Amélie

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Proposée le 9/04/2011 par Smash

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Notre histoire se déroule en février, Amélie allait vers ses 18 ans et moi vers mes 20 puisque, détail amusant, nous sommes nés le même jour à deux ans d'écart.

J'avais redoublé ma seconde pour avoir collectionné les avertissements au travail (le concept de devoir m'étant longtemps resté étranger) et comportement (je prenais plaisir à livrer guerre psychologique aux éducateurs froissant mon égo). Ce comportement m'avait suivi tout au long du collège, du lycée, me valant d'échouer de peu au rattrapage du bac. Malgré cela ma relation avec mes parents a toujours été meilleure que celle de la plupart des jeunes.

Cette attitude de "petit con" et mon implication dans un groupe de rock indé sont ce que je tiens pour responsable de la relation privilégiée que j'ai entretenu avec les femmes.

Mais... Revenons à nos moutons.

J'avais fait la connaissance d'Amélie en septembre, nous avions une amie en commun dans la classe. Je savais qu'elle avait une relation plus que tumultueuse avec un mec de mon âge : Le genre de choses auxquelles on se confronte en prenant la virginité d'une femme. Je savais aussi qu'Amélie m'attirait : Jambes d'une longueur et d'un galbe parfaits, taille de mannequin, peau mate, longs cheveux bruns et yeux verts. Je trouvais sa bouche un peu large, ses dents un peu longue et sa poitrine un peu légère mais elle équilibrait maturité et folie d'une façon surprenante pour une fille de cette âge.

Une conversation que j'avais surprise entre elle et notre amie, et dans laquelle Amélie avouait avoir eu envie de moi avait flaté mon égo. C'est suite à cela que je commençais à me masturber occasionnellement en pensant à elle. Rapidement j'apprenais à la connaitre et sentais l'ouverture qui se faisait (sans mauvais jeu de mots). Cela dit je ne pouvais pas aller trop loin sans en savoir plus sur sa relation avec son Jules : Même si l'envie de la baiser était forte je me fixais comme règle de ne jamais interrompre une relation trop tôt.

Puis il se passa quelque chose de nouveau. Suivant les va-et-vient de sa relation amoureuse, Amélie commença aussi bien à m'allumer qu'à me rejeter. Si j'étais coutumier de la première situation, surtout à travers les nombreuses soirées alcoolisées où j'arborais ma guitare folk et mon cynisme déstabilisant les filles les plus sures d'elles, la deuxième en revanche éveilla de nouveaux sentiments.

Avec le recul je me dis que c'était une réaction stupide et limite matérialiste : Il y avait une femme que je commençais à vouloir, et dont je n'étais plus certain qu'elle puisse vouloir de moi. Ceci générant une obssession nouvelle qui ne pouvait prendre fin qu'après un rapport sexuel.

C'est comme ça que, d'octobre à janvier, se déroula une guerre à base de feu et de glace, variant parfois d'un jour à l'autre, nos moments de flirts entre deux cours laissant place à des regards mauvais. Si ce jeu pouvait me plaire les deux premières semaines, il ne tarda plus à me fatiguer. Finalement, je décidais, début février, d'afficher une grande sympathie envers sa meilleure amie et de laisser Amélie définitivement de coté. Notre jeu s'arrêta pendant deux semaines.

Puis, un mercredi matin, Amélie vint gentillement me demander si je pouvais relire ses synthèses d'allemand ou éventuellement l'aider à en faire de nouvelles. J'acceptais avec méfiance. Après la fin de la matinée nous nous dirigeâmes vers ma voiture et rentrâmes chez elle, à quelques kilomètres du lycée. L'ambiance se voulait plutot détendue, compte tenu des derniers évènements. Puis, lorsque nous arrivâmes devant chez elle et que je me garai, Amélie fut prise d'un haut-le-coeur.

Je n'avais pas remarqué que dans la 205 en face de moi se tenait un type d'environ mon age. Et qu'il me regardait comme si je venais de le frapper dans les couilles. Après un instant de malaise Amélie murmura "C'est lui... Mon ex...". Ne sachant pas vraiment que faire mais n'appréciant pas pour autant le regard du type, je décidais d'obéir à mon instinct et embrasser Amélie à pleine bouche. Elle sembla surprise mais n'eut aucun rejet. Voyant que cela ne suffisait pas, elle me murmura de la suivre. Voyant que nous quittions le véhicule, le type démarra en trombe et disparut.

Nous entrâmes alors dans la maison des parents d'Amélie, qui devait bien avoir une trentaine d'années. Au RDC se trouvaient acollés la cuisine / salle à manger, puis un salon. Nous prîmes place à la table de la cuisine pour travailler. Après une heure et demie, nous en avions fini et après m'avoir remercié, elle me laissa finir ma bière pendant qu'elle montait se doucher. Tout ça pour ça ? J'étais carrément médusé. J'avais eu la preuve que sa relation s'était terminée, en l'occurence mal, et je savais qu'elle ne me résisterait plus.

Je pris ma boisson et alla la finir en regardant Canal+ dans le salon. Dix minutes plus tard, plus de jet d'eau, je l'entendais descendre lentement les éscaliers pour observer ce qu'il se passait.

"Papa ? T'es déja rentré ?"
"Nan."

