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Proposée le 6/04/2011 par A
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On est vendredi soir, il est 21h58 et Claire est seule au milieu de sa chambre, tremblant de la tête au pied. Elle n'a pas froid, non elle tremble parce qu'elle est terrorisée. Elle se demande ce qu'elle est en train de faire. Claire à 24 ans et étudie la chimie à la fac. Quelques heures auparavant, en rentrant chez elle, elle a trouvé un petit mot qui a été glissé sous sa porte. Il y était écrit :
"Je t'offre la possibilité de vivre quelque chose que tu n'as jamais vécu jusqu'à présent. Si tu es partante, laisse ta porte entrouverte ce soir à 22h00, puis rends-toi dans ta chambre et tourne le dos à la porte.
Un homme qui te veut beaucoup de bien"
Au début, Claire s'est dit qu'elle avait encore attiré un malade de plus, mais elle se surprit à réfléchir à ce que ce mystérieux inconnu pourrait bien lui faire. Le fait est qu'elle avait un petit ami depuis 5 ans, mais malgré ses efforts, celui-ci n'avait jamais réussi à lui faire vivre ce qu'elle avait espéré vivre avec un homme. Elle était heureuse certes, mais elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une légère frustration en entendant ces copines raconter leurs ébats de la veille. Elle décida donc de se jeter dans le vide et d'ouvrir sa porte le soir venu, après avoir au préalable annulé la soirée avec son copain en prétextant un devoir en retard. Avant cela, elle prit la peine d'enfiler sa plus belle robe, une petite robe de soirée noire avec un décolleté éblouissant qu'elle n'avait porté qu'une fois. Comme cette fois là, elle l'accompagna d'un soutien gorge push-up, et de ces escarpins noirs. Elle se coiffa, se maquilla puis, vers 21h50, alla ouvrir sa porte. Mais tout d'un coup, elle fut prise d'une crise de panique. Qu'était-elle en train de faire ? Suis je devenue folle se demanda-t-elle ? Mais il était trop tard pour faire demi tour, à peine 1 minute après que sa montre lui ai indiqué qu'il était 22h00, elle entendit sa porte se refermer. L'homme était là !
Elle entendait à peine ses bruits de pas tellement son c'ur battait fort. Soudain la porte de sa chambre s'ouvrit. Elle allait se retourner pour chasser l'homme qui venait d'y pénétrer, quand deux mains saisirent ces bras avec délicatesse. Claire tremblait plus que jamais. L'homme se serra contre elle et commença à lui caresser les bras avec beaucoup de tendresse. Claire comprit qu'il avait remarqué qu'elle tremblait et qu'il essayait de la rassurer. Mais bien qu'elle omit aussitôt la thèse du malade mental voulant la violer, elle ne se sentait pas beaucoup plus rassurée. Le silence ambiant la stressait au plus haut point. Elle n'avait qu'une envie, se retourner pour voir qui était cet homme. Elle se sentait ridicule d'avoir fait ce qu'elle avait fait et de se retrouver dans cette tenue avec un parfait inconnu derrière elle en train d'essayer de la calmer. Au bout de quelques minutes, l'homme alla fouiller dans sa poche droite. Claire cru qu'elle allait s'évanouir tellement elle avait peur. Elle l'imaginait déjà en train de chercher des capotes, puis de lui arracher sa culotte pour? Claire n'eut pas le temps d'en imaginer d'avantage. L'homme tendit sa main de telle sorte qu'elle put voir ce qu'il tenait. C'était en fait un ruban de soie noir. Claire ne savait plus quoi penser. Tout doucement, l'homme saisit une extrémité du ruban avec chacune de ses mains puis avec une extrême délicatesse, il banda les yeux de Claire. Elle se laissa faire. Même si elle avait voulu résister, dans l'état dans lequel elle se trouvait, elle n'aurait pas réussi à faire grand chose. Mais elle ne voulait pas résister. Petit à petit, son effroi se transformait en curiosité. Et quelque chose en elle lui dictait de faire confiance à cet inconnu. Ce dernier lui retira son collier, la saisit par les épaules puis la fit se retourner avec toujours autant de délicatesse. A ce moment, Claire décida de s'abandonner complètement à l'homme qu'elle avait désormais en face d'elle et ces tremblements diminuèrent de manière significative.
