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Proposée le 11/05/2011 par Master-Of-Scenario
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Lire ma précédente aventure.
Bonsoir, je viens après un petit laps de temps, vous raconter une suite de mon petit harem si je peux dire cela, qui se trouve a mon travail. Pour résumer, je travaille avec sept femmes dans mon équipe, et je suis donc le seul homme. Mais parfois, je ferai de petits écarts car dans les deux autres unités de mon boulot, il y a aussi de petites perles mais ce sera pour plus tard.
Continuons donc par Émilie, même taille que moi, brune, les yeux marrons clairs, et elle aussi très gâtée par la nature niveau poitrine, je dirai un 95d.
Je travaille donc avec Emilie ce matin, et le matin c'est la plus dure des tranches horaire étant donné que c'est le moment des douches. Mais avec Emilie, on travaille bien et efficacement ce qui fait du coup que notre matinée de travail s'achève officieusement vers les 10h30. Nous avons donc une heure et demie avant que le repas du midi n'arrive. Emilie va bientôt se marier avec son compagnon avec qui elle est depuis six ans. Ce matin là comme tout les matins, je taquine Emilie sur différents sujets d'actualités mais je vois bien qu'elle est très fatiguée. Et pourtant, bizarrement, elle qui d'habitude s'habille en survêtement sans se maquiller ni se coiffer, et bien aujourd'hui elle porte une mini jupe en jean avec des bas noirs, de jolis chaussures noires avec talons, un haut manche longue noir bien moulant, qui du coup moule bien sa poitrine aussi. Elle est aussi maquillée, très peu mais cela lui va bien, et elle a laissé ses cheveux lâchés et même lisses.
Ce matin là donc Emilie m'avouait qu'elle avait passé une mauvaise nuit remplie de dispute et qu'elle était partie dormir chez sa mère d'où la tenue qu'elle portait. Curieux comme je suis, je posais mille et une questions et comprit que le compagnon d'Emilie avait préféré jouer a la console plutôt que de faire son devoir de mâle.
- Mais ça va s'arranger Emilie voyons, ça veut pas dire qu'il n'a pas envie de toi, dis je la rassurant tout en lui souriant admirant sa poitrine des que je pouvais.
- Ouais j'espère pour lui quoi, il m'a laissée sur le carreau, c'est horrible, me répond elle.
- Oui mais toi au moins tu a de quoi satisfaire tes besoins sexuels, moi je suis tout seul, dis-je alors rigolant.
- Ah oui j'ai oublié que tu étais puceau, me dit-elle partant à rigoler franchement.
- Ah ah ah très drôle je suis pas puceau pffff, dis-je un peu vexé.
- Mais bien sûr, tu es puceau, tu arrives même pas à choper une meuf...
- Ah ben c'est sur que si tu venais comme ça me chauffer, je te choperai toi hein ?
- Prend pas tes rêves pour tes réalités Marc, me dit-elle.
- Ah tu serais vierge Emilie ? dis-je souriant, essayant de l'énerver.
- Moi non mais toi oui.
- Je suis sur que je fais mieux l'amour que ton copain.
- Arrête un peu tes bêtises va.
Emilie remplit des papiers concernant notre travail, moi je vagabonde un peu sur les autres unités puis je reviens une demie heure plus tard. Il est onze heures lorsque je reviens sur l'unité et ne vois pas Emilie. Je questionne quelques résidents mais ils me disent ne pas l'avoir vu. Je regarde sur le bureau et voyant les clefs je comprends donc qu'Emilie n'est pas au toilettes peut être est elle allée voir d'autres membres du personnel. Je vais pour prendre les clefs et me dirige vers les toilettes de notre unité quand un tout petit gémissement venant d'une chambre supposé vide m'interpelle. Curieux comme je suis, je m'y dirige discrètement et là je suis médusé : Emilie allongée sur le lit d'un résident, les volets de la chambre fermés, petite lumière allumée, se masturbant en silence. De ce que je peux distinguer apparemment, les bas qu'elle portait avait un trou spécial et elle n'avait pas mis ni string ni shorty ni rien.
Je la regardais faire complètement scotché, me disant qu'elle était perverse et assez folle car tout le monde pouvait la repérer. En voulant changer discrètement d'angle de vue, elle s'arrête d'un coup et me voit.
- Putain Marc mais que fais tu la ? Entre et ferme la porte.
- Désole... Je croyais que...
J'entre en fermant la porte très rouge gêné, mais excité.
- Ouais c'est ça je sais que tu me matais bon, et si t'approchais de plus près pour voir comment c'est petit puceau hein ? Me dit-elle souriant, se masturbant devant moi.
- Mais t'es folle pas ici voyons ? Et ton mec alors ?
