Sensuelles vacances II

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Proposée le 8/05/2011 par Salvatore

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Samedi 01 août
? Les suites des retrouvailles par trop arrosées ?


Personnages :
Monique : 52 ans, mère de Germaine.
Germaine : 34 ans, fille de Monique, épouse de Julien et mère de Michel.
Julien : 40 ans époux de Germaine, père de Michel et gendre de Monique.
Lucienne : 50 ans, amie de Monique.




Le c'ur battant d'un émoi sexuel incontrôlable, Monique se réfugia à l'intérieur de la salle de bains, dans laquelle elle s'enferma.

Les sens et l'esprit sérieusement perturbés par ce qui venait de se passer entre elle et son gendre, elle s'adossa à la porte qu'elle venait de refermer, profondément troublée. Si le comportement libertin de son gendre à son égard la surprenait au plus haut point, la réaction de ses sens vis-à-vis des attouchements subis l'étonnait encore plus. Comment avait-elle pu éprouver du plaisir sous les effleurements insidieux de la part du mari de sa fille ? Depuis qu'il était entré dans la famille, quinze ans plus tôt, Julien s'était toujours montré aimant, mais toujours respectueux. Elle-même, avait au fil des années, considéré Julien non pas comme un gendre, mais plutôt comme un fils. Que s'était-il passé pour que cette journée si bien commencée se terminât ainsi ; par une flambée incontrôlable de désir, aussi bien de la part de son gendre que dans son propre corps.

L'alcool qu'ils avaient abondamment ingurgité devait certainement être le responsable de cette folie érotique qui avait saisi Julien. Lui qui s'était toujours conduit en gendre parfait. Mais de son côté, comment se faisait-il que sa libido ait si facilement succombé aux avances osées de son gendre. La seule raison qui à ses yeux pouvait expliquer un tel fait était la longue abstinence sexuelle qu'elle s'était imposée depuis le décès de son mari. À la mort de ce dernier, elle avait été si perturbée que plus rien n'avait alors compté pour elle. Elle s'était entièrement repliée sur elle-même, se contentant de vivre au jour le jour, sans aucun contact avec son voisinage. Ses seules sorties étaient les pèlerinages qu'elle effectuait deux fois par semaine au cimetière où était enterré son époux.

Cela durait depuis trois ans lorsqu'elle avait fait la connaissance de Lucienne, une veuve comme elle, qu'elle croisait à maintes reprises au cimetière ; cette dernière venant elle aussi se recueillir sur la tombe de son époux. De deux ans sa cadette, Lucienne, par sa gaité et sa bonne humeur avait su gagner sa sympathie. Au fil de leurs rencontres, elles s'étaient liées d'amitié. Avec sa jovialité naturelle, Lucienne l'avait conseillé. Elle lui avait d'abord fait abandonner ses vêtements de deuil pour des tenues plus classiques et même plus sexy. Subjuguée par le charisme de sa nouvelle amie, elle lui avait obéi en tout' Ainsi, Lucienne l'avait obligé à sortir plus souvent, l'emmenant au cinéma, au théâtre ou au musée? Si bien qu'en l'espace de quelques semaines, elle s'était trouvée complètement transformée, et cela avait été comme une renaissance. Tout heureuse de cette amitié nouvelle, elle était loin à ce moment de se douter jusqu'où allait la conduire cette relation'

Les deux femmes avaient pris l'habitude de se recevoir de plus en plus souvent, soit pour passer un après-midi à prendre le thé, soit pour un déjeuner au restaurant. Or, c'est au cours d'une de ces invitations que sa vie sexuelle allait se trouver complètement métamorphosé.
Cela s'était passé quelques mois plus tôt : pour le troisième anniversaire de la disparition de son mari? Ce jour-là, dès son réveil Monique s'était sentie envahie par une affligeante nostalgie, qui l'avait perturbé toute la matinée. Désirant combattre cet abattement qui la minait, elle avait décidé de faire appel à la seule personne qui pouvait la comprendre et la réconforter, son amie Lucienne?
Comprenant immédiatement son affliction, au son de sa voix au téléphone, Lucienne l'avait aussitôt invité à venir la rejoindre, pour passer l'après-midi en sa compagnie?
Lorsqu'elle s'était présentée chez son amie celle-ci l'avait reçu avec énormément de gentillesse. Comprenant aisément sa peine pour l'avoir elle-même subit à une certaine époque, Lucienne s'était montrée extrêmement attentive, l'entourant d'affection et de tendresse? Lui encerclant la taille elle l'avait accompagné jusqu'au salon, où elle l'avait invité à s'installer dans le profond canapé en tissu. Le fait de sentir cette main amie se poser sur sa hanche avait déjà réconforté Monique, tout en lui procurant un étrange plaisir. Prévenante Lucienne avait immédiatement amené tout un assortiment de pâtisseries, dont un appétissant gâteau au chocolat au Grand-Marnier et une bouteille de crémant. Confortablement installées, elles avaient fait honneur aux friandises, oubliant momentanément leurs régimes habituels. La bouteille de crémant ne résista pas longtemps à leur gourmandise?
Rassasiée et mise en gaité par cette agape, Monique s'était laissé aller contre le dossier moelleux du canapé.
- Ça va mieux ? Lui avait demandé Lucienne en l'enlaçant de son bras droit et en posant négligemment sa main gauche contre ventre.
- Oui, je te remercie?
- Je suis heureuse que tu te sentes mieux, avait alors approuvé Lucienne en l'attirant contre son épaule? Tu sais que je suis toujours là, lorsque tu as de la peine.
- Oui, je le sais, avait minaudé Monique le c'ur soudain empli d'émotion.
De se sentir ainsi entourée de tendresse et d'affection, tout ce qui lui manquait tant depuis trois ans, Monique avait éprouvé un immense sentiment de tendresse vis-à-vis de son amie. Aussi lorsque celle-ci avait commencé à lui couvrir le visage de baisers légers, elle l'avait accepté, amusée et ravie de cette marque d'amitié. Envoûtée par cette chaleur dont Lucienne l'entourait, elle n'avait pas immédiatement remarqué que la main de cette dernière s'était posée sur son genou largement découvert par sa position assise. Les baisers de plus en plus appuyés que lui prodiguait Lucienne la maintenaient dans un bien-être langoureux. D'agréables frissons lui parcouraient même l'épiderme. Aussi lorsque la bouche de Lucienne était venue se poser délicatement sur la sienne, elle l'avait accepté avec un petit gémissement de bonheur. Cela faisait si longtemps que ses lèvres n'avaient reçu l'hommage d'un baiser? Une espèce d'ivresse l'avait poussé à accepter ce contact.
En même temps que la langue de Lucienne tentait de forcer le barrage de ses dents, Monique avait perçu un frôlement indiscret à l'intérieur de ses cuisses. D'abord surprise par cette initiative hardie de la part de celle qu'elle considérait comme son amie, Monique n'avait pourtant pas tenté d'échapper à cet attouchement. Cela faisait si longtemps qu'une main n'était venue explorer les abords de son sexe. Certes, elle aurait certainement dû se révolter, refuser cette caresse hors nature. Mais la torpeur sensuelle dans laquelle elle baignait était si agréable, qu'elle n'eut pas la volonté de repousser l'indécent frôlement de son amie. Au contraire, ses sens soudainement en émoi réclamaient plus d'audace de la part de cette dernière. Lorsque la langue indiscrète de Lucienne avait tenté de s'infiltrer entre ses dents, elle n'avait rien fait pour l'en empêcher ; elle l'avait même accepté avec euphorie. Et quand celle-ci avait commencé son ballet langoureux à l'intérieur de sa bouche, cherchant à crocheter sa propre langue, elle s'était alors complètement abandonnée aux désirs de sa partenaire.
Elle avait fermé les yeux afin de mieux apprécier ce baiser, comme elle le faisait avec son mari, du temps de leur flirt. Tout en laissant la langue amie s'agiter sensuellement dans sa bouche, elle n'avait pu s'empêcher de songer aux baisers de son époux. Elle s'était souvenue combien ils étaient fougueux, pleins de passion. Alors que celui de Lucienne était plus doux, plus suave. Ne pouvant demeurer statique plus longtemps, elle avait alors lancé sa langue au-devant de la langue qui frétillait dans sa bouche, retrouvant d'anciennes sensations érotiques qu'elle avait oubliées.
Cependant, à s'abreuver de la chaude salive parfumée que Lucienne lui dispensait avec abondance, elle avait senti avec émotion sa vulve s'humidifier lentement... Une source qu'elle avait cru à jamais tarie, avait repris naissance dans les tréfonds de son vagin, tandis qu'à l'intérieur des balconnets de son soutien-gorge, ses mamelons s'étaient gonflés indubitablement'
Lorsqu'elle s'était soudainement rendu compte que le doigt qui frôlait l'entrejambe de sa culotte avait, non seulement repoussé la mince bande de tissu, mais en plus caressait sa vulve sur toute sa longueur, il était trop tard. Le plaisir l'avait insidieusement envahi, pour bientôt la dominer complètement. Lucienne pouvait faire tout ce qu'elle désirait, elle était totalement incapable de s'y opposer?
Et c'est ce que son amie avait fait, lui faisant subir toute sa panoplie de caresses ; toutes plus voluptueuses les unes que les autres' Ce jour-là, elle avait connu plusieurs orgasmes à la suite. Les premiers depuis trois ans et ils lui avaient été procuré par une femme? Cela avait été une révélation'
Il y en eut bien d'autres par la suite, pendant lesquels, Lucienne lui avait appris son savoir sexuel, lui faisant connaître les différents caresses et attouchements propres aux femmes'

