L'initiation de Julie - Chapitre 2

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Proposée le 7/05/2011 par Ralph Allus

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Depuis six mois qu'ils se fréquentaient, Julie & Alexandre avaient franchis bien peu des étapes qui suivent habituellement la naissance d'un couple? Ils avaient gardé chacun leur adresse respective, même si au quotidien Julie passait beaucoup de temps ? et de nuits ? chez son petit ami. Une partie de la raison venait de ce qu'elle ne voulait pour le moment pas encore présenter Alexandre à sa famille, craignant leurs appréciations sur leur différence d'âge.
Cet état de fait convenait aussi à Alexandre, qui n'avait jamais été vraiment fidèle jusqu'alors, et n'était pas pressé de devoir s'engager. Il s'étonnait lui même de ce que cette jolie "petite" provoquait chez lui, et en six mois n'avait eu aucune aventure en dehors de cette nouvelle jeune partenaire. Il ne s'était pas interrogé sur la nature de ses sentiments, mais s'il l'avait fait, il aurait bien du se rendre compte que de toute évidence il était bel et bien tombé amoureux d'elle. Sa beauté insolente, sa fraicheur merveilleuse et la grâce qui émanait d'elle en auraient fait tomber plus d'un, les formes qui étaient les siennes alliées à l'adresse et la détermination dont elle pouvait faire preuve dans un lit le comblaient certainement, mais ce qui l'attachait le plus à elle était sa timidité refoulée, cette petite maladresse dont elle faisait encore preuve dans ses relations amoureuses et plus particulièrement lorsqu'il l'initiait à la plus petite nouveauté. Ainsi les accessoires de lingerie qu'il lui offrait, les nouvelles positions qu'il lui demandait d'adopter, les fellations régulières qu'il obtenait, les cunnilingus qu'il lui prodiguait, les premières éjaculations qu'elle avait prise en elle, et depuis peu aussi sur elle, après qu'ils eurent abandonné le préservatif, leurs premières parties de jambes en l'air dans des lieux moins confortables qu'un lit ; elle avait toujours tout accepté, mais sans jamais être entièrement, ni surtout passivement, soumise à ses fantasmes. Il avait toujours du la préparer, puis l'exciter habilement et intensément, réussir à lui donner une bonne dose de plaisir avant qu'elle ne baisse la garde et finisse par accepter, sans vraiment le dire mais sans opposition, tout ce qu'il avait voulu d'elle, y compris lorsqu'il lui demanda un soir de s'épiler intégralement : Elle aimait trop ce qu'il lui faisait de sa langue pour s'opposer? En fait elle avait accepté de lui presque tout, mais pas absolument tout. Certes, elle avait une fois ou deux repoussé doucement les doigts d'Alexandre qui fouillaient sa chatte avec un peu trop de virilité, voire qui la pénétraient avec un peu trop d'insistance, et pourtant elle n'avait jamais du lui tenir tête, exception faite d'un soir ou il avait manifestement envisagé de s'introduire par derrière de son pouce, tandis qu'il titillait son clitoris de sa langue et de son autre main. Julie s'était opposée doucement de sa voix d'abord, sans toutefois qu'il n'abandonne les caresses qu'il accomplissait sur cet orifice, puis lui refusant son intimité en resserrant les cuisses lorsqu'il tenta une nouvelle fois de pousser sa phalange en elle. Alexandre eu la sagesse de ne pas insister, et ils jouirent ce soir là tout les deux de la langue de l'autre. Il attendit le repos du guerrier pour aborder la question avec elle, lui faisant comprendre ses intentions de l'initier aux pratiques anales. Julie s'y opposa assez formellement dans un premier temps, et il la tanna pendant une bonne demi-heure, gentiment mais avec insistance, argumentant qu'elle ne s'opposait d'habitude pas aux caresses qu'il avait pu faire à cet endroit lorsqu'il était entrain de la faire jouir. Elle s'empourpra à cette remarque, tant il était vrai qu'elle s'était laissée malicieusement faire lorsqu'il titillait sa toute petite porte alors qu'elle prenait son pied' Elle avait essayée de se convaincre qu'il s'agissait de man'uvres imprécises de la part de son amant, destinées à sa chatte et maladroitement effectuées' Ce qui bien sûr n'avait jamais été le cas. Dans ces moments intenses, il lui semblait bien que les doigts d'Alexandre avaient encore renforcé la puissance de ses orgasmes, mais elle ne pouvait admettre que cela soit lié à la stimulation de cette zone taboue. Ce soir-là, elle ne lâcha pas prise, se refusant à envisager la sodomie avec lui.
Alexandre revint régulièrement à la charge, et désormais se voyait opposer une fin de non recevoir sitôt qu'il tentait de conduire ses doigts sur cette possibilité encore vierge qu'il convoitait. Un soir où il tenta encore de la persuader de se laisser au moins caresser, il se fâcha presque de son refus qu'il jugea témoin de son immaturité et, qui plus est, basé sur des idées préconçues. Ne voulant pas laisser s'envenimer la situation, Julie lui fit la promesse de réfléchir attentivement à l'éventualité qu'il l'initie un peu plus à cette pratique qui ? sans qu'elle n'arrive à se l'avouer ? commençait à aiguillonner sa curiosité. En effet il lui avait assuré qu'une de ses ex lui demandait parfois de la prendre par là sans qu'il n'ait jamais eu à l'initier : Elle pratiquait déjà avant de l'avoir rencontré. Elle appréciait cela, prétendait-il et il assurait même l'avoir aussi fait jouir en même temps que lui en ne la prenant que par là.
Il évita intelligemment de lui en reparler, espérant qu'elle évoluerait rapidement dans son sens et avant qu'il ne se résigne, car ce ne serait pas un bon point pour leur histoire? Ce fut pourtant pour lui une surprise considérable de découvrir sur la table basse le matin de ses trente ans une petite carte de sa douce conquête qui s'était levée tôt, sur lequel elle avait simplement noté ces quelques mots : "Joyeux Anniversaire mon Amour. A ce soir comme prévu, je me ferai belle pour toi." Et en postscriptum en petites lettres : "Je suis prête à essayer tout (tout') ce que tu voudras ce soir?" Quelle belle promesse ! La perspective de cette soirée ensemble avec carte blanche pour le plaisir des sens fit naître une belle érection dans son pantalon !
Ils se retrouvèrent au restaurant comme ils l'avaient convenu pour fêter son anniversaire une semaine auparavant. Cela ressemblait un peu à leur premier rendez-vous, surtout qu'une première se préparait aussi surement pour ce soir ! Julie avait tenu sa promesse : Elle portait une jupe droite plutôt stricte de couleur brun foncé coupée juste dessus du genou, délicieusement sexy car fendue en avant de chaque côté, révélant ses longues et belles jambes mises en valeur par des collants clairs à peine brillants. Sachant les goûts de son amant, elle lui avait susurré à l'oreille qu'elle avait mis non pas des collants, mais bien des bas' Il adorait ça. Elle portait un bustier en coton fin assorti et un chemisier beige. Elle était sublime, comme toujours, surtout avec ses bottes à talon en cuir brun foncé. Elle ne lui répondit pas lorsqu'il voulu savoir ce qu'elle avait mis comme dessous : Il le saurait plus tard ! Surtout qu'elle avait fait des efforts pour être "belle" comme promis le matin. Elle portait un string blanc minuscule, uniquement fait deux minces bretelles superposés encerclant sa taille assez bas, se réunissant en arrière en un petit triangle évidé, avant de s'engager entre ses fesses, s'élargissant juste assez en avant pour couvrir son sexe épilé de quelques centimètres carrés de tulle très échancrée, brodée de blanc et rehaussée de petits n'uds. Elle n'avait jusqu'ici jamais porté de string si minimaliste, malgré les nombreuses sollicitations d'Alexandre, car elle les trouvait bien trop vulgaires. Elle voulait lui faire plaisir ce soir, et découvrait en même temps combien ce petit accessoire pouvait la stimuler délicatement' Son soutien gorge était assorti : En corbeille blanc aux fines bretelles, orné de quelques fleurs brodées, fermé par une seule agrafe. Elle allait faire son effet, elle en était convaincue !
A table, Alexandre du se retenir pour parler d'autre chose que de sexe, tellement il était excité par la soirée qui suivrait. Ce n'était pas tous les jours que l'on initiait une si belle pucelle qu'elle aux plaisirs les plus interdits ! Le dîner fut très agréable et très romantique en dépit du caractère pornographique que devait prendre la soirée. En fait Julie était un peu inquiète de souffrir physiquement de l'expérience à venir, mais aussi curieusement excitée de découvrir encore des nouveautés avec Alex? Il savait tellement bien y faire, qu'elle ne s'inquiétait pas trop. Plus que tout elle se sentait "femme", sûre d'elle et de ce qu'elle voulait et acceptait, sur le point de s'offrir comme elle l'entendait à son bel amant, d'une façon que beaucoup d'autres filles ne connaissaient sûrement pas. Sur le chemin du retour ils ne savaient pas trop de quoi parler, tellement ils étaient chauds tous les deux. Julie qui sentait l'atmosphère s'électriser fit passer un contrat moral à son partenaire et maître d'un soir : Elle devait pouvoir se rétracter à n'importe quel instant sans s'attirer ses foudres, fixerait elle même les limites pour ce soir, et voulait toujours avoir la possibilité de lui demander de passer à quelque chose de plus "conventionnel" s'il lui faisait mal. En contre partie, elle accepterait absolument tout ce qu'il lui demanderait de faire. Alexandre accepta sans négociation cette offre généreuse où il était à coup sûr gagnant. Il lui promit qu'elle ne le regretterait pas, ce qu'elle espérait sans savoir si elle pouvait y croire.