Je m'étais relevé et la fixait sur son éscalier. Elle ne portait qu'un peignoir et ses cheveux humides étaient retenus par un élastique. J'avançais vers elle mais elle restait immobile. Grimpant deux marches, je plaçais ma main gauche sur son bassin et l'autre sur sa hanche gauche avant de l'embrasser une nouvelle fois. Puis une autre. Cette fois cependant elle ne sembla plus vouloir.

"Nan..."
"Arrête. Tu sais que tu le veux. Et que moi aussi. Il est parti et tu ne l'oublieras d'autant mieux après avoir baisé un bon coup."

Il n'y eut plus qu'un soupir et un nouveau baiser. Cette fois ci je la pris entièrement dans mes bras et décidai de lui faire profiter d'un cunnilingus dans les règles de l'art. Redescendant les deux marches pour retourner dans la cusine, je la posais la, sur la table en bois. Pas le plus confortable mais je sentais à travers son regard et sa respiration qu'elle était excitée. Et la surprise, en écartant doucement ses jambes je découvrais une magnifique petite chatte rasée façon "ticket de métro". Souriant légèrement, constatant son expression de gêne face à tant d'intimité, je me mis lentement à genoux et cambra le dos pour respirer cet abricot propre. Laissant d'abord mon souffle chaud le caresser, je posais mes mains sur ses hanches et commença à l'embrasser. Surprise ! Les poils avaient recommencé à pousser et me procuraient une légère sensation de grattement que je trouvais agréable. Après plusieurs baisers, sa chatte commençait s'humidifer, me permettant de lécher ses lèvres de façon circulaire, improvisant un peu le mouvement pour la surprendre.

Je l'entendais qui aimait ça, retenant des cris, je la voyais retenir des spasmes et poussant des bras sur la table, les yeux vers le plafond. Après un moment elle était carrément mouillée et, n'aimant pas continuer après ce stade, je la ramenais vers moi pour l'embrasser à pleine bouche et la prendre dans mes bras pour la mener au premier. Là, comme ivre d'avant-baise, elle m'indiquait tout juste sa chambre. Une petite chambre qui aurait put être celle d'une adolescente de 14 ans. Le lit une place nous attendait. Une fois assise dessus et m'aida à me débarasser de mes fringues et à enfiler un préservatif.

Ensuite elle ouvra son peignoir, dévoilant ainsi ce corps sublime. Elle empoinga mon sexe turgescent et le caressa avec une vigueur grandissante. Elle le prit en bouche et descendit d'un seul coup tout le long. Ses lèvres appliquaient uen pression parfaite pendant ce qu'elle caressait mes couilles de la main droite et son clitoris de la main gauche. Je savourais ce moment : Des mois que cette petite conne me résistait et je lisais dans son regard, plongé dans le mien, qu'elle prenait déja bien son pied comme ça. Ce regard était insolent, c'était la Amélie avec laquelle je me prenais la tête.

Les vagues rumeurs que j'avais entendues de la part des filles de la classe, parlant d'Amélie comme d'une fan de la fellation, ne mentaient pas. Je restais là, bras pendus, pendant un long moment. Puis, la lassitude commençant à s'installer dans ses yeux, je décidais qu'il était temps de faire la fête. Me retirant doucement, je l'embrassait
rapidement avant de l'inviter à s'allonger sur la longueur du lit et d'écarter ses jambes.

Là, je n'attendis plus et, après avoir écarté ses lèvres suffisamment, la pénétra d'un coup sec et commença à la prendre, penché sur elle. Elle gémit de surprise mais ne semblait pas souffrir. S'en suivit un coït long et intense. Appuyé sur mon bras gauche, je caressais ses hanches de la main droite tout en continuant de limer son vagin avec ma queue surgonflée. Je remontais vers sa poitrine, caressant ça-et-là, pinçant ses tétons pour la faire crier, l'embrassant tendrement...

A plusieurs moments, je faillis jouir mais me débrouillais pour repenser à des gens moches que je croisais au lycée. Pas agréable mais nécesssaire. Cela dura bien une dizaine de minutes jusqu'à ce qu'Amélie se mette à crier de plus en plus fort et fermer les yeux dans un ultime hurlement : Premier orgasme. Rouvrant les yeux, elle me demanda de me coucher pour me grimper dessus. Même si je n'étais pas fan, l'idée qu'elle le fasse me plaisait beaucoup. J'obéis donc, et fut surpris de voir avec elle aisance cette fille parvenait à guider mon sexe dans le sien et à remuer son bassin pour gérer la pénétration.

Une fois habitué, je remarquais ses cheveux attachés et eu envie de quelque chose. Lentement, ma main gauche quitta sa hanche pour remonter et empoigner ses cheveux. Puis, tirant très légèrement dessus, je la ramenais vers moi. Continuant de la tripoter de ma main droite, jouant notamment entre son clito et son petit anus, je parvins à la faire venir une seconde fois.

Cette fois, elle se coucha entièrement sur moi et nous passâmes quelques minutes à nous regarder, nous sourire, nous embrasser. Puis elle me tourna le dos, et j'en profitai pour la faire basculer et la niquer par derrière. Utilisant mes mains pour jouer avec sa poitrine et son ventre, je m'infiltrais dans sa chatte et repris où je m'étais arrêté,
jusqu'à jouir tout seul. C'était divin.


Après cela nos relations se sont compliquées, sont redevenues aléatoires. Après l'obtention du BAC et les soirées que ça implique, nous nous sommes cependant quittés en bons termes. Je vous raconterai une autre histoire qui a eu lieu quelques mois plus tard.