Mais ce soir, Monique se rendait compte que les plus troublantes caresses de son amie ne pouvaient en fait remplacer un sexe masculin. Ce sexe extrêmement dur qu'elle avait perçu contre ses fesses quelques minutes auparavant. Que n'aurait-elle donné à cet instant précis, pour le sentir de nouveau contre son ventre, entre ses cuisses, et surtout à l'intérieur de son vagin soudainement affamé.
Toute à ses pensées lubriques, Monique avait instinctivement posé sa main droite contre son pubis qu'elle massait avec volupté, se procurant ainsi un certain plaisir diffus. Se rendant compte soudain qu'une douce rosée avait pris naissance entre les lèvres de sa vulve, Monique s'empressa de revenir à la réalité. Sous le désir qui lui hérissait l'épiderme, elle se hâta de retirer ses vêtements.


Devant attendre que la salle d'eau se libère pour pouvoir l'utiliser à leur tour, Germaine et son mari s'étaient préparés pour la nuit. Germaine avait revêtu une fine nuisette au décolleté en carré et qui lui arrivait à mi-cuisses. Conçu dans un tissu si fin qu'il en était translucide, le vêtement laissait deviner ses formes voluptueuses ; ses hanches adorablement évasées, ses fesses rondes parfaitement séparées par le long et profond sillon plein de mystère. Côté pile, la nuisette du fait de son décolleté, dévoilait les admirables dômes de chair laiteuse de deux seins extraordinairement ronds. À trente-quatre ans, Germaine possédait une poitrine étonnamment ferme ; ses seins ressemblaient à deux melons, auxquels Julien avait l'habitude de les comparer. Du fait de sa transparence, la nuisette laissait deviner les mamelons ocre au centre desquels pointaient deux petites bites raidies. Plus bas, la jointure des cuisses se dessinait d'une manière émoustillante ; l'absence de pilosité rendant le pubis encore plus excitant.
Julien quant à lui, s'était contenté d'enfiler le pantalon de son pyjama.

Allongé côte à côte sur le lit, qui avait été celui de Germaine du temps de sa jeunesse, le couple patientait en silence, chacun plongé dans ses songes. Ce fut Germaine qui rompit la première le silence :
- J'ai trouvé maman bizarre !... Tu n'as rien remarqué ?

Julien qui songeait justement à sa belle-mère et à ce qu'il venait de vivre avec elle fut pris de court.
- Non, je ne vois pas' À part peut-être sa façon de s'habiller? Elle a enfin décidé de quitter ses vêtements de deuil' Je ne vois pas ce qu'il y a de bizarre à ça !
- Justement !... Tu ne les trouves pas un peu trop?
- Sexy ?
- Oui, c'est cela? Tu as vu sa jupe? comme elle lui moulait les fesses !...
- Hé alors, cela te gêne que ta mère soit encore attirante à son âge ?... Moi je la trouve encore très' désirable?
- Maman ! S'étonna Germaine? Tu trouves maman désirable ?...

Après un moment de silence, Germaine questionna :
- En tant qu'homme, tu pourrais éprouver du désir pour maman ??

L'esprit encore embrumé par les vapeurs d'alcool et par le comportement de sa belle-mère qui avait accepté de bonne grâce ses attouchements, Julien répondit sans réfléchir.
- Certainement, ta mère est encore très belle et elle peut encore provoquer le désir chez n'importe quel homme !...

Germaine demeura un long moment silencieuse à assimiler la réponse de son mari. Etant elle-même sous l'effet de l'alcool, elle ne s'offusqua pas du fait que Julien puisse désirer sa mère. Se redressant subitement, elle posa la question qui depuis un moment la travaillait :
- Tu crois que maman a quelqu'un ?
- Hé alors, se répéta Julien. Cela te gênerait ?... Ta mère a bien le droit de refaire sa vie, elle est encore jeune et elle a peut-être des besoins sexuels.

En même temps qu'il se prononçait sur les besoins sexuels imaginaires de sa belle-mère, Julien ressentit un pincement au c'ur. Il lui était douloureux d'imaginer Monique dans les bras d'un autre homme. Et encore moins cuisses écartées, s'offrant aux assauts d'un amant fictif. Depuis qu'il avait découvert l'étrange changement vestimentaire de sa belle-mère, un formidable désir s'était emparé de ses sens. Il avait follement envie d'elle, envie de lui faire l'amour. Depuis cet après-midi, une seule pensée, une seule envie lui taraudait l'esprit et les sens : Serrer sa belle-mère dans ses bras, découvrir son corps, se griser de ses humeurs intimes, et qu'importe qu'elle soit la mère de son épouse. Une fois les vacances terminées, lorsque Germaine et lui auraient regagné Paris, Monique pourrait bien prendre autant d'amants qu'elle le désirerait. Mais pour l'instant, il la voulait toute à lui, il voulait l'entendre gémir de plaisir, la voir se tordre de volupté sous ses coups de boutoir.