Une fois rentrés dans son appartement ils commencèrent à s'embrasser avec fougue, et rapidement Alexandre fut torse nu et Julie la poitrine presque offerte, encore maintenue par son joli soutien gorge, le bustier remonté après qu'il ait retiré son chemisier. Alexandre s'agenouilla devant elle, sa bouche collée contre son ventre, et les mains sur ses cuisses, remontant doucement sa jupe. Elle était déjà chaude et répondait à la moindre de ses caresses sur ses cuisses. Lorsque ses mains furent sur la racine de ses cuisses, là ou sa peau était nue, elle commença à haleter, et quand Alex eu fini de retrousser sa jupe jusque sur sa taille elle était déjà comme électrifiée. Il constata avec bonheur combien elle s'était faite sexy pour lui ce soir, et colla sa bouche contre le tout petit morceau d'étoffe qui le séparait de son intimité. Julie fondait sous ses doigts, et se laissait faire avec plaisir. Elle sentit son amant poser ses mains sur ses fesses, et se demanda s'il allait encore la faire languir avant de commencer à la stimuler comme elle le voulait : De sa bouche et de ses doigts. Il lui malaxa un moment les fesses, puis plaqua l'une de ses mains contre son ventre, l'abaissant jusqu'à ce que son pouce vienne à travers le tissus stimuler le clitoris turgescent et hypersensible de la jeune fille, pour le moment encore protégé par ses lèvres elles-mêmes prisonnières de sa lingerie. Elle avait entrouvert ses cuisses pour se faire masturber ainsi debout, encore habillée mais entièrement offerte à lui. Elle ne prêta pas attention à ce que faisait Alex de sa deuxième main avant de sentir son string se tendre subtilement dans la raie de ses fesses tandis qu'il y progressait lentement. Lorsqu'il eu posé son majeur sur son petit trou, il se mit à masser d'un même mouvement l'orifice par lequel elle était d'ores et déjà prête à accueillir son sexe et l'autre qui ne l'était pas du tout. Ces sensations osées firent vaciller Julie qui manqua de perdre l'équilibre, comme sous le coup d'un électrochoc.
Alexandre se releva, lui demanda de se déshabiller et de le suivre à la salle de bain : Julie lui avait également fait part dans la voiture de sa crainte panique d'être sale : D'avoir des selles ou ne seraient-ce que des traces en elle si l'expérience allait jusqu'à la pénétration. Il l'avait rassurée et lui avait aussi proposé de faire une toilette spéciale chez lui, ce qu'elle demanda vivement. Alexandre lui donna donc une petite poire à lavement ainsi qu'un tube de lubrifiant et lui fit couler de l'eau tiède dans le lavabo, à laquelle il ajouta un peu d'huile de paraffine avant de la laisser tranquille. Elle revint quinze minutes plus tard, ayant eu le besoin de prendre une douche après cela, le regard déterminé à dompter sa peur, expliquant à son amant combien elle avait mal vécu ces minutes de préparation et de purge, plus désagréables que n'importe quoi d'autre. Elle n'avoua pas combien il lui fut difficile de se mettre dans l'anus cette toute petite canule de purge qui terminait l'extrémité de la poire à lavement qu'il lui avait donné, et combien cela lui avait fait redouté d'admettre quoi que soit de plus gros. Elle avait été satisfaite de voir qu'Alexandre avait eu raison de lui dire qu'une petite toilette suffirait pour qu'elle soit bien propre, même si les secondes qu'il lui avait fallu pour expulser sa purge avaient failli la faire claquer des talons illico.
Il regretta qu'elle ait ôté ses bottes, et lui fit des compliments mérités sur sa nouvelle lingerie, faisant de son mieux pour esquiver cette discussion gênante. Puis il se colla à nouveau contre elle, s'empressant de libérer sa poitrine de ce beau soutif pour pouvoir la pelotter comme elle le méritait. Elle devait avoir la poitrine la plus bandante de tout le campus de droit, il en était convaincu, tant ses seins étaient ronds et fermes, et leurs bouts si parfaitement roses et centrés, et délicieusement pointus dans ces circonstances' Elle prenait beaucoup de plaisir à se sentir désirée ainsi dans sa féminité, et Alexandre savait réveiller en elle la part animale de sa sexualité. Elle n'aurait jamais accepté de se déguiser ainsi en petite pute, la chatte rasée, dans des dessous de salope, si elle n'avait pas été sûre qu'il y puise encore plus d'ardeur à la contenter, et surtout à la faire jouir. C'était sa façon d'avoir du contrôle sur lui : Il décidait de tout, ou presque, pour leurs parties de jambes en l'air, la faisant se soumettre à ses moindre désirs, mais elle pouvait s'attendre à un retour sur investissement' Ce soir les choses étaient encore un peu différentes : Elle avait pris du grade, sans même qu'il n'y prête attention. Elle avait posé ses conditions, et avait obtenu sans négociations l'accord de son homme. Certes, en ce qui concernait sa position, elle lui était ce soir plus soumise que jamais, mais cela se ferait sous son seul contrôle : Elle avait décidé quand, elle avait décidé comment, et elle ne s'était pas laissée emmener sur des chemins sans issue de secours. Elle offrait son corps, elle se donnait physiquement, mais elle avait le contrôle de l'esprit ce soir pour la première fois. Et cela l'excitait ardemment.
Mieux que nue devant lui, elle se laissa guider, lui offrant ce qu'il voulait : Son corps parfait, et une soumission totale. Il n'avait pas la pression, il était presque sûr d'arriver à ses fins se soir, mais savait qu'avec une vierge comme elle, encore si débutante et si préoccupée, il lui faudrait développer tout son art et toute sa patience pour déjà lui faire admettre le bout d'un doigt. S'il ne parvenait qu'à cela ce soir, ce serait déjà un bon début pour aller plus loin ensuite avec elle. Si elle consentait à se laisser faire, la pénétrer également dans les fesses n'était qu'une question de persévérance. Il prit le temps de la chauffer à nouveau tout doucement, la caressant, l'embrassant, la pelotant successivement, sans empressement, avec toute l'habilité dont il savait faire preuve de ses doigts et de sa langue. L'excitation dont elle avait curieusement fait preuve initialement s'était entièrement volatilisée, et maintenant qu'elle savait à quoi elle devait s'attendre, elle mit plus longtemps pour se laisser à nouveau aller aux plaisirs simples qu'Alexandre lui donnait alors. Il sentit sa crispation, et se décida à abandonner l'approche directe telle qu'il avait pu le faire d'entrée de jeu, pour ne pas perdre la possibilité d'obtenir de Julie d'autres soirées "carte blanche" comme celle-ci?
Abandonnant ses fesses totalement dénudées par son mini string, qu'il frôlait après les avoir copieusement malaxées, il attrapa ses seins par le dessous, juste pour en faire pointer un peu plus les tétons, et en approcha sa bouche, pour les titiller imperceptiblement de l'extrémité de la langue. Enfin il la sentit à nouveau répondre à ses attentions à la façon dont sa respiration se fit plus saccadée et plus profonde. Il continua ce petit jeu vraiment longtemps, sachant qu'elle ne s'en lassait jamais' Puis il libéra sa bonne main, et fut ravi de sentir son bassin basculer et ses cuisses s'entrouvrir à peine lorsque ses caresses se firent plus précises. Il ralentit sa vitesse de progression une fois ses phalanges sur le tulle de sa toute petite culotte, menant toutefois résolument son majeur contre l'ouverture de la vulve. Il se mit à la masturber avec autant d'attention qu'il léchouillait ses bouts de seins : Sensuellement et constamment. Julie à ce contact se ralluma pour de bon, et son corps tout entier se mit à suivre le ballet imposé par son amant, cherchant à amplifier ses mouvements sur son corps. Alexandre la laissa monter en température progressivement, puis colla à nouveau sa bouche contre celle de sa partenaire aux joues empourprées. Poussant un peu plus loin son majeur il trouva sous la pulpe de son doigt l'ouverture de ses lèvres à peine barrée de l'étroite bande de tissus qui faisait ici office de sous-vêtement. Il se fit un peu plus insistant pour la branler avec plus de virilité, et il obtint sur sa compagne l'effet escompté, dont témoignaient les petits mugissements émanant désormais de sa gorge. Elle était déjà bien humide, pouvait-il en juger, mais se retint finalement de récliner son string pour la posséder ainsi debout de son majeur. Il préféra la conduire jusque dans sa chambre.
