Belle et Moi (III) : Chapitre 3 : Les choses serieuses

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 29/03/2011 par JoeLami

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Il est conseillé de lire les chapitres précédents, à savoir le premier et le second.

Ça fait longtemps que je n'ai pas publié donc, pour votre mémoire, je m'appelle Pierre, au lycée, il y a une fille, Belle.

Belle c'est cette fille qui semble inaccessible, que l'on passe des heures à observer au lycée sans jamais oser l'aborder, cette fille là, son week-end, elle le passe avec moi... Et ce n'est pas pour réviser.

Elle m'emmena à sa chambre et nous nous allongeâmes sur son lit, enlacés, en se caressant. C'est sûr ce lit confortable que nous avons passé l'après-midi à discuter, nous avons appris à nous connaître, sa mère est médecin et son père chef d'entreprise, ils sont souvent en déplacement pour le travail et vu qu'elle n'a pas de frères et soeurs, elle passe beaucoup de temps seule dans cette grande maison. Nous restâmes allongés tout l'après-midi jusqu'à dix-neuf heures lorsque nous eûmes faim. En se relevant, elle redescendit le pan de sa robe que j'avais relevée pour mieux apprécier ces fesses délicieuses. On avala quelques restes à la va-vite et elle m'emmena dans le salon, proposant qu'on regarde un film.

Elle lança donc un film au hasard. Je m'assois sur le canapé et elle s'allongea, la tête sur mes genoux. Pendant le film, je cours sa silhouette du bout des doigts, elle est parcourue de frissons. Délicatement, elle guide ma main progressivement vers sa poitrine. Lentement, je pousse la bretelle de sa robe sur son épaule, ma main glisse sur sa peau sans aspérités en la caressant pour atteindre un de ses fruits. Sa main accompagnant mes mouvements, sans brusqueries. Pétrissant gentiment d'une main, je caressais ses doux cheveux de l'autre. Ensemble, nous pressions, tournions, malaxions sa poitrine. La pénombre et son contact contre ma cuisse eurent tôt fait de me rappeler le cours de sciences deux jours plus tôt. Sans que je ne puisse l'empêcher, mon pénis commença à gonfler sous les affres d'un afflux sanguin de plus en plus puissant. Naturellement, sa tête étant posée sur mes genoux, elle ne tarda pas à ressentir les effets de ma virilité fulgurante. Apparemment, elle fut agréablement surprise, elle se mit sur le ventre, appuyée sur ses coudes, elle entreprit de défaire ma braguette en me demandant si ça me ferait plaisir qu'elle me « soulage ». Bien-sûr, je n'allais pas refuser.

Elle était à quatre pattes sur le canapé, je fis glisser ma main sur son dos, le creux de ses reins, ses fesses. Je soulevai alors sa robe déjà si courte que ses fesses étaient à moitiés découvertes. J'embrassai son dos, ma main glissait maintenant entre ses cuisses, j'atteins son coquillage déjà humide. Je faisais comme dans la douche, mes doigts jouant, dansant, se plaisant à redécouvrir les bords d'une faille jamais pénétrée par autre que mes propres doigts, sauf peut-être par les siens, j'avoue que cette idée était plutôt excitante. Une fois assuré qu'elle était assez excitée, je fis pénétrer un de mes doigts dans ce puits délicat, elle gémit et se mit à accompagner mes mouvements par de langoureux balancements de hanches.

Tandis que je la stimulais, elle empoigna ma hampe et la mis en bouche sans réfléchir. Ses allées et venues me procuraient un bien fou, elle m'avalait si profondément qu'il lui arrivait de s'en écarter avec des râles, je lui chuchotai alors d'y aller moins fort si ça lui faisait mal mais elle continua. Elle ne faisait pas ça par masochisme mais, je pense plutôt qu'elle reliait ce va et vient à celui que j'effectuai en elle et que plus elle allait loin, plus son plaisir à elle était profond. Je fis alors en sorte de me renverser de façon à être allongé sous elle en 69.

