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Proposée le 30/03/2011 par Eros-Ion
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Carnet de Myriam : 27 mars
Il est 13h, Sophie est écroulée sur mon lit et je viens de me lever à l'instant. Je vais tâcher de retracer la soirée d'hier aussi fidèlement que je peux.
Arrivées dans le sex-shop, je commence à faire tourner Sophie dans les allées de sex toys, lingerie vulgaire, films et autres produits que l'on trouve dans ces supermarchés du sexe. Trois ou quatre couples regardent en gloussant différents ustensiles. Quelques hôtesses qui font les shows sexy à l'étage circulent dans le fond de la boutique. Le caissier est en train de lire sous le comptoir? Le Monde? Sans doute un étudiant qui a un petit boulot peu commun. Il a surtout l'air de se foutre totalement de tout ce qui se passe autour de lui.
J'attrape Sophie par un coude et m'approche de la caisse. Je lui susurre la suite de mon scénario à l'oreille. Sophie s'écarte de moi l'air effrayé. Je lui souris en agitant la petite manette du collier. Elle s'approche du vendeur.
« Bonjour monsieur, lui dit-elle déjà rouge de honte à l'idée de ce qu'elle doit faire, j'ai besoin d'un renseignement.
- Bien sûr, répond-il avec un sourire en levant les yeux de son journal et en voyant la très belle brune en face de lui. »
Sophie se tourne et relève le bas de son trench en montant ses coudes attachés, révélant ainsi son cul splendide et le plug qui y est toujours fiché.
« J'aimerais pouvoir passer à une taille au-dessus, que pourriez-vous me conseiller ? »
Dans l'alignement, je vois le visage de mon esclave tordue par la honte et le faciès médusé du vendeur. Sophie se redresse légèrement, laissant son manteau recouvrir son intimité. J'attends la réaction du vendeur mais elle tarde. Je décide donc de prendre les choses en mains.
« Mon esclave a besoin d'un plug plus gros et rapidement, interviens-je. Vous avez ça ?
- Bien' Bien-sûr, bredouille le caissier qui reprend ses esprits. Je vous montre ?
- Nous vous suivons, souris-je. »
Le petit vendeur se lève et prend une certaine assurance en nous guidant dans les rayons. Arrivés devant les jouets, il s'approche de moi sans même regarder Sophie et me dit :
« Je vais devoir voir le modèle déjà en place pour vous proposer quelque chose de bien. Cela ne vous ennuie pas ?
- Mais non, faites donc.
- Parfait. Au fait, moi c'est Etienne. »
Il passe derrière Sophie et appuie sur le bas de ses reins pour la forcer à se cambrer puis plonge sa main sous l'imper et tire d'un mouvement sec le plug. Sophie pousse un petit cri. Quelques personnes jettent un regard étonné vers nous pour mon plus grand plaisir.
« C'est vraiment pas énorme ça, pouffe Etienne en mettant le jouet dans la poche de Sophie.
- Elle n'est pourtant pas fragile. J'aimerais que ça la calme pour une heure avant la suite de la soirée.
- Je dois avoir ce qu'il faut. »
Etienne commence à parcourir les étalages alors que Sophie me regarde complètement interloquée. Il revient avec cinq emballages contenant de quoi poursuivre avec délectation la suite de l'aventure.
« Le premier, c'est un tout simple, il fait une fois et demi celui qu'elle portait. Le suivant fait la même taille mais est vibrant. Le troisième est un peu plus cher mais est en verre? ça plaît à certains mais surtout c'est plus lourd et elle le sentira mieux. Ce modèle là est une espèce de chapelet de perles. Le dernier est un « plug poney » avec le crin qui dépasse pour faire la queue
- C'est pas mal tout ça, dis-je en commençant à tripoter les différents jouets, puis m'adressant à Sophie. Tu en penses quoi toi ?
- Je? Je?
