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Proposée le 27/08/2007 par tanis
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Carole et Harold accompagnés de leurs amis Laure et Pierre reviennent d'un week-end à Amsterdam. Dans cette ville, ils ont participé à un spectacle assez osé qui leur a permis de se connaître plus intimement, puisque les deux couples sur scène ont été obligés de changer de partenaire.
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Les deux couples étaient rentrés d'Amsterdam et devaient se revoir bientôt, mais Carole l'épouse de Harold, avait dû se rendre à l'étranger pour son métier.
Aussi, Laure restait seule avec son mari Pierre.
Celui-ci rencontra Harold par hasard au cours d'un dîner :
- Salut Harold ! Quelle surprise ! Le bon temps d'Amsterdam me manque !
- Eh moi alors ! C'était super avec ta femme Laure, je crois que cela lui a fait du bien !
- Je crois qu'elle ne demande qu'à recommencer, dit Pierre... Vous devriez passer un de ces soirs.
Harold raconta que sa femme était en voyage, et que les couples ne seraient pas réunis en entier...!
- Mais tu es seul alors ! S'exclama Pierre, viens à la maison ce soir, Laure sera contente de te revoir !
Vers 19h, Harold se présenta devant la porte de ses amis. Laure ouvrit la porte.
Elle rougit immédiatement en apercevant Harold !
- Harold ! toi ici ! tu m'as laissé de si bons souvenirs de notre voyage à Amsterdam ! Et Carole, comment va-t-elle, mais tu es seul !
- Oui, Carole est en voyage et comme j'étais seul, Pierre m'a invité !
- Oh, il a bien fait ! je suis si heureuse de te revoir !
Ils entrèrent, prirent l'apéritif, et soupèrent en évoquant le terrible show interactif qu'ils avaient vécu ensemble en Hollande. Laure parla de cette expérience inoubliable devant un public, de ce qu'elle avait ressenti en faisant l'amour devant une salle pleine de spectateurs, puis fit une discrète allusion à sa première sodomie en fixant Harold dans les yeux.
Pierre n'avait pas regardé pour le menu ! Vin à volonté ! Laure se trouva bientôt dans un état second ....!
Elle se mit debout, et regardant les deux hommes demanda :
- On se déshabille alors ?
- Tu veux te déshabiller devant nous ma chérie ? dit Pierre en regardant Harold !
Harold sourit :
- Je fermerai les yeux dit-il en se débarrassant de sa veste légère.
Alors Pierre entraîna tout le monde dans la chambre.
Il y avait deux lampes de chevet allumées sur les tables de nuit. Elles dispersaient à la fois une lumière ambrée mais discrète. Laure voulait avoir une vision nette des événements. Personne ne s'y opposa. Le lit assez grand était entouré d'une banquette de bois style japonais.
Harold sans complexe fut le premier nu, son membre magnifique dressé comme une flèche. Il se tint les mains sur les hanches, balançant son mandrin devant son ami, à l'aise, pour regarder Laure se déshabiller.
Laure prit son temps, voulant exciter son mari et son amant.
Pierre s'était également déshabillé. Il prit une pose d'athlète. Son corps était magnifique. Ses épaules étaient larges et bien musclées, sa poitrine durcie de muscles pectoraux sans un gramme de graisse, sa taille était fine et ses hanches étroites, ses fesses bien galbées. La seule ligne droite qui brisait l'harmonie était sa verge dressée...
Laure regarda les queues sémillantes de Harold et de Pierre :
- Manquerais-je de modestie en pensant que je suis la cause de ces tumescences ? dit-elle.
Elle portait encore son soutien-gorge et son slip mais d'un geste souple, elle libéra sa poitrine.
En voyant ses seins jaillir, Harold saliva. Il se passa la langue sur les lèvres en regardant son épieu dressé entre ses cuisses. Laure vit son geste et les tétons de ses seins durcirent.
