La maison de ma première débauche (deuxième partie)

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Proposée le 4/04/2011 par enerline

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Lire la première partie.


Je sentis ses mains huilées commençant à oeuvrer sur le haut de mon dos. Une odeur d'huile au chocolat envahissait maintenant mes narines. Pas de doute Era avait l'habitude, des gestes souples mais fermes à la fois, j'appréciais le début de ce massage et fermais les yeux. Pas de doute j'avais pris la bonne décision je crois que je vais passer un bon moment. Me détendant de plus en plus Era commença à descendre jusqu'au bas de mon dos, elle était devant moi debout ses jambes étaient nues mais je ne savais pas dans quelle tenue elle était. Puis je sentis qu'elle se penchait sur moi pour atteindre le bas de mon dos je sentais ses seins nues reposant sur le haut de mon dos j'appréciais sincèrement ce contact. Après m'avoir bien massé le dos elle commença à s'attaquer à mes cuisses et mollets. Cela faisait un bien fou, elle enveloppait de ses bras une à une mes jambes penchée sur moi la poitrine ballante sur chacune d'elle. Puis vinrent les pieds, elle me faisait des points de réflexologie dont un qui eu pour effet de me procurer une douce chaleur dans le bas ventre. Puis sans que je m'y attende elle commença à prendre un de mes orteils dans sa bouche délicate. Cette douce chaleur commençait à s'intensifier en moi.
- Tu aimes ?
- Beaucoup, répondis-je même avant que mon cerveau ne réagisse.
Je commençais à être un peu excitée avec tout ce mystère qui accompagnait cet acte. Je sentis qu'Era s'était placée sur mon côté droit, elle plaçait maintenant ses mains sur mes fesses. Elle commença à me les masser puis à me les caresser. Cette manoeuvre me détendait de partout, je flottais. Je sentis le souffle d'Era sur mes fesses. Elle les embrassait à présent hmmmm c'était doucement bon elle était délicate et ses lèvres très douces, je frissonnais. Maintenant elle entreprit de passer sa langue sur mes fesses tout en écartant légèrement mes jambes, pas de manière vulgaire non juste sans empressement. Elle glissa sa langue sous la ficelle de mon string et la passa tout le long du tissu de haut en bas sans toucher à mon anus. Je mouillais maintenant terriblement, elle devait le sentir. Puis elle se redressa revint près de ma tête et me glissa à l'oreille : Veux-tu continuer ? Si oui retourne toi.
Trop excitée maintenant je me retournais.
Era était contente de son coup elle avait le sourire. Toujours le haut de son visage caché par son masque je la découvris. Elle était nue, un corps parfait avec une taille fine des jambes de folie et une poitrine magnifique avec de beaux seins ronds je pense à un bonnet C, sa chatte était intégralement épilée comme la mienne. Cette femme était très désirable. Elle était à côté de la table toujours et se pencha sur mon cou, ses seins touchant les miens pour la première fois. Elle glissa sa langue tout doucement dans mon cou. C'est ce qu'il faut me faire si on veut me faire des cochonneries, puis s'approchant de ma bouche elle me déposa un baiser furtif puis revient pour un baiser cette fois langoureux. La vache cette fille était vraiment bonne. Mon désir montait crescendo. Je sentais qu'elle me dominait légèrement, c'est elle qui dictait les choses et je n'avais nullement l'envie de l'en dissuader. Je voulus me lever elle me fit comprendre que je devais rester sage. puis elle déposa un baiser sur ma chatte par dessus mon string elle me regarda et me dit :
- Veux-tu continuer ?
- Oh oui Era.
Elle me fit glisser le string le long des jambes et le retira, j'avais la chatte nue et bien mouillée devant elle. Elle m'écarta les jambes sur la table j'étais grande ouverte maintenant. Je la vis se pencher à nouveau sur moi en direction de ma chatte. Elle embrassa mon clitoris puis sa bouche s'entrouvrit et sa langue sortit. Ça y est elle me léchait, hmmmm toujours aussi délicate elle insistait sur mon petit bouton qui gonflait sous ses coups de langue. Je commençais légèrement à gémir cette fille était vraiment une experte sa langue dansait dans tous les sens me procurant de grands râles de plaisir. Je n'avais qu'une hâte la goûter à mon tour. Era se redressa et me demanda à nouveau "Veux-tu continuer l'expérience plus amplement cette fois de manière plus hard ?". Toujours dans l'affirmatif je m'attendais à ce qu'elle vienne sur moi pour que je puisse à mon tour passer ma langue sur elle et que l'on fasse l'amour comme des folles. Mais au lieu de ça Era m'apporta des enveloppes. Tires-en une au sort. Je l'ouvris et découvris le nombre 3 dessus. Era fit une moue jouissive. "Très bien, me dit-elle, je vais te remettre ton bandeau sur les yeux.". Cette fois-ci je n'avais plus de peignoir et je sentis que l'on allait vers une autre pièce. Elle me fit me mettre à genoux et m'attacha les bras dans le dos et me retira mon bandeau. J'étais dans une pièce avec une lumière tamisée un alignement de petit matelas par terre, et un petit coffre fermé. Era toujours nue me bascula en arrière de sorte que je fus couchée les bras dans le dos. Elle me chevaucha au niveau du visage ouvrit bien grand ses cuisses et m'étouffa de sa chatte, enfin je la goûtais, elle était sucrée très bonne. Ma langue parcourait son clito puis je sentais qu'elle me pressait bien la chatte sur le nez j'entrais ma langue dans sa chatte puis faisait des va-et-vient. D'un coup, elle se leva, me passa la main sur le clito s'assurant que j'étais trempée ce que j'étais et me dit "Tu veux toujours continuer ?". Cette fois sa voix avait légèrement changée avec un soupçon de défi. Je lui répondais que oui mais cette fois elle me répondit : Si à un moment ou un autre tu veux t'arrêter dis le moi. J'étais bi, faire l'amour à une femme ne me posait pas de problème bien au contraire je ne voyais pas ce qui me ferait arrêter. Puis elle se leva et se dirigea vers la porte. J'entendis Era dire : Ca y est elle est prête.
Era revenait vers moi la porte légèrement entrouverte derrière elle, elle me redressait me remettant en position à genoux. Puis je l'ai vu se diriger vers le petit coffre et l'a ouvert. Des bruits de pas me firent changer la tête de côté oubliant le coffre.