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Proposée le 7/04/2011 par lecoquin30
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Messieurs, dames bonsoir,
je continue dons le récit de mes expériences avec vous, 2600 lectures pour le premier chapitre, je m'en félicite, un poil de commentaires en plus auraient été les bienvenus, mais qui sait pour celui-là.
j'ai longtemps réfléchi à la suite que j'allais vous proposer, une nouvelle histoire exclusive ou la suite, j'opterai pour une exclusivité ^^^, n'hésitez pas tous et toutes à me faire part de vos envies...
Myriamme...
Le temps à passé, je suis maintentant un fringant jeune homme, toujours attiré par le beau sexe, mais celui qui à de l'expérience, j'ai beau être trés intéressé par les filles, mon interêt se porte tout de même sur les femmes.
Nous avoins donc changé de décor, ma mère ayant changé d'établisssement, nous somme toujours dans le nord de la france, je continuait à rendre régulièremeent service à ma mère pour mettre un peu d'argent de coté...
Ce matin là, j'etait dans le bar quand une femme, dont je ne saurai vous dire aujourd'hui son age se présenta devant moi :
- Bonjour, je suis Myriamme, je viens faire le repassage.
- Ok enchanté Myriamme, ma mère n'est pas là aujourd'hui, vous connaissez le chemin, un petit café ?
- Oui merci. ^^
Je lui servis donc une tasse d'expresso, je fus tout de suite interloqué par sa tenue, une femme trés simple, avec une petite jupe grise trés cintrée et un haut blanc, mais elle disposait de ce qui me plait le plus chez les femmes, d'une superbe poitrine, qui sans regarder son visage, la rajeunissant d'au moins quinze ans.
Je continuais mon service, elle s'était installée dans la cuisine de l'appartement qui jouxtait le bar et qui n'etait séparé de celui-ci que par une porte en verre flouté, j'utilisais régulièrement le micro-onde de la cuisine pour faire réchauffer les pizza-baguettes des clients du midi...
Je dois bien avouer qu'il y a une chose qui m'excite énormément, c'est pouvoir regarder sous les jupes des femmes, cette intrusion dans leur intimité à peine masquée me fait un effet dingue.
J'allais et venais du bar à la cuisine et la voyais s'affairer à sa tache, qui n'en etait pas moindre, repasser les nappes et serviettes, sans parler du linge personnel, cela lui demandait entre 1 et 2 heures par jour, mais cela ne la dérangeait pas le moins du monde, elle etait sur sa planche, sans smême se retourner quand je pénétrais dans la pièce.
Après plusieurs jours d'observations, et mon excitation ne démordant pas, je rentrai une fois de plus dans la cuisine, où Myriamme était une fois de plus en train de repasser, j'avais dans les mains un plateau inox pour faire réchauffer les pizza et hot dog des clients, le reflet qu'il offrait me donna de suite des idées un peu sallaces...
Oserai-je ? le glisser sous sa robe pour voir sa petite culotte ? Mon sang se mettait à bouillir, je mis les sandwichs dans le four et sans faire de bruit me glissai derrière-elle, cet instant me parut durer une eternité, mais en réalité, il ne se passa que quelques secondes ou je glissai ce miroir de fortune sous sa jupe pour admirer ses cuisses, ses fesses et cette si jolie petite culotte en coton avec des "mickey et minnie"...
Cette image me laissa dans un état d'excitation sévère, je trouvai ça tellement mignon et coquin à la fois...
Je retournai à mon travail avec une érection phénoménale, j'étais bien décidé à franchir le pas...
Plusieurs jour passèrent...
Comme à son habitude, ma coquine arriva pour faire son repassage, ma mère etait présente ce jour-la et le café ne désemplissait pas, je prenai comme à mon habitude ma pause, avec une idée bien précise derrière la tête, bien-sur j'avais pris le soin de récupérer un miroir dans la salle de bain, que ma mère utilisait pour se maquiller et montais à l'etage où la buanderie etait installée, Myriamme etait là sur sa table à repasser comme à son habitude avec une petite jupe et un haut pas trop moulant, mais son imposante poitrine ne pouvait aller contre la tension du tissu...
- L'heure de la pause ?
- Oui.