Harold brûlait d'envie de saisir les beaux globes de chair tendre et de les explorer des doigts et des lèvres, mais la présence de Pierre l'intimidait.
Cette fois-ci, il n'y avait plus d'hôtesse qui prenait les choses en main, façon de parler !
On appelait cela du consentement mutuel !
Laure retira son slip, exhibant l'écrin noir de ses poils pubiens. Harold perdit alors toutes ses inhibitions, il étreignit Laure en appliqua sa bouche sur l'un des mamelons raidis.
Un de ses mains se dirigea d'elle même le long du ventre lisse. Ses doigts folâtrèrent dans la toison soyeuse et caressèrent le rebord tendre et chaud de sa vulve.
Pierre suivait le spectacle avec délectation. Quand Laure se mit à gémir, l'excitation devint trop grande pour lui. Saisissant sa verge, il commença à se caresser. Il empoigna l'autre sein de sa femme et passa dessus sa langue frémissante, aspirant et suçant.
Harold tout en tétant gloutonnement l'autre sein, passa sa main sur les cheveux de Pierre et les caressa doucement.
Claire surprise aperçu le geste de Harold :
Elle saisit la main de son mari, la dirigea vers la verge de Harold, et la refermant sur le membre entreprit une tendre masturbation. Pierre la regarda dans les yeux, la remerciant d'un regard, tandis qu'Harold ouvrait la bouche en gémissant.
- Ohhhhh....
Les deux hommes sentirent Laure chanceler et l'attrapèrent pour l'empêcher de tomber.
Elle se remémorait la suite du show auquel ils avaient assisté à Amsterdam.
Deux autres couples les avaient suivi sur cette scène, mais au lieu de mélanger les hommes et les femmes, on avait placé les deux hommes ensemble... La surprise avait été totale !
Elle avait assisté à la sodomie des deux partenaires, et elle avait senti la main de son mari qui se crispait sur son bras. La scène lui avait fait beaucoup d'effet, et il lui en reparlait assez souvent.
Pierre la prit dans ses bras et l'emmena sur le lit, la déposant doucement sur le dos. Elle avait les yeux fermés, la bouche ouverte et haletante. Harold se pencha et posa sa bouche contre la sienne, fouillant à la recherche de sa langue.
Harold chercha plus bas de nouveaux mondes à découvrir. Il passa sa langue sur le ventre velouté, contournant le triangle noir jusqu'à la cuisse pour remonter lentement et délibérément vers la fente qui s'ouvrit avidement sous ses baisers.
Sa langue modelait le contour des grandes lèvres comme on pétrit de l'argile. Il suça le clitoris en érection puis sa langue appuya avec insistance sur les petites lèvres qu'elle réussit triomphalement à ouvrir pour aller caresser les merveilles qui résidaient au-delà.
Laure s'offrait encore, aux deux hommes ensemble cette fois. Quatre mains allaient la parcourir, deux bouches fouiller son corps, faire d'elle leur chose.
Harold sans s'arrêter, chercha d'une main la tête de Pierre, et l'amena près de lui, voulant lui faire partager les délices de son exploration.
C'était une expérience pour Pierre, mais la présence de Harold était une raison suffisante pour qu'il l'entreprît.
Une grande complicité s'était développée entre les deux hommes depuis qu'ils avaient fait l'amour en échangeant leurs femmes.
Pierre posa sa bouche au milieu du jardin soyeux. Sa langue y découvrit des surprises. Harold, impatient de revenir, mit sa tête contre celle de Pierre.
Leurs langues, côtes à côte, passèrent et repassèrent en alternance entre les lèvres de la vulve de Laure.
Pierre écartait les membranes chaudes, exposant à son ami le sexe palpitant de sa femme. Leurs excitations montaient car leurs langues ne léchaient plus seulement les voiles plissés de la fente mais se mêlaient parfois l'une à l'autre.
