Les avaleuses de vies chap 2 et 3

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Proposée le 15/04/2011 par metelos

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Lire l'introduction et le premier chapitre.


Chapitre 2.

Cette soirée là, chez Lucile, se déroulait comme presque toutes les soirées. Durant le repas, elle et Charles ne se parlaient pas. Ils ne se parlaient pratiquement jamais. Leur mariage étant une union économique, les sentiments ne font pas parties du contrat. De plus Charles semblait plus attiré par les hommes, du moins c'est ce que pensait Lucile. Charles ne l'avait jamais vraiment touché. Il y avait bien eu des caresses lors de la nuit de noce mais c'était pour faire bonne figure devant les témoins resté pour vérifier la consommation du mariage. En fait de consommation, c'est plutôt eux qui ont consommés la mariées ! Ce souvenir est le meilleur de ses noces. Elle gardera toujours le souvenir de cette nuit qui à vu son innocence partir. Elle à connu la force de l'Homme par devant et derrière et la douceur agile de la Femme.
Le silence du repas était interrompu par moment par les bruits de pas de Julie, la dame de maison. Âgée d'une quarantaine d'année, c'était une belle femme, avec le temps, son corps à mûri, ses formes sont restées bien rondes, sa poitrine, n'ayant pas connu l'allaitement, est restée ferme et généreuse. Active elle à sculptée son corps ce qui met en valeur ses fesses, son ventre et ses seins. Elle sait très bien en jouer lorsqu'elle veut attirer un homme ou une femme dans son lit. Mais depuis qu'elle entrée au service de la famille, Julie ne s'est jamais attachée à un homme.
Charles rompit ce lourd silence :
- Lucile, ma chère, j'ai appris cet après midi au bureau que j'aurais la visite de mon vieil ami Henri. Il vient d'hériter de sa mère.
- Henri ? Je ne vous connais personne de ce nom là !
- Henri Deponville est un ami de jeunesse. Nous avons grandi ensemble avec François Rochedur et feu Charles Lecomte. Nous étions les 4 mousquetaires !
- Et que fait cet homme dans la vie ?
- Avocat ! Et je pense lui confier nos affaires.
- Rochedur, le peintre de la ville ?
- Exactement ! Je suis surpris que vous connaissiez cet homme.
- Contrairement à vous, je ne sors pas uniquement pour aller au bordel.
- Ma chère, Sachez que j'y retrouve une bonne partie de la bonne société et que grâce à mes sorties comme vous dites, je peux faire fonctionner mon affaire. Sur ce je vous laisse je dois rejoindre mon cercle au petit salon.
- C'est cela, faites fonctionner autre chose que ce que vous avez entre les jambes.
Lucile appela Julie et lui demanda de débarrasser la table puis elle lui donna sa soirée. Pendant que la soubrette s'affairait sur la table, Lucile ne put s'empêcher de la déshabiller du regard. Le décolleté de la jeune femme laissait deviner une poitrine ferme et rebondie, la ceinture dessinait une taille fine et musclée, ses petites fesses faisaient remonter la petite jupe et dévoilait à peine un porte-jarretelles qui tenait de fins bas qui faisaient luire ses jambes. Lucile comprit alors pourquoi son mari s'attardait souvent à table.
Une fois sa tâche finie, Julie retira son tablier et ses chaussures. Elle adorait être pieds nus. Elle monta dans sa chambre et se déshabilla pour entrer dans la douche que son maître lui a fait installer. Elle n'a jamais vraiment compris pourquoi le maître de maison à fait un tel geste. Lucile a découvert pourquoi. Dans la cabine de douche il y avait 2 petits tous qui permettaient à la personne caché dans l'entre murs de regarder ce qui ce passait. Lucile ne se cachait pas de regarder cette femme mûre prendre sa douche.
L'eau tiède coulait sur le corps de Julie, ses mains glissaient sur sa peau frôlant de temps en temps sa poitrine et sa petite fente vierge de toute pilosité. L'eau froide coula soudain, Julie poussa un petit cri de surprise. Une légère chaire de poule vint hérisser sa peau et ses tétons durcirent. Un filet d'eau trouva la route de son entre-jambe et se faufilait trouvant ainsi un petit bougon blottit au chaud entre les grandes lèvres. La sensation du froid à cet endroit fit inspirer profondément Julie. Sa poitrine se redressa et une petite boule commençait à grossir dans son bas ventre. La main droite décidait d'explorer la zone et de découvrir ce qui s'y passait. Le majeur arrivait délicatement sur le petit bourgeon qui rapidement sorti de sa timidité. Le doigt exerçait un mouvement et de rotation et de va-et-vient sur le petit clitoris devenu rouge de désir. La petite boule explosa, Julie expira bruyamment lorsque son doigt pénétra lentement au fond de son ventre. Lucile ne manqua rien du spectacle qui venait de se dérouler devant elle. Ses cuisses humides, elle se dit qu'elle sera sa maîtresse lorsque tous sera fini elle fera d'elle sa maîtresse.