Je faisais semblant de chercher du linge de service pour me gliser derrière elle et sortit mon petit miroir de ma poche pour le glisser sous ses jambes, elle portait ce jour-là une trés jolie petite culotte mais je distinguais sans peine, grâce au reflet, une jolie dentelle...
C'est ce qui me perdit, je pense, je dus trop avancer ma main sous ses jupes et celle-ci effleura ses cuisses, elle se crispa aussitôt,
- Mais ?!?!? Qu'est ce que tu fais ?
- Désolé Myriamme, ça fait tellement longtemps que je voulais savoir ce que vous portiez pour venir travailler.
- Mais voyons...
je ne lui laissais pas le temps de réagir que je me redraissai aussi vite pour me coller à elle et la serrer contre la table à repasser, je glissais aussi rapidement que possible ma main contre un de ses seins et commençais à le malaxer avec énergie...
Quitte à en prendre une, pourquoi ne pas en profiter un maximum.
- Mais voyons... Vous ête fou ?? Arrétez tout de suite...
Mais l'expérience aidant, je sentais de suite son mamelon se tendre sous mes caresses, pour ma rassurer et me confirmer son consentement, je pris le deuxième aussi vite sous mon autre main, il etait tout aussi dur...
- Ce n'est pas désagréable dis-moi, la tutoyer m'excitait énormément, cela me donnait du pouvoir sur elle, qui avait facilement 2, voir 3 fois mon age.
- Mais ta mère...
- T'occuppes, elle bosse.
J'avais entre temps relevé son maillot, ses seins etaient parfait, pour son age ils etaient encore trés fermes.
Je l'emmenai dans ma chambre où je la mettais directement à quatre pattes sur le lit, elle était entièrement à moi, je ne sais pas à quel moment son désir est monté en flêche, mais elle ne m'opposait plus qu'une résistance verbale
- Je suis mariée et mon mari vient souvent ici, et ta mère ??
- Me parle pas de ton mari, tu crèves d'envie autant que moi, j'ai bien remarqué ton petit manège depuis ces derniers jours, toujours avec tes petits hauts moulants, tu croyais que j'allais laisser passer ça ?
- Non, oui, mais je suis pas comme ça...
- Non t'es pas quoi, arrête un peu de faire ta sainte ni touche, alors t'es pas quoi ??
- Non je suis pas...
- Allez dis-le ou je te laisse comme ça.
J'avais entre-temps relevé sa jupe et commencé à la masturber assez énergiquement.
- Je suis pas une salope !!
- Ha bon ?? Ben on dirait pas, allez dis-le.
- Mais ta mère va nous surprendre...
- Tais-toi, dis-le sinon je te laisse toute seule là de suite...
elle baisait littéralement mes doigts qui s'immiscaient en-elle :
- Ho oui, je suis une salope, une grosse salope.
- T'aime la queue ?? dis-le !!
- Oh oui, j'aime la queue, branle-moi petit cochon.
Je ne me fis pas prier pour sortir mon sexe, qu'elle s'empressa de saisir à pleine main, elle n'avait surement pas fait l'amour depuis belle lurette car, elle s'empressa de le diriger vers sa vulve, aussitôt, et de m'introduire en elle.
Elle avait des sortes de spasmes ou soubresauts, je ne saurai plus dire.
- Ho oui c'est bon, vas-y à fond, c'est tellement bon.
je dois bien avouer que les petites insultes et perversitées sortant de la bouche de mes partentaires m'excitent énormément.
- Dis-le encore...
- Non je suis pas une salope.
- Ha bon t'es quoi alors ??
je lui mettais de petites cliques sur les fesses, ce qui la faisait bouger encore plus...
- T'es ma pute hein ??
- Hannnnn, non...
- Allez sinon j'arrête !!
- Ho oui je suis ta pute, j'aime la queue, je suis la reine des salopes.
- Allez gueule-le que tu aimes te faire ramoner !!
- Hannn ho oui, baise-moi, hannn, ramone-moi, je suis la pire des garces, je vais jouir, n'arrête paaaas.
Je me vidais en elle dans un orgasme divin...
J'avais tellement de prise sur elle, que l'envie de la chevaucher à nouveau ne traîna pas, nous refîmes une fois de plus l'amour mais plus sensuellemnt ce coup-ci, avant qu'elle ne se rhabille et finisse son travail.
Il nous arriva régulièrement de baiser pendant mes peittes pause.
A suivre.