Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 7/04/2011 par enkor e enkor
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Par une belle matinée de juin, je décide d'aller me balader à la grande ville.
Je prends ma voiture et me voilà, le nez au vent, entrain de rouler tranquille sur les petites routes de campagne. Je ne suis pas du tout pressé, il fait beau, c'est cool !
Tout à coup, au détour d'un virage, dans un chemin encaissé, je manque d'accrocher un énorme sac à dos sur pattes qui marche sur le bas côté, un bras tendu en signe d'invite à l'auto-stop. Je fais une légère embardée et je m'arrête un peu plus loin sur le bas côté. Je jette un coup d'oeil dans le rétro et je vois s'approcher d'un pas rapide, un superbe mec.
- Vous allez à .. ?
- oui, pas de problème, monte !
- merci ! C'est super sympa !
On roule un petit moment et, aussitôt, la conversation s'engage. Il m'explique qu'il est entrain de faire un tour de France de ses potes en stop. A un moment j'aperçois une petite terrasse sympa en bord de route. Je lui propose de boire un verre. Il accepte. A cette heure du matin, il n'y a pas grand monde. On se prend des cocas.
- Excuse moi de te dire ça, mais t'es super beau !
- Merci !
- De rien. Ca doit être super facile pour toi avec les nanas...
- Avec les deux...
- Tu veux dire avec les garçons, aussi ?
- Ben, oui.
- T'as raison, la beauté, ça n'a pas de frontières ! Tu es bi alors ?
- Ben, oui !
- Ca alors, moi aussi.
- Ca, je l'aurais bien deviné.
- Ah oui ? Franchement, t'as pas une petite préférence entre les nanas et les mecs ?
- Si, je me sens plus facilement attiré par les mecs que par les nanas...
- Moi, c'est pareil...
Tout à coup, la conversation se met à avoir des blancs de plus en plus longs. Non pas qu'on n'ait plus rien à se dire mais je crois qu'on a compris, tous les deux au même moment, ce qui était entrain d'arriver. On se sent attiré l'un par l'autre, irrésistiblement, au point d'en être bouleversé.
Les yeux plantés dans ceux de l'autre, on reste de longs moments à ne plus rien se dire, le coeur au bord des lèvres. On décide de repartir.
Tout en roulant, je l'observe du coin de l'oeil. Il a de longues jambes fuselées, très bronzées, ourlées d'un fin duvet blond. Son bronzage tranche avec le vert anglais de son short. Superbe ! L'échancrure de côté de son short laisse apparaître le bas d'un boxer rose fluo... Aguichant ! Un tee shirt rose vif le moule parfaitement bien. Une longue chevelure blonde décolorée par le soleil. Un beau visage en lame de couteau à la fois dur et tendre.
D'un seul coup, il se tourne vers moi, plante son regard sur moi, me sourit de toutes ses dents et... pose sa main gauche sur mon genou droit. Je tressaille, pas trop surpris finalement. Le contact de sa main sur ma peau nue - je suis en short, moi aussi -, est très agréable. je lui renvoie son sourire, marquant par là mon accord à ce qui se prépare. Il ne lui en faut pas plus pour commencer à me caresser l'intérieur de la cuisse. Caresse savante, douce. Du bout de ses doigts, il se faufile sous la jambe de mon short et remonte, remonte... Il commence à jouer avec l'élastique de mon slip de bain, essayant de glisser ses doigts dessous;
- Tu crois que c'est réprimé par le code de la route ? Ca vaut combien de points ? Me demande-t-il dans un grand éclat de rire.
- Je ne sais pas mais ce que je sais c'est que si ça continue, je vais avoir beaucoup de mal à garder la ligne droite !
A voir la bosse que fait maintenant son short et son regard chaviré, je me dis qu'il est temps de faire quelque chose...
