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Proposée le 19/05/2011 par metelos
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Lire les chapitres 2 et 3.
Chapitre 4.
Mme Dubonbois, née Boufterre, était une femme bien gentille, mais un peut simplette dû à une maladresse engendrée par sa distraction. Il faut bien préciser que son médecin de mari n'égayait pas les soirées conjugales avec ses histoires de malades. Mais depuis quelques jours elle se passionnait pour l'histoire des meurtres mystérieux et ne manquait de donner à son mari ses hypothèses, ces meurtres sur fond de relations sexuelles débridés ont pour effet de libérer chez elle une libido endormie. Dommage que cela n'ait pas plus d'effet que cela sur son mari ! Enfin ! Comme elle dit, mieux vaut une main experte dans sa culotte fendue qu'un pt'i gars mou qui prend froid dès qu'il prend l'air !
Elle n'imaginait pas que ce matin là, la tartine de poulet mayonnaise qu'elle préparait allait mettre sur une piste l'inspecteur Lachapelle.
Le jeune policier républicain, ne tenant plus d'attendre que le brave médecin eut fini son casse-croute entra avec fracas dans le bureau de ce dernier. Le brave médecin heureux de constater que sa femme n'avait pas confondu le poulet avec une tranche de foie (dont il avait horreur !) et qu'elle avait bien garni le poulet de mayonnaise (sa sauce préférée) allait mordre dans le pain lorsque Lachapelle entra dans la pièce en manquant d'arracher la porte. La conséquence fut inattendue, sous la surprise, Dubombois sursauta lâchant son précieux, lequel s'ouvrit sous les lois naturelles de la gravité et de la force centrifuge, et, comme toutes tartines recouvertes de beurre lâchées, celle-ci tombe de haut en bas et entre systématiquement en contact avec le sol sur la surface recouverte de beurre. C'est exactement ce qui ce passa avec la tartine. Mais comme elle couverte de mayonnaise et non de beurre, il s'agit ici d'une variante. Donc, la tartine s'écrasa alors sur le veston de la pauvre victime.
Cet accident eut un effet particulier. Lorsque le médecin retira la tartine du veston, il découvrit dans un pli un petit morceau de dentelle. Avec précautions et de ses doigts gras de mayonnaise, il tira dessus. Les deux hommes découvrirent alors une culotte en dentelle qui de toutes évidence était trop petite pour être celle de la victime. De plus deux lettres semblaient être brodées. Il fut facile de reconnaître un C et ce qui pourrais être un L.
Lachapelle arracha le bout de tissu des mains du médecin, trop heureux d'avoir enfin une piste. Décidé de l'exploiter au maximum, il repartit au poste de police et mit tous ses hommes sur le coup.
Les policiers passèrent au peigne fin le bureau de Duponville sans résultat, ils fouillèrent aussi les appartements de la secrétaire, de la femme de ménage malgré ses 120Kg, même le jeune assistant y passa ! Au bout de 3 jours Lachapelle n'avait rien.
Fatigué et agacé par cette piste qui ne tenait pas ses promesses, il décidait de se détendre au bordel de la ville. La patronne Olga trop heureuse d'avoir un homme de loi dans ses locaux lui proposa sa meilleure fille. Les caresses de la fille de joie le détendirent, elle fut même heureuse de voir que ses caresses le faisaient bander sans qu'elle ne lui prodigue quelques voluptés. Elle ne put s'empêcher se le sucer avec fougue. Les couilles dans une main, elle astiquait le dard du policier de son autre main, en appuyant le gland gonflé sur sa langue. Elle redressa alors cette queue pour glisser sa langue sur les testicules. Elle adorait faire cette opération car elle sentait le degré d'excitation de ses clients. Lachapelle était très excité et ses bourses le prouvaient en étant bien gonflées et dur.
- Ben mon cochon, t'as pas baisé depuis quand ? Y'a pas de filles à Paris ?
- Si mais elles sont trop chères pour moi ! De plus mon affaire ici me préoccupe? RAAAA oui ! Avale bien !
La fille de joie venait d'avaler tout son sexe. Sentir son gland au fond de la gorge de la fille le fit décoller.