Bien qu'elle ait les yeux bandés, elle sentit que l'homme rapprochait son visage du sien. Ces lèvres rentrèrent soudainement en contact avec celles de l'inconnu et les tremblements de peur qui l'animaient jusqu'à présent se transformèrent soudain en tremblement d'excitation. Claire avait honte des pensées qu'elle était en train d'avoir, mais c'était indéniable : cet instant était délicieux ! Très vite, Claire n'en était plus au stade où elle se laissait faire, elle rendait avec fougue les baisers qu'il lui donnaient . L'inconnu, prenant conscience de cela, il prit délicatement la tête de Claire entre ces mains et l'embrassa lui aussi avec fougue. Elle était complétement déconcertée. Jamais elle n'avait ressenti avec son copain le dixième de ce qu'elle ressentait actuellement. Soudain l'inconnu stoppa ses baisers, au grand désespoir de Claire. Il prit les mains de Claire, qu'elle avait machinalement placé sur les hanches de celui-ci et les lui remit le long du corps. Puis il posa ses mains à la base du cou de Claire et commença à les faire glisser doucement vers l'extérieur. Claire comprit immédiatement ce qu'il était en train de faire et rougit légèrement mais ne songea même pas à protester. Tout doucement les mains de l'inconnu atteignirent les bretelles de la robe et il les fit glisser doucement. Quelques secondes plus tard, la robe glissait le long du corps de Claire pour finir à ses chevilles la laissant en sous vêtements. Étant d'un naturel très pudique, elle ne put retenir un mouvement de bras dans le but de se cacher. Mais l'inconnu ne tarda pas à les remettre dan leur position initiale, toujours sans le moindre geste brusque. Il mit ensuite un genou à terre et mit une main derrière le genou gauche de Claire lui faisant ainsi comprendre qu'il désirait qu'elle lève un peu sa jambe afin de la débarrasser totalement de sa robe. Une fois de plus, elle fit ce qu'il lui demanda sans même une hésitation. Puis il se redressa et la prit dans ses bras. Ils étaient tellement collés que Claire crut sentir une bosse au niveau du pantalon de l'inconnu, ce qu'elle prit comme une flatterie. L'inconnu recommença à l'embrasser mais cette fois de manière très subtile, c'était presque une caresse et c'est d'ailleurs ce qu'il faisait avec ses mains au même instant. Il faisait courir ses doigts sur le dos de Claire du cou jusqu'au haut de ses fesses. Celle-ci était aux anges. Elle ne ressentait plus ni honte ni même culpabilité vis à vis de son copain. Elle se disait que s'il avait osé faire ne serait-ce que la moitié de ce que cet inconnu était en train de lui faire, jamais elle n'aurait accepté cette folle invitation. L'inconnu dégrafa ensuite son soutien gorge encore et toujours très délicatement et très doucement. Claire rougit derechef. De nouveau, il la fit se retourner et se colla à elle. Aucun doute désormais, elle ne le laissait pas indifférent et cela la ravissait. Il plaça ensuite ses mains un peu au dessus de sa poitrine et commença à descendre. Une fois de plus, il voulait qu'elle sache ce qu'il allait faire et cela l'excitait terriblement. Ses mains atteignirent ses seins et son soutien gorge ne tarda pas à tomber aux pieds de Claire. C'était la première fois qu'elle se retrouvait seins nus en présence d'un autre homme que son copain. L'inconnu reprit ses caresses ; il commença par placer ses mains sur le cou de Claire puis descendit sur ses seins. Mais il continua à descendre. Claire avait l'impression que cette descente était interminable. Elle n'avait plus qu'une envie à présent : Qu'il la satisfasse complètement ! Mais ses doigts ne firent qu'effleurer sa culotte, puis remontèrent jusqu'à ses seins. Et de nouveau ils descendirent. Il n'y avait plus aucun doute pour Claire : L'inconnu jouait avec elle. Et elle adorait ça !