- Ca va aller dans ton cul, la coupe-je, tu dois bien avoir un avis, non ?
- Avec sa peau, intervient Etienne totalement remis de ses premières émotions, je dirais que le poney ou celui en verre seraient bien.
- Allons pour le poney puisqu'elle n'a pas d'avis. Elle peut l'enfiler dès maintenant ?
- Bien sûr, passons à la caisse et je vous emmène en cabine. »
Je prends le plug et me plante face à Sophie. J'attrape ses joues entre ma main et presse pour qu'elle ouvre la bouche puis lui glisse un coin de l'emballage dans la bouche.
« Pendant que je paie, tu le gardes bien précieusement ! »
Nous laissons Sophie au milieu du magasin avec le paquet du plug pendant à ses lèvres. Arrivée à la caisse, je règle et commence à planifier la suite avec un Etienne tout à fait charmant et ouvert à mes propositions. Après quelques instants, je retourne vers ma belle brune.
« Tu n'as sans doute pas envie de l'enfiler devant tout le magasin, lui demande-je en reprenant le jouet ?
- Non.
- Non, MAITRESSE?
- Non, Maîtresse.
- Bien, suis-moi, on va trouver un endroit calme. »
Comme convenu avec le caissier, je monte à l'étage avec Sophie. Nous croisons deux mecs qui sortent d'une séance de cinéma? Sans doute un chef d'?uvre du 7e art. Quelques entraineuses nous sourient alors que nous rejoignons la salle privée numéro 7. En poussant la porte, je suis assez surprise de ne pas rentrer dans une espèce de cloaque miteux : La pièce fait une quinzaine de mètres carrés, parquet brun, une estrade au centre, des canapés en sky blanc autour, un éclairage tamisé. Si l'ensemble ne laisse aucun doute sur le but de la pièce, c'est plus porno chic que vulgaire.
J'enlève le manteau de Sophie qui se retrouve complètement nue, perchée sur ses talons de douze centimètres. Je la pousse sur l'estrade et la force à se mettre à genoux. Je sens qu'elle n'oppose plus aucune résistance. En même temps, elle ne fait pas la viande froide. Elle a juste envie de jouer. Je lui détache les mains et la mets à quatre pattes, tête relevée, cul sorti et vais m'installer juste en face d'elle sur l'un des canapés.
« Maintenant, lui dis-je en attrapant une mignonette de vodka, tu vas pouvoir prendre ton pied et moi aussi. »
Au moment où je finis ma phrase, Etienne entre dans la pièce accompagné, comme prévu, de quatre filles du sex-shop vêtues simplement de sous-vêtements. Il s'installe à côté de moi et fais signe aux filles d'aller vers Sophie qui n'a même pas bougé un cil en voyant la troupe entrer.
Elles commencent à entourer et caresser le corps de l'esclave. L'une des filles se lève, récupère le plug puis ouvre un placard incrusté dans l'un des murs de la salle. Elle en sort un bric-à-brac que j'aperçois à peine tant je suis fascinée par Sophie dont le corps est couvert par les caresses et les baisers des trois filles. La première s'installe derrière Sophie et lui installe une barre d'écartement reliée aux chevilles puis la fixe à la base de l'estrade. Elle répète l'opération avec les poignets de la brune qui a du mal à cacher à la fois son excitation et sa crainte. Sans que je m'en rende compte, Etienne est délicatement en train de me caresser la cuisse. Je lui souris, lui saisis le poignet et lui fait tomber la main sur son entrejambe en susurrant : « Peut-être après' »
« C'est pas tous les jours qu'on peut jouer avec une pute comme ça, rit l'une des quatre filles.
- On peut faire ce qu'on veut, reprend une autre en me regardant.
- Aucune marque indélébile sinon, tout ce que vous voulez, dis-je avec autorité. Et laissez-en un peu pour la suite.
- Ca laisse de la marge, pouffe la troisième en caressant les cheveux de Sophie.