Elle resta passive, et se laissa guider par son homme, qui la fit s'allonger sur le dos et vint sur elle, après avoir pris le temps de retirer ses vêtements, exception faite de son boxer que déformait une formidable érection, mais qu'il garda. Il l'embrassa avec tendresse, puis patiemment sur tout le corps, en descendant doucement dans son cou, puis sur sa poitrine, qu'il ne se priva pas d'agacer encore une fois de sa bouche et de ses doigts. Ne lâchant pas ses splendides mamelles, il reprit sa progression, jusqu'à ce qu'il soit entrain de l'embrasser en dessous du nombril. Il ralentit alors sa marche, qui devint millimétrique, faisant de sa douce une suppliciée, qui en attendait désormais plus. Elle s'était laissé faire passivement jusqu'alors, tandis qu'il voulait la sentir active. Il la voulait participante, pas seulement consentante. Il obtint finalement ce qu'il souhaitait, puisqu'elle posa ses mains dans ses cheveux pour le guider plus bas. Il commença à embrasser l'étoffe qui cachait encore son intimité, puis se fit plus insistant sur son Mont de Vénus, menant sa langue durcie vers la fente de sa vulve. Julie s'était repositionnée, sans aucune intervention de son amant, les cuisses très largement écartées et les genoux fléchis, impudiquement exposée face au visage de son amant. Alexandre délaissa ses seins pour se soutenir d'une main, la deuxième lui était destinée : Il posa son index contre sa chatte pour en titiller le clito, alors que de sa langue il fouillait entre les lèvres, comme pour la pénétrer. Julie s'arquait de désir, son corps entièrement sous le contrôle des assauts de la langue de son partenaire, gémissant lorsqu'il la rendait plus dure juste contre la bouche de son con. Elle ne voulait plus de cette fine barrière entre eux, et pris sur elle de retirer son string. Une fois cela fait, et bien qu'elle fût déjà au summum de l'excitation, elle ne parvint pas à se replacer de suite comme elle l'était auparavant. Elle avait toujours été très pudique, et ce qu'elle arrivait à faire avec Alexandre, elle n'aurait jamais pu l'imaginer il y avait quelques mois à peine. Depuis qu'elle avait cédé à sa demande récurrente de s'épiler totalement, elle avait encore un peu plus de réserve lorsqu'elle avait à se montrer : Elle n'assumait pas du tout l'allure de star du porno que cela lui donnait, et avait l'impression qu'Alexandre verrait jusqu'en elle en matant cette vulve imberbe. La première fois qu'il la dévêtît totalement après son épilation intégrale, elle lui avait même imposé le noir total, tellement il lui était difficile de s'assumer avec une telle dégaine. Le pire pour elle avait été lorsqu'elle avait du se rendre chez le gynéco ainsi parée. Elle avait du se justifier auprès d'Alexandre pour qu'il accepte enfin qu'elle laisse repousser un fin duvet dans les semaines précédant ce rendez-vous. Immédiatement après il avait à nouveau exigé ce rasage intégral.
A nouveau allongé à côté d'elle, il l'embrassa, et la caressa. Une main fut à nouveau bien vite dirigée vers son entrejambe tout doux, et Alexandre la positionna très précisément contre elle, la pointe du majeur contre la naissance de sa fente, que sa position les jambes serrées gardait pour l'instant fermée. Il se fit plus pressant, et recourba un peu son doigt dans l'ouverture des grandes lèvres, pour aller se placer sur le petit capuchon de chair moite que formaient les petites lèvres au dessus du clitoris gorgé de sang de la jeune femme. Ces stimulations lui plaisaient tant qu'elle en oublia rapidement sa pudeur, écartant progressivement ses cuisses. Alexandre vint se placer entre elles pour la masturber de ses doigts et de sa langue. Elle était déjà bien trempée avant qu'il ne commence à la branler de sa langue, et le goût douçâtre et salé de son con emplit sa bouche. Il la masturbait tout doucement, jouant de sa langue et de ses doigts tantôt sur le clitoris de Julie, si turgescent qu'il dépassait la fine barrière de chair qu'avaient constituées devant lui la naissance de ses petites lèvres, puis ensuite juste contre la bouche de son vagin, jusqu'à ce qu'il y pénètre sans effort, tant son majeur était lubrifié. Il le fit aller et venir en elle, insistant bien sur la paroi antérieure de son vagin, là où il stimulait son point G, puis plaça son index également à l'entrée de son con, et l'y poussa. Un doigt avait glissé en elle sans effort, elle admit le second avec autant de facilité, mais cette présence supplémentaire dans son antre amplifia sensiblement ses émotions, ce dont témoignait alors non plus des gémissements, mais de petits jappements et cris de jouissance. La jeune fille s'approchait de l'instant magique et tout son corps ondulait en rythme sur les doigts et la langue qui la fouillaient. A cet instant, elle ne rêvait plus que d'une chose : Qu'il se décide enfin à la prendre en un corps à corps plus conventionnel, et la fasse jouir de sa belle queue, mais elle savait qu'il n'en serait rien' Lorsque l'orgasme l'atteint, Alexandre focalisa sa langue sur le bout de son clito, le branlant en cadence de sa langue la plus dure, et enfonça ses doigts jusqu'au fond de sa chatte en les courbant pour la remplir totalement et appuyer leur extrémité sur l'endroit précis qui les attendaient'
Une fois qu'elle fut précipitée dans cette phase d'abandon quasi total qui suivait le paroxysme orgasmique il lui fit écarter et fléchir encore plus les jambes. Il vint à genou entre elles, et recommença doucement à la sucer. Elle de son côté était décidée à se laisser faire, et entendait bien ne pas prendre d'initiatives, surtout que dans ce genre de circonstances, elle savait qu'il valait mieux attendre les ordres que d'essayer de les anticiper. C'était une situation de totale soumission, mais elle avait toujours joui un maximum au cours de ces de rituels initiatiques, y compris lorsqu'Alexandre la poussait dans ces derniers retranchements... comme ce soir.
Son entrejambe était brillant et glissant de son miel et de la salive de son homme, qui à nouveau la pénétra avec un doigt. Puis il se retira et elle le sentit immédiatement ensuite se poser sur son petit trou, et y tourner fermement mais sans forcer, dans un mouvement qui avait pour effet de l'enduire de mouille et de l'assouplir un peu. Ca y est, il commençait à la préparer à l'autre partie de la soirée? Celle dont elle aurait bien voulu se passer? Il lui avait offert un orgasme de sa bouche, mais maintenant c'était à elle de commencer à s'offrir? Alexandre n'insista pas, replongea son doigt dans la bouche de son vagin, et à nouveau se retira pour lui malaxer l'anus. Tandis qu'il recommençait encore, il porta sa bouche qui la masturbait sur cette zone également, afin de l'humidifier encore plus. Julie ne prenait plus aucun plaisir à cet instant, mais elle décida de le laisser continuer encore, satisfaite de le sentir si méthodiquement attentionné ce soir. Il suggéra qu'elle continue à se masturber elle-même, remarque qui aurait du la choquer, car jamais personne ne lui avait fait pareille demande. Pourtant elle s'exécuta, plus obéissante que convaincue. Elle était décidée à ne pas vivre une expérience désagréable malgré sa réticence infinie, et trouva donc dans les caresses qu'elle se prodiguait seule ce qu'il ne lui apportait pas pour l'instant en faisant tourner son pouce contre son cul.
Alexandre l'abandonna quelques secondes pour se saisir d'un tube de lubrifiant, puis reprit ses préliminaires après avoir fait couler quelques gouttes de ce gel dans la raie qu'elle lui offrait. Progressivement il se fit plus pressant, et commençait à pousser son pouce plus fort, sans beaucoup de succès' Il se décida donc à recommencer à la sucer pendant de longues minutes avec attention, jusqu'à ce qu'il sente à nouveau son corps commencer à onduler sous ses coups de langue. Il enfila alors encore son pouce dans son minou trempé, et l'y laissa pendant qu'il la léchait. Julie gagnait à nouveau en excitation, et cette fois-ci lorsqu'il retira son pouce il le guida avec détermination vers l'anus de sa partenaire. Il poussa encore un peu plus que précédemment et ordonna : "Écarte tes fesses, mon amour". Elle s'exécuta sans protester alors que son pouce forçait son chemin dans le plus petit de ses orifices. Elle se mordit les lèvres lorsqu'il la déflora, faisant passer la pointe de ce doigt dans son sphincter. Il était déjà incroyablement présent en elle, alors qu'il n'avait encore presque rien accompli. Julie s'était contractée, se concentrant pour ne pas repousser l'appendice qui la dépucelait, et poussa un petit cri de surprise en le sentant soudainement la sodomiser beaucoup plus profondément en franchissant le sphincter interne. Elle s'était finalement laissé enculer?