A l'horizon, je vois se profiler une forêt que je connais bien. Voilà la solution ! Vers le milieu du bois, une allée de terre bien sèche s'enfonce au coeur de la forêt. Je m'y engage et me mets à la recherche d'un endroit pour m'arrêter. A la pression de ses caresses sur le tissu de mon maillot de bain, je vois bien qu'il a compris où je veux en venir. Cela a l'air de lui convenir tout à fait. Au bout d'un moment, le chemin s'élargit et on peut se garer facilement à plusieurs véhicules. D'ailleurs, il y en a déjà un de stationné. A pieds, nous prenons le premier layon qui s'enfonce au plus profond de la forêt. On n'a pas fait cinquante mètres qu'il me saisit par les épaules, me plaque contre un arbre, colle son corps contre le mien et cherche ma bouche. S'ensuit un baiser fougueux. Son corps dur me presse contre le tronc d'arbre. Je sens parfaitement bien la bosse de son sexe dressé qui appuie sur le mien. je glisse mes mains sous son tee shirt et laboure son dos et le haut de ses fesses. Cela le stimule encore plus dans son ardeur à m'embrasser.
- On va se chercher un endroit bien chouette...
- Attends, je crois que j'ai une meilleure idée... Tu vas voir ! Me répond-il.
Nous reprenons notre route, tendrement enlacés et très avides l'un de l'autre. Son regard balaie le bois et je le vois alors se diriger vers un énorme chêne qui se trouve non loin de là...
- Aides-moi, je t'aiderais après. Me dit-il.
Je suis assez surpris car il a l'air de vouloir escalader cet arbre énorme. Alors, en lui faisant la courte échelle, en le poussant sur les fesses, il arrive à attraper les premières branches et à se rétablir dessus. Puis il me tend la main pour m'aider à escalader. Quelle drôle d'idée, mais pourquoi pas ? On monte de plus en plus haut dans les branches énormes. C'est assez facile et c'est vrai qu'un arbre de cette taille possède des espaces relativement "confortables" à la jonction des branches et du tronc. On ne voit pas grand chose à l'extérieur car le feuillage est touffu.
Ca y est ! Il a repéré l'endroit idéal.
- Quand j'étais gamin, j'étais tout le temps dans les arbres. Ca m'est resté. Déshabille-moi !!
Je fais glisser son tee-shirt dégageant un torse finement musclé et glisser son short. Pendant que je m'active à le désaper, il en fait de même avec moi, si bien qu'on se retrouve très vite, lui en boxer rose qui laisse bien transparaitre sa bite tendue et déjà auréolée d'une tache de liqueur de désir et moi en slip de bain bleu fluo, dans le même état. On se jette l'un sur l'autre, avides de se caresser, de se lécher, de se sucer... Et c'est alors que je comprends seulement le fond de son idée. C'est, qu'être en hauteur, à la merci d'une chute, en équilibre plus ou moins stable sur les branches, surajoute à l'excitation. En plus du sexe, il y a le petit frisson du danger qui empêche de se déchainer complètement... C'est loin d'être désagréable ! On se lance à nouveau dans un long baiser passionné, corps contre corps, peau contre peau. Nos mains s'affolent et parcourent nos corps en tous sens, se glissent sous les slips... On se lèche la peau mutuellement dans tous les recoins. Il a une très bonne odeur de mâle en rut qui m'affolle. Il se livre spontanément, complètement, sans retenue, totalement offert. A un moment, il se plaque contre le tronc, les bras en croix. On dirait une figure biblique. Je comprends qu'il aimerait que je le suce. J'en meurs d'envie ! alors, j'essaie très lentement de faire monter son désir encore plus. Je le caresse du bout de ma langue mouillée sur son torse sur ses pectoraux, je lui agace les tétons, je m'amuse à suivre du bout de ma langue les contours de ses abdos qui commencent à se dessiner, je mouille abondamment de ma salive la ligne de ses poils blonds qui filent vers son slip. je vois la peau de son ventre qui se soulève à un rythme plus rapide, signe évident de son trouble.
