien à quel point Alex est excité, c'est surtout lui qui ne s'imagine pas à quel point je le suis. Couchée sur la table en pierre, j'écarte les jambes et ferme les yeux en profitant des sensations apportées par nos caresses, nos baisers, nos léchouilles...
Sa tête entre mes cuisses, il me lèche la chatte avec beaucoup d'habileté, et de plus en plus frénétiquement. Je ne peux plus retenir mes cris et mes contractions, il me lèche si bien, je sens sa langue s'enfoncer dans mon vagin, titiller mon clito déjà bien gonflé, jouer avec l'entrée de mon petit trou...
- Aaaaaah, c'est si bon avec ta langue, ouiiiiiii, oh putain que c'est bon...
J'arrive à mon premier orgasme, ça monte. Sa langue est remplacée successivement par 2, puis trois, puis 4 doigts qui entrent et sortent de ma moule à toute vitesse. Je n'arrête plus de gémir et de crier, et après plusieurs fortes contractions, de la cyprine se met à gicler puissamment de ma cramouille trempée, je me tire les tétons pour accentuer les sensations
- Maintenant que je t'ai bien fait jouir je vais te défoncer avec ma queue, d'abord au fond de ta moule de salope.
D'abord au fond de ta moule, ça veut dire qu'il y a autre chose après ! J'espère qu'il ne va pas essayer de me sodomiser, je ne vois pas mon anus encaisser une telle barre...
Il me parle comme à une vieille pute, comme si il avait complètement oublié le respect et la politesse avec lesquels il s'était toujours adressé à la mère de sa nana, enfin, maintenant de son ex-nana... Mais je ne suis plus dérangée par ses mots, je suis même excitée, je ne suis plus que sa chienne, sa vieille salope, et j'aime ça !
Quelques anciens partenaires m'insultaient aussi pendant l'amour, mais jamais ça ne m'avait excitée comme je le suis aujourd'hui, et à certains j'ai même demandé immédiatement de cesser, en leur disant que si ils voulaient une pute ou une salope, ils n'avaient qu'à aller chez Madame Claude, ou au Bois de Boulogne.
J'adore le sexe, les dialogues coquins, par contre être insultée comme une trainée ne m'excitait pas du tout, jusqu'à aujourd'hui. Mais Alex sait s'y prendre, et curieusement, venant de lui, malgré nos antécédents, ça me fait dégouliner de la chatte.
Toujours couchée sur le dos sur la table, Alex me défonce, mes nichons bougent dans tous les sens, il les attrape et les pétrit fortement, comme un boulanger, leur met même des petites claques, qui à chaque coup m'arrache un cri, les porte à ma bouche pour que je titille mes bouts avec ma langue
- Lèche toi les nichons, salope ! Montre moi à quel point tu aimes prendre du plaisir et en donner. T'es bonne, aaaaahhhh quelle chiennasse !!! J'ai envie de te prendre en levrette là, contempler ton cul se faire fracasser...
Enfin il veut changer de position, même si je prenais mon pied avec ce qu'il me mettait, se faire défoncer à même la pierre, même polie, n'est pas très confo. Je me relève donc et prend Alex par la queue pour l'attirer vers le salon où nous seront certainement plus confortables, installés dans le grand canapé où il me positionne à quatre pattes pour me prendre par derrière
Ses mains agrippent fermement mon cul, et sa bite entre profondément dans ma chatte.
Je la sens deux fois plus fort que quand j'étais couchée sur la table dans la cuisine, Alex est vraiment un sacré baiseur, je ne le pensais vraiment pas si expérimenté, surtout pour son jeune age, et je ne me savais pas aussi... Salope...
C'est pourtant maintenant ce que je suis : Une vieille salope, à quatre pattes, en train de se faire démolir par l'ex-petit ami de ma fille, et profiter de plusieurs orgasmes insoupçonnés, grâce à lui. Il me met des claques sur les fesses, me presse les seins, me tire les cheveux, fourre ses doigts dans mon anus puis me les met en bouche en écartant mes joues, me forçant malgré moi à de bien bizarres grimaces que je regarde dans le grand miroir au dessus de la cheminée, face au canapé sur lequel on s'éclate Alex et moi
- T'aime ça hein, quand on te défonce comme une chienne, t'es un vrai parking à biroutes toi, t'as du en encaisser des kilomètres... Que j'aime t'entendre hurler ! Je vais te prendre le cul, il ne demande qu'à se faire démonter.
- Pas mon cul, Alex, s'il te plait, ça fait trop mal.