Ce n'était que son pouce qu'il lui avait fait admettre, mais ayant accepté cela, elle savait qu'elle devrait désormais de nouveau passer par là : Se faire ces purges, se soumettre entièrement à lui, pour satisfaire son désir viril de domination sexuelle et de sodomie.
Alexandre resta un peu immobile ainsi inséré dans l'orifice si serré de son cul, satisfait de ce qu'il avait déjà pu obtenir d'elle, se faisant la réflexion qu'il lui faudrait du temps avant d'arriver à lui enfiler sa queue. Il continua son cunnilingus de plus belle, jusqu'à ce qu'il sente se relâcher à nouveau l'orifice dont il venait de prendre possession. Il commença alors à retirer son doigt, ce qui eut comme effet de crisper brutalement Julie, probablement par crainte de n'être pas tout à fait propre, et de lui rendre un doigt souillé, mais au moins autant parce que ce retrait lui tiraillait encore plus l'anus, et lui prodiguait de la sorte des sensations certes inédites, mais pas vraiment agréables. Elle le lui avoua, et il lui dit qu'il allait donc la lubrifier encore plus. Elle avait vaguement espérée qu'il décide d'abandonner cette séance en l'entendant lui faire part de ses douleurs, mais il ne se laissait pas facilement contrarier sur le sujet du sexe. Il avait à nouveau appliqué une dose de lubrifiant sur son entrejambe déjà brillant, et le fit pénétrer en elle en même temps qu'il lui faisait à nouveau prendre le pouce. C'était le plus gros de ses doigts, évidemment, et il avait immédiatement entrepris de la posséder avec celui-là, s'était-elle dit' Au moins était-ce également le plus court ! Encore une fois il dut forcer un peu pour le faire passer, mais le retour fut moins désagréable. Il le retira de nouveau entièrement pour le badigeonner d'une nouvelle dose de lubrifiant qu'il poussa en elle cette fois aussi loin qu'il le pouvait. Elle poussa un gémissement félin sous cet assaut, tandis que se dilatait doucement ses muscles intimes. Alexandre se remit à la branler de sa langue la plus dure, qu'il faisait pénétrer dans la bouche de sa chatte, et commença tout doucement à faire aller et venir son doigt à la même cadence. Cette double stimulation était à la fois délicieuse et dégoutante, agréable et un peu douloureuse, sensuelle et brutale? Ce qui constituait un peu des éléments du plaisir sexuel' Et à mesure que son homme se mettait à lui limer le cul, elle oublia la douleur qu'elle ressentait lorsqu'il la reprenait après s'être retiré de temps en temps, et se mit à gémir doucement de se sentir ainsi offerte et possédée. Alexandre continua assez longuement cette partie très coquine avant de retirer son pouce d'abord, puis sa langue ensuite. Il se redressa et lui demanda de se retourner. Une boule d'angoisse l'envahit immédiatement, mais elle fit ce qu'il lui demandait sans broncher. Avait-il déjà l'intention de la prendre pour de bon en anal dans cette position où elle n'aurait aucun moyen de contrôler ni la profondeur ni la force de ses assauts ?
Couchée sur le ventre Julie reçut l'ordre de se mettre à quatre pattes. Alexandre avait retiré son caleçon et vint se placer non pas derrière elle comme elle le craignait, mais devant, la verge tendue, grosse et gonflée, excité comme jamais. Elle faisait une nouvelle fois l'expérience de la soumission totale ce soir : Il ne lui avait rien fait ou promis de particulier, ni cadeau, ni de récompense, ni reconnaissance. Il avait fait d'elle son objet, et elle savait qu'il allait jouer avec longtemps avant de se lasser. Il faut dire aussi qu'elle avait accepté spontanément son projet initiatique, et que de ce fait, elle s'était offerte à lui toute entière et, cette fois-ci, presque sans conditions. Peut-être aurait-elle du céder moins facilement, offrir cette virginité avec plus de réserves ou de conditions, afin d'obtenir le maximum en échange ? Il était trop tard pour faire marche arrière de toute façon, Alexandre ne l'aurait jamais accepté. Elle gardait encore l'espoir qu'il saurait lui donner, peut-être ce soir, ou bien au moins ultérieurement, la monnaie de se pièce. Elle n'était pas vénale, ne désirait ni argent ni cadeau, juste la considération qu'elle méritait, afin de se sentir aimée et non pas juste désirée. Avec Alexandre cela avait toujours été comme cela : Chaque fois qu'elle avait accepté de le suivre dans ses fantasmes, il avait été doux, attentionné, lui avait offert d'excellents dîners ou de petits cadeaux, ou bien une nuit intense ou il avait donné autant que reçu. Pour le moment elle était convaincue que cette nuit serait différente, car devoir se purger, se faire enduire de lubrifiant, recevoir un doigt par là avait tout d'une sorte de punition sado-masochiste, et l'orgasme qu'il lui avait donné de sa seule langue et de ses doigts était un peu pâle en comparaison de ce qu'il voulait lui faire accomplir : Recevoir cette énorme queue qu'elle avait en face du visage par derrière... Elle se trompait alors, mais ne pouvait pas vraiment s'en douter : Alexandre était en effet déterminé à la soumettre et à la sodomiser ce soir de son sexe, mais il avait décidé de tout faire pour qu'elle jouisse aussi autant que lui, mais pour le moment il fallait qu'il commence doucement par la dilater, et savait que cela lui prendrait un long moment. Elle se rapprocha, un peu résignée, et entrouvrit ses lèvres contre le bout de son gland encore masqué par son prépuce à peine rétracté. Elle garda ses lèvres assez fermées, afin de dégager son n'ud en même temps qu'elle le prendrait dans la bouche. Cela plu assez à son compagnon, vu les sons qu'il émit, et le raidissement qu'elle sentit de son corps. Elle resta un instant ainsi, les lèvres assez fermement serrées autour de la base du gland, collant alors sa langue contre lui pour le titiller dans des petits mouvements d'avant en arrière de sa langue contre le frein et l'ouverture du méat, en obtenant immédiatement quelques gouttes de liquide séminal, visqueux et salé, qu'elle avait appris à garder avec Alexandre, qui n'aimait pas la voir baver lorsqu'elle suçait.
Alexandre était un homme poli et respectueux, bien éduqué ; mais il était aussi un amant particulièrement audacieux et déterminé, faisant dans l'intimité tout ce qu'il savait ne pas faire en société. Pas mal de femmes dont beaucoup de jeunes filles du campus avaient pu découvrir ses talents sexuels dans des manières ou des circonstances souvent plutôt osées. Quelques-unes d'entre elles eurent même à en souffrir, non pas physiquement mais moralement. Cependant il avait toujours su être habile et cette réputation ne s'était jamais réellement ébruitée : Aucune de ses anciennes compagnes ne souhaitait voir étalée sa vie privée avec lui, et encore moins les frasques sexuelles accomplies. Alexandre, en amant prévoyant, avait fait à leur insu et pour bon nombre d'entre elles quelques photos compromettantes et surtout des vidéos. Ce n'était pas par perversité, bien qu'il ne déteste pas revisionner certaines de ces parties de jambes en l'air, mais bien par prudence qu'il avait fait ces films, lorsqu'il avait perçu dans l'attitude de ses maitresse une potentielle menace pour lui? Il espérait ainsi pouvoir acheter leur silence de façon définitive. Heureusement il n'avait encore jamais eu à s'en servir pour monnayer sa tranquillité. En effet ses compagnes avaient toujours toutes été consentantes à ce qu'elles avaient fait, et ne pouvaient décemment pas vouloir lui nuire alors qu'il avait été, dans bien des cas, le meilleur amant qu'elles aient connu.
Pour Julie, les choses étaient différentes, car il éprouvait de réels sentiments pour elle, en plus du profond désir physique qu'elle suscitait en lui. Néanmoins il n'avait pas dérogé à ses vielles habitudes, et lorsqu'il posa ses mains en coupe derrière la tête de sa compagne, à quatre pattes devant lui entrain de le sucer, lui faisant comprendre qu'elle devait à présent se laisser baiser par la bouche, plus vite et plus profondément, il ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil rapide, le regard satisfait, vers l'objectif de sa caméra numérique, qui filmait toute la scène du haut d'une étagère au sommet de laquelle elle était bien dissimulée, et ce depuis le retour de Julie de la salle de bain. A cet instant elle était certainement femme et maitresse, mais se laissait traiter comme la pire des salopes, se laissant totalement faire, restant entièrement soumise, et continua même à essayer de lui pomper la queue avec talent alors qu'il la faisait aller et venir de plus en plus rapidement dans sa bouche, en prenant bien soin de ne pas la faire aller trop loin. Julie ne savait pas faire une fellation en gorge profonde, et jusqu'alors Alexandre n'avait aucunement eu envie de lui imposer cela. Il n'aimait pas vraiment, ou en tout cas n'en éprouvait pas le besoin, bien qu'il n'ait jamais pratiqué avec ses compagnes. Il cessa progressivement de lui imposer le rythme, mais la laissa le pomper encore de longs instants délicieux, durant lesquels elle fit de son mieux pour mettre en application tout ce qu'il lui avait demandé d'apprendre sur la fellation. Il savait qu'elle n'aimait pas du tout ce qu'il venait de faire, à savoir lui imposer ainsi le sexe oral en lui tenant la tête, elle trouvait cela dégradant et humiliant, et le faire avait été comme un test, elle le savait bien. Il avait voulu lui signifier combien ce soir elle ne serait pour lui qu'une courtisane docile, une poupée consentante, dont les orifices seraient entièrement et pour la première fois accessible à toutes ses envies.