Du bout de mes dents, je m'amuse à tirer légèrement sur ses poils, en descendant vers son boxer. Son ventre qui s'avance, avec sa bite qui tend le tissu de son boxer à tout rompre, semble implorer mes caresses. je souffle de l'air chaud sur son gland à travers le fin tissu de son slip, il en redemande. Il m'empoigne les cheveux et veut plaquer ma bouche contre sa bite. Je résiste à sa pression, ce qui le rend fou. il s'arcboute alors pour s'offrir encore plus à ma caresse. je lui mordille alors légèrement la bite à même le slip, il gémit doucement en ondulant du bas ventre. Du bout des dents, j'attrape la large ceinture qui ferme son boxer de mousseline rose. Le bout de sa bite est là, juste à la lisière de l'élastique, tout auréolé de mouille. Je vois sa bite se soulever régulièrement et tendre le tissu. Elle attend, elle désire ma caresse. Du bout des dents, j'attrape le bord de l'élastique et je commmence à le faire glisser doucement, très doucement versle bas, pour dégager sa bite de sa jolie prison rose. Libérée de la pression du tissu, elle m'explose littéralemnt au visage en une longue vibration mouillée. On pouvait s'en douter, il a une superbe bite, pas très épaisse mais longue, bien décalottée et déjà super mouillée de cyprine. Sa toison est taillée très rase et ses couilles sont entièrement rasées.
- Très jolie coupe !
- C'est un copain qui me l'a faite... !
Je promène mon visage, ma langue sur tout son bas ventre, sur sa toison. Ca le fait frémir de satisfaction. Finalement, se raser les couilles, c'est une très bonne idée. Ca les rend très douces au toucher et très agréables à sucer. Il ronronne carrément de plaisir lorsque je lui gobe chaque couille avec délice et que je les caresse de petits coups de langue. Je vois son gland qui s'inonde de mouille qui commence à glisser le long de sa tige. Du bout de la langue je récupère ce précieux liquide et vient le déposer sur le bout de son gland. Il tressaille de tout son corps.
- Vas-y, je t'en prie, pompe moi, suce moi à fond, supplie-t-il dans un souffle. C'est vrai qu'il a l'air totalement concentré sur le plaisir que lui procurent mes caresses sur sa bite fièrement dressée vers le ciel... Je ne vais pas le faire souffrir davantage, alors je décide de m'occuper sérieusement de lui et surtout de son chibre qui n'attend que ma bouche. Je commence par les couilles que je suçotte longuement, puis je remonte lentement le long de sa tige du bout des lèvres,du bout de la langue, tout en lui massant les couilles, je m'approche de son gland, je m'attarde longuement sur le frein de son prépuce... A chaque fois que je l'agace du bout de ma langue, cela le fait bondir comme s'il recevait une décharge électrique, je promène sa bite tendue de désir dans mes cheveux et, enfin, j'attaque son gland dégoulinant. je le prends en bouche lentement comme si je suçais une glace, j'aspire, je comprime, je coulisse... Je le sens qui perd le contrôle et qu'il en veut toujours plus jusqu'à l'extase... Il s'offre de plus en plus à moi, s'arcboutant, poussant son membre vers ma bouche... J'enfourne sa tige de plus en plus profondément dans ma bouche, je la sens vibrer, je la ressors, je l'avale à nouveau, je l'aspire. Il la ressort et commence à me battre les joues avec. Quel beau membre odorant ! Je le gobe à nouveau et le suce furieusement comme si je voulais le faire jouir maintenant dans ma bouche... Je le sens à deux doigts d'exploser mais il se reprend pour mieux faire durer son plaisir encore et encore... J'ai surtout dans l'idée de jouir ensemble... Alors, lentement, je diminue l'intensité de mes caresses buccales.