De sa langue, Harold poussa le clitoris de Laure dans la bouche de Pierre qui le happa avec un grognement de plaisir, refusant de le lâcher.
La langue de Harold lutta avec celle de Pierre pour regagner le butin convoité.
Leurs doigts se perdirent dans la vulve entrouverte, s'engluant de cyprine qui commençait à couler abondamment de son vagin.
Laure se tendît, en proie à un premier orgasme impressionnant...
- Mon Dieu ! elle jouit déjà ! dit Pierre
Impressionné, il se retira pour regarder la scène.
Harold promena ses mains sur les cuisses de Laure et les écarta.
Il y plongea la tête et se fraya un chemin avec sa langue dans le sexe de la jeune femme. Il y goûta les dernières contractions vaginales qui doucement s'apaisaient.
Après avoir remonté les jambes de Laure aussi loin qu'il le pouvait, il appuya l'extrémité de son gland dans le bas de la vulve.
Pierre s'agenouilla derrière eux. Il mit ses mains à plat de chaque côté des lèvres et les écarta pour faciliter le passage de Harold.
Voir la queue de son ami positionnée ainsi sur le sexe de sa femme l'excitait comme un fou !
Il ne lui semblait pas possible qu'une vulve si petite et si délicate pût recevoir ce gland massif qui avait déjà pénétré les lèvres externes.
Il jubilait en attendant la pénétration. Le gland de la taille d'une petite mandarine palpitait, bavait un liquide lubrifiant qui ruisselait entre les fesses de sa femme.
D'un mouvement ferme, Harold propulsa son gland à l'intérieur. Le corps de Laure s'arqua.
Pour Pierre le spectacle était prodigieux et avant que Harold ne s'engouffre plus loin, il plongea la tête entre les deux corps et lécha le point de jonction entre la queue et la vulve.
Sa langue caressa avec empressement tout le pourtour des lèvres distendues et la tige épaisse qui en saillait.
Harold retira son membre jusqu'à ce que le renflement du gland repoussât vers l'extérieur les lèvres de la vulve et Pierre s'empara de ce bourrelet de chair en le mordillant.
Harold patientait comme un étalon dans son box avant le départ, la langue de Pierre, lui procurait une sensation étrange, agréable quand elle passait sur son sexe, frôlant ses bourses.
Quand il y pensait ! Le mari de la femme qu'il allait baiser lui léchait la bitte !
Harold palpait en même temps les seins de Laure qui gémissait sous les titillements de son mari.
Pierre émergea à contrecur de cette alcôve.
Il contempla Harold qui d'un mouvement lent et assuré enfournait sa queue de plus en plus loin dans le sexe de Laure.
Il buta au fond et ses couilles vinrent claquer contre son cul.
Il entraîna Laure sur le côté, à moitié sur lui, jambe passée par-dessus sa hanche étroite. Ils restèrent ainsi soudés et immobiles.
Les fesses tendres de sa femme, pointées vers lui, invitaient Pierre.
Ses mains tremblantes explorèrent la peau suave. Sa main droite marqua une pause dans la fente des fesses. Ses doigts continuèrent leur chemin jusqu'à ce qu'ils rencontrent les imposantes couilles de Harold qu'il massa longuement.
Puis ses doigts repartirent en arrière à la recherche du petit cratère.
Son membre palpitant de désir pourrait-il pénétrer ce trou minuscule sans le blesser ? Il était plus long que Harold et c'était le première fois qu'il allait sodomiser sa femme..
Il saisit un pot de gel sur une chaise près du lit, y trempa ses doigts et lubrifia sa verge et son gland.
Empoignant sa verge à la base il en pressa l'extrémité contre l'anus.
L'entrée semblait si étroite qu'il osait à peine pousser. Pourtant lors du show, il avait vu l'énorme gland de Harold y passer sans problème !
Laure sentant son hésitation, glissa une main derrière elle, attrapa fermement la verge de son mari, et s'enfonça le début du gland, laissant échapper un soupir de surprise et de plaisirs mélangés.