- T'as une queue dit donc ! Longue et bien raide, je mouille rien que de la sucer ! Bouffe moi le minou et remplis moi ! Si ta queue remplit ses promesse je t'ouvre ma rondelle gratis !
Pris dans une ivresse de sens, Lachapelle entreprit de débarrasser la jeune femme de sa culotte et de la prendre. Il n'en pouvait plus, il fallait qu'il goûte sa fleur.
Soudain il eut une révélation, la culotte en dentelle de la fille de joie était faite de la même dentelle que celle retrouvée sur Duponville.
- Ho saperlipopette !
- humm ! Je te fais tant d'effet ? Attends de vo?
- Non, enfin si c'est bon ! Mais ta culotte ! d'où vient-elle ?
- Ma culotte ! C'est donc ça qui te fait bander ! Et moi qui te pompe comme une folle, tu bandes parce que ma culotte est en dentelle ! SALAUD !
- Non tu suce divinement bien ! Mais la dentelle de ta culotte est la même que celle retrouvé sur ma victime de meurtre. d'où vient-elle ?
- Ha ! Elle vient de la boutique "Au froufrou Affriolant", demande Arriette. Mais j'espère que tu es riche, la mienne m'a coûté la peau du cul !
- Merci j'irai demain. Retourne-toi que je glisse entre tes fesses !
- Je préfère ça mon Loup !
Sur ces mots, Lachapelle glissa sa langue entre les petites lèvres de la fille de joie. Il explora tous les recoins de cette fleur humide. En mordillant le clitoris gonflé la fille se tordit de plaisir. N'y tenant plus Lachapelle se redressa et enfonça son chibre entre les pétales et pénétra au plus profond du ventre de la fille. Celle-ci expira un long cri de satisfaction pendant que la matraque du policier lui écartait les cuisses. Les coups de reins de Lachapelle faisaient danser les seins pourtant peu volumineux de la fille. Le sexe trempé d'humidité, il décidait de s'inviter derrière. La fille ne protestant pas, il n'eut pas de peine à forcer l'entrée. Aussitôt la fille se mit à hurler. Lachapelle se sentait à l'étroit dans ce petit cul et il sentait le gode qu'il commandait avec ses mains glisser dans le ventre de la fille.
Remplie des deux côtes, la fille hurlait à gorge déployée en lançant des mots plus cru les uns que les autres. Les voisines de chambre alertées par les cris de leur collègue vinrent pour lui porter assistance mais elles assistèrent au spectacle une bonne partie de la nuit. Les performances du jeune homme impressionnèrent les filles, certaines virent même se mêler aux ébats.
- Comment t'appelles-tu ?
- Sandrine, mon bel étalon.
- Sandrine, appelle moi Vincent. Je reviendrai et je te demanderai.
- J'y compte bien !
Au petit matin Lachapelle eut droit à une invitation gratuite tout le temps de son enquête. Finalement les villes de province ne sont pas si pouilleuses que ça en a l'air.
Sur la route qui le menait au "Frou Frou affriolant", Lachappelle avait du mal à marcher droit, il faut dire que la nuit torride avait laissé quelque trace sur son visage et son entrejambe était quelque peu douloureuse.
Les avantages du café après, c'est qu'il permet de relativement bien camoufler les effets d'abus d'alcool ou de nuits trop voluptueuses, surtout que celui-ci est servi par une grosse mégère qui parle comme un homme, possède une pilosité à faire rougir n'importe quel gorille mais surtout dégage une odeur à vous défriser la moustache. C'est probablement cette dernière caractéristique qui permit à l'inspecteur Lachapelle de se réveiller et d'entrer dans la boutique de Mme Ariette d'un pas décidé.
Le problème avec les boutiques de Frou-frou c'est que c'est plein de choses affriolantes et parfois il y a une femme à l'intérieur. Cette douce vision fit évaporer l'assurance du jeune inspecteur. Rouge, bafouillant un peu, il demanda timidement la fameuse Ariette. Une employée lui indiqua une dame d'une cinquantaine d'année faisant de grands gestes avec une cliente. Lachapelle s'approcha et se présenta. La patronne se retournait et son regard aiguisé se changea en un regard de surprise, mais d'agréable surprise.