S'étant littéralement retiré de sa bouche, il lui demanda de se tourner en restant à quatre pattes, les fesses bien en l'air en s'appuyant sur les coudes, et non sur les mains comme elle le fit d'abord... Extrêmement consciente de la tournure que prenait les évènements, elle s'exécutait : Elle avait longuement muri sa réflexion avant de se décider à lui offrir la virginité qu'il lui restait, et tenterait de ne pas le décevoir, pourvu qu'il soit digne de cela jusqu'au bout. A sa grande surprise Alexandre alla fouiller dans une commode et en sortit un petit paquet neuf dont il extirpa un gode bleu qui lui parut étrange ! Il s'agissait en fait d'un petit plug anal en silicone. Elle ne fit aucune remarque ni commentaire, offerte, les fesses en l'air, de plus en plus soumise, décidément prête à tout encaisser ce soir? Elle ferma les yeux et se concentra pour se préparer à accueillir par derrière le second visiteur de la soirée ; ce serait en fait aussi le tout premier objet avec lequel on la pénétrerait' Pendant qu'elle essayait vainement de faire le vide de toutes ces pensées, Alex fit couler un peu de lubrifiant sur son joujou, puis sur son petit trou. Toute son attention se porta là. Il étala un peu le gel avec les doigts, puis recommença comme précédemment à la masser du bout d'un doigt, le majeur cette fois, se faisant de plus en plus insistant, jusqu'à ce qu'il parvienne à nouveau à introduire le bout de sa phalange. Il resta quelques secondes dans cette position, bougeant à peine, avant d'essayer à nouveau de progresser. Il lui fut plus facile de parvenir à nouveau en elle par cette voie difficile, en partie parce qu'elle se laissait un peu plus faire et que le doigt choisi était plus fin, mais aussi et surtout car il avait déjà pris le temps de bien la lubrifier auparavant. Elle aussi avait trouvé cette intromission plus aisée que la précédente, par contre elle n'y voyait pas plus d'avantages' Surtout que, ainsi positionnée, elle exposait à son amant tranquillement installé aux premières loges l'intégralité de son anatomie la plus intime, et ce de la façon la plus obscène, sans aucun contrôle possible. Elle devait être diablement amoureuse pour se donner ainsi. Et en effet, Alexandre la matait sans un soupçon de pudeur, profitant de l'occasion pour contempler sa toute jeune chatte, parfaitement épilée, juste entr'ouverte et toute brillante de lubrifiant, mais aussi ce doigt qu'il enfilait dans son petit trou, tellement convoité qu'il en avait fait une véritable obsession. Il adorait son entrejambe, véritablement. Il le lui avait d'ailleurs déjà dit, et elle avait trouvé cela stupide, elle qui ne décelait aucune beauté dans cette zone en particulier, et qui avait du coup un peu de mal à s'exposer complètement nue, surtout depuis qu'elle avait du éliminer tous ses poils pubien pour lui plaire encore plus.
Alexandre, en pleine contemplation de sa victoire, progressait précautionneusement, pour qu'elle soit parfaitement lubrifiée, satisfait d'avoir pu s'introduire avec tant d'aisance, et finit par se retirer doucement, jusqu'à ne lui laisser que l'extrémité de sa phalange. Elle ne pu s'empêcher de l'expulser, dans un réflexe naturel. Alexandre enduisit encore une fois son majeur de son gel, mais cette fois-ci il fit de même sur son index avant d'appliquer ce couple infernal et dégoulinant sur l'orifice à apprivoiser. Il avait pas mal cherché sur internet avant d'acheter le plug qu'il s'apprêtait à lui mettre ensuite, car il le souhaitait au départ le plus fin possible : Un modèle pour débutante, puis s'était un peu ravisé après avoir comparé leurs mensurations à celle de son sexe bandé, et n'avait donc finalement pas choisi le plus petit modèle. De ce fait il avait un calibre respectable de plusieurs centimètres juste avant la base plus étroite, destinée à en assurer le maintient une fois en place. S'il voulait pouvoir le lui enfiler, il fallait impérativement au préalable qu'il la prépare manuellement. Lorsqu'elle sentit encore son doigt se poser sur elle, Julie se demanda ce qu'il comptait bien faire avec son gode, mais son attention se porta rapidement sur les deux doigts qui se présentaient cette fois. Les choses sérieuses allaient désormais commencer, se dit elle. Quelques instants avant elle avait été fière d'avoir pu accepter de se laisser prendre avec le pouce de son homme, mais elle avait crié victoire un peu trop rapidement' En effet, admettre ses deux doigts en un même geste s'avérait bien plus ardu. Elle se força à s'ouvrir encore plus, décidée à faire tous les efforts qu'elle pourrait pour son homme ce soir, et lorsqu'il perçu cette occasion qu'elle lui donnait il se fit un peu plus pressant et lui enfila ses deux premières phalanges. Julie serrait les dents pour ne pas mugir trop fort, agrippée aux draps, brusquement envahie d'une sensation assez désagréable : Celle d'avoir envie d'expulser les doigts d'Alexandre qui la tiraillaient sans en avoir la possibilité. Il avait un peu relâché la pression, par crainte de lui faire mal, mais il se ravisa et entreprit rapidement de faire doucement tourner sa main sur elle même, dans un vicieux mouvement alternatif, qui avait pour but de lui permettre de progresser encore. Cependant l'essentiel était déjà fait et cela l'avait été finalement avec assez d'aisance chez une pucelle : Il avait réussi à lui enfoncer l'extrémité de ses deux premières phalange. Il lui fit part de sa satisfaction, gentiment, mais il lui sembla qu'il parlait comme à une chienne qui aurait bien travaillé durant son exercice de dressage? Car en effet il s'agissait précisément de cela : De dressage ; il lui fallait la dresser avec habilité, une fois qu'elle avait bien voulu accepter l'exercice, la dresser à se laisser prendre dans le cul. Julie se déconcentrait un peu, elle laissa brusquement passer un réflexe d'expulsion qui se solda cette fois par une douleur lancinante lorsque ses sphincters se contractèrent avec force sur les appendices digitaux que son homme ne laissa pas sortir. Il perçut sa douleur à la tension soudaine de son corps, ne voyant pas la crispation de son visage qu'elle cacha dans les draps, mais prit soin de ne pas en tenir compte, décidé qu'il était à poursuivre son éducation jusqu'au bout afin d'obtenir le cadeau qu'elle voulait lui faire. Il fallait qu'elle apprenne à contrôler ses spasmes, et c'était là le plus dur à faire, pour ne pas s'infliger à chaque fois la douleur provoquée par la contraction réflexe des sphincters anaux. Il la prévint qu'il allait se retirer et lui demanda de tout faire pour ne pas chercher à l'expulser comme précédemment, afin de ne pas à nouveau se serrer sur lui. Elle fit de son mieux mais sans y parvenir, et un nouveau spasme désagréable l'agita. Bien qu'il se fût retiré totalement, elle avait alors l'impression de le sentir encore presque autant qu'avant. Cela n'était pas de très bon augure, se disait-elle, connaissant trop bien les mensurations imposantes de la virilité de son amant' A cet instant d'ailleurs il bandait avec une force rare, tant ces préliminaires l'excitaient. Plus fougueux que jamais, il se retenait afin de rester calme. Attrapant le petit gode qu'il avait posé sur les draps il étala le gel qui le coiffait et le plaça sur l'orifice tout juste libéré. Il commença à le pousser et demanda à Julie de s'ouvrir encore, comme elle avait pu le faire pour ses doigts. Bien que la texture fut plus douce, elle eu plus de mal à se laisser pénétrer par son plug, trop consciente de ce à quoi elle allait bientôt ressembler une fois qu'elle l'aurait dans le cul. Alexandre fit quelques tentatives délicates, puis, sentant la situation se tendre un peu décida d'être plus entreprenant. Il poussa plus fort sur la petite porte fermée de sa copine qui était tellement lubrifiée que cela lui permis de s'y introduire sans qu'elle ne l'aide, forçant contre sa volonté son petit jouet. Cette fois elle ne parvint pas à retenir un cri, dont la tonalité trahissait un peu de souffrance et de colère d'être prise si brutalement dans le cul, et elle eut un spasme à nouveau, encore plus fort que précédemment sur la base resserrée de silicone qui empêchait son expulsion. A cet instant elle était sur le point de se révolter, tant cette soirée d'anniversaire pour lui tournait pour elle au supplice. Lorsqu'elle s'apprêtait à faire volte face pour lui faire part de sa ferme décision d'interrompre là cette partie de sado-masochisme, elle fut submergée par une onde de douce chaleur provenant de son entre jambe alors encore ouvert et offert, dans lequel Alexandre venait de glisser sans peine la presque totalité de son sexe, en un mouvement viril de mâle en rut.
