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Proposée le 2/04/2011 par lecoquin30
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Bonjour à tous,
Etant un fidèle lecteur de ce site, je prends à mon tour la plume pour vous faire partager mes différentes histoires, qui je l'espère vous plairont...
J'ai depuis longtemps une trés grande attirance pour les femmes plus agées, voici donc le récit d'une de ses aventures, celle-ci n'est pas la première, mais reste l'une des plus mémorables.
Nadège,
Ma mère tenait un café-tabac-presse qui marchait plutôt pas mal, et elle faisati souvent appel à ses copines, les plus jolies d'ailleurs pour l'aider.
L'une d'elles etait nadège, je la connaissais depuis mon enfance, ses filles étaient dans le même lycée que moi, je l'ai toujours trouvée extremement désirable, c'était un petit bout de femme menue, avec de petites fesses toutes rondes et de trés jolies seins.
Ce jour là, j'etais au coin tabac, elle s'occupait du service au comptoir, elle avait un petit chemisier blanc trés légérement transparent, mais il etait facile de distinguer un joli soutien-gorge bordeaux en dentelle entre les boutons, ce genre de détail me rend dingue, "j'en montre un peu mais pas trop".
Elle portait une petite jupe trés serrée et je pouvais tracer les contours de sa culotte rien qu'en la regardant, chance que n'avait pas les clients du bar, elle devait sentir que je la matait car elle ne cessait pas de regarder au dessus de son épaule pour voir si mes yeux etaient oui ou non rivés sur ses fesses, elle avait vite eu sa réponse quand je me pressai de détourner la tête vers mon kiosque.
Il était 14 heures quand ma mère arriva, ben oui c'est la patronne, c'est pas elle qui se tape l'ouverture du bar, elle amena comme à son habitude un MCdo pour moi et une salade pour Nadège, "Allez, prenez votre pause, je m'occuppe de la boutique", je sortais du bar avec ma "collègue" et nous nous rendîmes à l'étage pour déjeuner.
Dans le petit coin cuisine, le repas fut trés vite consommé, on avait une heure tout au plus pour nous reposer un peu, quand nous arrivâmes dans le salon, nadège sourit en voyant que le canapé-lit, celui ou je dors quand je bosse chez ma mère, n'etait pas replié...
- Excuse-moi nadège, je vais le replier de suite.
- Non c'est bon, ne t'embête pas et ça me fera du bien de m'allonger un peu aussi.
Et nous voilà tous les deux allongés dans le canapé à regarder la télé.
j'avais entre-temps enfiler un short et un t-shirt pour ne pas froisser mes fringues de service, Nadège avait bien fait attention à ne pas froisser sa petite jupe en s'allongant, mais à chaque mouvement, celle-ci remontait le long de ses cuisses, j'etait fou !!
- He ben on s'emmerde pas dites-moi !!
Ma mère venait de monter pour chercher des papiers, elle etait trés étonnée de la scène.
- Mais ne t'inquiètes pas ma chérie, je vais pas le manger ton fils adoré.
- Oui ben pas de bétises, je te connais, et c'est mon fils.
Comment ça, elle la connait ? Comment ça, c'est mon fils ?
Mon coeur se mit à battre à un tel rythme que j'ai cru qu'il allait exploser.
Quand nous entendîmes la porte du bar se refermer, nous reprimes le cours de notre visionnage, mais je ne pouvais m'empêcher de laisser trainer mes yeux sur ses cuisses de plus en plus découvertes
- Veux-tu te concentrer sur l'écran s'il te plait, me lança t'elle avec un petit ricanement moqueur
- P.. P.. Pardon, je le ferais plus, je suis désolé.
- Mais tu n'as pas à l'être je te taquine, tu as l'air tout intimidé, je te fais peur ?
- Non c'est pas ça...
- Ha bon ? Alors qu'est ce que je te fais, tu as l'air trés mal à l'aise.
- N.. Non c'est pas ça, mais...
Je n'ai pas eu le temps de terminer ma phrase qu'elle tira sur la couette pour découvrir mon short, tendu tel le chapiteau du cirque gruss
- Ha je comprends mieux, et dis moi, c'est moi ou la télé qui te met dans cet état ?
- Je sais pas, je suis désolé.
- Mais arrête de t'excuser, c'est plutôt flatteur qu'un beau jeune homme comme toi, regarde une vieille comme moi.
Tout en disant ça elle me déposa un petit bisou sur la joue, je en savais plus ou j'étais.
- Il nous reste plus beaucoup de temps avant de reprendre le service, et je te vois mal redescendre dans cet état devant ta mère.
- Je ne sais pas...
- Ne t'inquiète pas, tu as déja eu une copine sérieuse.
Je dus bien avouer que non, à part des petits calins, je n'avais jamais mis en pratique...
Elle commença à me carresser la verge à travers mon short, j'étais en transe, je ne pus m'empécher de gémir tellement cette sensation etait au dessus de ce que j'avais peut connaitre auparavant.
- Ne t'inquiètes pas, tu vas vite venir, c'est toujours comme ça les premières fois, mais à ton age, il faut peu de temps pour recharger l'arme.
Elle déboutonna son chemisier et m'offrit la vue de sa superbe poitrine, je distinguais sans aucun soucis ses mamelons à travers la fine dentelle, elle sortit mon sexe de mon boxer et commença à le branler, il ne fallut pas plus de temps pour me faire jouir, je n'avais jamais éjaculé autant et aussi fort.
- Ben dis-donc, te voilà tout poisseux.
Elle embrassa mon sex encore tout raid, comme pour le nettoyer, et me blottit ensuite dans ses bras, ma tête tout contre ses seins.
- Tu travailles toute la semaine ?
- O.. O.. Oui, balbutiai-je encore...
- Bien, on pourra encore se reposer ensemble et approfondir les choses, enfin si tu veux bien ?
- Mais maman ?
- Oh ne t'inquiètes pas pour ta mère, elle comprendra vite en te voyant descendre.
Je me rhabillais tant bien que mal, mon sexe avait retrouvé sa raideur initial, c'etait horrible, je décidais de laisser ma chemise par dessus mon pantalon pour camoufler un peu les choses, nous redescendîmes dans le bar, mais ma mère n'est pas née de la dernière pluie...
- Nadège, quand même !!! C'est mon fils.
- Ben quoi, je l'ai pas mangé ton fils, il est entier. ^^
Ma mère me prit à part et me demanda si tout allait bien.
- Ça va mon garçon ?
- Oui m'man.
- Enfin mon garçon, tu es un homme maintenant. ^^ Allez retourne au tabac, et s'il doit y avoir d'autres pauses-déjeuner de ce genre, il y a des préservatifs dans le tiroir du bas, ce n'est pas que pour les clients, d'accord ?
J'etais rouge de honte, ma mère rejoignit Nadège et les habitués du comptoir pour reprendre leur partie de 421, je ne pouvais m'enlever de la tête qu'ils parlaient de mon premier apprentissage.
A suivre...