Les vacances d'Adeline - 5

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Proposée le 14/04/2011 par Jul75

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Lire le chapitre 4.

Sexe incestueux, merci de pas lire ce récit si vous n'appréciez pas.


La première chose qu'a faite Adeline en se réveillant, alors qu'elle n'a même pas encore ouvert les yeux, c'est plonger sa main dans les cheveux de son chéri Rémy. Mais ce dernier n'étant pas là, sa main se plaque sur l'oreiller, elle le cherche en tapotant à droite et à gauche, elle finit par comprendre qu'il n'est pas là. Soudain, elle se souvient ce qui s'est passé la veille, l'image de cet inconnu l'a pénétrant défile devant ses yeux qu'elle ouvre subitement. Elle se redresse et regarde autour d'elle, inquiète. Il n'y a personne.
Elle prend son mobile pour prendre connaissance de l'heure, trois nouveaux messages : Appel manqué de son père, Rémy lui disant qu'ils sont partis faire les courses et Eric lui demandant comment se passe ses vacances au Soleil.
9h53.
Ça explique l'absence de Rémy, et le silence qu'il y a dans la maison, ils avaient prévu, comme tous les ans, d'aller faire les courses, les provisions pour les deux semaines. L'impression d'être abandonnée peine Adeline, mais elle se dit que de toute façon elle n'aurait pas pu se réveiller. Surtout après une telle nuit, en y repensant elle glisse une main entre ses jambes comme si elle cherchait, encore une fois et malgré le temps, à se délecter de cette moiteur. Malheureusement il ne reste plus rien, si ce n'est la faible odeur et les légères traces sur sa chemise et ses jambes. Peut-être Rémy les a-t-il vus ? Adeline sait qu'il n'aurait jamais été capable de regarder, trop coincé. C'est le défaut de Rémy, Adeline s'y est habituée et l'accepte, les câlins, les attouchements et les quelques caresses sexuelles suffisaient à Adeline. Cependant, depuis quelques jours, depuis qu'elle a faite l'amour avec Eric, son frère, elle est avide de plaisirs. D'autant plus que cette chaleur du Sud renforce ces désirs là. Après tout elle était venu ici dans l'espoir que Rémy, son chéri, lui fasse l'amour.

Elle quitta son lit pour aller ouvrir sa valise. Elle y saisit un short en jean et un débardeur. Elle se dévêtit de la longue chemise qu'elle jette sur le lit, elle se retrouve nue et il n'y a pas de miroir où elle peut admirer son corps, déçue elle se contente de ses mains.
Ses seins sont énormes, c'est ce qu'elle se dit. Ils ne sont pas si gigantesques que ça mais il est vrai qu'il est difficile d'empoigner un de ces seins avec une seule main. A elle seule, cette poitrine peut satisfaire plusieurs hommes, mains, en même temps. Adeline est consciente du pouvoir que cela représente, elle aime ça. Elle passe son débardeur sur la tête, recouvrant ainsi tous son ventre et dos. Les seins sont emprisonnés, et ce débardeur les retenant donne l'impression qu'ils sont plus gros.
Ses fesses, sans aucun doute le plus bel atout d'Adeline. Elle a apprit avec le temps que les hommes préféraient plus les fesses que les seins, même si ces derniers sont surdimensionnés. Dans les deux cas, elle est heureuse de savoir qu'elle a le plus beau petit derrière et la plus belle poitrine. Elle enfile son mini short, moulant, qui ne lui cache que les fesses et son intimité.
Seuls ses jambes et ses bras, et son visage bien sûr, étaient nus. Ce beau corps n'est pas le fruit du hasard, même si sa mère en est pour beaucoup, c'est le résultat d'un recours intensif au sport.
Elle quitte sa chambre pour descendre et rejoindre la salle de séjour. Elle allume le téléviseur, c'est apparemment une chaîne porno à en juger la demande de saisie d'un mot de passe. Adeline regarde autour d'elle, il n'y a personne et elle le sait. Elle saisit Zéro, quatre fois. Mauvais code. Elle finit par zapper de chaîne, les clips musicaux.
Elle se place face au téléviseur et entame sa séance d'étirements avant d'aller se doucher.

