Alice

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Proposée le 30/04/2011 par Smash

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Aujourd'hui je voudrais vus raconter une histoire plus soft que les deux premières, que je vous invite tout de même à lire et consommer. Elle s'est produite durant ma seconde année de classe de seconde, il y a cinq ans. C'était au mois de novembre, il y avait déjà quelques semaines que je m'étais rapproché d'une très jolie fille du nom d'Alice. Elle était relativement petite, avec des jambes bien proportionnées quoique des cuisses un peu larges, une poitrine ferme et un visage d'ange. Elle avait l'habitude de changer de coiffure et de couleur, sa mère étant coiffeuse. Cela correspondait à son tempérament de folle et la rendait diablement sexy.

Au fur et à mesure des pauses et heures de creux qu'on passait ensemble on se racontait tout. Nos cours, nos passions, nos familles, et nos histoires... Elle semblait avoir un don pour attirer des garçons plus vieux et salement intentionnés. Description qui avait une sale tendance à me correspondre... Je le savais et commençais à envisager une relation stable. Parce qu'elle en valait vraiment la peine et que je ne voulais pas compromettre notre relation.

Un lundi, cependant, elle n'avait pas répondu à mon sms proposant de se retrouver au patio du lycée. J'appris le soir même que la soirée où elle s'était rendue le weekend s'était mal passée. Elle y avait rencontré un type qu'elle croisait régulièrement, qui lui plaisait, dont elle me parlait sous le nom de code de "écharpe blanche". Menace que je n'avais jamais prise en considération.

Et pourtant il l'avait vue, approchée, séduite, et une fois qu'elle avait trop bu elle s'était laisser entrainer : Il avait prit sa virginité et était reparti. Histoire dure à avaler pour moi, encore plus pour elle. Néanmoins après une semaine et demie elle semblait aller mieux. Apparemment j'avais joué un rôle dans le processus et elle m'avait demandé si elle pouvait venir passer une après-midi chez moi, pour écouter les chansons que j'avais produites pour mon groupe.

Prenant cela comme une occasion de nous rapprocher, et étant plus réticent qu'avant au fait de coucher avec depuis son incident, j'acceptais. C'était un jeudi après-midi, quasiment le weekend, nous avons passé un moment devant mon PC, à écouter mes chansons, parler de ma façon de travailler, puis nous avons entamé la visite de la maison. Elle s'était couchée un moment sur mon double-lit à baldaquins en remuant mais je ne voulais rien y voir. Puis nous avons été à la cave, où le sauna (une des nombreuses installations dans laquelle mes parents avaient investi) suscita beaucoup d'enthousiasme. Elle me demanda si je savais le faire fonctionner, je répondis que oui, il fallait prendre une douche en laissant chauffer les pierres dans le poêle, puis verser l'eau et attendre. Remarquant son sourire et son manque de réaction, je lui proposais une séance.

"Avec plaisir."

Ainsi nous primes nos douches séparément et nous retrouvâmes en serviette, dans le sauna. J'avais versé l'eau une première fois et nous étions assis côte à côte sur le premier cran. La chaleur montait, l'aiguille devait être arrivée à 30°. Soudain Alice posa sa main gauche sur mon genou droit. Plus de doute possible : Elle voulait. Était-ce suite à ce qui c'était passé avec l'autre gars ? Comment allait-ce continuer si on baisait ensemble, là maintenant ? Me promettant de rester avec elle tant qu'elle aurait besoin, même si mes sentiments (car il y en avait) se perdaient en chemin. Sans réfléchir, j'approchais mon visage du sien. Elle s'était redonné la peine de remaquiller ses yeux. La chaleur et l'humidité l'avaient désagrégé mais cela la rendait plus sexe encore.

Ma tête s'inclina, mes lèvres se plaquèrent lentement sur les siennes pour les ouvrir et ma langue les lécha lentement. Un vrai baiser. On passa un petit moment comme ça, à s'apprivoiser, s'arrêtant pour se regarder, puis continuer. Il y avait une vraie connexion... Après cela je passais mes bras autour de sa taille, commençait à lui masser les hanches. Sa respiration s'intensifiait, ça allait se compliquer. Comment s'y prendre avec une fille pour qui la seule expérience était un mauvais souvenir ?