Le lendemain matin Rachel se réveilla de bonne humeur et heureuse. Il y avait de quoi, ses 2 nièces arrivaient de Paris. Cela faisait 3 ou 4 ans qu'elles ne les avaient pas vu. Rapidement prête, elle alla directement réveiller Amandine. En soulevant les draps elle découvrit la jeune femme nue.
- Tu arrives à dormir comme ca ?
Un peu gênée, la soubrette lui répondit que sous les toits la chaleur monte vite surtout à la belle saison. En jetant un coup d'oeil dans la petite chambre, Rachel découvrit que la chaleur ne devait pas toujours venir de la saison.
- Tu as raison, la belle saison peut parfois donner des excès de chaleurs, dit-elle avec un petit sourire en coin.
- Dépêche-toi de t'habiller ! Mes nièces arrivent ce matin de Paris. Mon frère m'a demandé de les prendre en charge quelques mois, afin qu'elles puissent découvrir autre chose que la vie parisienne.
Rachel savait aussi que son frère avait envoyé sa fille afin qu'elle ne se sente pas trop seule avec la reprise de l'usine.
Endimanchée, Rachel attendait le train de Paris. La brise faisait voleter les plumes de son large chapeau. Avec 20mn de retard le train arrivait enfin en gare. Les freins firent hurler la machine qui s'immobilisa après un long jet de vapeur. Aussitôt les garçons de gare accouraient pour aider les voyageurs à débarrasser leurs bagages. Les lourdes malles et les valises furent rapidement entassées sur les chariots et rapidement dégagées. Les premiers passagers descendaient du train et Rachel se dirigea vers le wagon qui contenait sa nièce. Elle se demandait comment elle allait la reconnaître, cela faisait si longtemps !
C'est une petit voix qui l'interpela qui lui donna la réponse.
- Tante Rachel ! Je suis ici.
Lorsque "tante Rachel " se retourna, elle découvrit une belle jeune femme tous juste sortie de l'adolescence et pas encore adulte. Elle reconnut Isabelle et la pris dans ses bras pour l'embrasser.
- Que tu as grandi ! Tu es une belle jeune femme maintenant ! Laisse-moi-te regarder?. Tu es magnifique !
Mais que suis-je bête ! Tu dois être fatiguée par un tel voyage. Ma voiture nous attend dehors. Jules va nous ramener.
- Jules est toujours avec toi ? Lui aussi à dû avoir changé !
- C'est devenu un bel homme effectivement. Tu te souviens bien de lui. Et tu te rappelles d'Amandine ?
- Ho oui ! je me souviens Elle nous faisait des madeleines pour le goûter.
Rachel était heureuse que sa nièce se souvienne de ses gens de maison. Elle avait pris à son service des 2 jeunes gens pour lui tenir compagnie lors de leur séjour d'été. Jules allais fêter ses 30 ans et Amandine à 25 ans. Toute cette jeunesse à la maison durant ces quelques mois vont lui faire un bien fou.
Arrivé à la propriété, Jules pris les affaires d'Isabelle et les monta dans sa chambre. Déjà la jeune femme trouva le jeune homme à son goût. Rachel remarqua son regard se poser sur le domestique. Elle ne dit rien et laissa faire.
Elle invita sa nièce dans le salon pour prendre le thé et lui posa plein de questions. Ce qu'elle faisait, qu'aimerait-elle faire ici, etc.
- Assieds-toi et prends ton thé. Laisse-moi te regarder ! Tu as tellement changé ! Et ton corps c'est celui d'une femme maintenant !
A 20 ans Isabelle sortait de l'université avec un diplôme de commerce. Ce qui était exceptionnel mais son père savait à qui s'adresser. De toute évidence elle était sortie de l'adolescence et elle était devenue une belle jeune femme. Son visage fin et élancé était doux, ses cheveux cuivrés reflétaient des rayons d'or. Rachel découvrit qu'elle présentait un large décolleté laissant découvrir la naissance d'une poitrine généreuse gonflée de vie. De discrètes petites tâches de rousseurs sur le haut de sa poitrine lui donnèrent un charme. Sous la robe, Rachel pouvait deviner de grandes jambes. Isabelle était une fille posée qui pouvait paraître trop sage. C'est une apparence qu'elle avait appris à prendre à l'université pour cacher une personnalité fougueuse néanmoins réservé lorsque elle arrivait dans un nouvel endroit.
- Ma fille tu es ici chez toi. Mais tu dois être fatiguée. Après le soupé, Amandine te préparera un bain chaud. Demain tu pourras te promener dans la propriété.