Comme soudainement soumise à l'emprise qu'il aurait exercée sur elle depuis son antre par ce sexe gonflé comme jamais, elle se laissa à nouveau totalement faire, se cambrant et s'inclinant encore plus en avant sans aucune autre sollicitation de sa part. Elle était comme ensorcelée, et tous ses reproches et ses craintes se dissolvaient maintenant qu'elle était entièrement possédée par son homme dans une incroyable double pénétration. Une ivresse inédite s'empara d'elle lorsqu'il commença doucement à faire aller et venir si facilement son gros chibre juste au dessous du gode qu'il lui avait enfoncé si péniblement à peine quelques secondes plus tôt, et lorsqu'il fut très précisément placé sur son point G il s'y arrêta presque, mais pas complètement, commençant alors une série de petits allers-retours contre lui. Elle craint un instant de se sentir mal tant elle fut envahie de plaisir. La présence, toujours aussi forte, du plug dans son rectum, et la tension qu'il provoquait en maintenant son anus à peine défloré ouvert, décuplait les sensations que le frottement de la verge provoquait sur ses lèvres et dans son vagin. Cette tension exercée sur toute sa vulve par la présence de ces deux inquisiteurs se répercutait jusqu'en avant, appliquant encore un peu plus que d'ordinaire son clitoris soudain si sensible contre le fourreau de la queue qui la baisait. Julie n'avait pas vraiment prêté attention aux man'uvres subtiles qu'Alexandre exécutait contre la zone très érogène de l'intérieur de son antre, mais lorsqu'il revint contre son point G après s'être presque retiré, elle s'était cambrée au maximum, le cul en l'air bien haut et le torse plaqué sur le lit, les bras de part et d'autre d'elle, prête à le recevoir totalement. Ainsi offerte, la présence du plug dirigeait avec bien plus de précision et de force le gland d'Alexandre contre cette zone magique, et Julie se transforma alors en femelle en chaleur, excitée comme jamais. Elle n'y avait même pas prêté attention, mais si son homme avait pu la prendre si aisément, c'est qu'elle était mouillée comme rarement' Se faire dompter par lui l'avait finalement sauvagement excitée. Surprenant son homme, et se surprenant elle-même, elle lui demanda d'une voix rauque : "vas-y, baise-moi maintenant, baise-moi comme une chienne, baise ma petite chatte et mon petit cul, fais-moi jouir encore une fois, fais-moi jouir comme çà, je t'en supplie".
Alexandre, en gros pervers jamais satisfait de ce qu'il obtenait, pensait déjà que maintenant qu'elle savait sucer comme une vraie déesse et qu'elle se donnait fougueusement avec un plug inséré dans le cul, il ne lui restait plus qu'à la convaincre de faire ce qu'il n'avait jamais réussi avec aucune de ses copines : Une partie avec elle et deux copains : Un dans sa bouche, un dans sa chatte et lui dans son cul !
Il oublia ces idées sordides et s'appliqua au mieux à la satisfaire, agenouillé entre ses jambes et agrippant le haut de ses fesses en les écartant, contemplant à loisir la soumission totale de sa chérie, et son formidable petit trou du cul rehaussé du bleu du plug qu'il hébergeait, tandis que son sexe trempé de leurs sèves et de lubrifiant lui donnait ce qu'elle attendait depuis le début de la soirée, mais avec bien plus d'effet qu'elle ne l'aurait espéré. Compte tenu de l'état de soumission et d'excitation dans lequel elle se trouvait, Alexandre s'inclina un peu pour profiter encore une fois de la situation. Il glissa sa main par devant jusqu'à ce qu'il puisse lui branler le clito, ce qu'elle ne l'autorisait pas toujours à faire, et d'ailleurs encore moins depuis qu'elle avait un Mont de Vénus absolument glabre, car cela la gênait énormément. Se sentir ainsi possédée, offerte, totalement remplie et stimulée décuplait étrangement ses sensations, ce qu'elle aurait du mal à s'expliquer rationnellement lorsqu'elle repenserait à cette soirée le lendemain matin, ne pouvant admettre que s'était d'être dominée qui l'avait alors transportée. Les doigts de son homme qui la fouillaient et les grands coup de reins qu'il lui assénait en cadence de ne tardèrent pas à la porter en pâmoison, et lorsque le second orgasme de la nuit l'aborda, ce fut une énorme vague de plaisir qui l'envahit. Elle porta une main sur celle de son amant, qui continuait à la limer méthodiquement tandis qu'elle haletait et miaulait, au bord du malaise, guidant ses doigts plus vite et plus fort sur son clitoris durci. Le plaisir dura, et ce n'est que progressivement qu'Alexandre sentit sa compagne redescendre, tandis que sa respiration se faisait à nouveau plus régulière et son corps, tendu comme un arc sur la flèche qui l'empalait, se relâchait un peu. De petites contractions délicieuses animaient encore son intimité, et à chaque fois il lui semblait que les deux extrémités qu'elle avait en elle palpitaient au creux de son ventre, prolongeant d'une étrange façon le plaisir. Ce n'est que lorsqu'elle se relâcha totalement, se laissant alors pénétrer passivement, comme une poupée mal gonflée et trop lubrifiée, qu'Alexandre relâcha son étreinte et la laissa se coucher sur le côté, repue et transpirante. Elle avait son compte, mais lui pas, et surtout n'avait pas encore atteint le but fixé, et qu'elle avait consenti à lui laisser espérer.
Percevant la torpeur qui s'était emparée de sa compagne, il l'invita à aller se doucher afin qu'ils se revigorent... Quand elle commença à lui demander ce qu'elle devait faire de son jouet, il lui demanda de le garder. Elle se leva donc avec prudence, et dans ce mouvement en effet sa présence se rappela immédiatement à elle, et également lorsqu'elle se pencha pour retirer ses bas, se montrant alors impudiquement possédée par cet objet insolite à son amant, assis sur le lit juste derrière lui, sans même y prêter attention. Il adora, prenant ce geste involontaire comme un consentement coquin. Alexandre l'accompagna dans la salle de bain, son impressionnante trique n'était pas retombée? Une fois sous les flots revivifiant d'eau chaude ils jouèrent des jeux coquins de frotti-frotta, puis Alexandre lui demanda de lui faire dos, et de s'offrir un peu en s'inclinant, les bras contre le mur et les jambes écartées de part et d'autre du bac de la douche. Il s'approcha d'elle la queue raide, et ne la toucha d'abord que de son sexe, qu'il fit glisser dans sa fente vers l'avant. A ce contact elle rejeta la tête en arrière en gémissant, un peu plus fort lorsqu'il vint se plaquer contre l'ouverture de sa vulve, tout près de son clitoris déjà entrain de reprendre vie. Alexandre attrapa ses seins et lui pinça les tétons, juste assez fort pour lui faire presque mal. Elle n'y porta même pas attention, se dandinant de son mieux pour se branler sur la bite qui se refusait pour le moment à la pénétrer. Avec le plug toujours bloqué en elle ces mouvement de bassin provoquaient encore des sensations nouvelles très osées, et il lui semblait presque déjà être prise par devant, alors qu'elle avait à peine le bout du gland de son homme entre ses lèvres. Alexandre continua son petit manège coquin, puis lâcha les mamelles sensibles pour guider sa queue cette fois dans la chatte désireuse qu'elle lui offrait. Comme précédemment, le fait d'être doublement pénétrée décuplait les effets qu'il provoquait en s'enfonçant dans son vagin, même sans pouvoir la pénétrer profondément, ce qu'il ne pouvait de toute façon pas faire dans la position actuelle. Julie ne se faisait de nouveau pas prier? Sa jeunesse et la découverte, récente, du sexe dévergondé avec Alexandre faisait d'elle une candidate aux nuits torrides. Elle écarta bien les cuisses, autant que l'exiguïté de la douche le lui permettait, à nouveau prête à se donner à lui. Mais il était cette fois décidé à la laisser sur sa faim, si bien que lorsqu'il perçu l'excitation grandissante de sa compagne, il ralenti progressivement la cadence et se retira finalement.
