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Proposée le 11/08/2007 par annedarobace
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Femme de port (3ème partie)
3) Partenaire particulière
Laurie est une fille délicieuse (dans toute l'acception du mot). On ne se connaît pas depuis très longtemps, mais elle m'a conquise en un rien ! C'est une fille de nuit grande et belle comme le jour, elle a un visage d'ange sur un corps de rêve, un tempérament de feu dans une peau de velours...
Heureusement pour moi, elle est "réglo" et ne travaille pas tous les soirs... sinon elle serait à ma place !
Nous nous sommes rencontrées par hasard, un soir, plutôt un matin très tôt, à la sortie du Paradisio.
Je pestais en français contre tous ces vélos enchevêtrés les uns aux autres, ne réussissant pas à récupérer le mien. Évidemment des "vacherie" et des "putain de saloperie de vélo de merde !" Au pays des tulipes vers 1h du matin çà ce remarque ! ... et Laurie m'a remarqué...
Gentiment elle m'a aidé, patiemment elle est parvenue jusqu'à ma bicyclette, jouant des chaînes et des guidons comme une vraie mécanicienne. De la pédale, elle devait en connaître un rayon...
Après, in french, on a... sympathisé ! Je l'ai découvert peu à peu. Elle m'a dit qu'elle venait de Bordeaux, qu'elle était tombée follement amoureuse d'un hollandais prétendument producteur de cinéma et qu'elle l'avait suivi pour faire carrière... Évidemment... la star ne fut qu'une étoile filante et dans ce 7e art comme pour le 7e ciel, les films ne demandaient pas une grande mémoire mais plutôt un physique à combler...
Oh, bien sûr, les films X lui plaisaient au début, cela lui permettait d'assouvir son appétit sexuel qui semblait insatiable, mais petit à petit elle voyait bien que le hollandais la délaissait et que cette vie promise ne serais jamais qu'un égarement, elle s'était fait berner comme bien d'autres avant elle: Gouda-goujat. En quittant son "Dave", elle avait réussi à décrocher un job dans une librairie française mais à mi-temps et les fins de mois étaient forts difficiles; c'est ainsi que je lui proposais d'entrer dans notre " troupe ".
Comme prévu sur le plan B (issue de secours dictée par la prod.), Laurie fait son entrée. Le client est immédiatement réactif ! Des sifflets admiratifs nous parviennent de la salle et même quelques applaudissements de la part des moins mielleux ou des plus excités !
Quelques jurons aussi de cette salle cosmopolite ...
L'auteur de la pièce devait être bien fatigué, il n'a pas jugé bon de préciser le rôle exact de Laurie, aussi notre metteur en scène a décrété qu'elle serait ma voisine-amie-confidente... et amante de Roger à l'occasion. L'occasion se présente :
Laurie entre dans la pièce et nous découvre - Roger et moi - en pleine activité. Elle bafouille un anglais approximatif :
"OH, well I see, uhm...may I have a ... "
Elle n'a pas fini sa phrase que Roger se retourne lui fourguant dans la bouche, l'objet pressenti de sa demande. Laurie ne se fait pas prier- elle n'est pas là pour çà - elle le suce avec délectation. Roger se met bien de profil que le public y puise pour son argent. C'est qu'elle aime çà la coquine ! Et elle sait y faire en plus, Roger ne me démentira pas. Elle s'est assise sur la table basse pour être un peu plus à l'aise, entraînant avec elle le pipeau délectable, de ce fait, je me retrouve " seule " à mater sa sucée, le cuir me colle, son vit la cale. Comme je ne peux pas rester passive ( !), je me lève pour m'occuper un peu de la nouvelle venue. Avec elle, c'est un véritable délice à chaque fois, c'est dans ces instants magiques que j'aime à jouer cette pièce... cet auteur a pensé a tout décidément...
A mon tour je m'assieds sur la table, derrière elle. Elle profite goulûment de notre cher Roger, pendant que je descends sa fermeture éclair. Notre public est subjugué et le gérant se frotte... les mains. Sa robe doucement s'écarte, découvrant sa poitrine aux yeux énamourés. Splendide ! pas d'autres mots pour ces seins magnifiques que j'empoigne avec bonheur, c'est du bon du beau du bonnet, du 95C probablement, je profite à pleine main de mon rôle de lesbienne et Dieu que j'aime çà !
J'essaye d'accompagner son mouvement de va et vient, je la caresse en cadence, je presse et je malaxe, je soutiens et je tire, je pince les tétons à chaque temps, pas besoin d'un métronome, ce n'est pas du tango, pas du ternaire malgré ce que l'on pourrait supposer, non, du bi, du binaire assurément, du fox-trot peut-être, du deux temps en trois mouvement, Mozart s'en accommoderait mais moi je m'y perd un peu ...
J'aperçois mon Roger qui commence à tirer... la langue, Laurie est "trop" douée pour notre ami, il va falloir refréner ses ardeurs. Un petit signe à Roger et il s'écarte un peu, me laissant basculer Laurie doucement sur la table. Elle se laisse faire, docile en cet instant - pas toujours -, dubitative quant à la suite de mon improvisation ...