- Alors on peut commencer, s'écrie la dernière fille en claquant le cul de Sophie. »
Celle qui avait pris tout le matériel ? Ophélie de son nom de scène - se place derrière les cuisses écartées de Sophie et commence à appuyer sa main sur le sexe de la brune. Elle attrape le "plug-poney" qu'elle fait glisser dans la fente entrouverte de Sophie, lui arrachant un léger soupir. Lubrifié, le jouet commence à forcer le cul tendu de mon esclave. Elle commence à grimacer et vu le gabarit du sextoy, je peux la comprendre. Il s'enfonce d'un coup en elle, bloquant sa respiration pour un instant et laissant pendre de longs crins noirs entre ses cuisses ambrées. La plus grande blonde ?Sonia- enlève son string et tend son cul vers la bouche de Sophie.
« Tiens, rit-elle, il doit être aussi moelleux que tes lèvres ! »
Les quatre filles gloussent à cette blague vulgaire pendant que Sophie s'attèle à sa tache. Sa langue parcourt l'anus de l'entraineuse. Au bout de deux secondes, une autre fille lui enfonce la tête dans le fessier de Sonia.
« C'est pas de la porcelaine, crie-t-elle, va bien dedans ! »
Encore ces rires gras' Je dois avouer que voir Sophie se faire malmener par des filles aussi peu classieuses m'amuse au plus au point et elle n'a pas l'air de rechigner. La troisième fille ? Ange - glisse sous le buste de ma prisonnière et lui embrasse les seins, les mordille, les pince puis lui fixe des pinces à tétons qui arrachent à Sophie un cri de douleur étouffé par les globes fessiers dans lesquels elle commence à étouffer. La dernière fille ? Ivy - grimpe à califourchon sur le dos de Sophie et hurle :
« Je ferais bien un tour de poney ! »
Hilares, les trois autres s'écartent de Sophie et détachent les barres d'écartement. Ophélie lui passe une cravache. Un coup cinglant s'abat sur la croupe de la brune.
« Allez Cadichon, rit Ivy en refaisant claquer la cravache, avance vers ta maîtresse ! »
Sous le poids de sa cavalière et avec le plug qui lui écarte l'anus, Sophie avance doucement à quatre pattes, descend de la plateforme centrale et s'avance vers Etienne et moi. La cravache lui arrache un nouveau cri en s'abatant.
« Je suis sûre qu'elle ne serait pas contre un signe d'affection, reprend la cavalière. »
Un peu surprise, mais surtout amusée, je remonte ma jupe et écarte les cuisses. Etienne se lève et sans même me laisser le temps de protester, il retire ma culotte et la met dans sa poche. La cravache frappe à nouveau pour faire comprendre à Sophie qu'elle peut avancer.
Elle commence à faire courir sa langue sur mon sexe. Elle lève les yeux vers moi. En croisant son regard, je comprends : Elle est en train de prendre un pied monumental. Ange passe sous Sophie et commence à son tour à la lécher. Au moment du premier contact, Sophie pousse un court râle de plaisir puis enfonce sa langue en moi. Etienne m'embrasse. Je me laisse faire et commence à lui caresser la bosse qui marque de plus en plus son entrejambe. Il est définitivement très mignon et désirable. Entre deux baisers, je vois qu'Ophélie commence à jouer avec le plug de Sophie. Elle le sort doucement de son anus puis le fait rentrer avec ardeur. Ivy commence à se masturber sur le dos de sa monture en faisant claquer la cravache de temps à autre, provoquant un soubresaut dans le cunnilingus que me prodigue la belle. Sonia déboutonne le pantalon d'Etienne et commence à le sucer goulument alors qu'il me caresse la poitrine.