Comme pour me répondre, Alice retira sa serviette peu à peu, me laissant admirer son joli petit corps. J'en avais vu de mieux faits, mais notre proximité rendait la scène plus puissante que ce que j'avais vécu. Ses tétons pointaient, son piercing au nombril semblait briller, et son pubis était légèrement garni de poils. Mon sexe hurlait sous envie de sortir sous ma serviette, si bien que je décidais de faire de même. Suite à quoi Alice commença à le caresser. La position n'étant pas pratique, je la soulevais rapidement pour poser ses fesses sur ma cuisse gauche et ainsi
accéder à son vagin facilement. Laissant à main gauche derrière son dos, je commençais à caresser les lèvres de son vagin avec l'autre. Comme d'habitude je faisais le tour dans un sens, puis l'autre, variant la vitesse pour la surprendre. Pour ne pas la brusquer j'avais décidé de prendre tout mon temps. Sa bouche était ouverte en "O" et laissait échapper des couinements de plaisir de plus en plus fréquents. Commençant à s'habituer, elle empoigna ma bite et la caressa sur toute la longueur.

Après un moment de ce jeu je voulais passer la vitesse supérieure. L'installant sur le cran supérieur du sauna, je voulais réaliser un fantasme. Écartant ses jambes, je descendis sur sa chatte pour la manger. La chaleur l'avait rendue toute trempée, ma salive était moins chaude et cela semblait provoquer un effet sur les nerfs d'Alice. Néanmoins elle se prêta au jeu et ne tarda plus à crier de joie. je profitais de l'effet pour laisser pénétrer mon majeur, puis mon index, et enfin mon auriculaire, le tout sans oublier de taquiner Monsieur Clito. Soudain elle me prit la tête dans les mains, je sentais ses ongles sur a peau.

"Oh oui vas-y aaah!"

Après quelques minutes, ses spasmes s'intensifiaient, puis elle me serra ses cuisses au point de me faire mal et poussa un véritable hurlement. J'avais déjà commencé à sécréter du sperme, et comme souvent j'appréhendais la pénétration. D'ailleurs voilà : Je n'avais pas de capote sur moi. La laissant reposer, je remontais à toute vitesse, au point de glisser sur le carrelage et me faire mal, pour essuyer ça et enfiler le latex. Une fois que j'y étais retourné, Alice était assise sur le premier banc, fixant le sol d'un air rêveur. Elle me souriait.

"J'en veux encore. Montre moi comment c'est avec quelqu'un comme toi."

Ouah.

"Allonge toi sur la serviette."

Chose qu'elle fit. Être au dessus quand elle était couchée sur des lattes, ce n'était vraiment pas confortable mais excitant. Je laissais ma membre se frayer un chemin dans le sien, s'enfonçant peu à peu. Elle était vraiment étroite, trempée et chaude. Une combinaison parfaite... Après un moment à apprécier l'exercice, ralentissant par moments pour ne pas venir trop vite, je finis par l'inciter à se lever. Elle m'embrassa pour me demander ce qu'était la suite, je répondis en la faisant tourner et mettre les mains contre le mur. A cet instant la chaleur était vraiment intense et nous suions à grosse goutes. Je la fis reculer un peu et écarter les jambes pour la prendre.

Sa docilité me rendait fou, je me sentais puissant. Écartant son vagin, je rentrais dedans rapidement et ne tarda plus à la pilonner. Mains sur ses hanches, nos corps qui se percutaient produisaient un son qui résonnait régulièrement dans l'espace, accompagné des hurlements d'Alice et de ma respiration saccadée. Plus tôt que je n'aurais voulu, je sentais que je touchais au but. Afin de finir dans les règles de l'art je me retirais, retirais le préservatif et posait a queue sur son anus pour lui éjaculer sur le dos et en bas de ses longs cheveux blonds. Geste que j'avais regretté mais à la façon dont Alice me regardait, cela l'avait excitée. Elle s'était retournée et venait m'offrir une vraie soupe de langues. Suite à quoi je réussis à la finir avec mes mains.

Nous sommes sortis ensemble quelques mois après cela et c'est la fille dont j'ai le meilleur souvenir.