Assise à même le lit, les bras entourant ses genoux repliés, Germaine scruta son mari couché à ses côtés, tachant de savoir s'il parlait sérieusement ou s'il blaguait au sujet des besoins sexuels de sa mère. Ainsi étendu torse nu, les deux bras repliés sous sa nuque, son époux était, à quarante ans, encore un bel homme. Les épaules larges, le torse développé, un ventre plat, contrairement au sien, qu'il fallait qu'elle surveille continuellement, la taille fine ; et surtout ce qu'elle aimait par-dessus tout, même si pour l'instant elle ne pouvait les contempler, c'était les fesses de son époux. Julien possédait un corps d'athlète, façonné par de nombreuses compétitions de natation lors de sa jeunesse. Encore aujourd'hui il lui arrivait de nager longuement dans l'immense piscine qu'ils avaient fait installer dans leur résidence, située dans la banlieue de Paris.

A contempler ce corps pour lequel elle éprouvait un envoûtement sexuel depuis maintenant plus de quinze ans, Germaine sentit une bouffée de désir la gagner. Subitement, son regard accrocha une bosse significative, qui déformait le pantalon du pyjama de son époux. Tout son corps se couvrit aussitôt d'une chair de poule érotique. Quelque peu surprise par cette découverte, elle demeura quelques secondes avant de réagir.
- Mais tu bandes, s'exclama-t-elle !

Et comme pour s'assurer de la véracité de ce que ses yeux découvraient, elle posa sa main droite sur la protubérance des plus révélatrice. Pressant alors cette proéminence qui déformait de façon fort disgracieuse le pantalon, elle demanda malicieuse :
- C'est maman qui te met dans cet état ?

L'esprit trop embrumé par les vapeurs d'alcool pour être vraiment lucide, Julien ne jugea pas nécessaire de cacher les sentiments qui le perturbaient.
- Peut-être, avoua-t-il !

Trop déstabilisée elle-même par les vapeurs d'alcool qui lui embrumaient encore l'esprit, Germaine ne releva pas le sous-entendu. Le désir de cette verge gonflée lui était soudainement devenu impératif.
- De toute façon, j'ai bien l'intention d'en profiter, décida-t-elle en pressant plus fortement le sexe durci de son homme.

Et sans plus d'hésitation, elle s'empressa d'enjamber son mari.
Les cuisses largement écartées, elle s'agenouilla de part et d'autre des hanches de son compagnon tout en lui faisant face. Habilement elle amena sa chatte en émoi en contact avec cette protubérance aguichante contre laquelle elle appuya fortement sa vulve déjà fort humide.
Posant alors ses deux mains sur le torse vigoureux de celui qui partageait sa vie depuis bientôt seize ans, elle remua ses hanches en une sensuelle danse du ventre. Avec un plaisir grandissant, elle agita son entrecuisse en un mouvement de va-et-vient, frottant avec délice sa longue fente sexuelle contre la dure excroissance.


L'esprit toujours perturbé par ses fantasmes où sa belle-mère avait le rôle principal, Julien laissa son épouse ?uvrer à sa guise, sachant par expérience qu'il ne servait à rien de vouloir la diriger lorsqu'elle était dans cet état. Le frottement incessant de la vulve, dont il percevait la chaleur malgré l'écran de son pyjama, lui procurait un certain plaisir, sans toutefois lui faire perdre le fil de ces rêveries érotiques. Ne s'occupant uniquement de la recherche de son plaisir, Germaine se démenait sur son sexe dilaté.

Cependant peu à peu, Julien détecta une chaleur bien connue se répandre sur son membre viril :
- Laisse-moi enlever mon pyjama, tenta-t-il d'expliquer? Je vais être trempé !

Ignorant sa requête, Germaine s'agita de plus belle :
- C'est trop bon, gémit-elle d'une voix enrouée.

Sous le plaisir qui insidieusement le gagnait, Julien désira contempler le corps sensuel de sa femme, et pour cela il entreprit de retrousser la fine chemisette diaphane. Compréhensive, Germaine s'empressa de l'aider en rejetant vivement son vêtement par-dessus sa tête, apparaissant dans sa radieuse nudité.

Devant le merveilleux spectacle qui s'offrait à ses yeux, Julien ne put rester plus longtemps passif. Emprisonnant les hanches voluptueusement galbées de sa femme entre ses mains, il s'exalta à sentir le velouté et l'élasticité de la chair féminine sous ses doigts. Avec ses seins ronds et encore étonnamment fermes, son ventre à peine bombé, ses hanches agréablement arrondies, son pubis aussi glabre que le bas-ventre d'une fillette, Germaine possédait un corps extraordinairement sensuel. Du fait de sa position, occupée qu'elle était à le chevaucher, elle lui faisait penser à l'un de ces tableaux représentant ces fières Amazones de la mythologie grecque.
Mais alors qu'il fixait médusé les deux globes de chair qui pointaient hardiment leurs bourgeons de chair érigés, Julien imagina qu'à la place de sa femme, se trouvait sa belle-mère. Quel spectacle lui aurait procuré Monique à se démener ainsi, entièrement nue, au-dessus de son bas-ventre ?... Certes à cinquante-deux ans, cette dernière possédait certainement un corps nettement plus enrobé que celui de sa fille ; cependant d'après ce qu'il avait pu en juger dans l'après-midi, Monique possédait encore une silhouette avenante. La jupe étroite qu'elle portait, si elle dessinait avec une extrême précision ses hanches galbées et sa croupe adorablement arrondie, ne révélait par contre pas le moins bourrelets disgracieux. Quant à sa poitrine, d'après ce que son corsage pouvait en laisser deviner, elle paraissait d'un volume agressif, bien que songea Julien réaliste, le soutien-gorge devait certainement aider à ce maintien provocant.
Quel spectacle cela devait être, de voir cette plantureuse poitrine ballotée au rythme de la chevauchée sexuelle. Comme beaucoup d'hommes, Julien éprouvait un désir pervers pour les seins lourds et quelque peu retombants des femmes matures.

