La fille de ma nourrice...

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Proposée le 30/03/2011 par Smash

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J'ai grandis dans une petite ville de l'Est de la France. Mes parents m'ont confié dès mon entrée en maternelle à une voisine et amie, c'est une personne formidable chez qui j'ai passé de belles années. Elle a une fille de cinq ans de moins que moi, soit 18 ans, que j'appellerai Mégane.

J'ai entretenu une relation de fraternité avec elle jusqu'à mon entrée au collège où nos chemins se sont séparés. Néanmoins, ces deux dernières années ont vu les retrouvailles entre nos familles se mutliplier. On se retrouvait fatalement seul avec Mégane, allongés à regarder la télé, l'alcool et les hormones entrainant rapidement le rapprochement des corps, des mains laissées négligemment, des caresses, parfois plus qu'on aurait voulu.

Des textes du style "C'est en buvant n'importe quoi qu'on baise avec n'importe qui." apparaissant sur son FaceBook me rappelaient, avec son corps de diablesse, que la Mégane à qui j'avais appris l'alphabet était partie depuis longtemps. Bien que d'une taille plutot petite, elle jouissait de jambes longues, parfaitement galbées et épilées, de fesses hautes et rebondies, d'un ventre et d'une silhouette sublimés par des années de gymnastique, d'une poitrine carrément insolente pour une fille de cet âge (je dirais bien 95C), d'un visage parfait, d'yeux clairs et de longs cheveux noisette.

Un jour Mégane, qui prenait des leçons de code mais préférait user des charmes mentionés ci-haut pour demander à des mecs de la conduire çà et là, m'écrivit pour me demander si j'aurai la gentillesse de la chercher au lycée le lendemain après-midi et la déposer chez elle. Certainement plus motivé par la possibilité de me retrouver seul avec elle que par le service amical, j'acceptai.

Le lendemain je l'attendis donc à la sortie du lycée et nous partimes pour mon ancien quartier. Nous parlâmes de sa journée, des profs (en en avait quelques uns en commun), mais aussi de son ex copain avec qui elle venait de rompre après avoir appris qu'il draguait une amie à elle. J'expliquai que ce genre de batards n'allait jamais loin et qu'il réaliserait plus tard l'ampleur de la connerie qu'il avait faite. C'est marrant de voir comme la flaterie rend certaines jeunettes accessibles.

Une fois arrivés chez elle, elle me proposa d'entrer boire un verre, c'était disait elle "la moindre des choses". J'acceptai avec plaisir et la suivais dans la cuisine en continuant de papoter. M'installant à la table, dos au mur, où j'avais pris tant de repas, je la regardais se dresser sur ses jambes pour chercher dans les meubles, profitant pleinement de son petit cul. Alors qu'elle posait les tasses devant la machine à café, je décidais de passer la vitesse supérieure.

Je me levais discrétement pour aller me poster derrière elle, baissant le volume de ma voix. Posant d'abord ma main droite sur sa hanche, je ne constatais aucune résistance. Me rapprochant encore un peu, je commençais à reniffler ses cheveux et son cou. Bientot j'étais plaqué contre elle, ma bite gonflée contre le bas de son dos ne laissant pas de doute quant à mes intentions, ma main groite caressant son ventre, la gauche pelotant allègrement sa poitrine, en embrassant ses joues et son cou.

Elle avait à peine tenté de me freiner, autant dire que la partie était gagnée. Alors que je commençais à empoinger ses seins pour jouer avec ses tétons durs, sa cage thoracique se soulevait de plus en plus vite. Elle était exitée. Après un moment de ce jeu la, je laissais descendre ma main droite vers son entre-jambes pour défaire sa ceinture et les boutons de son jean. Atteignant rapidement son clitoris, je la sentais se cabrer en gémissant, et s'appuyer encore contre ma queue. Je continuais donc à m'amuser en carressant son vagin déja humide, jusqu'à la faire tourner sur elle même pour l'embrasser. Nouveaux gémissements.

"Montre moi comment tu suces". Phrase directe mais elle exprimait ce que je voulais. Visiblement la fille n'avait pas l'habitube qu'on lui parle comme ça mais après deux secondes de réflexion elle se laissait tomber sur les genoux pour ouvrir ma braguette d'un geste impatient et déballer mon sexe qui n'en pouvait plus. De sa main gauche, elle maintenait le tout dégagé, la droite commença par le caresser avant qu'elle ne le prenne en bouche. Dieu c'était bon. Pour une fille de cette age c'était même très bon. Elle branlait la base de mon sexe et faisait des va-et-vient avec sa bouche le long du reste. Je savourais l'instant tout en me demandant ce que j'étais bien en train de foutre.

Décidemment c'était trop bon, je ne comptais plus perdre de temps. Commençant à lui caresser les cheveux pour l'encourager, je ne tardais plus à poser ma deuxième main sur sa tête pour lui baiser littéralement la gueule. Le plaisir montait vite, trop vite peut-être. Je sentais que j'étais sur le point de jouir mais je ne pouvais pas m'arrêter. Je me suis arrêté pour lui gicler dans la bouche. Oups.

