Les chemins de Caprice

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Proposée le 31/03/2011 par Delagrangedelest

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Caprice se découvre

Mes parents m'ont donné un drôle de prénom, Caprice. J'ai souffert de cela durant toute ma tendre enfance, mais depuis mes 18 ans, tout va mieux. Fille unique d'une famille soudée et assez aisée, j'ai été couvée à en devenir timide. Heureusement, la pratique, tardive, du handball où j'ai rencontré des filles venant d'horizons différents, m'a permis de m'épanouir. L'ambiance de ce club de province était superbe et mes partenaires très naturelles. J'étais la plus jeune. Les autres avaient deux, voire quatre ans de plus et certaines étaient déjà mariées ou vivaient avec un quelqu'un. Moi je n'avais pas encore de petit copain, juste quelques amis avec lesquels j'avais à peine flirté. En rigolant, les filles me chambrèrent, lorsqu'elles apprirent que je n'avais pas encore couché avec un type.
Je me souviens des premières semaines et des fins d'entraînement, au moment de la douche. Me mettre nue, devant toutes les autres, m'angoissait. Et pourtant, il fallait bien que je me lave. Je prenais donc d'infinies précautions, ce qui intrigua ma voisine Virginie, une belle blonde de 23 ans, sans complexe. Se balader à poil dans le vestiaire, était facile, pour elle. Un soir, nue, les mains sur les hanches, elle se planta devant moi.
« Pourquoi as-tu peur de montrer ton corps ? Nous sommes toutes pareilles' »
« Je sais ! Je suis peut-être trop pudique. C'est idiot non ? »
« C'est sur ! Allez, lève-toi et retire cette serviette. Personne ne va te manger »
Et ce soir là, j'ai dévoilé entièrement mes courbes. Pire, j'ai pris ma douche avec Virginie et comme nous étions les dernières à quitter le gymnase, elle fut sublime. Elle insista pour me savonner le dos. Des épaules jusqu'à mes fesses, qu'elle trouva mignonnes, si bien qu'elle fureta dans ma raie. Bizarrement, je frissonnais. Elle me fit pivoter. Elle protesta lorsque je voulus continuer seule. Elle étala le gel douche sur mes petits seins fermes, insistant sur les pointes érigées, les massant longuement. J'avoue que j'appréciais ces caresses. Virginie, l'air sérieuse, s'attaqua à mon ventre, nettoya mon nombril, puis d'une main, emprisonna solidement mon sexe. Pour moi, elle allait trop loin, mais je me laissais faire. Ses doigts effleurèrent l'entrée de mon intimité.
« Tu veux ? Cela va te détendre? Tu te le fais parfois ? »
« Oui? Mais vas doucement? »
L'eau et le gel facilitèrent l'introduction des deux doigts dans ma fente. Elle commença un lent va-et-vient. Le pouce de sa main libre trouva rapidement mon clitoris et le titilla. Debout sous les jets de la douche, les cuisses ouvertes et m'accrochant à ses longs cheveux blonds pour ne pas tomber, j'ondulais de plaisir. Je poussais un petit gémissement au moment du contact de sa langue sur mon clitoris. Mon bas ventre était en feu. Savamment, elle explorait mon vagin de toute sa langue. Je tentais de retarder l'échéance le plus possible. Mais c'était trop fort. Un violent orgasme faillit me faire perdre l'équilibre.
Satisfaite, Virginie se releva et m'embrassa tendrement avant de me laisser seule, comme une idiote.