A frotter sa vulve et surtout son clitoris exacerbé, contre la proéminence formée par le sexe bandé de son mari, avait accentué chez Germaine le désir qui la tourmentait. Au plus profond de son vagin, un brasier avait pris naissance, lui irradiant les entrailles, tandis qu'un abondant écoulement s'échappait de sa chatte affolée? Cependant, le sensuel frottement qu'elle s'octroyait et qui avait déclenché ce formidable désir dans tout son corps ne lui suffisait plus ; il lui fallait quelque chose de plus concret' Elle voulait sentir cette verge qu'elle percevait contre ses grandes lèvres sexuelles, s'enfoncer à l'intérieur de sa vulve, pénétrer son vagin profondément. Alors se redressant vivement, elle se saisit de la ceinture du pantalon de pyjama qui recouvrait l'objet de ses désirs, pour le tirer le long des cuisses de son époux.
- Mon Dieu, tu es tout mouillé ! S'esclaffa-t-elle, bien consciente qu'elle était l'auteure de cette humidité qui poissait le devant du pyjama.
- A qui la faute ! Plaisanta Julien.
Fixant avec convoitise le long membre, raide et gonflé, qu'elle venait de mettre à jour, Germaine le flatta délicatement de la paume, avant de le saisir entre ses doigts afin de le maintenir verticalement :
- J'aime quand tu es dur comme ça, confessa-t-elle d'une voix déjà enrouée par le désir? Je sens que je vais me régaler !
- Comme à chaque fois renchérit Julien.
- C'est vrai, mon chéri? Tu es doué pour me procurer un vrai plaisir?
Tout en s'exprimant, Germaine avait repris sa posture initiale, à cheval au-dessus du bas-ventre de son mari. Habilement elle se positionna afin que les grandes lèvres juteuses de sa chatte se placent face au gland dilaté du membre viril. Alors, dans un gémissement de satisfaction, elle se laissa tomber, s'empalant profondément sur le pal de chair velouté.
- Oh oui, gémit-elle? C'est bon' Je te sens jusqu'au fond du ventre? Hhuuummm'

Percevant cette chaleur humide bien connue, envelopper son membre tel un fourreau brûlant, Julien éprouva un incroyable plaisir. Sa verge et le vagin de son épouse s'adaptaient précisément, comme si les deux organes avaient été moulés l'un par rapport à l'autre. Les parois élastiques de la vulve de Germaine épousaient intimement les moindres contours de sa queue, les pressant même.
Subitement une onde de plaisir lui parcourut le bas-ventre. Germaine venait d'amorcer une de ses caresses dont elle avait le secret, en fait sa spécialité érotique. A chacun de leur rapport sexuel, c'était toujours le même processus. Il aurait dû y être habitué, cependant, il éprouvait toujours le même plaisir. Profondément empalée sur sa queue tendue, Germaine complètement immobile, lui massait la verge à l'aide des muscles de son vagin... Après un long entrainement où il avait servi de cobaye, sa sensuelle épouse était arrivée à contracter et relâcher ses muscles intimes à volonté. Sous cette cajolerie spéciale et peu courante, Julien avait l'impression que le sexe de sa femme le pompait telle une bouche vorace. Sentir la vulve chaude et terriblement humide aspirer son gland en le pressant, pour aussitôt le libérer procurait à Julien un plaisir extraordinaire.
Germaine lui avait avoué avoir appris ce procédé d'une cons'ur marocaine, avec laquelle elle s'était liée d'amitié, lors d'un séminaire d'avocats :
Au cours d'une soirée où elles en étaient venues à parler de sexe et des pratiques différenciant leur pays, Amina lui avait parlé de cette caresse particulière, qu'elle avait elle-même apprise de sa grand-mère. En fait d'après Amina c'était assez simple, il suffisait de comprimer les muscles de son vagin, comme pour stopper sa miction, pour ensuite les relâcher pour continuer d'uriner? Amina lui avait conseillé de s'entrainer chaque fois qu'elle irait uriner pour que les parois de son vagin se musclent. Le soir même, Germaine avait essayé, dans le secret de sa chambre d'hôtel, de mettre en pratique la méthode de sa cons'ur marocaine. Lors de sa toilette intime, accroupie au-dessus du bidet, elle avait enfoncé son majeur à l'intérieur de sa vulve, et avait forcé les muscles de son vagin à se contracter. Elle avait alors ressenti une légère pression autour de son doigt, preuve que les dires d'Amina étaient exacts. Désirant atteindre un résultat au plus vite, Germaine s'était forcée à s'entrainer le plus possible et cela dans les endroits les plus variés. Assise à son bureau à consulter des dossiers ou lors des longues réunions au sein du cabinet d'avocats, elle s'obligeait à actionner ses muscles intimes ; dans les transports en commun aussi, qu'elle soit assise ou debout, pendant tout le temps du trajet, elle forçait les muscles de son vagin à une gymnastique excessive?
A force d'entrainement régulier, elle avait réussi, un jour où elle était seule à la maison, à maintenir une banane fichée dans son sexe par la seule force de ses muscles internes. Ravie des énormes progrès réalisés, elle s'était promenée quelques minutes ainsi avec le fruit coincé dans sa vulve sans que ce dernier ne chute? Au bout de quelques semaines, se sentant particulièrement en forme, elle avait réitéré l'expérience, mais cette fois en épluchant la banane. Fortement pressé par ses chairs intimes, le fruit avait été écrasé, une vraie marmelade ; à ce moment-là, elle avait regretté l'absence de son époux. Celui-ci aurait eu la primeur de déguster un nouveau nectar : sa liqueur vaginale au goût de banane. Elle en avait été si fière qu'elle en avait immédiatement informé Amina par courriel'

Depuis chaque relation sexuelle qu'il avait avec son épouse, était pour Julien une véritable béatitude. Dans ces moments-là, il se rendait compte qu'aucune autre femme n'aurait pu lui apporter autant de plaisir.
Or ce soir étrangement, son épouse se montrait particulièrement experte dans son art. Jamais sa verge n'avait été si frénétiquement malaxée par les parois brûlantes d'une vulve abondamment liquéfiée. Son gland rendu particulièrement sensible du fait de l'excitation, répercutait dans son bas-ventre et dans tout son corps, la chaleur torride des sécrétions vaginales qui l'enveloppaient. Le plaisir dû à cette fournaise vaginale était d'une telle intensité, que Julien devait faire d'énormes efforts de concentration afin de résister à la jouissance qu'il sentait pointer... Mais au bout de quelques minutes de ce traitement affolant, il dut se rendre à l'évidence ; il risquait de ne pas pouvoir juguler bien longtemps l'orgasme qu'il sentait naître au niveau de ses couilles.
- Arrête, grogna-t-il à bout de résistance.
- Pourquoi ? Minauda Germaine malicieusement, stoppant quand même toutes contractions de son vagin' Tu n'aimes pas ?
- Tu sais très bien que ce n'est pas ça, se défendit Julien, persuadé que sa femme avait bien compris son émoi? Si tu continues comme ça, tu risques fort de mettre fin prématurément à notre petit jeu'
- Ha, ça il n'en est pas question !? Tu m'as échauffé avec tes allusions à maman, maintenant il va falloir me calmer? J'ai trop envie?
- Alors, reprenons plus calmement, conseilla Julien, qui pendant ce court intermède avait retrouvé un peu de calme au niveau du sexe.

Ne désirant pas que son époux jouisse, avant qu'elle-même n'atteigne l'orgasme, Germaine, sans changer de position, entama une lente chevauchée érotique. Avec un plaisir non dissimulé, elle fit délicatement coulisser sa chatte ruisselante le long du pieu de chair qui la pourfendait.
- Ça va, s'inquiéta-t-elle ?... Tu t'es calmé ?...
- Oui c'est bon'
- Bien vrai ?
- Rassure toi, je maitrise, ironisa Julien en lui saisissant les seins en un voluptueux effleurement.
Sous cet attouchement précis, Germaine poussa un gémissement de contentement, gonflant sa poitrine afin de mieux offrir ses mamelons aux caresses. Rassurée sur l'état d'excitation de son mari, lui faisant confiance sur sa capacité à contenir son plaisir, elle ne songea alors plus qu'à son propre contentement. Mimant le mouvement d'une cavalière chevauchant sa monture allant au trot, elle agita sa croupe de bas en haut, faisant ainsi coulisser sa chatte ruisselante le long du volumineux dard planté en elle.