Chapitre 3.

Deponville adorait les soirées surprises. Celle-ci fut la plus imprévue de toutes. Elle commença plutôt bien. On frappa à sa porte, instinctivement il regarda sa montre à gousset en voyant l'heure, il ne put s'empêcher d'avoir un léger sourire en coin. C'est l'heure de se détendre. Il renvoya son secrétaire et alla ouvrir la porte. A sa surprise deux charmantes dames se tenaient au seuil. Mme Lafranchit a fait les choses bien ce soir, ce disait 'il.
Deponville n'était pas un homme que l'on pourrait appeler "raffiné", Avocat d'affaire certes, sa vie ne se limitait qu'aux affaires et aux plaisirs de l'argent. Marié avec une femme qu'il détestait, il n'a jamais consommé son mariage, préférant la compagnie de filles de joies ou de filles en manque d'argent. Son visage était boursouflé par les repas copieux et gras qu'il adorait faire dans les plus grand restaurants, son ventre suivait le même profil, Lourd et flasque. Victime de la gourmandise, Ses difficultés respiratoires se traduisaient par un sifflement continu.
Comme tout bon avocat il avait en continu un cigare énorme entre les lèvres. Certaines filles ne purent finir leur nuit avec lui, l'odeur du cigare et de sueur mélangée leur faisaient monter le c'ur.
Il se moquait éperdument de ce que pensaient les femmes avec qui il couchait. Bien qu'étant conscient de l'éc'urement qu'il procurait dans la gente féminine, il s'en amusait. Il savait pertinemment que ces filles venaient écarter leur cuisses par besoin d'argent, il pouvait alors les obliger à faire ce qu'il désirait et parfois les obliger à subir les pire outrages et humiliations.
Ce soir les deux femmes semblaient différentes, d'une classe bien supérieure des autres. Il faut dire qu'il avait mis le prix. Il les invita à entrer et ferma la porte derrière lui à clé.
Vers 8h00 le secrétaire de Deponville arrivait devant la porte. Étonné de la trouvé fermé à clé il l'ouvrit avec son double. Lorsque la porte s'ouvrit complètement elle présenta une scène d'horreur. Il vit son patron nu attacher à une chaise dans son cabinet, les yeux bandés, une corde enserrant son coup avec patte de bois enfoncé dans sa nuque. Le jeune secrétaire tomba dans les pommes.
Le commissaire de police républicaine Lachapelle était un jeune homme tous juste promus grâce à son enquête sur l'égorgeur de Paris. Mais ce dernier étant un peut trop franc il fut placé par le cabinet de l'intérieur en province.
- Ho ! Regarde Pattesmolles, le bout bois qu'il a dans le cou, il s'est planté de côté pour le mettre ! Normalement c'est plus bas !
- Tu as raison Labéquille ! Dans le cul il serait mort avec le sourire !
- Et vous savez pourquoi vous n'êtes que des pouilleux ?
- Ho puteing ! Le nouveau commissaire !
Lachapelle détaillait la scène du regard. Le cabinet n'avait rien de spécial, il ressemblait à tous les cabinets d'avocats. Trop chargé en décoration, du velours partout, un bureau de bois précieux, un fauteuil d'une valeur inestimable et une odeur de tabac d'Amérique du Sud limite insoutenable. L'inspecteur avait appelé le médecin de la ville afin qu'il puisse lui donner des informations sur la victime. Cette nouvelle technique d'investigation faisait de lui la risée de la police mais elle donne des résultats.
- Alors docteur, que pouvez me dire sur le décès de la victime ?
- Et bien je dirais que le notaire est mort par rupture de la colonne vertébrale. Vous voyez là, la pièce de bois a appuyé sur la nuque pendant que la corde l'étouffait. On a serré le lien à l'aide de cette baguette et la pression du coup sur le bois à entrainer la rupture des cervicales.