Il a compris le message et décide de me rendre la pareille à sa manière. Il me fait avancer un peu sur une des grosses branches de l'arbre, me demande d'écarter les jambes et de m'accrocher avec les mains à la branche supérieure. Me voilà donc transformé en X majuscule. Lui, redescend d'une branche afin que sa bouche se situe à hauteur de mes fesses, puisque je lui tourne le dos. Il commence alors à me caresser partout, en évitant absolument mon slip de bain, bien que toutes ses caresses s'en rapprochent dangereusement et inexorablement. Je ferme les yeux et savoure ses mains sur mon corps. Maintenant, il se concentre sur mon slip qui a bien du mal à contenir mon chibre, tant celui-ci est tendu de désir. Ce gars a vraiment la science des caresses et l'art de faire monter le désir. Effleurements du bout des doigts, pressuions légères sur les couilles, le gland, la raie... Parfois le bout de ses doigts glisee légèrement sous l'élastique, sans insister. Il dénoue le cordon et fait glisser mon slip juqu'au bas de mes pieds et m'en débarasse. Je suis là, nu, enfoui dans la végétation d'un arbre énorme, à dix mètres du sol, offerts aux caresses d'un superbe mec et cette sensation est incroyablement excitante. J'entends quelques branches s'arracher et soudain, je sens sur ma peau la douce, très douce caresse de feuilles qu'il promène partout sur mon corps. Bien-sûr, il insiste sur mes couilles, ma bite, le périnée, l'intérieur des cuisses... Cela m'électrise complètement et je ne demande qu'une chose c'est qu'il continue ces caresses à pleines mains, violemment, brutalement... Ca devait être son idée car tout à coup je sens sa main qui m'empoigne la bite, les couilles et qui me malaxe copieusement... Son autre main vient me caresser les fesses, la raie, le périnée... Puis, ses deux mains m'empoignent furieusement le cul, écartent mes globes et je sens son visage se plonger dans ma raie... Je sens nettement son souffle chaud, puis très vite je sens son bout de langue qui me parcourt le sillon et qui s'approche de ma rosette. Pour mieux répondre et m'offrir à sa caresse, je cambre les reins, totalement offert. Je sens sa langue qui, tel un petit gland nerveux, chaud et vibrillonnant, m'agace la rondelle, c'est super bon ! J'ai deviné, à la fougue qu'il y met, que c'est une caresse qu'il aime particulièrement prodiguer... Il pousse, du bout de sa langue comme s'il voulait forcer le passage. Ses mains, passées par dessous, englobent complètement ma bite et mes couilles, à la manière d'un slip. Il me caresse la tige en folie... .trop, trop bon ! Bientôt, je sens un de ses doigt, enduit de salive, qui cherche à m pénétrer. Vu mon état d'excitation, il passe assez facilement. Il commence alors à me caresser les entrailles en tournant. Parfois, il retire son doigt et je sens à nouveau sa langue qui vient me caresser la rosette. Il a tôt fait de me passer un deuxième doigt et il continue un bon moment à me caresser l'intérieur du ventre. Encore !!!
Puis, on change à nouveau de position et on se retrouve face à face, à bander comme des fous, sur la même branche. C'est à ce moment que son boxer rose glisse de la branche sur laquelle il était posé et tombe tout au pied de l'arbre. Cela nous fait bien rire tous les deux, cette petite tache rose, tout là bas, en bas dans l'herbe verte. Mais, le voilà maintenant sans slip ! Presque aussitôt, on entend des rires !! Cela vient d'en dessous ! Un gars et une fille passent au pied de notre arbre, tout en se tripotant. Ils s'arrêtent même au pied et échangent un long baiser. Les mains du gars se baladent sous le tee-shirt de la fille. Va-t-on assister à une séance de baise, aux premières loges ? Peuvent-ils nous voir ? je ne le crois pas, tant le feuillage est touffu. Soudain, le gars a vu le boxer rose, il le ramasse. J'espère qu'ils ne vont pas avoir l'idée que ce genre de fruit peut tomber d'un arbre ! Le mec le renifle, remarque sûrement la tache et l'odeur, le fourre dans sa poche et les voilà qui s'éloignent !!! J'ai bien du mal à réprimer un sacré fou rire. Le voilà définitivement sans slip !! Ce petit intermède ne nous a même pas fait débander. Je crois même qu'il a ajouté un petit plus avec l'idée d'être découvert dans cette position...