Ma langue vint alors en contact avec son intimité au moment même où celle de ma partenaire vint au mien. Sentant avec quelle ardeur elle commençai à s'occuper de moi je fis de mon mieux pour la combler au même niveau, mais, plus cela allait plus j'avais de mal à me concentrer à mon oeuvre, je la sentais trembler sous la montée de son plaisir, ses jambes écartées face à mon visage m'offraient un spectacle d'une rare beauté, en bas, j'avais la sensation que mon pénis allait exploser. La tête me tournait. Ses mouvements devenaient frénétiques, une vraie furie, tandis que je perdais le contrôle de mon être sous ses soins. Je laissais ma tête retomber sur le canapé et inséra mes doigts dans son coquillage. Elle était tellement lubrifiée que je pouvais lui rentrer trois de mes doigts d'un seul coup. Tandis que j'entamais quelques massages à l'intérieur je prenais mon autre main pour s'occuper de son clitoris. Ce fut trop. Je jouis. Dans sa bouche qu'elle garda fermée sur ma verge tout en exerçant quelques va-et-vient avec sa main le temps que je finisse de me vider. Je faisais le meilleur de mes mains, je me débrouillais bien apparemment car elle ouvrit la bouche pour crier :

- Oui ! Ouiiii ! OUIIII !!! Hmmmm vas-y ! Continue Hmmmm !!

Ses jambes tremblaient comme si elle était prise de convulsions, comme si elle était au bord de l'explosion mais qu'elle n'y arrivait pas, elle accompagna alors mes mains avec une des siennes, ce fut un mouvement de trois mains sur un même vagin mouillé, excité, torturé par un plaisir débordant qui ne trouvait pas moyen de s'échapper de sa prison de désir. Elle s'infligeait à elle-même une si douce souffrance, une si agréable douleur, qu'elle fermait les yeux, la tête renversée en arrière, la bouche entrouverte d'où ne pouvais s'échapper que des gémissements « Hmmmm ! », son bassin commençait à se déhancher, elle se cambrait de façon à accueillir mes mains de la façon la plus confortable qui soit. Elle laissa enfin s'échapper une longue complainte :

- Hmmmmmmmm ! Oui !! Ouiiiiiiiiii !!

Je reçus un jet d'une puissance surprenante en pleine figure. Une courte mais abondante douche de sa... sa quoi au fait ? Peu importe. D'abord surpris, je trouvai ensuite agréable d'être imprégné à ce point de l'essence même de la preuve du plaisir ressenti. Après s'être assuré qu'elle ne mouillait plus, elle se lava et alla me chercher une serviette. Avant de m'essuyer, elle m'embrassa. Elle avait le regard hagard, comme si elle était en état de choc. Elle m'essuya attentivement. Nous avons ensuite repris une douche, chacun de son côté cette fois. Une fois ceci terminé, elle mit sa robe au sale et opta pour un T-shirt très court et très, très bien moulant que je ne l'avais jamais vu porter ainsi qu'une jupe ne laissant elle aussi pratiquement aucune place à l'imagination, on sentait qu'elle voulait absolument attirer mon regard de n'importe quelle façon, fût-ce même en se trémoussant devant moi, aguicheuse. Je jetais un regard sur le canapé et me demandais comment elle allait expliquer l'état de celui-ci à ses parents. Je la pris dans mes bras :

- Je n'en reviens pas.

- Tu sais, moi non plus, c'est comme si j'avais quitté mon corps l'espace de quelques secondes. Désolé quand même que tu en ais reçu dans la figure. Ca ne m'était encore jamais arrivé d'avoir fait ça, mais c'était... Magique.

- Ce n'est pas grave, j'ai même plutôt apprécié.

- Parfait alors.

Elle me susurra alors à l'oreille « J'ai mis ma plus belle lingerie ». Hmmmm, merci.

Il devait être vingt-et-une heures environ. Cette fois, nous avons lancé un film pour le regarder pour de bon. Je la serre contre moi, elle se blottit. Je sens sa douce odeur fruitée, nous regardons le film, enlacés, inséparables. Une fois le film terminé, elle se lève et, me prend par la main, m'entraîne vers l'escalier, nous le montons rapidement pour arriver dans un long couloir au long duquel se trouve sa chambre. Là elle me prend la bouche avec chaleur et passion et me guide vers sa chambre sans me lâcher.