Après quelques minutes, Adeline creusa les reins, le haut de son corps se courba en avant, sa poitrine s'est retrouvée sur ses genoux et sa tête entre les jambes. C'est dans cette position, la tête en bas, qu'elle vit l'oncle Roger, le frère de Jérome. Par surprise elle chuta. Elle se releva aussitôt et resta sur ses genoux.
- Ch'tai fais peur apparemment, désolé ! Lança Roger.
- Non c'est moi, s'excusa Adeline, Rémy m'a dit que vous vous en alliez faire les courses...
- Pas moi, la coupa Roger, j'me léve rarement le matin donc j'y vais pratiquement jamais !
Adeline était toujours sur ses genoux. Roger la regardait, pas seulement parce qu'il lui parlait, mais aussi parce qu'il appréciait le "spectacle" : Une aussi jeune et belle fille à genoux, la tenue vestimentaire était elle aussi très séduisante, aguichante même. Après avoir fait rouler ses yeux sur ses jambes, il remonte sur ses deux seins, à travers le débardeur il distingue aisément les les mamelons. Il regarde enfin Adeline dans les yeux et remarque qu'elle le fixe.
- Euh ch'suis désolé, se hâta t-il de lui lancer, tu peux continuer, j'vais te laisser !
- C'est sans gravité, dit-elle en se relevant, restez si vous le désirez, votre présence ne m'agace en aucun cas ! Conclue Adeline.
Roger hésite, quoi que intéressé par la proposition, il propose d'aller chercher à boire, elle accepte.

De retour dans la salle de séjour, avec une bouteille d'eau et deux verres, Roger s'est installé sur le canapé et admire le corps d'Adeline se tordre, un début d'érection se fait sentir dans le caleçon. Adeline étant de dos, il en profite pour placer son sexe, le gland se retrouvant entre la peau et et le contour du vêtement. La bosse est toujours là mais moins visible.
Entre temps Adeline s'était pliée en deux, la tête se retrouvant à même ses pieds, remarquant le geste que venait de réaliser Roger et la vue imprenable qu'il avait sur elle. Ce jeu frôlant l'exhibitionnisme plaît à Adeline. Elle se contente de lui sourire.
De con côté, il parut mal à l'aise, mais en réfléchissant il se rend compte que cette fille essaye de lui faire du charme, ce n'est pas une aussi jeune fille, qui pourrait être sa fille, qui va l'intimider.
- Tous ces efforts, commence-t'il, ont apportés leur fruits à ce que je vois.
Adeline s'est retournée, lui faisant face.
- Vous me flattez !
- Non ch'suis sérieux, dit-il en se levant, vous l'avez bâti vous-même ! Ajoute t-il en scrutant son corps.
- Merci ! Dit-elle en riant et en tournant sur elle même pour lui mettre toute les parties de son corps.
- Tout est parfait, on dirait ! Dit-il en se rapprochant d'elle.
- Êtes-vous entrain de me faire des avances ? Demande Adeline en riant.