Alors que les endorphines repartaient, je réalisais que je tenais la tête de Mégane entre mes mains et que mon sexe venait d'emplir sa bouche de mon sperme. Nos regards se sont croisés. Elle aavait un regard qui disait ENCORE. Sentant que je n'allais plus tarder à repartir, je décidais de continuer, en la prenant dans mes bras pour la porter jusque dans sa chambre, à l'étage. Là je la posais sur son lit, la débarrassais de son chemisier blanc, de son débardeur noir, et je la laissais s'occuper de son soutien-gorge pendant que je retirais ses chaussettes, son jean et son string. String que je décidais de garder dans la poche arrière de mon pantalon : Rituel fétichiste que j'ai commencé à développer quand j'étais moi même au lycée.

Puis j'ai sorti un préservatif de mon porte-feuille et je me suis débarassé du reste de mes fringes pour en faire un tas. Prenant les pieds de Mégane entre les mains, les caressant, je remontais lentement le long de des jambes en laissant ma sempiternelle barbe de trois jours les gratter aléatoirement. Une fois arrivé devant son vagin qui avait quelque peu dégonflé, je pouvais sentir son odeur de miel. Mon envie de la baiser décuplait. Bloquant ses cuisses contre mes joues je commençais à embrasser ses lèvres. Légèrement, puis avec plus d'insistance. De légers couinements de satisfaction se faisaient entendre.

Un peu plus tard je léchais sa motte en triturant son clitoris de la main gauche et en utilisant la droite pour la pénétrer et faire le tour de son anus. Ses couinements avaient été remplacés par de vrais cris, Mégane avait coincé ma tête dans ses cuisses pour mieux me sentir. Une vraie petite salope. Décidemment j'avais hâte de lui monter dessus et de la baiser...

D'ailleurs justement, mon dard était bien assez dur pour se remettre au boulot. J'enfilais ma capote en vitesse avant de revenir vers elle. Toujours ce regard qui en voulait, ce sourire plus que coquin... Avec le travail que j'avais accompli je n'eu aucun mal à pénétrer sa petite chatte. Elle poussa un grand cri, moi aussi je commençais à prendre mon pied. Il fallait croire que ces années de gymnastique avaient été profitables, elle était capables de caler ses genoux sur mes épaules pendant que je la pénétrais. Ses bras m'enlaçaient.

J'avais commencé à la prendre de façon saccadée et continuait sur ma lancée, en la fixant, en léchant et embrassant ses lèvres : D'ailleurs elle sentait le foutre qu'elle n'avait pas compltement avalé. J'étais enfin dedans, je sentais chacun de mes coups de queue au fond de son vagin, sentant ses parois bien étroites, tièdes et mouillées... Je continuais à la pilonner un moment avant de reculer, d'écarter ses cuisses et de la soulever en ralentissant le mouvement, de peur de gâcher ce moment en jouissant trop vite à nouveau.

Voulant changer de position mais n'aimant pas "être en dessous" depuis que mon pénis s'était fait plier quand j'avais 18 ans, je l'invitais à se coucher sur la ventre en la faisant rouler. La je m'assurais qu'elle gardait les jambes bien serrées et les coudes le long du corps avant de lui re-grimper dessus. Posant mes mains sur les siennes pour l'empêcher de bouger, je laissais mon sexe pénétrer doucement dans sa fente en l'écoutant crier plus fort que jamais. Un peu de surprise se faisait entendre, on ne l'avait jamais baisée comme ça et c'était tant mieux. Après un court instant j'étais à nouveau à haut régime, limant son organe en mordillant son cou, ses lobes d'oreilles, en les léchant, et en murmurant des cochonneries.

Je lui disais que c'était une vraie truie, ma truie, que ça faisait un moment que j'avais envie de la niquer et qu'on avait pas encore fini. Elle me répondait en gueulant, en gueulant sans arrêt. Elle haletait entre deux cris et me faisait mal aux oreilles. Pour la finir, je faisais passer ma main gauche sous ses seins pour les masser, et la main droite pincer son clito tout en la tringlant comme jamais. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps : Après une nouvelle série de hurlements crescendo, elle termina son concert avec un cri long mais de plus en plus faible...

N'en ayant pas encore tout à fait terminé avec elle, je la recouchais sur le ventre et lui roulais une pelle avant de me relever. Je fis le tour du lit pour présenter mon bite encore bien dure à sa bouche qui s'ouvrit sans protesation. Et c'est ainsi que je la finis en 69, jouant avec sa chatte en lui niquant la bouche et la gorge, parfois un peu trop fort : J'ai manqué de l'étrangler une ou deux fois...

Toujours est il que cette partie de baise est une de des si ce n'est LA plus phénoménale de mes 23 ans de vie. Merci Mégane, j'espère avoir l'occasion de t'apprendre de nouvelles choses bientot.