Elle me retire mon haut rapidement et me pousse violemment sur le lit, folle de désir. Elle m'embrasse partout sur le haut du corps, elle défait ma ceinture et déboutonne ma braguette, je retire mes chaussettes et son T-shirt, les habits volent dans sa chambre. Je suis en caleçon, allongé sur le dos sur son lit, mon érection se fait puissante et impossible de la cacher, mais pourquoi faire ? Je sais bien comment ça va terminer mais, je suis stressé, je tremble intérieurement et mon coeur bat la chamade.

Elle est à quatre pattes aux dessus de moi, je suis à sa merci, elle me caresse, me léchouille, m'embrasse, fait vibrer tous les pores de ma peau par son simple contact, elle est si sensuelle... Mes poils se hérissent, elle danse, se cambre avec grâce telle une sirène dont le chant irrésistible serait la danse de son corps sculpturale contre le mien. Son odeur enivrante embaume l'air.

Mes doigts glissent le long de sa taille, remonte dans son dos, descendent dans le creux de ses reins, au bord de la raie de ses fesses, je dessine mes caresses le long de sa croupe parfaite, si c'était une oeuvre d'art, j'aurais été près à la payer à prix d'or, il était impossible de lui trouver une imperfection à mes yeux. Ses cheveux qui tombaient à la verticale contre mon visage forment un tunnel dans lequel nos regards se croisent, son sourire aguicheur me retourne. Je m'assois alors au bord du lit, elle agenouillée par terre, se tient droite tandis que j'observe son ventre doux et plat, son nombril délicat puis son soutien-gorge, une fine broderie noire sur un tulle rose et des attaches en tulle noir pour souligner ses seins, une fine rose et un noeud de satin pour embellir reliaient les deux bonnets, il était très pigeonnant pour dévoiler sa poitrine merveilleusement bien formée. Voulant lui défaire, elle m'arrête et m'intime de lui retirer sa jupe d'abord. Elle se met debout de dos face à moi, elle commence à la faire glisser lentement sur ses jambes élancées tout en se penchant en avant m'offrant ainsi une vue magnifique sur son fessier.

J'aperçois alors une fine bande de dentelle, puis le prolongement de celle-ci, une bande de tissus fin et satiné qui partait du bas de son dos et s'évanouissait entre ses fesses galbées, je la saisis alors par les hanches et la fait tourner sur elle-même pour qu'elle se trouve face à moi et l'observe, le string est légèrement transparent et l'on devine un délicat triangle de toison brune à travers, les finitions en dentelle sont sublimes. Je la saisis par les hanches et l'embrasse partout sur le ventre et même à la lisière de son string, sa main passe dans mes cheveux et sur mes épaules. Elle attire ma tête contre son bas-ventre que j'embrasse et lèche. Je la fais basculer sur le lit, cette fois c'est elle qui est allongée et moi qui maîtrise la situation.

Mes cinq sens sont en alerte, mes doigts palpent ses courbes enchanteresses, j'hume son odeur fleurie, embrasse sa délicate entrecuisse, l'entends gémir et chuchoter mon nom tandis que je la dévore des yeux. J'embrasse sa vulve à travers le tissu transparent de sa culotte, elle gémit. Belle dégage un érotisme fou. Elle me dit qu'elle ne veut pas de préliminaire, il est vrai que nous n'avons fait que cela en une journée. Je n'ai plus qu'une envie, me sentir en elle et qu'elle me sente en elle ; elle aussi apparemment car elle se tord sur place, forçant le contact entre son pubis et mon corps. Je remonte ensuite pour embrasser ses lèvres roses et accueillantes, puis, cérémonieusement, nous nous levons, face à face, les yeux dans les yeux.