Un instant, juste un instant, je suis toute seule avec Laurie. Roger n'est plus là, le public est parti et même mon quidam a disparu... je peux avoir Laurie pour moi ...
Je suis à genoux au dessus d'elle et je me penche pour l'embrasser. Elle se joue de moi et cela nous fait rire. A moitié dévêtue, comme elle est aguichante ! Elle gonfle ses poumons pour me montrer encore, elle me fixe, m'attire comme un aimant, elle passe sa langue sur ses lèvres, suce ses doigts et mouille mes mamelons, elle sait me faire languir, Putain que çà m'excite !
A ce petit jeu là elle gagne à chaque fois, en guise de récompense, elle dépose son sourire sur mes lèvres et je ferme les yeux, je garde tout pour moi, rien pour les autres, même s'ILS sont revenus, même si Rodjeur est là, en stand-by pour l'instant, même si le gars du premier rang s'accroche toujours à moi, même si... on était bien toutes les deux... m'aime si...
Roger s'impatiente un peu, sa queue faiblie et ce n'est pas bon pour sa réputation. Il retrousse la belle en un geste. Elle n'a pas de culotte et çà..., çà crée du mouvement dans la salle... c'est qu'elle est sacrément bien roulée notre Laurie... je vous avais prévenu !
Même Roger, marque un temps d'arrêt devant cette chatte béante, elle est rosée à point, mouillée à souhait et chaude comme il les aime, il déguste cette pénétration comme une gourmandise, il profite à baiser un canon de ce genre et il a bien raison. Laurie m'appelle du regard quand il s'enfonce en elle. Moi, je l'embrasse et la caresse, je l'envie et la rassure aussi, mon tour viendra, il me suffit d'attendre...
Roger s'emploie de bon cur à l'ouvrage. Son sexe d'un beau calibre disparaît entièrement dans ce merveilleux con, et ses boules dissymétriques viennent buter l'une après l'autre vers le centre de la belle.
Laurie a fait du cinéma et çà se voit. Dans l'improvisation, elle a naturellement pivoté pour offrir la meilleure prise... de vue... le meilleur angle possible. Le client est exigeant, ILS en veulent encore un peu plus, alors je me relève et vient soumettre ma croupe à la vue de Roger et au su du public. J'offre par-là même, mon minou et le reste à ma coéquipière. Laurie aussi est exigeante, elle en fait toujours plus : elle s'agrippe à mes fesses pour m'attirer vers elle, je vois ses yeux coquins qui me demandent encore et sa tête disparaît entre mes cuisses offertes. Je sens de suite sa langue me lécher.
J'aime. C'est un moment exquis et nous sommes tous aux anges. ILS matent comme des fous et se gavent de sexe à ne plus respirer, mon quidam n'en croit pas ses yeux, je le fixe intensément pendant que Laurie me suce à satiété, reste Roger qui lime ma copine en soufflant comme un baiseur de fond...
Roger l'empale sans ménagement, maintenant, il doit être tangent et le cercle qui l'entoure n'en mène pas large non plus. A l'apathie qui était sur le point de survenir quand je pipais Roger, a succédé une agitation générale qui me perturbe un peu. C'est moi la plus ancienne, c'est à moi d'assurer ! L'entrée de Laurie à déchaîner la foule, certes ! , mais il faut nous maîtriser. Je sens Roger au bord de l'explosion, alors je me retire de Laurie promptement, glissant sur sa poitrine je descends rapidement le long du corps de rêve. Je pousse ainsi Roger de son divin refuge, il ne m'en voudra pas, un petit peu sans doute de le frustrer au moment fatidique mais il sait que le métier doit passer avant tout, après ces mises en bouches et une entrée royale, la sauce n'est pas pour maintenant... je me réserve en plat de résistance... t'en fait pas Roger... tu ne sera pas privé de dessert pour autant...
Il se tient la bite à deux mains, Roger. C'est qu'il est bien monté le garçon et que baiser une miss comme Laurie n'est pas une sinécure, ce soir c'était limite éjac non contrôlée.
Roger ! " Faut que tu muscles ton jeu ! "
Pendant... pendant que Roger se reprend quelque peu, je m'atèle à la tache qui me va comme un gant !
J'ai piqué la place de notre ami entre les jambes de ma collègue, c'est vrai qu'elle est belle... quelle chatte ... quel délice... elle est toute à moi...
Je lui écarte encore un peu plus les jambes afin d'en faire profiter tout le monde, je lui caresse le ventre lentement en jetant un coup d'il vers la salle, c'est là que j'entends une voix... rassurez vous, pas la voix du bon Dieu (quoique), pas comme Jeanne la pucelle (non vraiment pas), non, plutôt une voix qui me semble reconnaître mais que je distingue à peine... ce Quidam peut-être ? ...
" Allez, bouffe lui un peu la nature ! "
En Français en tous cas !