Elle s'est approchée de lui, leur visage sont maintenant face-à-face. Roger peut sentir l'opulente et ostensible poitrine sur son torse.
En plus de ça, une main se pose sur son sexe.
- Elle te plait ? Demande Roger.
Cette question, bien sûr, avait pour but de montrer à Adeline qu'elle ne l'intimidait pas.
- Elle m'a l'air insignifiante ! Répond-t'elle pour le provoquer.
Evidemment elle n'avait rien de minime, ce qu'Adeline avait dans les mains semblait incroyablement épais..
- Tu dira plus ça quand t'aura gouté ! Dit-il en la tirant tandis qu'il recule pour aller sur le canapé.
Il se laisse tomber sur le canapé et fait monter Adeline sur ses genoux, les jambes de part et d'autre les siens. Elle peut sentir l'engin de Roger qui continue de grossir entre ses cuisses.
- Jamais elle ne cesse de prendre de l'ampleur, dit-elle en faisant glisser sa main sur toute la longueur du sexe.
Leur lèvres se plaquèrent, le baiser est fugace. Il dégage Adeline de ses genoux et inverse les rôles. Il lui soulève et écarte les jambes qu'il met sous ses bras et l'embrasse à nouveau, cette fois le baiser semble interminable.
Roger balade ses mains sur le corps d'Adeline, il découvre les gros seins à travers le tissu du débardeur, aussi gros que ceux de sa femme, plus peut être. En pensant à ça il se rappelle qu'il est marié et père d'une fille, il relâche par réflexe les jambes d'Adeline, elle ne perd pas de temps et lui caresse l'entre jambe avec. Cette pression et sensualité exercés sur son membre le dissuade de mettre un terme à tous cela.
L'embrassade finie, Adeline se dévêt de son débardeur, son corps luit de sueur, elle plaque son front sur celui de Roger et lui lèche les lèvres par des coups de langues... Maintenant, seul le bout de leur langue est en contact.
Roger, de ses mains, découvre les seins nues d'Adeline. Charnus. A l'aide de l'index et du pouce il pince un téton. La sensation, liant douleur et plaisir, est nouvelle pour Adeline. Une cri aigu sorti de sa bouche. Roger comprenant que la jeune femme est une amatrice en pratique sexuelle entreprend d'aller s'occuper de ses seins. Il lui prit un mamelon dans la bouche, Adeline était entrain de l'allaiter. D'une main il lui massait l'autre sein en lui titillant le bout du sein. Adeline commençait à gémir, et jamais elle n'avait gémit autant juste grâce à ses seins. Elle plonge ses mains dans les cheveux de Roger en relâchant sa tête qui tombe en arrière. Aujourd'hui elle comprend pourquoi certaines de ses amies fantasmaient sur des personnes plus âgées, l'expérience.
Elle peut sentir la bouche baveuse de son amant qui lui aspire les deux tétons, chacun leur tour. La sueur a disparu de ses seins et c'est la salive surabondante qui l'a remplacé. C'en est trop, dans un râle de plaisir Adeline tire la tête de Roger et l'embrasse avec le désir le plus ardent pour le remercier.
- T'as aimé, on dirait ! Lui glisse t-il dans le creux de l'oreille en lui léchant le lobe.
Il se redresse et retire son caleçon. Adeline découvre un sexe d'une ampleur hors norme au niveau de l'épaisseur, la longueur est quant à elle naturelle. Adeline est stupéfaite.
Il vient s'assoir à l'extrémité du canapé et allonge ses jambes tout en tirant Adeline par les mains. Sa tête se retrouve juste à côté du sexe qui attend en restant couché sur le ventre.
- T'as déjà sucé ? Demande t-il en trempant sa main dans sa chevelure.
Adeline prend cette question comme une attaque, il l'a prend pour une débutante, elle qui pensait connaitre la définition du mot "sexe".
- C'est moi la plus belle suceuse du pays ! Lui lance t-elle.
Adeline n'en revient pas, ce vocabulaire et cette façon de se proclamer comme étant la plus grande suceuse. Elle ne s'en remet pas et reste immobile un instant. C'est Roger la rappelle à l'ordre en lui tendant son chibre dans la bouche.