- A-t'il souffert ?
- Oui et non. L'étranglement à été long et violent. La pression sur la nuque à dû être effroyable. Mais je retrouve souvent cette posture chez les notables morts durant, humm heuu'
- Durant quoi !
- disons qu'ici certains notables pratique le plaisir par l'étranglement. Leur maitresse les étrangle avec un foulard ou une corde. Cela entraine une érection violente et durable. L'éjaculation a lieux juste avant la syncope et est particulièrement généreuse. Le plaisir des deux amants se trouve décuplé, mais parfois il entraîne la mort.
- Tous des dégénérés, même ici ! Vous me ferez un rapport.

Le jeune inspecteur interrogea le secrétaire encore retourné. Il lui raconta que 2 femmes avaient frappé à sa porte. Elles semblaient être de l'aristocratie, mais cela ne l'a pas choqué plus que d'habitude. Comme son patron l'avait renvoyé pour la soirée, il en avait déduit que la proxénète de la ville avait envoyée deux de ces filles, bien que cela n'est pas dans ses habitudes. Mais on ne refusait rien à Deponville !

Le soleil matinal dardait ses chauds rayons sur le ventre blanc d'Isabelle. Cette douce volupté se répandait lentement vers sa poitrine et son bas ventre la tira de sa torpeur. Elle ouvrit un oeil et vit qu'il était déjà 8h30. Isabelle se leva et ouvrit les rideaux laissant un raz de marée envahir la chambre. A ce moment 3 petits coups discrets furent frappés à sa porte. Amandine entra doucement. Elle vit le jeune corps de sa nouvelle maîtresse, pour quelque mois, à travers le fin tissu de la chemise de nuit. Isabelle se retourna lentement et montra son profile généreux en ombre chinoise à la jeune soubrette.
Amandine lui indiqua que le petit déjeuner était servi dans le salon et que sa tente l'attendait. Isabelle lui demanda alors d'entrer pour l'aider à revêtir sa robe de chambre. Amandine s'approcha et fit glisser la chemise de nuit sur les épaules de la jeune femme. Elle sentit la peau douce et fraiche d'Isabelle. Alors que le tissu glissait sur sa poitrine, Amandine vit qu'Isabelle avait la chair de poule. Elle passa devant elle et découvrit ses 2 mamelons dressés.