- Ça fais six ans que je me prend la même queue toutes les soirs, j'ai le droit de changer non ? Et puis je ne suis pas mariée, enfin pas encore, allez approche.
- T'es une cochonne toi, dis-je souriant.
Je viens me placer entre ses jambes et commence à lécher son vagin de haut en bas, ce dernier mouille déjà beaucoup tellement que j'y fais entrer deux doigts et la doigte alors.
- Oh putain oui c'est bon, c'est vrai que tu sais y faire avec les chattes, halète Emilie, sans crier mais on peut entendre le plaisir dans sa voix.
- Je vois que tu mouilles bien, ça rentre seul, dis-je léchant le clito lentement.
- Ah oui, oh putain, vas-y Marc prend moi l`a, j'en peux plus, je bous.
- Bah non je suis puceau tu a dit, tu dois m'apprendre, dis-je souriant continuant à la lécher, mes doigts vont et viennent très vite en elle, on entend même le floc des va et viens.
- Ah putain je vais exploser, sors la vite, me dit-elle criant un peu fort alors.
- Chut putain... Rejoins-moi dans les toilettes dans 5 minutes, sinon on peut pas laisser les gars seul.
- Ta intérêt à venir...
Je repars sur l'unité voyant si tout le monde va bien, puis voyant l'heure 11h15, je me dirige aux toilettes dont je ferme la porte, mais pas à clef. J'entends Emilie répondre à une question puis plus rien, je suis assis sur la cuvette des toilettes le sexe sorti très dur. Décidément dans ma tête, je me dis que je travaille qu'avec des cochonnes. Emilie entre et ferme la porte à clef, puis se rue sur mon pénis qu'elle commence à sucer. Mais au bout de 5 minutes elle se lève se positionne dessus et commence à s'empaler dessus.
- Ah putain, oh ouiii Marc comme elle est bonne ta queue, me susurre-t'elle dans mon oreille.
- Tu vois que je suis pas puceau, dis-je souriant l'embrassant de manière torride.
Ma queue rentre en entier dans sa chatte et Emilie commence à monter et descendre assez rapidement. Je gémis de plaisir dans son oreille alors.
- Ahh ouiii Emilie tu m'excite trop, je vais pas tarder à jouir si tu continues.
- Vas-y, remplis-moi la chatte, j'adore me sentir remplie de sperme...
- Tu préfères pas dans la bouche ?
- T'inquiète pas je prend la pilule... Et puis je sens que tu va bien me remplir...
Elle continue à aller plus vite sur ma bite voir même très vite, je commence à pousser un "Ohhh" signe de ma jouissance mais Emilie me mange la bouche et accélère encore plus. Je commence alors à exploser en elle abondamment, mais elle continue quand-même à se faire défoncer le vagin par ma bite. Je la regarde faire, elle sait y faire, je débande même pas.
- Qui t'a dit que je ne voulais pas une double dose et en plus je sens que t'es encore dur me dit elle chaudement.
- Mais arrête tout le monde va nous chercher...
Soudain son portable sonne dans la poche de sa mini jupe. Tout en continuant à sauter sur ma bite, elle répond :
- Allô... Oui mon c'ur... Oui toujours au boulot tu sais bien.
Je suis rouge de honte mais excité, elle me sourit.
- Ah oui très dur ce matin, oui... Mon mal de tête ? ça monte, ça descend.
Elle me sourit continuant à sauter sur ma bite.
- Ouais c'est clair que t'as pas assuré hier, t'as de la chance, je ne vais pas voir d'autres bites.
Je souris alors, sentant lentement un deuxième orgasme approcher, ne sachant pas que je pouvais jouir deux fois d'affilée. Elle accélère ses va-et-vient sur ma bite, cela fait du bruit même.
- C'est rien, un résident qui s'amuse a taper sur le mur.
Elle me regarde se mord la lèvre, moi je n'en peux plus tout cela est excitant, je commence à exploser, faisant tout l'effort du monde pour ne pas crier.
- Ouuhhhhhhh, ahhhhhhh, non non rien désolé mon c'ur... J'ai failli avoir un vertige.
Emilie se retire de ma bite se met a genoux et toujours le téléphone à la main me lèche la queue.
- Ouais ben on verra bien ce soir, ok la je n'ai pas le moral et je dois te laisser.
Emilie raccroche et me sourit, continuant à lécher mon sperme.
- J'aime pas quand c'est sale, me dit-elle.
- Cochonne va.
Elle me sourit alors puis se réajuste un petit peu.
- Tu es un très bon amant, je ne sais pas si je vais pas te garder sous la main on ne sait jamais.
- Ta mon numéro, tu m'appelles hein ?
Je lui souris, me relève et m'habille puis attends un peu. Je tire la chasse et sort des toilettes comme si de rien n'était...