Vêtue uniquement de son soutien-gorge et de son slip, Monique se planta devant l'immense miroir de la salle d'eau. Critique elle détailla longuement l'image que la glace lui renvoyait, tout en pivotant lentement sur elle-même, afin d'inspecter méticuleusement chaque partie de son corps. Sans être par trop indulgente avec elle-même, Monique estima qu'elle possédait un corps encore désirable ; bien des femmes qu'elle connaissait et qui n'avaient pas son âge auraient pu en être envieuses. Etonnamment, après sa ménopause, elle n'avait pas pris un gramme supplémentaire. Elle avait gardé ce corps élancé qui avait fait sa fierté lors de sa jeunesse, et qui avait tant plu à son mari. Certes, son ventre avait légèrement enflé, mais pas suffisamment toutefois pour l'obliger à changer de taille de vêtement. Ses culottes, ses jupes et ses pantalons étaient tous de taille quarante ou quarante-deux.

Satisfaite de l'image que lui renvoyait le miroir, Monique lança alors ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge rose, imprimé de fines fleurs et dont les deux balconnets bordés d'une dentelle mauve étaient séparés par une rangée de perles. Libérés de leurs prisons de satin, ses deux seins laiteux s'avachirent doucement sur son torse, perdant automatiquement leur agressivité fictive. Si Julien avait pu contempler à ce moment le fruit de ses désirs, il aurait été très certainement enthousiasmé ; les lourds fruits de chair correspondaient exactement à ses fantasmes. Sans être gros, les seins de Monique étaient d'un volume agréable à contempler. Une seule main masculine n'aurait pu envelopper entièrement chaque globe mammaire. Examinant sa poitrine dans le miroir, Monique empauma ses doudounes, comme elle aimait à les nommer, qu'elle souleva, leur donnant plus de volume. Le miroir lui renvoya l'image de ses tétons, qui telles deux petites bites se dressaient orgueilleusement au centre de leurs mamelons boursouflés. L'intense désir qui depuis la fin de la soirée, perturbait Monique, suite aux attouchements pervers de son gendre, se propageait à toutes les zones érogènes de son corps. Depuis ses seins outrageusement gonflés, jusqu'à sa chatte qui ne cessait d'émettre une abondante humidité ; cette soif sexuelle torturait ses organes intimes. Chaque parcelle de sa chair appelait à une délivrance érotique? Ne pouvant résister au besoin de se procurer un peu de plaisir, Monique entreprit d'agacer les excroissances dardées de ses aréoles à l'aide de ses pouces. Aussitôt ses bourgeons de chair se redressèrent un peu plus, alors qu'un long frisson lui parcourait le creux des reins.

Prise d'une impatience sexuelle, Monique abandonna ses lourdes mamelles pour s'attaquer à sa culotte qu'elle repoussa sur ses cuisses potelées. Le ravissant vêtement intime rose, imprimé de fines fleurs mauves, pareille au soutien-gorge avec lequel il formait un ensemble, s'écroula mollement au sol. Ramassant alors son sous-vêtement, Monique prit le temps d'en examiner l'entrejambe. Une large tache humide en souillait la bande renforcée, preuve d'une exceptionnelle excitation. Devant cette attestation de son émoi sexuel, elle porta l'entrejambe de son slip souillé à ses narines pour en humer le parfum épicé qui s'en dégageait. Puis regroupant slip et soutien-gorge, elle déposa le tout dans la corbeille à linge ; ne se doutant pas qu'à l'intérieur se trouvait l'une de ses culottes, dont l'entrejambe avait été copieusement maculé par le sperme de son petit-fils.