Au bout d'une ou deux minutes de ce petit jeu, Claire n'en pouvant plus, mit ses mains sur sa culotte afin de l'enlever. Mais l'inconnu l'en empêcha et pour la première fois, un petit bruit sortit de sa bouche signifiant qu'il n'était pas d'accord et qu'elle devait se laisser faire. L'inconnu saisit alors ses mains et l'emmena jusqu'à son lit où il la fit s'allonger. Elle était ravie de la tournure que prenait les choses. L'inconnu se mit à califourchon sur elle et sortit une nouvelle fois quelque chose de sa poche. Claire eut à peine le temps de se demander ce que cela pouvait être cette fois, que l'inconnu saisit ses mains et les attacha aux barreaux de son lit à l'aide d'une paire de menottes. Claire fut un peu surprise, elle n'avait jamais tenté ce genre d'expérience auparavant. Elle n'y avait même jamais songé. Dorénavant, qu'elle le veuille ou non, l'inconnu pouvait faire ce qu'il voulait d'elle et cela ne tarda pas à l'exciter encore plus. Il s'allongea alors à ses cotés et recommença à jouer avec elle. Il posait deux doigts sur l'extrémité de ces escarpins et remontait doucement jusqu'à l'entrecuisse de Claire que celle-ci laissait volontairement entrouverte. Au fur et à mesure, il montait un peu plus haut. Et il finit par les stopper définitivement sur son intimité, puis, avec de petits mouvements lents et délicats, commença à la caresser. Elle fondait de plaisir. Pour la première fois de sa vie, elle n'avait qu'une chose en tête : Prendre du plaisir. Au bout de quelques secondes, Claire laissa échapper quelques râles de plaisir. C'est le moment que l'inconnu choisit pour lui retirer sa culotte. Pour le plus grand bonheur de Claire, il reprit aussitôt ses caresses. Jamais claire n'avait ressenti cela auparavant. Ses râles se faisaient de plus en plus intenses et bruyants. Soudain, il stoppa net et se leva, Claire ressenti un sentiment de frustration immense. Mais quand elle entendit ce qu'il faisait, elle fut tout de suite soulagée : Il retirait son pantalon. L'inconnu se mit alors au bout du lit, saisit les chevilles de Claire et les souleva. Puis il s'avança vers elle jusqu'à ce qu'elle sente son sexe contre le sien. Il la souleva alors une nouvelle fois, de telle sorte que seules ses épaules et sa tête reposait sur le lit désormais et ses jambes reposaient sur les épaules de l'inconnu. Il commença alors à la pénétrer. Claire n'en revenait pas, elle n'aurait jamais pensé qu'on pouvait faire des pénétrations si profondes. En plus, tout en la pénétrant, l'inconnu reprit ses caresses clitoridiennes. Claire prit son pied comme jamais et le fit savoir à grand renfort de cris et gémissements en tout genre.
Cela dura facilement 10 min, soit plus du double de ce qu'elle était habitué à avoir. Elle réalisa aussi que l'inconnu avait mit une capote, chose qu'elle n'avait même pas remarqué jusqu'à présent. L'inconnu se retira, puis se leva et se rhabilla. Claire était au septième ciel et réalisait à peine ce qui venait de lui arriver. L'inconnu sortit une nouvelle fois quelque chose de sa poche et à sa grande surprise, l'introduisit dans le vagin de Claire. Alors qu'elle allait lui demander ce qu'il faisait, l'?uf vibrant que venait de lui introduire l'inconnu se mit en activité. Cette merveilleuse soirée n'était donc pas encore finie ! Mais Claire était tout de même intriguée par quelque chose. Elle avait entendu l'inconnu fouiller et depuis quelques secondes, il ne bougeait plus mais semblait tout de même faire quelque chose. Il finit par poser l'objet qu'il avait en main sur la table et s'approcha de l'oreille de Claire pour lui murmurer :
- Je viens d'envoyer un message à ton copain avec ton portable, lui disant que tu en avais marre de bosser et voulais faire une pause. Il m'a répondu qu'il arrivait tout de suite. Tu sais quoi lui demander dorénavant. Bonne nuit.
Puis il éteignit la lumière et referma la porte derrière lui. Claire fut d'abord un peu paniquée. Elle était seule dans le noir, allongée sur son lit entièrement nue, yeux bandés, mains menottées aux barreaux avec un ?uf vibrant dans le vagin et encore toute retournée par ce qu'il venait de lui arriver. Réflexion faite, elle se dit que cela allait surement plaire à son copain. Elle n'aurait qu'à lui dire qu'elle s'est attachée toute seule et qu'elle attendait impatiemment qu'il vienne profiter d'elle. Et maintenant, elle savait exactement ce qu'elle voulait. La soirée n'est peut être pas finie pour Claire finalement...