Je défais son soutien-gorge et descend son string avec délicatesse le long de ses jambes, elle retire mon caleçon, nous sommes nus les bras le long du corps à regarder celui de l'autre, il y a comme une pause, le temps est suspendu, je remarque qu'elle a lancé de la musique douce. Je transpire et mon coeur bat à cent à l'heure, je lui souris, elle me rend ce sourire avec un regard coquin sous sa mèche de cheveux en bataille, ce regard torride me fait bouillir, je ne tiens plus. Je prends sa main doucement, je remarque qu'elle tremble légèrement, elle agrippe la mienne, je prends sa deuxième main et l'entraîne sous la couette, tout ceci se passe lentement sans que nos regards ne se détachent. Je lui promets que je ferais attention et elle me remercie, j'enfile un préservatif et nous appliquons du lubrifiant.

Nous sommes allongés, elle sous moi, Belle agrippe mon Chevalier et l'attire vers elle. Elle hésite un moment à se laisser pénétrer puis m'attire d'un coup. Je me sens m'introduire, visiteur opportun. Je sens brièvement l'hymen se déchirer et sa main lacère mon dos lorsqu'elle se crispe. La sensation pour moi est extrêmement agréable, c'est comme si mon épée avait trouvé un chaud fourreau pour calmer ses ardeurs. Mais mon plaisir est pour elle une douleur et conformément à ma promesse je m'arrête en la voyant fermé les yeux. Son visage est fermé, ses yeux clos, elle se mord la lèvre et fronce les sourcils, ses ongles sont profondément enfoncés dans ma chair meurtrie. Je décide de me retirer pour la soulager mais sans ouvrir ses yeux elle me retient de ses mains. J'attends alors une minute que son visage se relâche, que ça mâchoire se détende, que ses mains se décrispent. Une fois qu'elle ouvre les yeux elle me demande d'y aller très doucement.

Elle émet quelques gémissements de douleur lors des premiers mouvements, j'entame de délicats mais sensuels va-et-vient. Au bout de quelques minutes, elle commence à sourire, à prendre du plaisir, étant vidé, je mettrais du temps à venir et c'est temps mieux car il va falloir du temps avant que ça ne vienne pour elle. Je lui propose qu'on se retourne pour qu'elle puisse maîtriser la profondeur des pénétrations, ce qu'elle accepte. Je suis maintenant sur le dos, les mains sur ses hanches et les siennes sur mon torse. Elle se tient droite sur ma verge, telle Andromaque, ses tétons pointent fièrement, ses jambes écartées enlacent mes hanches. Notre mélange me procure une agréable sensation de chaleur, nous transpirons de désir. Elle commence par de légers mouvements et, au fur et à mesure, d'abord délicate, elle accélère, rejette sa tête en arrière, regarde le plafond, le cou tendu, ses seins sautent de plus en plus haut. Elle gémit calmement d'abord puis plus bruyamment ensuite, le gémissement ce transforme en râle chaud et sensuel, puis mon nom se dessine dans ces paroles confuses, je répète le sien. Je me redresse tandis qu'elle continue de me faire l'amour, je la renverse de façon à être au-dessus, elle enserre ma taille de ses mollets, nous mêlons nos coups de reins, de plus en plus sauvagement, sans pour autant lui faire mal, c'est important pour moi. Elle se cambre pour mieux s'offrir, elle ne murmure plus, elle crie, elle crie son plaisir et la douleur de cette première pénétration, elle crie mon nom aussi. Elle me crie de continuer. Les saignements sont moins abondants que je le croyais mais il y en a.

Notre plaisir se livre une guerre dans laquelle nous ne voulons pas laisser tomber les armes avant l'autre, nous pilonnons l'ennemi de coups de reins salvateurs afin de leur arracher un râle annonçant la fin d'un combat acharné. Après de longues mais délicieuses minutes de bataille épique nous rendons les armes au même moment dans une explosion de sons, de soupirs, d'odeurs, de sensations. Je me retire délicatement. Je m'allonge auprès d'elle, l'enlace, je plonge mon regard dans le siens et lui souris, elle me rend ce sourire et nous nous embrassons. Nous nous endormons, inséparables, ma main protectrice sur sa hanche, mon visage si proche du sien que je peux la sentir respirer.


Nous sommes désormais liés par le même souvenir de notre première fois, notre première bataille vaincue avant bien d'autres. Mêlés à jamais, premiers amants...