- Un jeune homme dans ma boutique, et pas mal non plus ! C'est très rare. Que puis-je pour lui ?
- Heuu, Ins' Inspecteur Lachapelle, je...
- Un inspecteur de police ! Menottez-moi, mais je n'avouerais que sous la torture ! Avec un petit sourire en coin.
La chapelle se reprit et commença son interrogatoire.
- Reconnaissez-vous cette culotte ?
- Vous savez combien je vends de culottes pas ici ?
- Pas des comme celle-ci. Regardez-la.
- C'est de la dentelle de Calais, elle est chère. Seule la bourgeoisie m'en achète.
- Et vous savez qui demande à ce que des initiales soient ajoutées ?
- Oui ! Toutes les femmes de la haute. Mais vous avez de la chance, elles viennent toutes chez moi !
- Regardez la broderie, ça vous dira peut-être quelques chose ?
- Huum. Je me souviens d'avoir tissé une broderie comme celle-ci il n'y a pas très longtemps. Ha ! Oui Mlle Louvier veuve Lecompte. Rachel Louvier. Voici son adresse.
- Je vous remercie.
De retour au poste de police, Lachapelle demanda aux hommes ce qu'ils savaient de cette Rachel. On lui raconta le décès se sont marie 2 ans plus tôt dans d'étranges circonstances. Personne n'avait souhaité creuser. L'homme était probablement mort lors d'une relation extra conjugale et la bourgeoisie n'aimait pas qu'on regarde ses jupons.
Chapitre 5.
La voiture à cheval s'arrêta devant la grande porte d'entrée de la demeure des Chrevrainvilliers. Lucile vit derrière la fenêtre son amie arriver. Surprise, elle lui ouvrit la porte en personne.
- Rachel, ma belle, que viens-tu faire ? Ta visite imprévue me fait plaisir, mais je ne suis pas en tenue pour te recevoir, je n'ai que ma robe de chambre sur moi !
- Il faut que je te parle d'une chose et je ne peux plus garder cela pour moi.
- Entre, je demande à Julie de te préparer un thé.
Arrivée dans le salon, Lucile appela la domestique qui manifestement se réveillait. Elle se présenta simplement vêtue de robe de chambre. Celle-ci n'étant pas attachée, elle tomba sur une épaule découvrant ainsi une peau blanche et la naissance de seins fermes et ronds. La fraicheur de la chambre, ou le frottement du tissus sur la peau, avait eu pour conséquence de dresser les mamelons de la servante. Les deux maitresses pouvaient donc voir les petites pointes ressortir du tissu. Cette vision ravie Lucile.
Sa tasse de thé fumante devant elle, Rachel se mit à parler. Elle expliqua à Lucile qu'elle l'avait vu cette soirée là tuer son mari. Elle n'avait rien dis car elle soupçonnait son mari d'avoir participé à un viol collectif plusieurs années auparavant. Rachel lui avoua qu'elle avait fait une petite enquête et qu'elle avait découvert qui avaient participé à ce viol et surtout qui était la victime.
L'horreur glaça le sang de Lucile. Si Rachel avait tout découvert, il faudra qu'elle la réduise au silence. Cette amie devenue amante, comment allait-elle faire, elle l'aime ! Rachel la rassura.
- Ne t'inquiète pas, nous garderons ça pour nous. Mon mari et ce porc de notaire méritaient ce que tu leur a fait. Il en reste un, je veux t'aider et pour ça j'ai un plan ! Et nous nous débarrasserons du peintre et de ton mari dans la foulée.
Lucile n'en croyait pas oreilles, son amie lui proposait son aide, mieux elle lui proposait un plan de vengeance !
- Je dois t'avouer une chose. Je ne suis pas seule, Julie et Jules m'ont aidé. Mais maintenant que sommes toutes les deux, nous sommes imbattables.
Lucile embrassa alors Rachel.
Son thé terminé, Rachel rentra chez elle, sa nièce n'allait pas tarder à se lever.