Elle le prend dans ses mains, c'est lourd, et du plat de sa langue elle parcourt le sexe sur toute sa longueur, l'humectant de sa salive. Roger lâche un petit gémissement qui plaît, il gémit alors qu'elle ne l'a même pas encore dans la bouche, qu'est-ce que ça sera quand elle l'avalera. Le bout de sa langue arrivé sur le gland elle redescend jusqu'aux bourses, ça ne l'a jamais attiré mais elle semble vouloir impressionner cet homme. Elle les lui lèche tendrement en lui empoignant le sexe, c'est la première fois qu'elle tient un membre aussi gros dans ses mains, elle a peur pour sa bouche. L'alternative, pour retarder le moment de la fellation, qu'elle trouve est de lui aspirer les testicules. Elle les suce, mieux, elle aime ça. Cette "boule" dans la bouche est une expérience nouvelle, les boules comme les idiots disent. Ce vocabulaire ne plaît pas à Adeline mais elle se sent obligée de prononcer le vrai nom de "ça" : Les couilles. "Je lui suce les couilles" pense-t'elle.
Roger gémit mais s'impatiente. Il lui relève la tête et lui fait gober son sexe.
- T'aime la bite alors vas-y, suce la ! Crie-t'il.
Il la traite comme une dépravée, elle, Adeline, celle qui a toujours dit non au libertinage mais qui, depuis quelques jours, s'y livre. Mais ça ne lui fait ni chaud ni froid, elle est même heureuse de savoir qu'il s'impatiente à l'idée qu'elle s'occupe de lui. Elle aime aussi ce langage que sa mère qualifie de vulgaire et d'interdit.
Elle ouvre grand la bouche pour pouvoir accueillir cette bite, ça y est, c'est rentré. Adeline a l'impression que sa mâchoire va se casser et que les commissures des lèvres vont céder, tant pis elle veut sentir ce sexe dans la bouche au moins une fois. La bite commence à disparaitre au fur et à mesure que la tête d'Adeline descend, Roger lui aussi semble impressionné des prouesses d'Adeline. Elle la recrache, manquant de s'étouffer, mais l'avale à nouveau et cette fois il semblerait que la bouche d'Adeline s'y soit habituée, elle rentre mais on sent encore la grosseur, Adeline aime ça. Et s'étant familiarisée avec ce sexe, elle s'active avec dynamisme et joie. De temps en temps ses dents griffent la peau du sexe mais elle fait de son mieux pour améliorer sa succion.
Elle sent un pied se faufilait entre ses jambes, et pour la première fois de sa vie elle relève la tête pour voir la tête de celui qu'elle suce. Elle lui sourit, joyeuse de savoir qu'il aime ça.
- Tu suces mieux que ma femme, lance-t'il, et en plus t'aime ça !
Adeline semble satisfaite de savoir que cet homme la préfère elle à sa femme, elle poursuit alors sa fellation de plus belle. Malgré ce qu'elle a dans la bouche, on perçoit de faibles gémissements, contrairement à ceux de Roger qui ne se retient pas d'exprimer le plaisir qu'il ressent. Sa femme n'est pas une adepte de cette pratique d'autant plus qu'elle a du mal à garder ce sexe dans la bouche. De ce fait, Roger voyant Adeline qui en raffole l'enivre au plus haut degré.
- Hmm, c'est bon comment tu suce ! Lui dit-il en plongeant ses mains dans ses cheveux, Rémy a de la chance de t'avoir !
Adeline aurait voulu lui dire qu'il était un vrai coincé, la fellation étant l'une des rares pratiques au sein de leur couple, et encore Rémy ne semble pas si enthousiaste.
Elle se redresse et, à quatre pattes, s'avance vers lui. Son entrejambe prend place sur le sexe dur de l'homme tandis qu'elle se relève, elle est à genou sur lui et se remue sur son membre.
- J'envie votre femme, elle doit en être comblée ! Lui dit Adeline en frétillant encore plus sur son sexe.
- Moi ch'suis un mec généreux, si tu l'aimes, je veux bien partager ! Lui dit Roger en se relevant.
- Votre femme est du même avis ? Demanda Adeline.
Roger s'est accroupi entre ses jambes et lui déboutonna son min short.
- Ce sera notre secret ! Dit-il en ramenant son vêtement à ses cheville.
Elle n'avait rien en dessous, Roger s'est donc immédiatement retrouvé en face du sexe humide de la jeune femme. Il lui écarta les jambes et vint y plonger la tête.
Du plat de la langue il lui lécha le tout, comme pour préparer et gouter le terrain, il l'a pénètre de sa langue tout en lui masturbant le clitoris du pouce. Sa langue se retire et deux doigts la remplace tout en allant lui masser le sein.
Adeline doit reconnaitre que c'est la première fois qu'on lui procure autant de plaisir rien qu'avec la langue, au passage elle comprend que cet homme sait utiliser sa bouche, tant sur ses seins que sur son vagin.