- Aowwwwwwhhhhhhh !!! Vous sentir à deux en moi !
Pierre ressentit de suite l'énorme pression engendrée par le pieu qui avoisinait à quelques millimètres de lui.
Agrippant sa femme par les hanches, il repoussa les chairs par saccades, s'imposant une place dans le rectum accueillant.
Ses testicules vinrent se presser contre celles de Harold. Ils étaient enfin tous les deux totalement en elle.
Laure totalement submergée par cette double possession s'abandonnait. Ses bras étendus en haut donnaient tous les signes d'une soumission totale.
Cette impression d'être totalement remplie la comblait. Bourrée jusqu'à la garde par deux triques raides, elle contractait régulièrement ses muscles pour mieux profiter de leur présence en elle.
Pierre passa ses bras autour de Laure et Harold se déplaça légèrement de façon à n'être plus du tout sous elle.
Ses mouvements furent doux pour commencer.
Pierre qui ne savait trop quel rythme adopter, vit son problème résolu car les assauts de Harold, dans leurs puissances provoquaient une telle friction entre sa queue et le cul de Laure qu'il se demanda s'il pourrait se retenir même en restant immobile.
A chaque poussée de Harold, qui faisait claquer ses testicules contre les siennes, l'impact faisait sauter le cul de Carole l'empalant toujours un peu plus sur son sexe.
Harold baisait à un rythme décidé et dévastateur.
Laure était éblouie.
Son esprit ne cherchait même pas à considérer le phénomène incroyable de ces deux sexes qui l'empalaient si merveilleusement.
Ces deux membres la clouaient, forgeant leur place en elle. Le moindre mouvement augmentait sans cesse son plaisir.
A chaque plongée de Harold, Pierre sentait son énorme épieu se frotter contre sa verge.
Il lutta contre le besoin pressant d'éjaculer dans l'anus de sa femme, décidé à se retenir jusqu'à l'orgasme de Harold pour profiter avec lui, de cette fabuleuse communion.
Laure gémissait, il était clair qu'elle se rapprochait d'un nouvel orgasme. Elle aussi luttait de toutes ses forces pour rester en harmonie avec Harold.
Enfin, la régularité du va-et-vient, la puissante friction de son sexe contre les parois onduleuses qui le recevaient commença à faire bouillir les sucs de Harold.
Ses cris d'animal indiquèrent qu'il allait bientôt se dissoudre et le rythme furieux de sa cavalcade s'accrut encore.
Laure tressautait sous les coups de pilons toujours plus forts.
Le membre s'extrayait presque jusqu'au gland et replongeait jusqu'au fond fouissant son vagin
L'orgasme s'empara de Laure comme de Pierre qui sentait à travers l'anus de sa femme, la folle chevauchée de Harold dans son vagin ...
Incroyablement, tous les trois explosèrent au même instant précis.
Harold avec un cri sauvage, Laure dans une plainte et Pierre avec un long gémissement.
Pierre hoquetait en se libérant, les bras autour de Harold et de sa femme, il s'accrochait à eux comme à une bouée.
Son sperme jailli du méat, éclaboussant le rectum de Laure de puissantes giclées chaudes et désordonnées. Sa semence fusait comme d'un tuyau d'arrosage fou, balayant les parois des intestins...
Laure s'était accrochée aux fesses de Harold en pressant son vagin contre sa bitte pour en extraire tout le jus qu'elle sentait gicler en longs jaillissements continus contre les parois de son utérus...
Ils se reposèrent, curs battants, immobiles, la verge de Harold toujours enfoncée dans le vagin de Laure, celle de Pierre toujours logée dans son cul...
Ils étaient si à l'aise qu'ils s'endormirent bientôt tous les trois dans cette surprenante conjonction.
- Où suis-je demanda Laure en s'éveillant ?
Les hommes se regardèrent en éclatant de rire !