Lucile appela Julie pour débarrasser la table du salon, elle se sentait légère comme soulager d'un poids insupportable. Lorsque la domestique arriva toujours dans sa chemise de nuit, elle monta inopinément sa belle poitrine à sa maîtresse lorsqu'elle se baissa pour reprendre le plateau. Lucile eut une réaction qui la surprit elle-même. Elle attrapa la chemise par l'encolure et embrassa à pleine bouche sa domestique. En un mouvement de pivot, elle allongea Julie sur le canapé en lui déchirant sont simple vêtement.
- Ton corps est magnifique ! Donne-moi mon bain dans cette tenue. Je veux que tu m'excites toute la journée et que tu me fasses jouir ! Et si tu es assez agile, je m'occuperais de toi.
- Oui madame ! Depuis le temps que j'attends ça. Je ne cesse de me caresser en vous regardant prendre votre bain !
La domestique commença par un massage sensuel. Elle l'allongea sa maîtresse puis badigeonna le corps d'huile de noisette en l'étalant de ses mains douces et fines. Elle se déshabilla et commença des mouvements lents et amples sur son dos. Détendue, Julie retourna alors Lucile et fit glisser ses mains sur son ventre. Ses doigts parcouraient la poitrine brillante s'attardant sur les mamelons qui rapidement durcirent. Le massage descendit vers le bas ventre de Lucile. Sa respiration commençait à ce raccourcir, elle imaginait ces doigts fins et agiles glisser facilement sur sa vulve et son clitoris déclenchant alors un feu en elle. Il n'en fut rien. La douce Julie a de l'expérience. Elle quittait le bas ventre pour s'occuper des pieds de sa maîtresse. Elle remonta doucement le long des chevilles, des jambes puis des cuisses. Elle prit son temps en massant le périnée déjà sensible de Lucile et lorsque le majeur glissa sur le petit bouton rouge, Lucile, eut un soupir de surprise. Les mouvements de rotation exercés par la domestique lui firent monter une brusque chaleur. Son ventre se contracta, Les muscles vaginaux de Lucile se contractèrent soudain et l'explosion de plaisir fit exploser la gorge de Lucile.
La domestique continua son massage en introduisant maintenant un doigt puis deux dans le ventre de sa maîtresse désormais soumise. Les ondulations du ventre de la maitresse de maison suivirent le rythme de pénétration de la domestique. Julie sortit ses doigts et s'humecta les lèvres avec. L'odeur de sa patronne mélangée avec celle de l'huile de noisette lui ouvrit un appétit sexuel violent. Elle voulut sentir la sensation d'une belle queue lui écartant ses lèvres. Julie put sentir son humidité couler le long de ses cuisses. Elle prit soudain conscience qu'elle n'avait pas assez profité des hommes.
Folles de désir, Lucile jouissait de nouveau lorsque Julie entreprit de glisser son majeur dans son petit trou.
Epuisée par tant de jouissance, Lucile attrapa sa domestique :
- Julie, désormais je souhaite que tu t'occupes de moi comme cela tout le temps. Tu est tellement douée !
- Bien Madame, à la condition que Madame m'emmène à ses soirées de rencontre. Je veux sentir la force d'un homme en moi. J'ai trop attendu.
- Bien. Mais avant laisse moi reprendre mes esprits et tu sentiras ma langue !
Lachapelle descendit de la voiture à cheval et sonna au portail. Jules arriva et lui ouvrit.
- Qui êtes-vous ?
- Inspecteur de police Lachapelle. Je voudrais voir Mme Lecompte afin de?
- Connais pas de Mme Lecompt ici !
- Bien Melle Louvier alors ?
- Oui. Je la préviens.
En attendant dans le salon d'accueil l'inspecteur ne savait pas que Rachel le surveillait pendant que Jules lui expliquait la situation.
Rachel entra alors dans le salon et fit son maximum pour cacher son mal être. Comme allait-elle faire pour amadouer ce jeune inspecteur.
- Bonjour inspecteur, que puis-je pour vous ?
- Bonjour Melle Louvier, je venais vous rendre visite pour vous poser quelques questions.
- Bien faites !
- Connaissiez-vous le notaire qui à été retrouvé mort il y a deux jours ?
- Non ! Pourquoi cette question ?