Belle dormait encore lorsque je me suis réveillé, elle s'était retournée et son dos était plaqué contre mon torse, je suis resté allongé à l'admirer, la caresser du bout des doigts pendant au moins une heure. Seul avec la belle Belle endormie, je rêvais encore de cette nuit passée avec celle, qu'il y a quelques jours encore, je n'aurais même pas espéré serrer dans mes bras.

A dix heures et demie, elle se réveilla, les yeux brillants d'une lueur douce, nous étions encore nus, à force du contact sensuel s'établissant entre nous mon chibre s'était tendu et frottait, s'épanouissant entre ses fesses à la lisière de ses cuisses refermées. Elle le sentit alors et l'empoigna, il était bandé comme un arc. Je fis glisser ma main sur sa poitrine, puis sur son ventre et l'introduisis entre ses cuisses, je n'eu aucun mal à forcer les barrières peu timide de son intimité. Nous nous mîmes à nous caresser doucement, érotiquement, nous ne cherchions pas à faire jouir l'autre, juste à donner une marque de reconnaissance pour cette nuit inoubliable qui nous liera secrètement. Nous continuons pendant une demie heure, nous nous embrassons, nous caressons, explorons nos corps de la tête au pied, emmitouflés dans la couette enroulée autour de nous. Mes bras l'enserrent, sa poitrine s'écrase contre la mienne, nos vêtements jonchent encore le sol. A onze heures cela fait vingt-quatre heures que je suis chez Belle et nous reprenons une douche ensemble, nous nous laissons masser par l'eau chaude sur nos corps juvéniles.

Après cela, nous sortons manger un sandwich dans la sandwicherie qui fait face à chez elle, nous nous promenons en marchant dans un parc fleuri près de chez elle, bras dessus bras dessous, nous sommes dimanche et nous sommes conscients que si quelqu'un du lycée s'y trouve aussi les rumeurs fuseront dès lundi s'il avait le malheur de nous apercevoir. Peu nous en importe, je crois que nous devenons amoureux. Nous passons une journée calme, nous ne voulons pas gâcher le souvenir de cette nuit. Nous parlons néanmoins des moyens de se retrouver sans que personne ne s'en rende compte, c'était une façon, selon elle, de ne pas faire de nous un couple « générique » et de rajouter un peu de piment dans notre relation.

Elle m'avoue sa passion pour les histoires érotiques, ce qui lui a apparemment permis de connaître tant de choses sans jamais les avoir pratiquées auparavant. Elle me dit qu'elle n'a jamais eu de petits amis, excepté un garçon en vacance qui lui avait volé un ou deux baisers après un tendre flirt le soir au bord d'une plage d'où elle garde un excellent souvenir. Cela m'étonne qu'elle n'ai pas fréquenté plus de personnes, elle est d'une beauté rare et nombreux sont les garçons que je connais qui fantasment sur son « petit cul » ou ses « sacrés nichons ». Belle m'avoue qu'elle a eu de nombreuses occasions, qu'énormément de garçons ainsi que des hommes plus vieux lui ont déjà fait des avances lors de soirées ou de sorties, même au lycée. Je me souviens de Julien qui avait voulu sortir avec elle et qui avait eu bien du mal à récupérer après son refus. Elle m'avoua qu'avec moi c'était différent, qu'elle sentait que je n'étais pas qu'un obsédé ou un « beauf' » qui ne pensait à ses fesses de façon grossière. Certes, notre relation était pratiquement à cent pour cent sexuelle mais elle voulait dire qu'elle sentait que je la respectais et que je savais apprécier l'acte et sa symbolique.

Je pars de chez Belle au milieu de l'après-midi. Je finis la journée à m'ennuyer seul dans ma chambre à ressasser tous les évènements de ce week-end. Malgré tous les souvenirs frais et torrides qu'elle m'a laissés, j'ai trop de respect pour me masturber en y pensant. Je pense maintenant au lendemain, à la semaine, au futur et me demande combien de temps notre histoire va tenir et ce qu'elle nous apportera.

Enfin, je me glisse dans mon lit, me rends compte que cette présence chaude et douce qu'elle dégageait me manque terriblement. Je m'endormirais seul et dans le froid ce soir?