Julie se retourna alors qu'il fermait les robinets d'eau en la contournant, interrogative. Il se redressa imperceptiblement, faisant pointer son si gros phallus à peine sorti d'elle, dans une posture suffisamment explicite pour qu'elle comprenne ce qu'elle avait à faire sans recevoir d'ordres cette fois-ci. Car en effet, il n'avait fait que donner des ordres ce soir, puisqu'à aucun moment il n'avait agrémenté ses volontés d'une quelconque forme de politesse, ni même conjugué ses demandes au conditionnel. Elle savait pertinemment que c'était ce qu'il voulait : Qu'elle se soumette entièrement, sans mot dire, et cette fois encore elle accepta aveuglément cette règle du jeu immorale en s'accroupissant devant lui pour le sucer. Ainsi installée, elle aurait pu expulser son gadget si elle n'y avait pas prêté attention, et il lui fallait d'ailleurs un peu se contracter pour ne pas risquer que cela se produise, ce qui n'était pas vraiment agréable? Alexandre se contenta de ce qu'elle lui offrit cette fois, conscient qu'elle s'efforçait déjà de le prendre amplement dans la bouche, et de surcroit rapidement. Elle détestait réellement lorsqu'il lui imposait la cadence en la maintenant par la tête pour lui baiser la bouche, et vu la tournure qu'avait prise la première fellation ce soir-là, alors qu'il était encore très précautionneux et n'avait encore rien obtenu de ce qu'il voulait, elle craignait à cet instant qu'il fasse pire. Elle était trop contente de ce qu'il n'ai jamais essayé de la prendre en gorge profonde pour ne pas craindre que cela se produise un jour comme celui-là : Un jour où il ne la faisait jouir qu'après qu'elle se fut montrée totalement soumise à lui. Dans cette démarche dominatrice il se fit pomper la queue pendant de longues minutes, et lorsque Julie pris l'initiative de se replacer un peu mieux, attendant docilement de savoir ce qu'il voudrait ensuite, il profita juste de l'occasion pour lui tâter un peu les seins, dont les bouts pointaient avec ardeur alors que leurs corps séchaient progressivement, Julie toujours ruisselante des gouttes qui s'échappaient de sa chevelure. Il l'avait suffisamment agacée juste avant pour qu'elle désire de nouveau un corps à corps viril avec lui, et ne ressentait plus du tout la fatigue qu'elle éprouvait quelques instants plus tôt. Elle attendit que son homme signe la fin de la performance orale qu'elle prodiguait pour se sécher rapidement et le suivre à nouveau dans sa chambre. Se balader avec ce morceau de plastique dans le rectum était une expérience plutôt inconfortable, et en se faisant cette réflexion dans le couloir ou Alexandre l'attendait, la bite toujours aussi raide et gonflée, elle réalisa qu'elle allait maintenant passer à la dernière étape de ce long dépucelage, car jamais il ne lâcherait l'affaire ce soir, elle le savait pertinemment.
C'est résignée qu'elle alla se mettre une nouvelle fois à quatre pattes sur le lit, lorsqu'il le demanda, les fesses bien remontées, les reins bien cambrés. Comme elle avait changée? Jamais auparavant elle n'aurait laissé quiconque lui parler comme lui le faisait au cours de ces soirées très chaudes, et d'ailleurs aucunes des partenaires qu'il avait eu ne l'auraient accepté non plus si, par expérience, elles n'avaient pas su qu'une fois soumises elle seraient largement récompensées' Alexandre vint se placer derrière elle et lui fit écarter assez les cuisses pour pouvoir s'agenouiller entre elles. Il étudia un peu ce cul superbe qu'elle allait bientôt lui offrir pour la première fois, et attrapa le plug qu'il y avait planté. L'agrippant fermement entre ses doigts il commença à tirer dessus, infligeant à nouveau à sa compagne d'étranges sensations de besoin impossibles à contrôler. Il exerçait une traction assez forte déjà, mais ne progressait pas encore, et lui demanda de le laisser faire, sans se contracter. Lorsqu'elle acquiesça d'un petit hochement timide de la tête il le retira d'un seul geste, lui infligeant involontairement une brûlante douleur anale, qui s'amplifia encore lorsqu'elle se contracta de toutes ses forces par réflexe. Elle avait crié à cet instant, mais resta soumise lorsqu'elle le sentit entrain de le lui remettre, le poussant avec suffisamment de détermination pour qu'il pénètre d'un seul coup en entier. Il faut dire qu'elle était tellement lubrifiée qu'il glissait facilement dans son sphincter, même si cela ne lui était toujours pas indolore. A ce moment il se redressa pour guider encore une fois sa queue dans son vagin. Par là aussi il s'introduisit facilement, mais par là cela lui plaisait infiniment plus. Et cette fois elle remarqua combien elle était étrangement mouillée, alors qu'elle pensait ne plus être du tout excitée par les travaux pratiques de cette fin de soirée? Elle se laissait de nouveau baiser avec un plaisir décuplé par cette impression d'être entièrement comblée mais aussi du fait du contraste étonnant entre la brutalité et l'animalité de cette double pénétration profonde et l'intensité avec laquelle cela stimulait toute les zones érogènes de sa féminité. Elle s'abandonna à nouveau complètement, bougeant à la cadence imposée par son amant, cadence délibérément lente pour lui permettre des mouvements amples en elle, de la bouche de sa chatte jusqu'au fond. Puis il s'interrompit, restant profondément inséré dans sa chatte, pendant qu'elle se déhanchait subtilement pour profiter de lui bien qu'il ne la lima plus, lorsqu'il entreprit à nouveau de lui retirer son plug. Pour la première fois, et probablement parce qu'il était resté en elle, cela ne fut pas si douloureux, juste à peine désagréable. Tandis qu'il laissait la pointe de son joujou dans l'orifice défloré il lui enfonça à nouveau sa verge plus profondément, très profondément, si bien que son bassin vint appuyer sur l'extrémité libre du gode qu'il maintenait d'une main, la possédant progressivement par derrière et par devant. Une fois qu'il lui eut fait admettre la plus grosse partie du plug il se retira, à nouveau d'un même mouvement de ses deux orifices en même temps, afin de progressivement la dilater au maximum. Se faire posséder ainsi lentement mais aussi totalement par les deux orifices provoqua immédiatement un mélange démoniaque de douleur et de plaisir. La douleur liée à la dilatation anale que pratiquait le renflement du gode à chaque fois qu'il passait de part et d'autre de ses sphincter, le plaisir de sentir la queue qui emplissait son minou ; la souffrance d'être soumise en levrette, offerte dans une posture humiliante, le plaisir de se sentir puissamment désirée par un homme expérimenté ; la souffrance de savoir combien elle devenait dépendante, le plaisir d'être toujours récompensée des efforts déployés' Le tout dans une ambiance bien plus qu'osée? Le sexe avec Alexandre, lorsqu'il était le meilleur, c'est lorsqu'il était pornographique, mais alors c'était l'extase assurée. A cet instant Julie ne se contrôlait plus vraiment. Elle était trop fatiguée et trop envahie de sensations pour continuer à prêter apparence. Le visage enfoncé dans un oreiller, les bras de part et d'autre d'elle, agrippée aux draps, les reins totalement cambrés, elle se mit à venir vers Alexandre lorsqu'il s'enfonçait en elle par les deux orifices en même temps, essayant de le faire aller encore plus loin en elle, là où sa queue venait tout au fond contre le col de son utérus, alors que le gode l'entreprenait aussi totalement. Il compris qu'elle allait se donner de nouveau toute entière parce qu'elle sentait pointer les prémices d'un nouvel orgasme, mais cette fois-ci il ne devait pas la satisfaire. En effet à cet instant elle était prête, et une fois qu'elle serait à nouveau satisfaite, il le savait, il n'aurait plus sa chance, sauf s'il la forçait ensuite à respecter son engagement de lui offrir son cul. Cela aurait été le meilleur moyen pour ne plus jamais obtenir d'elle une soirée de ce type, et il avait encore pas mal de projets pour elle? En se retirant une fois de plus il ôta cette fois complètement le plug et l'agrippa fermement par les hanches pour lui donner quelques bons coups de boutoir et ainsi continuer à faire monter chez elle le désir. Une fois certain qu'elle n'allait pas tarder à jouir il ralentit sa cadence puis se retira malicieusement, certain qu'ainsi frustrée elle ferait probablement tout ce qu'il voulait avant qu'il ne la satisfasse enfin' Brutalement rattrapée par la réalité, Julie se réinstalla un peu plus confortablement, ce qui était un peu difficile car ses hanches et ses genoux la faisaient un peu souffrir. Étant donné qu'elle avait passé presque toute la soirée à quatre pattes, cela n'avait rien d'étonnant. Alexandre aussi s'était repositionné, se redressant un petit peu, afin que son gland se présente à peine quelques millimètres plus haut. Il allait la prendre dans le cul maintenant, et bien qu'elle soit déjà très lubrifiée, et sa bite également, il laissa encore couler un peu de gel sur la naissance de la raie de ses fesses, et y plaça sa bite. Il la guida de sa main avec insistance de plus en plus bas jusqu'à ce que son gland vienne se placer juste devant l'orifice vierge qu'il comptait déflorer. Julie ne bougeait plus, et seule sa respiration encore rapide animait son corps de faibles mouvement. Maintenant qu'elle savait ce qui l'attendait, il devenait moins facile d'accepter l'inconfort de la position, et il lui semblait qu'elle ne pourrait plus tenir longtemps aussi cambrée et les cuisses tellement écartées.