Entièrement nue, Monique se mira une dernière fois dans le miroir, inspectant plus particulièrement son bas-ventre. Là était son problème, car cette partie de son anatomie avait, malgré ses précautions, pris quelques rondeurs disgracieuses. Rondeurs qu'elle parvenait à gommer à l'aide de culottes renforcées. Mais lorsque celles-ci étaient retirées, les bourrelets déplaisants venaient douloureusement se rappeler à elle. Fixant ce renflement adipeux qui la tourmentait, et ce soir plus particulièrement, une angoisse s'empara de Monique : quel serait le comportement de Julien s'il la découvrait telle qu'elle était en ce moment ? La trouverait-elle toujours aussi désirable, avec son ventre potelé et son épaisse toison brune, qui lui couvrait le pubis, telle une exubérante forêt ? Aurait-il encore envie de frotter son membre à ses fesses ?
Cette pensée agit alors comme une douche froide sur les rêves érotiques de Monique. D'ailleurs, songea-t-elle, comment son gendre pourrait-il encore éprouver du désir pour elle, après une nuit de sommeil ? Ce qui était arrivé ce soir était uniquement dû à l'alcool trop copieusement ingurgité. Demain, après une bonne nuit de repos, Julien redeviendrait le gendre aimant qu'il avait toujours été? Mais elle-même saurait-elle ignorer cet extraordinaire désir qui avait pris naissance dans ses entrailles. Comment ses sens allaient-ils réagir quand demain matin, son gendre allait l'enlacer pour l'embrasser, comme il le faisait habituellement ? Saurait-elle se contrôler et ne pas montrer toute l'attente qu'elle attendait ?...
Tachant de chasser de ses pensées les doutes qui l'avaient envahi, Monique tourna le dos au miroir pour s'accroupir sur le bidet de faïence, dans lequel elle fit couler un peu d'eau tiède. Trempant une savonnette aromatisée à l'huile d'olive et à la lavande dans l'eau, elle s'en frictionna le pubis, faisant abondamment mousser sa toison intime. Puis elle passa la savonnette rendue glissante, entre les grandes lèvres de sa chatte humide, qu'elle savonna copieusement.
Tout en accomplissant sa toilette intime, Monique ne pouvait ôter de son esprit l'insidieux plaisir qu'elle avait ressenti sous les pervers attouchements dont elle avait été la victime. Les sournois frôlements de son gendre contre sa croupe et ses seins l'avaient particulièrement excité. Au point de ne pas les avoir repoussés, puisque venant du mari de sa fille.
Jugeant son sexe suffisamment savonné, Monique abandonna la savonnette, pour plonger deux de ses doigts à l'intérieur de sa chatte. Elle en frotta énergiquement les parois afin d'effacer les traces des abondantes sécrétions dont son vagin avait été la victime depuis le début de la soirée. Bien décidée à récurer les moindres recoins de sa vulve, elle frictionna fortement ses chairs intimes y mettant toute son ardeur?
Mais le résultat de ces frottements rigoureux fut que très vite, Monique ressentit une incontrôlable montée de volupté. Le va-et-vient de ses doigts à l'intérieur de son vagin avait agi comme une masturbation, stimulant les terminaisons sexuelles de sa vulve. Prise à son propre piège, Monique se laissa guider par ses sens affolés. Elle affina alors ses frottements en appuyant plus fortement ses phalanges contre les parois de son vagin échauffé. De longs frissons voluptueux ne tardèrent pas à lui sillonner l'échine, tandis qu'une houle agréable lui sillonnait le bas-ventre. Incapable de résister à ce pernicieux bien-être qui l'envahissait, Monique se laissa peu à peu submerger par le plaisir. Sans cesser de fouiller sa chatte de nouveau ruisselante de mouille, à l'aide son index et son majeur accolés, elle entreprit en même temps, d'agacer son clitoris à l'aide de son pouce. Comme s'il n'avait attendu que cette sollicitation, le merveilleux bouton d'amour jaillit d'entre les replis charnels ou il se terrait, dilaté par l'excitation.
Habilement, Monique galvanisa alors son clitoris dardé, le griffant ou le pinçant délicatement. Chaque stimulation clitoridienne déclenchait une série d'ondes voluptueuses à l'intérieur de ses entrailles torturées, tandis qu'un véritable flot de cyprine s'échappait maintenant de sa chatte dilatée.
Les yeux clos afin de mieux apprécier les vagues de plaisir qui la submergeait, Monique songea avec amertume au jouet sexuel qui était rangé dans l'un des tiroirs de sa commode sous ses sous-vêtements. « Popaul » comme elle l'avait dénommé, était une imitation des plus réussies d'un sexe masculin en parfaite érection. Ce prodigieux godemiché était un cadeau de son amie Lucienne. Cette dernière, véritable collectionneuse, en possédait une quantité incroyable, qu'elle faisait venir de tous les pays. Celui qu'elle lui avait offert pour son anniversaire faisait justement partie de sa collection. En latex, ce qui lui donnait véritablement l'aspect d'une verge dans ses moindres détails, il devait mesurer dans les vingt-cinq centimètres, pour un diamètre de quatre centimètres' Une fois qu'elle eut déballé le paquet contenant ce cadeau, Monique avait eu un moment d'hésitation, ne sachant comment apprécier ce présent particulier. Lucienne lui avait alors expliqué comment l'utiliser cet engin et avait tenu séance tenante à lui montrer comment s'en servir. Ce jour-là, Monique avait découvert tout le plaisir qu'un godemiché pouvait apporter.
Depuis ce jour, chaque fois que le désir se faisait par trop insistant, Monique faisait appel à « Popaul » son amant virtuel.
Vu l'état d'excitation dans lequel elle se trouvait, Monique ne se sentit pas la volonté d'abandonner ses caresses pour se rendre dans sa chambre récupérer son jouet érotique. Pourtant combien elle aurait apprécié l'aide de son merveilleux membre, même s'il était en latex. L'orgasme était là prêt à exploser, elle le sentait dans ses entrailles, à l'intérieur desquelles des vagues voluptueuses prenaient naissance. Elle le sentait également au niveau de ses mamelons extraordinairement gonflés. Il fallait qu'elle atteigne enfin cette jouissance qui la délivrerait.
Toute à sa folle masturbation, Monique se rappela soudain d'une confidence de Lucienne, au sujet d'un procédé qui lui permettait de se procurer du plaisir. Procédé qu'elle n'avait personnellement jamais essayé, mais son amie lui avait certifié que c'était radical. Pour cela il lui fallait simplement un instrument spécifique et justement cet instrument qui devait lui procurer cette jouissance se trouvait à quelques centimètres d'elle.
Se redressant de son siège les fesses dégoulinantes d'eau, Monique se déplaça jusqu'au lavabo de faïence bleu surmonté d'une tablette de verre, sur laquelle étaient disposés plusieurs effets de toilette. Repérant sa brosse à dents électrique, elle la retira de son étui. Se souvenant des révélations de son amie, elle actionna l'interrupteur, déclenchant la rotation de la tête pivotante.
Curieuse sur l'effet que pouvait produire le frottement de sa brosse à dents sur son clitoris et sur sa vulve en émoi, elle dirigea la tête en action en direction de sa chatte. Ecartant la luxuriante toison au centre de laquelle palpitaient ses grandes lèvres sexuelles, elle dégagea parfaitement son bouton d'amour déjà fort excité. Avec émotion, elle approcha alors la brosse vrombissante de son clitoris, qu'elle maintenait hors de ses replis à l'aide de deux doigts. Un léger chatouillis lui parcourut tout d'abord la totalité de la vulve, lui arrachant une petite exclamation de surprise. Ne voulant pas s'avouer vaincue par ce résultat quelque peu décevant, Monique entreprit de frotter la tête vibrante le long de ses grandes lèvres sexuelles. Très vite, le frottement des poils contre ses chairs intimes exacerbées, lui apporta un certain plaisir. Ravie par ce premier effet plein de promesses, elle insista, appuyant un plus fortement la tête vibrante contre les différentes zones érogènes de son sexe ; les poils rugueux de la brosse à dents farfouillèrent dans les poils bouclés de sa toison intime. Les rotations de la brosse à dents contre ses lèvres sexuelles lui apportèrent un plaisir de plus en plus soutenu. De longs frissons voluptueux prenant naissance dans son bas-ventre ne tardèrent pas à lui irradier le creux des reins. Peu à peu, le plaisir devenait plus insistant, plus intense.
Agrippée d'une main au lavabo, le corps penché en avant, les jambes saisies de tremblements, Monique se laissa lentement emporter par ce plaisir suave, mais tellement idyllique, qui l'envahissait. Soudain, une onde voluptueuse d'une violence extrême lui traversa les entrailles, lui arrachant un gémissement ; les poils consistants de la brosse venaient de frôler son berlingot de chair... Arc-boutée au lavabo, Monique fixa l'image de son visage convulsé que le miroir lui renvoyait. Les poils mi-durs de la brosse à dents continuèrent à agacer ses chairs intimes, lui procurant des élancements jouissifs chaque fois qu'ils frôlaient son clitoris dilaté. Chaque retour de la tête vrombissante contre son bouton de chair boursouflé, déclenchait dans son bas-ventre de nouveaux spasmes de plus en plus intenses.
Les entrailles lacérées par la jouissance, Monique dans un réflexe irraisonné, appuya vigoureusement la brosse en mouvement contre son clito dilaté. Les poils mi-durs malaxèrent alors si fortement son berlingot irrité, qu'une jouissance d'une intensité extrême la fit se cambrer convulsivement. Accrochée d'une main tremblante au lavabo, Monique s'abandonna aux spasmes de la jouissance qui lui irradiaient les reins et le bas-ventre, la tétanisant toute. Un orgasme d'une violence extraordinaire la plia en deux, la faisant vaciller sur ses jambes. Sous cette jouissance foudroyante, elle lâcha la brosse à dents, qui tomba à terre sur le carrelage, pour s'accrocher désespérément au lavabo, le bas-ventre convulsé. Ses sens éprouvaient enfin cet apaisement sexuel dont ils avaient besoin.
Lorsqu'au bout de cinq minutes, Monique émergea de sa torpeur voluptueuse, elle demeura un instant immobile, les jambes tremblantes, tachant de reprendre ses esprits. *


Les deux mains posées à plat sur la poitrine de son mari, Germaine s'activait avec exaltation sur le bas-ventre de celui-ci. Chaque glissement de sa vulve palpitante le long du pieu charnel de son homme, s'accompagnait d'un écoulement abondant de cyprine brûlante. Un suggestif bruit de clapotis montait de la vulve pistonnée par le membre gonflé, rendant l'accouplement encore plus affriolant pour les deux époux. Le plaisir créait chez Germaine des ondes sensuelles qui irradiaient chaque fibre de son corps. Sous cette emprise sexuelle qui insidieusement l'enveloppait, la jeune femme se sentait isolée du reste du monde. Plus rien ne comptait pour elle, excepté son propre plaisir.