- Parce que le médecin à découvert un morceau d'un de vos dessous sur le corps.
Rachel sentait le piège, elle savait que Lucile portait de temps en temps des dessous que Rachel lui prêtait. Si l'inspecteur faisait le lien, s'en était fini de Lucile. Il faut trouver un plan.
Rachel fit alors semblant de s'évanouir.
- Hooo ! Mon dieu, vous m'accusez d'avoir trompé mon défunt mari !
Lachapelle rattrapa Rachel et l'allongea sur le sofa. Son regard se posa lors sur le décolleté de la robe et découvrit la naissance d'une poitrine. Rachel ne perdit pas une miette des réactions du jeune homme. Elle glissa discrètement sa main vers son pantalon. Ce contact faussement accidentel mit Lachapelle mal à l'aise d'autant plus que cette main frottant son pantalon lui provoqua un début d'érection.
Jules entra à ce moment là. Constatant le désarroi du policier, il l'écarta et s'approcha de sa patronne. Discrètement, Rachel lui demanda d'appeler Lucile et de la faire venir.
Jules réveilla Rachel.
- Désolé Monsieur, mais il est hors de question que vous abusiez de madame dans son état. Je vais appeler son amie Lucile. Vous pourrez continuer à discuter.
Lorsque Lucile arriva, elle demanda à son amie comment elle se portait. Le regard que Rachel lui lança lui indiqua que le moment était grave mais sous contrôle. Il ne restait plus qu'une chose à faire pour maîtriser définitivement la situation.
Chapitre 6.
Isabelle en entendant les bruits dans le salon descendit les marches. Jules bloquait le passage.
- Jules laisse moi passer !
- Désolé Mademoiselle, mais ce qui se passe n'est pas de votre âge.
En tentant d'éviter l'homme de maison, Isabelle découvrit dans l'entrebâillement de la porte sa tente allongée sur le sofa, un homme entre ses cuisses et Lucile sur son visage en train de gémir.
- Pas de mon âge hein !
Elle s'approcha de Jules en passant sa main sur la bosse de son pantalon.
- Dis donc, c'est ce qui ce passe derrière cette porte qui te met dans cet état ? Ou c'est lorsque tu m'as matée en train de faire l'amour avec Amandine ?
- Mademoiselle, il faut faire attention de?
Isabelle déboutonna le pantalon de Jules et découvrit un sexe en semi érection et déjà volumineux. Les yeux de la jeune fille se mirent à briller d'envie en voyant cette queue qui ne demandait qu'a être soudoyée. Lorsqu'elle fit glisser le gland dans sa gorge, elle sentit ses joues chauffer et le sexe durcir en un éclair.
Jules dut se retenir de pousser un râle de soulagement lorsque il sentit la chaleur douce et humide de la gorge de sa jeune maîtresse. Ces caresses qu'il aimait tant sont un délice. Il sentait la langue légèrement rappeuse d'Isabelle sur son gland, de temps en temps, elle mordillait légèrement sa fraise rose de désir et à chaque fois, un choc électrique lui donnait une petite convulsion. Lorsque il sentait la langue experte et pourtant jeune parcourir son méat, exciter le frein et eut du mal à tenir un souffle de plaisir. Une vague lui traversa le ventre et faillit le faire jouir lorsque allongé par terre, il sentit les mamelons durs frotter sur ses testicules alors que sa queue se trouvait au font de la petit gorge blanche.
- Je vais te vider les couilles mon salop ! Mais avant baise-moi fort !
Jules allongea Isabelle et se précipita sur la petite chatte toute lisse. Il aspira le clitoris d'un coup. La jeune fille ne put s'empêcher de pousser un petit cri. Après quelques minutes de ce traitement, Jules se redressa et présentait sa queue gonflée de désir devant les petites lèvres.
En pénétrant dans le ventre d'Isabelle, il sentit l'intérieur étroit de la jeune fille. C'était si étroit que le frein tirait sur le gland. A la place d'une douleur il ressentait du plaisir. Une goutte de sang perla au niveau du bouton rouge de volupté.
- Te voilà une femme à présent ! Et tu vas voir ce que je réserve aux femmes comme toi !