Alexandre pinça sa queue juste sous le n'ud entre son pouce et son index pour mieux la diriger et en posa doucement la pointe contre la petite rose fermée de sa partenaire docile. La sentant à nouveau un peu contractée il empauma de sa main libre le globe d'une de ses fesses pour l'écarter un peu, et faciliter ainsi son entrée. Même bien préparée il savait qu'elle devait faire encore plus afin de le laisser passer, car le diamètre du plug n'avait rien à voir avec celui qu'elle devait maintenant accepter? Il poussa un peu plus et commença à réussir à l'ouvrir un peu, puis un peu plus. Julie ne bougeait toujours pas, et même, elle retenait son souffle désormais. Elle faisait de son mieux pour tenir sa promesse et laisser Alexandre se satisfaire, et ne tenait de toute façon pas à l'empêcher d'arriver à ses fins, simplement avait elle peur de se faire défoncer tant il était bien membré, et cela l'empêchait de se détendre tout à fait. Comme il bandait comme un âne, et que le bout de son gland était déjà bien appuyé contre le petit trou récalcitrant il lâcha son chibre et s'attacha alors à écarter les fesses de la jeune fille de ses deux mains. Il réussit à lui mettre le gland dans l'ouverture de son sphincter externe. Certains de ses copains racontaient ainsi avoir réussi à prendre des filles par derrière, se contentant en fait d'aller et venir sur quelques millimètres, sans avoir jamais réussi à franchir le sphincter interne de leurs partenaires pas vraiment totalement consentantes. Alexandre ne s'en était jamais satisfait, mais n'avait pas toujours réussi à y parvenir non plus. Ce soir il le voulait à tout prix. Jusqu'alors il avait été très précautionneux vis à vis de Julie, trop amoureux pour commettre une imprudence qu'il aurait pu regretter, mais à cet instant, il était si près de réaliser ce phantasme obsessionnel qui le tourmentait depuis qu'il connaissait Julie, qu'il lui fallait mobiliser toute son attention pour ne pas devenir trop brutal. Tandis qu'il continuait à se faire plus insistant il lui ordonna, plus autoritairement qu'il ne l'aurait en fait souhaité, d'écarter plus les cuisses. Julie ne prêta heureusement pas trop attention au ton de sa voix. Après tout ses paroles étaient alors moins difficiles à supporter que cette partie de son corps qu'il voulait lui faire admettre, et bien que cela lui fut inconfortable, elle s'exécuta. Un peu plus bas située par rapport à son assaillant elle s'offrait sous un meilleur angle, et se fit alors sodomiser beaucoup plus profondément. En effet Alexandre avait continué à augmenter la pression avec laquelle il tentait de la posséder, et un fois mieux positionné il s'était propulsé finalement assez profondément là ou elle avait toujours pensé que jamais personne n'irait' Ce mouvement brusque ne se fit pas sans mal' En effet Julie avait du endurer bien plus qu'une défloraison : Lorsqu'elle avait été dépucelée, elle était excitée et avait alors souhaitée être pénétrée par une voie que la nature avait faite pour cela. Ce soir elle ne voulait pas : Elle avait acceptée de se donner par là uniquement pour le plaisir de son amant, pas pour elle, et cet orifice n'était définitivement pas fait pour être visité. Alexandre s'était immobilisé une fois en elle, un peu surpris d'avoir finalement réussi à la prendre dans le cul, mais aussi un peu inquiet de la tonalité du cri qu'il lui avait arraché en la sodomisant. Il étudia son visage, à nouveau à moitié enfoui dans les replis du lit, et n'y décela rien de plus que lorsqu'il lui avait fait admettre son plug plus tôt dans la soirée : Un peu de crispation et de surprise, mais rien de bien méchant. Reprenant alors le tube de gel, il en fit tomber quelques gouttes sur la base de son sexe, qu'il avait bien l'intention de lui mettre également' Écartelant toujours ses fesses presque douloureusement elle le sentit pousser encore plus loin sa grosse queue. Décidément avec lui il fallait toujours aller jusqu'au bout ! Alexandre se ravisa avant de s'être inséré tout au fond, de peur de lui faire vraiment mal s'il parvenait jusqu'au fond de son ampoule rectale, et se retira presque entièrement, sans toutefois pousser le vice jusqu'à franchir à reculons ce sphincter interne qu'il avait cru ne jamais pouvoir franchir sans la violer littéralement. Reprenant le parcours dans le même sens il commençait doucement à la baiser dans le cul, content de constater qu'elle s'était vraiment bien préparée, car elle restait encore bien propre? Elle n'avait vraiment que des qualités cette petite ! Et bon sang, qu'est-ce qu'elle était bonne ! Oubliant presque qu'il était entrain de la dépuceler, il accélérait progressivement l'amplitude et la cadence, décidé à profiter au maximum des sensations divines que pouvaient produire ce petit trou du cul tout serré sur sa belle anatomie turgescente. Lorsqu'il entreprit de se mettre à cheval de part et d'autre d'elle pour la baiser en anal comme une chienne elle sentit le besoin de lui rappeler qu'il avait promis de rester doux s'il parvenait jusque là. Ne renonçant pas immédiatement à cette position dominatrice, imaginant ce que cela pouvait bien donner vu depuis le caméscope en action, il prit néanmoins garde de ne plus lui infliger de trop généreux coups de reins. N'en pouvant maintenant plus, et trouvant qu'elle avait déjà été bien assez courageuse pour pouvoir se permettre une deuxième remarque, Julie prit le risque de fâcher son homme en lui signalant combien se hanches devenaient endolories. Alexandre ne répondit rien, mais se retira et la laissa s'allonger sur le dos. Quel soulagement pour ses articulations endolories ! Bien qu'alors les articulations ne soient pas le seul endroit de son corps qui fut un peu endolori? Alexandre lui demanda de se coucher les fesses au bord du lit. Il vint se mettre à genoux par terre sur un coussin lui relever les jambes et les maintenir à quatre-vingt dix degrés, puis posa ses jambes sur ses épaules, puisqu'elle était fatiguée. Elle aurait préféré qu'il termine cette soirée assez rapidement à cet instant, et fut assez intensément déçue de le sentir guider son sexe non pas vers le sien, mais bien encore là où elle n'avait jamais rien voulu. Alexandre posa comme avant son gland juste là où il le fallait, et porta alors son regard vers celui de sa partenaire. Elle ne voulut pas soutenir son regard, et ferma les yeux, se doutant bien qu'il ne cesserait pas de la mater aussi impudiquement maintenant qu'elle lui faisait face qu'il avait du le faire lorsqu'elle lui faisait dos, et elle ne préférait pas voir ce soir tant de désir dans ses yeux alors qu'il apprivoisait son cul. Elle était trop épuisée pour se défendre encore, et de toute façon ne le souhaitait pas : Elle préférait en finir, et comme elle était aussi encore plus dilatée il lui fut beaucoup plus facile de se laisser prendre que la première fois. Cette fois Alexandre joua plus subtilement à faire aller et venir son généreux gland dans l'étroitesse du second sphincter, la limant doucement mais méthodiquement, contemplant alternativement le spectacle de son corps magnifique et de sa poitrine ondulant sous les poussées qu'il lui infligeait en anal, la vulve imberbe et brillante de lubrifiants naturels et artificiel au dessous de laquelle il lui plantait sa queue, et son visage magnifique de parfaite fille soumise, passive. Se décidant à la soulager finalement il accéléra d'abord ses mouvements, et lorsqu'il commença à jouir se mit à lui asséner de magnifiques coups de bassin, la faisant trembler et miauler, haletant des "vas-y mon amour" de motivation, tentant de ne pas trop se refuser à lui alors qu'il tambourinait avec fougue contre la porte de son intimité fraichement déflorée. Il lui balança dans les fesses une quantité notable de sperme, lubrifiant par bonheur encore plus ses derniers assauts qui furent aussi les plus violents. Un fois la jouissance passée il ne put s'empêcher de profiter encore de quelques allées et venues par là, ne sachant pas s'il y aurait encore un jour accès, admirant encore le spectacle si délicieusement pornographique de son gros chibre plongeant finalement complètement dans ce tout petit trou qu'il avait reçu comme cadeau' A ce jour le présent d'anniversaire le plus désiré qu'on ne lui a jamais offert ! S'étant retiré, il essuya un peu sa raie, et contre toute attente y plongea sa langue et ses doigts, afin de lui donner un dernier orgasme, qu'elle avait bien mérité mais qu'elle ne pensait même plus possible. Elle l'accepta comme récompense à sa docile soumission, et telle était en effet l'intension de son homme.
Elle exigerait d'ailleurs de lui le lendemain et le surlendemain qu'il la fasse jouir en cunnilingus et en lui interdisant d'avoir lui aussi du plaisir, en guise de reconnaissance aux efforts fournis pour son anniversaire et pour lui faire oublier qu'elle ait encore mal aux fesses quarante-huit heures plus tard.