Commence alors, à dix mètres du sol, la plus mémorable séance de branle à quatre mains que j'ai jamais vécue. Il se caresse, je me caresse. Il se branle légèrement, je me branle légèrement. Il me branle langoureusement, je le branle le plus doucement que je peux. Nos doigts sont poisseux de mouille. On se les suce mutuellement. Quel goût ! Je passe ma bite tendue sous ses couilles et je lui frotte la raie; il me titille la rosette de son index...
- Tu sais ce qui serait bien ? C'est qu'on jouisse au même moment !
- Chiche !
On colle nos deux bites l'une contre l'autre, on croise nos doigts et nous voilà partis dans une masturbation à quatre mains. Je sens parfaitement bien ses couilles contre les miennes, la chaleur de sa bite, la pression de ses mains... Dieu que c'est bon ! On voudrait que ça dure toujours ! Ca y est, on a trouvé la meilleure position de mains pour avoir tous les deux le max de plaisir. On accélère le rythme. Son souffle devient plus court. Son corps se durcit.
- Viens ! Viens ! Viens !
Je sens qu'il va jouir et cette sensation m'excite encore plus... Moi aussi, je suis au point de tout lâcher... Je ne vais pas réussir à l'attendre plus... Ca y est, sa bouche s'est ouverte, sa tête a basculé en arrière et, dans un grand cri, il m'inonde de sperme chaud jusqu'au cou. Une seconde à peine après lui, je lui envoie de longs jets brûlants. Nos dernières secousses sont parfaitement synchrones. On se colle l'un à l'autre, en étalant le sperme chaud sur nos deux torses. L'odeur âcre nous submerge. On reste ainsi un bon moment, collés l'un à l'autre, à essayer de reprendre notre souffle, totalement chavirés de plaisir partagé.Puis, frissonants légèrement, on se décolle et on décide de se reposer un peu avant de redescendre.
- Le truc, c'est que, maintenant, je n'ai plus de slip !
- T'inquiète ! je te donne mon maillot de bain si tu veux...
Je lui enfile mon slip de bain qui a l'air de le serrer un peu mais qui met bien en valeur sa superbe teub. la descente est assez facile et on se retrouve bientôt au sol. on repart vers la voiture, serrés l'un contre l'autre. A la pression de nos mains, on sent bien que, déjà, le désir revient...
- J'ai vachement envie de te baiser à fond... Me glisse-t-il à l'oreille.
Sans se concerter on quitte le petit layon à la recherche d'un coin accueillant, au raz du sol, cette fois ! Une tache de soleil, une tache d'herbe, on y est. Je suis déjà a poils et je l'attends, allongé, offert. Il s'allonge sur moi. Je sens encore l'odeur de l'amour incrustée dans sa peau. Il a gardé mon slip de bain bleu sur lui, mais je vois que sa bite bandée déborde déjà largement et sort fièrement... Je me mets à le caresser partout, partout, je plonge mes mains dans son maillot, le tripote... Il guide ma main vers sa rondelle. Alors je décide de lui rendre la pareille, puisqu'il a l'air d'apprécier particulièrement cette caresse. De lui-même, il se met en levrette pour bien s'offrir à mes caresses. J'écarte le tissu, sans le dévêtir et je commence à lui caresser les bourses par en dessous, à grands coups de langue. J'avais vu juste. A la manière dont il se cabre instantanément, je devine que c'est, de loin, la caresse qu'il apprécie le plus. Je vais donc essayer de lui donner un maximum de plaisir... Je continue en lui léchant le périnée et en me dirigeant vers son trou. Je salive abondamment sur sa rondelle que je vois déjà s'entrebailler de désir. Je lui souffle longuement de l'air chaud, je l'entends grogner de plaisir. J'alterne maintenant les petits coups de langue pointue et les grandes léchouilles sur son oeillet. Il pousse,il recule son bassin comme s'il voulait s'offrir encore plus. Il ondule de plaisir. Je lui passe un doigt, il se cambre à la verticale pour venir me l'enserrer au maximum. de mon autre main, je lui caresse la bite qui dégouline littéralement de liqueur transparente... J'enlève alors mon doigt et le remplace aussitôt par mon gland. Il ressent la caresse avec gourmandise et je le sens qui cherche à s'empaler sur mon dard. Je veux juste passer mon gland mais pas l'enculer à fond. Ca y est, il m'a englouti le gland dans un petit cri de plaisir et cherche à se faire défoncer à fond. je lui empoigne ses lobes et commence des petits va-et-vient mais sans m'enfoncer totalement en lui...