Se penchant sur son époux, elle lui tendit l'un de ses seins gonflés :
- Embrasse-les, quémanda-t-elle d'une voix implorante.


Julien qui s'était contenté d'être passif jusque-là, laissant son impétueuse épouse diriger leurs ébats amoureux à sa guise, se décida d'accéder aux désirs de cette dernière. Avec avidité il aspira la totalité du mamelon que lui offrait sa compagne. Pressant alors ses lèvres autour du sein qu'il avait englouti, il le téta comme l'aurait fait un nouveau-né, arrachant des gémissements de plaisirs à son épouse :
- Huumm' Ouuiii?

Sachant combien son épouse appréciait ce genre d'attouchements, et les effets aphrodisiaques que cela lui occasionnait, Julien passa d'un sein à l'autre, dispensant les mêmes cajoleries affolantes à l'un et à l'autre.
Tout en aspirant longuement les tétons, comme pour en extraire le lait nourricier, Julien laissa ses fantasmes reprendre le contrôle de son esprit. Ce n'était plus les seins magnifiquement arrondis de son épouse qu'il aspirait, mais les volumineuses mamelles de Monique, sa si sensuelle belle-mère. Cette évocation déclencha en lui un regain de désir qui se concrétisa par une accentuation de sa succion. Aspirant la totalité du mamelon gonflé dans sa bouche, il s'efforça de flageller le téton raidi du bout de la langue, le faisant se durcir encore un peu plus.

La tête rejetée en arrière, les reins arqués, Germaine poussa de longs gémissements sous cette nouvelle caresse mammaire. Ignorant que ce fouettement si agréable était dû surtout à cause de sa mère, elle tint à en faire part à son mari :
- Oh oui? c'est bon' huummm' j'aime? hhuuummm' continue?


Les encouragements de son épouse arrivèrent aux oreilles de Julien comme dans un brouillard, son esprit restant hanté par la poitrine de sa belle-mère. C'était les tétons de Monique qu'il agaçait, les suçant et les mordillant délicatement. C'était les gémissements de Monique qu'il entendait, et plus ceux-là se faisaient langoureux, plus il s'acharnait sur les petits bourgeons de chair.


En offrant sa poitrine gonflée par le désir à la bouche de son mari, Germaine savait pertinemment ce qui allait en résulter. Les mamelons de ses seins avaient toujours été une zone particulièrement sensible ; le moindre attouchement de cet endroit déclenchait en elle un plaisir instantané. Du temps de sa jeunesse, il lui était souvent arrivé de connaitre un orgasme soudain lors de malaxage insistant de ses mamelons, par son amoureux du moment dans les salles obscures des cinémas. Connaissant cette particularité érotique propre à sa libido, Julien en usait en virtuose. Des ondes voluptueuses se propageaient depuis ses seins malaxés jusqu'au creux de ses reins. Tout son corps véhiculait des ondulations sexuelles : depuis sa poitrine gonflée jusqu'à l'intérieur moite de ses cuisses.

Comme Julien refermait ses mains sur ses fesses, elle implora d'une voix plaintive :
- Caresse mes fesses'


Reprenant quelque peu ses esprits, Julien enregistra la demande de son épouse. Sachant le plaisir qu'éprouvait cette dernière à ce genre de caresses, il entreprit d'obtempérer à la demande de celle-ci. Comme pour mieux se prêter à cette nouvelle caresse, Germaine avait abandonné sa position d'amazone pour s'étendre sur son torse. N'ayant plus les mamelons à sucer et à lutiner, Julien laissa ses mains frôler les masses jumelles de la croupe agréablement arrondie.
- Oui, comme ça? Murmura Germaine en ondulant du bassin.
Julien accentua alors ses frôlements sur la croupe frémissante, malaxant fébrilement les fesses à la peau si soyeuse. Aussitôt les gémissements de son épouse se firent plus insistant, preuve de son plaisir. Julien sentit immédiatement un radical changement au niveau de son membre viril ; une chaleur torride enveloppa soudain son sexe enfoui au plus profond du vagin incandescent, preuve que Germaine approchait inexorablement de la jouissance. Empoignant alors les deux globes fessiers qu'il malaxait, il les écarta largement l'un de l'autre, dégageant ainsi l'orifice secret qui s'y cachait.


Devinant immédiatement les intentions de son époux, Germaine ressentit une bouffée de désir. Cessant immédiatement les mouvements alternatifs de son bassin, gardant la volumineuse verge profondément plantée dans son vagin, elle se prépara à subir ce qui allait suivre.

A l'immobilité soudaine de sa femme, Julien comprit que celle-ci avait deviné ses intentions et que par son immobilité elle l'incitait à continuer son exploration. Glissant alors son majeur dans la profonde raie des fesses entrouverte, il dénicha l'ouverture secrète qui s'y cachait ; ouverture qu'il avait si souvent visitée, qu'elle n'avait plus aucun secret pour lui. Du fait de l'abondance des sécrétions vaginales qui s'étaient infiltrées dans la longue raie, l'anus copieusement humidifié n'opposa aucune résistance à l'introduction de son doigt explorateur. La première phalange du majeur s'enfonça sans peine dans l'orifice étoilé, puis la seconde, et enfin le doigt entier se trouva fiché dans le mystérieux estuaire des intestins.


Sous cette introduction, Germaine, qui pourtant la prévoyait, ne put cacher l'extraordinaire plaisir qu'elle ressentait :
- Oh oui, gémit-elle?
- Tu aimes, questionna vicieusement Julien ?

Sans attendre la réponse qu'il connaissait d'ailleurs, Julien commença à agiter son majeur à l'intérieur de l'anus perforé, frottant les parois de l'intestin à l'aide de sa première phalange.