- Vous avez froid mademoiselle ?
- Ho non ! C'est plutôt le contraire. Depuis ce matin je sens comme une chaleur dans mon bas ventre et le soleil sur mon corps n'arrange pas mon mal.
- Vous avez déjà ressenti cela avant ?
- Oui. Au pensionnat, au printemps et je n'étais pas la seule. Plusieurs de mes amies devaient se frotter entre elles pour se calmer.
- Et vous n'avez jamais essayé cela aussi ?
- ho non si nous étions prises, nous risquions des coups de bâtons !
- Laissez-vous faire je sais comment vous apaiser.

La soubrette commença à explorer le corps d'Isabelle du bout des doigts. Elle sentit que les seins de sa maîtresse bien que lourds et bien formé étaient très fermes et déjà gorgés de désir. Les mains passèrent sur les reins et les fesses fermes de la jeune femme, une vague de frissons parcoururent son corps. Sentant la chaleur monter encore, Amandine posa ses lèvres sur le bas ventre d'Isabelle qui ferma les yeux en se laissant complètement aller.
C'est cela que devraient ressentir les autres filles au pensionnat lorsqu'elle entendait des gémissements dans le dortoir la nuit. C'est doux et agréable de sentir des mains parcourir son corps lentement. Allongée sur son lit Isabelle, les yeux fermée, se laissait complètement aller aux caresses d'Amandine. Les lèvres de posèrent maintenant dans l'intérieur des cuisses et remontaient vers les jeunes pétales d'Isabelle. Sa respiration devenait plus profonde, de petits soubresauts laissaient présager un grand bouleversement intérieur. Soudain Isabelle laissa échapper un cri voluptueux et plein de surprise. Une chaleur douce et humide envahissait l'intérieur de son ventre. Elle sentait tantôt de petits mouvements rapide qui lui envoyaient de petites décharges électrique, tantôt elle se sentit aspirée, tantôt de grande décharges lui enflammaient le ventre.
Amandine glissa sa langue et elle découvrit de petites pétales de rose toute humides, elle explora de la langue tous les petits recoins de cette jeune fleur. Elle trouva bientôt le bouton de cette rose et commença alors à donner de petits coups de langues, puis l'aspira avec les petites pétales et une fois dans sa bouche elle le mordilla, enfin elle le relâcha et sa langue continua son exploration avant de reprendre la douce torture.
Rachel trouva le temps long. Ce la fait 15 minutes qu'Amandine est partie chercher Isabelle. Elle renoua sa robe de chambre, recouvrant un sein qui tentait de prendre le soleil matinal. En montant elle entendit de légers gémissements. De toute évidence, cela venait de la chambre d'Isabelle. Arrivée à l'étage, l'origine des gémissements ne faisaient plus aucun doute. De toute évidence Amandine était en train de réveiller Isabelle. Rachel découvrit Jules, à genoux sur le pas de la porte entrouverte il était entrain de regarder la scène des deux femmes en se masturbant lentement.

- Jules ! Comment oses-tu !
Surpris et se redressant en un clin d'oeil, jules balbutiait en tentant une explication. Rachel s'approcha et prit son sexe dressé dans la main.
- Tu n'a pas à t'expliquer, je vois ce que tu étais entrain de faire. Tu la trouves jolie ma nièce ?
- Oui madame, elle est très belle.
- Elle est encore vierge tu sais. Si tu sais bien t'y prendre, elle sera pour toi mais sois tendre avec elle. en attendant je vais m'occuper de toi.