- Tu verras, tu vas aimer, une vieille chienne comme toi ne peut qu'aimer ça.
Alex crache sur mon cul plusieurs fois et se met à tapisser mon petit conduit avec sa salive. Sa queue glisse lentement dans mon anus qui se dilate doucement, laissant enfin la douleur faire place au plaisir
- Aaaaah aaaaaaaaah.
- Tu vois que t'aimes te faire prendre par le cul, salope ! Ce sont tes ex qui ne savent pas s'y prendre avec ton trou d'balle.
- Ouiiiiii, tu vas me faire jouir par le cul.
Après une bonne salve d'allers-retours ultra rapides dans mon petit trou, il se retire pour changer de position et se couche de tout son long sur mon canapé, m'invitant à monter "à cheval" sur son pieu dressé
- Je veux voir tes loches bouger dans tous les sens pendant que tu t'empales, montre moi à quel point tu peux être salope, vieille chienne. Branle toi les seins pendant que tu chevauches.
Je ne me contrôle plus, ne pensant qu'au plaisir qu'Alex me donne. Pendant que sa queue fouille le fond de mon trou anal, trois doigts me branlent à nouveau la chatte jusqu'à une nouvelle explosion de cyprine.
- Mais t'es une vraie fontaine toi ! Moi aussi je ne vais pas tarder à gicler, tu veux ta crème en bouche ou tu préfères te l'étaler sur tes gros nichons ?
- Donne-moi ton foutre sur mes gros seins, mon cochon.
Je descends alors de ma "monture" et me pose à genoux devant le canapé en le regardant droit dans les yeux pendant que je me malaxe ma poitrine. Il fourre sa queue entre mes seins et se met à les baiser de plus en plus vite et violemment.
- Ooooh putain, je vais te gicler toute ma sauce blanche, prépare toi, tu vas me vider.
A peine il termine sa phrase que je me retrouve inondée de sperme, j'en ai même eu dans les cheveux, il m'en a vraiment mis partout, alors qu'effectivement sa queue visait bien mes lolos, mais le jet de sperme, trop puissant, m'a recouvert aussi le visage, et coule un peu partout sur mes seins, mon ventre, mes cuisses, faut juste maintenant faire attention de ne pas tacher les meubles et les tapis...
J'étale la crème sur mon corps en me caressant, et lui nettoie tendrement le chibre avec ma langue.
- Tu m'as baisée comme un champion, un sacré bail qu'aucun homme ne m'avait prise ainsi, ne m'avait donné autant de plaisir, malgré certaines douleurs, mais je n'oublierai jamais, tu peux en être certain.
- Moi non plus je n'oublierai pas, on se remettra ça très bientôt, histoire de se fabriquer de nouveaux souvenirs.
- Non Alex, c'était la dernière, et la seule fois où nous nous sommes "écartés du droit chemin".
- C'est surtout pour ma queue bien droite que tu as écarté, et tu écarteras encore, sinon...
- Sinon quoi ?
Au lieu de me répondre, il se lève et va jusqu'à la table où était posé son téléphone, et me montre sa dernière "oeuvre" filmée grâce au mode camera de son iPhone
- Sinon... J'envoie un petit mail bien sympathique à une liste de contacts bien sympathiques, qui eux mêmes l'enverront à d'autres personnes bien sympathique, et outre risquer de te retrouver avec une file interminable de mecs devant ta porte pour te sauter, tu finiras avec une de ces réputations, je ne te dis que ça... En plus tu as vu ? On ne voit que toi sur cette vidéo, digne d'une star porno, non ?
- T'es vraiment qu'un salopard ! Tu comptes me faire chanter longtemps comme ça ?
- Ca dépend de toi, de ton enthousiasme, de ta bonne volonté, et crois moi, si tu essayes d'esquiver, d'une manière ou d'une autre, j'ai de quoi te le faire regretter, et comme je t'ai dit, j'ai plein de contacts, dont certains seraient ravis de venir passer un moment avec toi, je pourrais les faire venir tous en même temps...
En une matinée, de son ex-belle-mère, cet enfoiré en a fait sa pute, sa salope, son vide-couilles ! Tout ça, c'est moi ! Et malgré le dégout que m'apporte cette situation, j'en suis terriblement excitée, et presque impatiente qu'il vienne me remettre ça, même si je sais que c'est pour ensuite subir un nouvel épisode de chantage. Alex ne le sait pas, il s'en doute, mais n'en est pas certain, que je désire effectivement qu'il revienne chez moi, même si je ne peux le lui avouer...