- Aaaah ! Défonce moi, défonce moi !!
- Toi d'abord !
Je me retire alors et passe sous lui. Je lui emprisonne la taille de mes deux jambes croisées et je cherche à m'empaler sur sa queue. Complètement excité moi aussi, et déjà à moitié dilaté, il sent bien qu'il va pouvoir me pénétrer assez facilement. Mais, bien que surexcité par mes caresses, il arrive à se reprendre et à controler sa pénétration. D'abord il me caresse longuement du bout de son dard mon anus qui se dilate. Il enduit sa bite copieusement de salive et passe son gland sans difficulté. Une fois entré, il reste totalement immobile, me dévorant des yeux. Petit à petit, c'est moi qui me met à onduler du bassin, contractant ou dilatant mon anus autour de son gland... Super bon ! Je sens son gland qui vibre de bonheur en moi. petit à petit, amoureusement, il progresse dans mon ventre pour s'enfoncer toujours un peu plus. je sens la chaleur de son vit qui progresse dans mes entrailles... Ca y est, il est totalement en moi. Il commence alors à me limer très très doucement. De petits mouvements qui deviennent de plus en plus amples mais très lents. Délicieux ! Parfois, il se retire complètement et me pénètre à fond, d'un seul coup. Il s'allonge sur moi, m'empoigne les épaules, noie son regard dans le mien et vient frotter son ventre contre ma bite raide de désir au gré de ses va et vients. Progressivement son rythme s'accélère. comme il a joui il n'y a pas si longtemps, je sais que cette fois cela sera plus long à venir. tant mieux ! J'aimerais que ça ne finisse jamais ! Il s'est redressé, a empoigné mon cul à pleines mains et, maintenant il me pilonne avec force. Je sens ses couilles battre contre mon périnée à chaque fois qu'il me défonce. Je peux lire sur son visage, la progression de son plaisir et c'est jouissif. Son rythme s'est encore accéléré, il halète, bouche ouverte. De la sueur commence à perler sur son front. Encore plus vite, encore plus fort !! Ca me brûle et ça m'irradie de plaisir en même temps. J'ai attrapé ma bite et je me branle frénétiquement. Ca le rend dingue et il accélère encore...
- Je vais jouir ! Je vais jouir !
- Oui, oui, vas-y, viens... A fond.
Tout à coup je sens sa bite se contracter et aussitôt je ressens deux longs jets brûlants qui m'irradient tout l'intérieur. Cela me surexcite encore plus et je sens monter dans ma tige l'explosion de jouissance. il a rapproché son visage de ma bite en feu et reçoit un long jet de sperme chaud en plein visage.
Cette fois, il me retombe dessus, totalement exténué. Son dos est parcouru de longs frissons. Je le couvre de mon tee shirt et le garde ainsi dans mes bras longuement...
Mon dieu, que je vais avoir du mal à le laisser partir... !