Ange devait vraiment savoir s'y prendre car à peine après cinq minutes de ce traitement, Sophie fut prise d'un violent orgasme qui m'empota également dans une espèce d'élan d'empathie. Les quatre call-girls s'écartent un peu en gloussant puis soulèvent Sophie qui reprend doucement son souffle. Elles la déposent sur la plateforme au centre de la pièce. Allongée sur le dos, le sexe vibrant et l'air groggy, Sophie est vraiment belle. Ophélie se pose au dessus de son visage, lui écarte les lèvres et lui glisse le plug en bouche. Sophie n'a même pas la force de refuser. Dans mon coin, je reprends aussi mes esprits et Etienne me tient maintenant par l'épaule en ayant cessé tout geste pouvant laisser envisager la scène qui vient de se dérouler.
« Normalement, commence-t-il, ce genre de prestation est vraiment très chère jeunes filles. Mais nous avons sûrement un moyen de nous entendre sur un marché.
- Bien entendu, lui réponds-je avec un sourire entendu. La petite chienne au centre sera ravie de s'acquitter de l'addition
- Très bien, alors allons-y. »
Je vois les seins de Sophie se soulever à mesure que sa respiration reprend un rythme normal. Ivy va déverrouiller la porte. Entrent alors trois hommes entre trente et quarante ans. Ils font le tour de la pièce en embrassant les quatre filles du sex-shop puis en serrant la main d'Etienne. J'ai même le droit à un salut très poli et respectueux des trois.
« Pour une fois que ce n'est pas nous qui allons l'avoir dans le cul, glapit Sonia »
Sa plaisanterie distinguée n'arrache même pas un sourire à nos trois mâles qui se déshabillent tranquillement. Pendant ce temps, Ange passe une serviette humide sur le corps de Sophie et lui retire le plug de la bouche. Elle lui dépose un baiser pour lui fermer les lèvres.
Les trois hommes sont maintenant nus et s'approchent de Sophie. Le premier plonge entre ses cuisses et commence à la lécher. Le sexe encore sensible et elle tente de serrer les jambes mais sa force ne suffit pas et les premiers coups de langues apaisent les chairs à vif. Le deuxième homme lui renverse la tête au bord du podium et glisse sa verge jusqu'au fond de la gorge de Sophie. Il commence à aller et venir dans sa bouche comme s'il était dans son sexe. Le dernier s'assoit sur Sophie pour lui caresser les seins en prenant la main de la brune pour qu'elle le masturbe. Le premier se relève et plonge son sexe dans la chatte largement ouverte. Sophie pour un léger grognement étouffé par la verge qui coulisse dans sa gorge.
Après cinq minutes à ce rythme, les trois hommes changent de position : du sexe à la bouche, de la main au sexe, de la bouche à la main' Sophie suffoque mais se prête au jeu. Cinq minutes passent à nouveau et les hommes la relèvent. L'un s'assoit sur le podium et tire Sophie dos vers lui et la force à se sodomiser sur son sexe dressé. Elle grogne de douleur alors que le deuxième membre du trio la prend par la chatte pendant que le dernier plonge à nouveau dans sa bouche.
Cinq minutes passent à nouveau et les trois hommes se relèvent, allongent Sophie sur la plateforme et éjaculent sur ses seins et son visages. Sans avoir prononcé une parole, ils se rhabillent, nous saluent et sortent.
Etienne se relève, me dépose un baiser sur la bouche et dit tout fort :
« Je pense que la note est réglée. Tu peux prendre ta pute et rentrer. N'oublie pas son plug, ça lui fera un souvenir. »
Il sort de la pièce, entouré des quatre filles qui gloussent méchamment.
Je relève Sophie qui semble dans un demi-coma, l'essuie avec la serviette, lui enfile son manteau et nous sortons de l'établissement et sautons dans un taxi. Arrivées à l'école, je porte Sophie dans ma chambre et la couche. Elle n'a pas décroché un mot. Au moment où je m'éloigne, elle m'attrape par le bras, me sourit et me tire à elle.