A ces mots je ne sens plus ma joie, j'ouvre largement la bouche et vient m'imprégner de ses effluves intimes. Je tourne avec ma langue autours de son clito, je tourne avec mes doigts autour de chaque tétons, je m'enivre de ses odeurs âprement délicieuses, Laurie m'offre sans vergogne, cent surprises et sans peine... je mange son bouton d'amour, je l'aspire, le mordille, elle remue du bassin ... mes poignes sont des ventouses accrochées à ses seins, je la touche, elle me sent, je la sais, toute entière, je la suce, je la lèche, ses lèvres sont trempées, de nos humeurs diverses, laquelle est sa cyprine ?, laquelle est ma salive ?, son jus d'amour est bon, je me délecte de sa mouille, elle ondule de la croupe...
Je lâche un instant sa poitrine, ma langue veut aller plus loin, j'ouvre sa vulve à pleines mains et tire au cur de sa chair, mais le geste est difficile... mes doigts prennent la place de ma langue dans ce con trop profond, trop beau pour être vrai, si vrai que ma main en entier pourrait y disparaître...
Laurie a relevé la tète et je sens son regard. Elle veut voir elle aussi, tout ce qu'elle peut ressentir, son souffle devient court, le mien n'est plus du tout... je ne respire plus... je vis dans son bonheur, sa matrice est mon âme, son vagin est le mien !
Roger n'est pas en reste, il reprend du service en rusant quelque peu. Il délaisse sa verge pour mon cul qui se tend. Le sieur Roger peut profiter de " l'occaz ", mes trous sont à dispo, l'auteur l'a noté, quelque part ... euh ... page 3 ... la dernière je crois... (J'ai bien appris la pièce môa môssieur !) ...
Je sens d'abord une main qui s'insinue, qui cherche et qui me trouve. Je me penche encore un peu plus de façon à ce qu'ILS s'amusent aussi, la main de Roger sont les yeux de tous ces égarés, autant leur en donner... sa main se fait pressante, ses doigts m'infiltrent comme bon leur semblent, c'est bon ce qu'ILS voient, c'est bon ce qu'il me fait, il a le doigté, j'ai l'expérience, on peut les satisfaire...
Je continue à sucer ma Laurie, je ne veux pas arrêter, elle est vraiment trop bonne, mais je la sens aussi de plus en plus fébrile, trop chaude, sa peau me brûle, des flammes sortent de Laurie-fice et les pompiers c'était tout à l'heure, elle s'étiole, je fonds avec, Roger en profites, l'enculé ! , c'est ce qu'il a dans la tête, m'enculer, après çà, j'y pense et je me consume, y 'a t'il quelqu'un pour éteindre l'incendie ? Vaut mieux pas panser, ILS consomment !
Laurie n'en peut plus mais ! Elle explose en un gémissement qui fait frémir la salle, il y a des rires, il a des pleurs, chaque homme de ce cénacle a joui encore une fois, même par procuration, "mon" Quidam comme les autres, peut-être mieux encore, il a pensé si fort que j'ai senti son souffle, ses mots et ses remerciements, les mêmes que par procuration mais en plus personnel, la voix de tout à l'heure crie à mon intérieur...
" Quelle belles Salopes vous êtes ! J'aimerai vous avoir toutes deux dans mon lit et je vous retournerai, et je vous retournerai, et je vous retournerai..."
Le disque est rayé mais je vois ce qu'il veut dire, je sens ce qu'il veut faire, et à Laurie aussi, je sais ce qu'il veut croire... la voix intérieure se défoule, se déchaîne, se ... rend à l'Évidence...
" Je te ferai venir cette Laurie et toi
Ce sera à l'hôtel ou peut-être chez moi.
J'assisterai béat à votre gougnoutage
à vos amours lesbiens qui me mettront en nage,
et quand vous s'rez repus d'avoir eu ces émois,
de tant de bonnes choses qui ne serons de moi
je vous donn'rai les miennes à goûter en partage,
de celles qui nous donnent un si bel héritage.
Vous jouerez les suceuses, les putes de bon aloi,
je vous laisserai faire, vous f"rez feu de tous bois,
et quand je serai chaud, vous me verrez si sage,
qu'il vous viendra au fond comme un drôl' de présage
vous pos'rez la question " la première c'est bien moi ? "
Magnanime entre deux, je prendrai à la fois
la brune appétissante qui ne fait pas son âge
et la jeune à côté à la si belle image,
je limerai petite, ton cul et à la fois
je sucerai la chatte, de l'autre qui me noie
je vous mèn'rai toutes deux, vers d'autres paysages
où le plaisir n'est là que pour faire des ravages,
quand tout aura jailli, et quand Laurie jouira
à ton tour tu voudras, pénétrée comme çà
accueillir tous mes rêves à ton plus beau rivage
tu me diras encore ! J'en veux sur le visage ! "
Heureusement pour nous, l'auteur de la pièce n'est pas cette voix intérieure, ...
... l'alexandrin c'est bien pour prendre son pied ... mais pas nu comme un vers...
A SUIVRE ...
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