D'un coup il pénétra entièrement son sexe. Isabelle poussa un cri de bonheur. Que c'est agréable de sentir la queue d'un homme écarter son ventre et de le sentir glisser !
Rachel sentait l'énorme sexe lui écarter son petit orifice. Elle n'avait jamais senti quelqu'un aussi bien à cet endroit. Le jeune policier a de la ressource, elles ne seront pas trop de deux pour l'épuiser.
Lachapelle se retira de Rachel et entreprit d'explorer Lucile.
- Montre moi ta petite chatte ma belle, je vais te baiser comme tu le mérites !
- Ho oui ! Punissez- moi Monsieur le policier, j'ai été très mauvaise !
Lucile sur le dos, Lachapelle lui écarta les cuisses et la pénétra violemment. Un cri de surprise sortit de la bouche de Lucile puis un sourire de satisfaction éclaira son visage. Jamais on ne l'avait prise comme ça.
- C'est un bon coup ? Qu'en penses-tu ma chérie ?
- Ho oui ! Sa queue est si bonne, je n'avais jamais ressentit cela comme ça avant !
Rachel se positionna derrière Lachapelle et Lucile commença à serrer ses cuisses. Le jeune inspecteur sentit soudain le souffle lui manquer.
- Tu prends vraiment ton pied avec nous ?
- Oui ! Je n'avais jamais ressenti des choses comme ça vous êtes de vraies bête de sexe ! J'adore ! Mais vous me faîtes mal ! Je n'arrive plus à respirer !
- Oui c'est comme ça que j'ai tué le mari de Rachel, avec sa bénédiction.
Lucile arrêta son étreinte mortelle à la demande de Rachel.
- Nous vous raconterons tous mais abandonnez votre enquête, sinon vous ne sortirez pas d'ici vivant !
Les trois amants furent coupés par un cri venant derrière la porte. Lorsque celle-ci s'ouvrit, ils découvrir Isabelle à quatre patte entrain de subir les assauts de Jules. Les deux amants n'ont pas remarqué que la porte c'est ouverte et qu'ils offrent un merveilleux spectacle. Lachapelle se remit à bander. Rachel et Lucile lui dirent alors d'attendre que leurs explications soient finies avant de reprendre.
Jules ne tenait plus. Il sortit son sexe du petit trou d'Isabelle qui le masturba immédiatement. Avec un râle de plaisir, Jules jouit sous les coups de langue de la jeune fille. Des jets de sperme coulaient sur la joue de la jeune femme et entre ses seins. Isabelle aspira le gland super sensible de son amant et avala des dernières gouttes cette liqueur des plaisirs.
- Pour une première fois c'était l'extase ! Et ton jus est exquis ! J'en veux encore !
Jules, raidi de stupeur, ne répondit pas. Il venait de découvrir qu'ils se sont montrés en spectacle à sa patronne.
- Hé bien ma nièce, te voilà femme ! Je suis heureuse. Et comme tu à l'air d'avoir aimé cela, tu viendras à nos soirées. Quand à toi Jules, je suis fière de toi, tu à fait de ma nièce une belle femme. Que dirais-tu d'être l'étalon de la prochaine soirée ?
Sur ces mots, elle renvoya les deux amants et leur discussion reprit.
Lucile expliqua qu'a l'âge de 19 ans elle fut violée par quatre hommes. Deux sont mort. Sa vengeance ne sera qu'assouvie qu'à la mort du dernier. Les deux suivants sont le peintre Julien Morel et son propre mari.
Epilogue
Les deux femmes ne furent plus jamais inquiétées par la police. Lachapelle avait obtenu d'elles de ne plus commettre de meurtre en échange de son silence. Suite à cette enquête, il demanda sa mutation définitive en ville et on le vit souvent aux soirées de Rachel et Lucile.
Étrangement, peu de temps après cette affaire les journaux relatèrent deux accidents mortels. Le premier concernant le peintre Julien morel lors de l'incendie de son atelier. Une lanterne se serait renversée sur un bidon de pétrole. Le second, concernant le mari de Lucile tué percuté par ces nouvelles voitures appelées automobile. Il fut reconnu qu'il était la première victime du premier accident de la route.