Il lui caresse le bas de la jambe de sa main gauche en lui mangeant le sexe, Adeline gémit et se pince les tétons, tout en glissant sa main dans les cheveux de l'homme. Elle avance ses fesses un peu vers l'avant, ses jambes se retrouvent en l'air, une sur l'accoudoir et l'autre sur l'épaule de Roger. Ce dernier voit ainsi pour la première fois son petit trou auquel il ne peut pas résister.
- J'avais oublié que t'avais un beau cul ! Dit-il en la relevant
Tout en l'embrassant il la guide vers le coté du canapé, il la fait se cambrer en avant et glisse une main à la rencontre de cet anus.
Adeline monte un genou et se tient au dossier du canapé. C'est Roger qui lui monte l'autre genou. Elle se retrouve à genoux sur l'accoudoir. Roger lui écarte les fesses et fait glisser sa langue sur la rondelle. C'est la première fois qu'on lui fait ça, Adeline ignore le nom d'une telle pratique. Cette tête entre ses fesses lui mangeant le derrière avec une telle faim est jubilatoire, et quand un doigt s'est faufilé en son vagin, elle ne voulait qu'être prise. Son v?u a été exaucé.
Roger s'est redressé. Il s'est plaqué contre elle, elle sentait ce sexe chaud contre ses grandes lèvres.
- J'ai envie te niquer, lui murmure t-il.
- Et moi je veux me faire niquer ! Dit-elle en tournant la tête pour lui jeter le regard le plus obscène et excitant.
Elle semblait aimer de plus en plus ce langage.
- Tu prends la pilule j'espère ! Dit-il en empoignant son sexe
Il le guide pour le lui enfoncer mais ça ne veut pas rentrer, Adeline se souvient alors de la largeur du sexe.
Roger se baisse, passe sa tête entre ses jambes, et lui met deux doigts, trois doigts, il les fait tourner pour dilater.
Il se relève brusquement et enfonce son gros membre sans hésiter une seconde. C'est rentré.
Elle lâcha un cri, une larme vint couler sur sa joue, et d'autres cris de jouissance suivirent. Tous comme pour sa bouche, elle avait peur que son vagin se déchire. Elle se rendait compte, encore une fois, de la différence qu'il y avait entre le sexe d'un garçon de son âge et celui d'un homme comme Roger.
Il allait de plus en plus vite dans sa pénétration, comme si la cadence s'indexer sur la tonalité des cris d'Adeline. A présent elle hurlait, il la prit par les hanches et y alla au maximum. Elle le sentait venir, son sexe gonfler en elle, bientôt son ventre sera rempli.
Ses seins ballotent à vive allure, tous comme les testicules, son corps en sueur rend glissante ses mains, s'accrocher au canapé est de plus en plus difficile, surtout que les coups de reins qu'il lui donne ne l'aident pas.
Roger explose enfin, il lâche un cri guttural et se retire. Il tire Adeline sans perdre de temps et l'a fait s'agenouiller sur le sol. Il tente de lui introduire son membre dans la bouche, en vain. Malgré sa soif de sexe fougueuse qu'on ne peut enrayer, Adeline n'a jamais eu de sperme dans la bouche, ni même sur le visage d'ailleurs. Roger semble comprendre tout en continuant de se masturber, faisant ainsi jaillir les dernières gouttes de spermes qui s'écrasent sur le visage d'Adeline. Elle finit par le lui lécher sur toute la longueur quand il le lui pose sur les lèvres, ardent et ferme.
Il la relève et l'embrasse, partageant ainsi leur salive et semence. Il lui caresse doucement les fesses en sentant l'opulente poitrine sur son torse, Roger était entrain de la palper comme pour vérifier qu'il venait bien de faire l'amour à une aussi jeune et belle femme. Tout cela était bel et bien réel.

- Je m'en vais prendre une douche, vous vous joignez à moi ? Demande-t'elle après s'être presque extirpée.
- Ils ne vont plus tarder, dit-il.
Adeline avait totalement omis la famille, dont Rémy.
Elle a pris son short et débardeur dans les mains, restant ainsi toujours nue pour les yeux de Roger qui n'en perdait pas une miette, lui, par contre, s'est rhabillé. Après cela ils ont rejoint la salle de bains, Roger n'est pas resté très longtemps sous le jet d'eau.

La famille est arrivée une vingtaine de minutes plus tard. Audrey, elle, n'est pas de retour étant à l'aéroport pour chercher son frère et sa mère. Ils ne seront là qu'aux alentours de 11 heures. Et la mère avait décidé de ne pas venir.

Après avoir préparé le repas et être passés à table, la famille et Adeline quittèrent ensemble la maison pour se rendre sur la plage.