Ressentant un plaisir divin sous ce frottis anal, Germaine reprit son déhanchement érotique, en gémissant de bonheur. Elle avait été longue à accepter d'être pénétrée par cette voie qu'elle considérait comme impure. Mais avec énormément de patience et de douceur, Julien l'avait peu à peu amené à accepter cette autre introduction et à son grand étonnement elle avait découvert qu'elle éprouvait un certain plaisir. Au fil des années, son orifice anal s'était assoupli et élargi à mesure des pénétrations du membre imposant de son mari.
Le massage de son vagin incandescent par la queue gonflée, joint au frottis anal et à l'écrasement de ses tétons sur le torse de son époux, acheva d'affoler Germaine. Dans un râle sauvage, elle tint à prévenir son mari de l'imminence de son orgasme.
- Oh chéri? C'est trop bon' Ça vient' Je vais'
Trois coups soudainement frappés à la porte de la chambre, suivis de la voix de Monique empêchèrent Germaine de finir sa phrase ; la surprise au moment où elle allait jouir la tétanisa.
- C'est bon les enfants' La salle d'eau est libre? Bonne nuit'

Cette brutale interruption à laquelle elle ne s'attendait pas surprit tellement Germaine, qu'elle fut incapable de retenir la jouissance qui depuis un instant la submergeait. Un orgasme d'une rare violence explosa soudainement, la faisant se cambrer convulsivement avant de la rejeter inerte sur le lit.
- Bonne nuit à vous aussi, lança Julien à l'attention de sa belle-mère, Germaine étant incapable de prononcer le moindre mot.

Appuyé sur son avant-bras gauche, Julien contempla son épouse allongée à ses côtés. Couchée sur le ventre, dans la position où la jouissance l'avait projeté, Germaine lui offrait la sensuelle vision de son dos agréablement incurvé et de sa croupe au galbe parfait.

Si Germaine avait connu un foudroyant orgasme, Julien de son côté demeurait encore sous le coup du désir ; son membre viril tendu au bas de son ventre en étant la preuve irréfutable. Fixant l'affolant derrière pour qui il éprouvait une véritable fascination, il y porta une main fiévreuse. Sous sa paume la douceur et le velouté de la chair féminine lui procurèrent un merveilleux sentiment de plaisir. Malgré l'âge et la grossesse de leur fils Michel, Germaine avait gardé un corps plein de sensualité et sa croupe était l'un de ses appas sexuels pour lequel Julien éprouvait un puissant désir. Cette croupe harmonieusement arrondie et encore extrêmement ferme était la fierté de Germaine, qui n'hésitait pas à la mettre en valeur par des jupes étroites, qui en dessinaient les formes avec précision.

Le frôlement insistant sur ses fesses ramena doucement Germaine à la réalité. Emergeant de sa somnolence voluptueuse, elle pivota sur elle-même pour se retrouver sur le dos. Fixant son époux qui la regardait avec tendresse, elle murmura d'une voix pleine d'amour :
- C'était merveilleux mon chéri? Tu es formidable? Tu es doué pour me donner autant de plaisir?
Puis après un moment de silence qu'elle passa à s'interroger, elle continua :
? Ce n'était pas maman que j'ai entendue ?
- Oui c'était elle. Elle nous souhaitait une bonne nuit' La salle d'eau est libre, si tu veux aller faire un brin de toilette.
Comme elle se redressait dans l'intention de se rendre à la salle de bain, Germaine découvrit le membre tendu de son mari.
- Mais toi !... Tu n'as pas joui ?...
- Tu ne m'en as pas laissé le temps, répliqua Julien sur le ton de la plaisanterie.
- Mon pauvre chéri, c'est vrai que ça été plutôt rapide? Mais j'étais tellement bien'
Se repositionnant sur le dos, Germaine replia ses genoux en écartant largement ses cuisses, offrant à son époux l'affolante vision de sa chatte lisse et luisante d'humidité :
- Viens sur moi, proposa-t-elle à son époux? Je vais faire en sorte de te vider les couilles, tu l'as bien mérité !...

Ne demandant pas mieux, bien que sachant par avance à quelle sauce il allait être mangé, Julien s'installa entre les cuisses grandes ouvertes de sa chaude épouse. Présentant son gland gonflé à l'entrée de la vulve accueillante, il n'eut aucune difficulté, malgré son volume à le faire pénétrer à l'intérieur de la grotte sexuelle. Encore énormément trempées suite aux récentes éjaculations de cyprine, les parois de la vulve rendirent aisée la progression de la verge volumineuse. Comme à chaque fois qu'il s'enfonçait dans la chatte de sa femme, Julien eut l'impression que son membre plongeait dans un brasier liquide. Une bouffée de chaleur enveloppa son gland. Un extraordinaire plaisir submergea Julien.

Sentant la puissante bite se frayer un chemin à l'intérieur de sa chatte encore palpitante, Germaine ressentit elle aussi un long frisson de plaisir. Elle adorait par-dessus tout ce moment, l'instant prodigieux où, tel un furet regagnant sa tanière, la longue verge de Julien s'enfonçait en elle, cherchant la moiteur de son vagin.
- Oh oui, murmura-t-elle? Viens bien au fond de mon ventre? Je veux sentir ta queue au fond de ma chatte?
Sentant le gland magistral venir frapper le fond de son vagin, signe que la totalité de la verge était en elle, elle sollicita :
- Là !... Ne bouge plus !...

Sachant par expérience ce qui allait se passer, Julien s'immobilisa, la verge entièrement fichée dans le sexe brûlant de sa sensuelle épouse.

Fixant son mari qui se maintenait au-dessus d'elle et dont elle sentait le volume de son désir au plus profond de son intimité, Germaine entama sa spécialité sexuelle. Spécialité qu'elle avait mise au point, grâce à un long entrainement. Se concentrant de toute sa volonté sur son sexe, elle força les muscles de son vagin à se dilater, emprisonnant le gland volumineux qui s'y était logé.

Bien qu'étant habitué à ce que sa femme allait lui faire subir, Julien éprouva un intense plaisir en sentant le vagin de cette dernière presser fortement sa queue. Les parois de la vulve se contractaient avec une telle force autour de son membre, qu'il savait par expérience qu'il lui était pratiquement impossible de se retirer de l'antre sexuel. Puis les faces internes du sexe féminin se relâchèrent, libérant son gland, avant de se resserrer aussitôt dans une nouvelle pression. Ce frottage érotique vaginal se poursuivi avec une régularité de métronome. Germaine était devenue une véritable artiste dans cet art particulier de massage vaginal. Julien ressentait un plaisir extrême à sentir son gland malaxer par les chairs brûlantes du vagin. C'était comme si sa sensuelle épouse le branlait à l'aide de son sexe.
Sous cette affolante caresse vaginale, Julien sentit qu'il ne pourrait résister encore bien longtemps à la jouissance qu'il sentait monter en lui. Se sentant proche de l'éjaculation, il se laissa tomber sur le corps de son épouse en tentant de la prévenir de l'imminence de son orgasme. Dans un grognement prolongé, il lâcha sa semence dans le vagin torride de sa perverse épouse, l'emplissant de son sperme onctueux.

Sentant le corps de son mari se tendre soudainement, Germaine comprit qu'elle avait atteint son but. Vivement elle resserra ses jambes sur les fesses de Julien afin de l'empêcher de se retirer de son sexe si l'envie lui en avait pris. Lorsque les jets puissants de sperme, jaillissant du gland soubresautant, vinrent frapper le fond de son vagin, elle en éprouva un tel plaisir, qu'un second orgasme la tétanisa de nouveau'

* Ce passage a été emprunté, avec son autorisation, à l'un des excellent récits de l'auteur Fulvia, « Tante Jeanne ». Je l'en remercie affectueusement'

A suivre