A ces mots, Rachel s'agenouilla devant Jules et aspira le gland gonflé de désir entre ses lèvres. Au fur et à mesure qu'il entra dans bouche, Rachel sentait les reliefs de sexe plein d'ardeur, les veines, les plis, l'urètre gonflé. Enfoncé au plus profond de sa gorge, Rachel sentit les bourses dures et chaudes sur sa lèvre inférieure. Elle sentit le ventre de son amant se contracter violemment à ce moment là.
Elle relâcha son étreinte et mordilla la fraise rouge de désir. Elle entreprit alors de passer sa langue tout le long de la hampe de cette queue qui avait encore durci, arrivée aux testicules elle ne put s'empêcher de les gober ce qui provoqua qui le pauvre homme d'autres consultions.

- Ta queue est toujours aussi bonne ? Et tes couilles sont-elles bien remplies ? Je veux le savoir.

Rachel repris alors son aspiration complète en accompagnant sa succion d'une masturbation lente de la main.

Jules sentait la chaleur chaude, humide mais terriblement douce de la bouche de sa maîtresse. Il savait que sa patronne était une "salope" hors paire et qu'elle ne pouvait pas vivre sans avoir une queue dans les environs mais là c'est extraordinaire. Il sentait cette bouche absorber entièrement son dard tendu à l'extrême. Une brusque convulsion le plia en deux lorsqu'il sentit son gland au fond de la gorge de sa patronne. Il était submergé par une vague de plaisir. Lorsque il sentit ses testicules aspirés, il ressentit alors une boule se former dans son bas ventre. Le mouvement de rotation de la main et les succions sur son gland lui firent durcir ses couilles. Il se sentit se contracter, son sexe gonfla encore et vit la couronne de son gland violet. Jules se mit à grimacer lorsque Rachel l'avala de nouveau complètement. Son ventre se convulsa alors violemment, il sentit son sperme glisser dans son bas ventre. Son gland devint hypersensible, ses veines se gonflèrent, la boule dans le ventre de Jules explosa, faisant jaillir le liquide blanc et onctueux sur la joue de Rachel. Il sentit son ventre se contracter plusieurs fois et à chaque fois un jet cette liqueur blanche était expulsée. Rachel sentit le sperme chaud couler sur sa joue. Elle ouvrit la bouche et tira la langue pour en récolter quelques gouttes au moins. Un autre jet arriva directement dans sa gorge, puis moins puissant le sperme coula dans son coup et fini entre ses seins dur de plaisir mais était toujours aussi chaud.
Rachel aspira encore le sexe épuisé de jules afin de récupérer les dernières gouttes. Elle renvoya jules à des affaires en se disant que la jeunesse est décidément pleine de vigueur.
Encore couverte de sperme, elle quitta sa robe de chambre et nue elle entra dans la chambre de sa nièce.
Surprise de voir la porte s'ouvrir, Amandine se redressa du lit et découvrit horrifiée que c'était sa maîtresse qui venait de passer le pas de la porte. Isabelle tout aussi surprise sursauta et se couvrit le corps avec le drap.

- Ne punissez pas Amandine, ma tante, c'est moi qui l'ai invitée !
- Tu n'as aucune crainte à avoir ma petite Isabelle : Ne vois-tu pas comme je suis vêtue ?

A ces mots La jeune femme se rendit compte que sa tante était complètement nue et présentant des coulures d'un liquide épais sur sa poitrine.

- Amandine !
- Oui Madame !
- Cette jeune fille dois se préparer, son bain est-il prêt ?
- Oui Madame, je?
- C'est parfait. Isabelle va te préparer, je dois parler à Amandine !

Isabelle prit ses affaires et parti dans la salle de bain en priant une dernière fois de ne pas punir la dame de chambre. Rachel de la regarda pas sortir de la chambre et resta fixée sur la pauvre soubrette.
La porte fermée, la maîtresse de maison s'approcha de la soubrette, elle se mit à genoux devant elle en frottant sa poitrine sur celle d'Amandine.

- Ho ! Madame, Que faites-vous ? Ho !

Isabelle, dans on bain chaud ne put s'empêcher de glisser un doigt curieux dans sa fleur encore gonflée et les cris d'Amandine ne calmaient pas le feu qui brûlais dans son ventre.