Un recueillement peu spirituel

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Proposée le 26/03/2011 par eureka

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Un soir, m'ennuyant, je me suis inscrit sur un site de rencontres spécialisé dans la relation adultère. Après une petite demi-heure de prise en main, j'ai envoyé quelques coups de c'ur et lancé des chats avec des membres en ligne dont la proximité géographique pouvait être intéressante. Mes premières connexions étant peu optimistes, j'ai commencé à me lasser (foutue impatience !), jusqu'au jour où je suis tombé sur une fille qui prétendait avoir 25 ans et dont le pseudo, que j'ai partiellement oublié, faisait référence au Magicien d'Oz. Elle avait aussi posté deux photos, volontairement floues mais aussi pleines de promesses. En clair, elle me plaisait.
Assez rapidement, aussi vite du moins que le permettait la connexion internet, nous avons échangé nos attentes. Elle cherchait un couple pour un plan à trois mais comme je ne m'imaginais pas inviter ma femme à me voir coucher avec autrui, j'ai proposé, spontanément, histoire de ne pas mettre un terme prématuré à notre conversation, quelque chose qu'elle a jugé horriblement basique : Baiser dans un endroit insolite.
« Quel endroit, demanda t-elle, semblant s'être déjà fait tirer un peu partout ?
- Une église, par exemple.
Là, je venais de marquer un point. Elle fut tout de suite tentée, à la condition bien sûr, que je lui plaise physiquement, ce qui était la moindre des choses, convenons-en.
La suite est allée très vite. Nous nous sommes rencontrés un après-midi dans un café, avons discuté une petite heure. Elle était de taille moyenne, brune aux cheveux mi-longs, une poitrine épanouie et un cul superbe que je me suis permis de reluquer tandis qu'elle filait aux toilettes. Le courant a semblé passé correctement entre nous deux et nous avons convenus qu'il me revenait la charge d'organiser notre petit pèlerinage, en particulier de choisir l'église.
Trois semaines plus tard, je l'ai recontactée, déjà tout excité, sentiment que ma partenaire dont je ne savais finalement presque rien semblait partager. « Mercredi prochain, 15 h. Je te prends place Leclerc. »
J'avais choisi une église de campagne, moins fréquentée en journée que celle du centre ville. Dans la voiture, nous avons échangé quelques banalités, comme deux collègues allant au travail. Je me souviens seulement lui avoir demandé si elle portait une culotte. Elle s'est alors tortillée sur le siège passager, remontant sa robe par-dessus ses hanches, et elle m'a dévoilé une vulve, idéalement épilée qu'elle a commencé à caresser dans un grand rire chaleureux. Elle m'a aussi, coquine, avertie qu'elle avait prévu un kit de survie dans son sac à main : C'est-à-dire du gel lubrifiant dont le tube était à moitié vide ce qui suggérait un emploi peu modéré ; j'étais déjà tout excité.
L'église devant laquelle nous nous sommes garés, était un petit édifice charmant, dont la partie la plus ancienne, romane, datait du 12 ème siècle. Il y avait sur le linteau de l'entrée, la sculpture, relativement bien conservé, d'un christ entouré d'anges. La porte en bois était fort lourde et c'est de l'épaule que je dus la pousser. Sans nous toucher, ni parler, nous avons parcouru la nef d'un pas lent comme deux touristes en quête de savoir architectural ou de recueillement. L'endroit était vide et après avoir fait le tour du ch?ur pour m'en assurer, j'ai attiré ma compagne sur des chaises situées dans le transept, dos à l'orgue monumentale. De là, emplacement stratégique que j'avais pris soin de repérer, j'avais un oeil, sur les différentes entrées du bâtiment. Ainsi qu'une multitude d'idées lubriques bien éloignées de toute forme de spiritualité que je n'eus pas le temps de lui décrire, tellement sa poitrine se colla contre moi.
Elle a commencé à me branler, en me souriant joyeusement, très à l'aise. Puis elle s'est penchée vers ma queue qu'elle a entrepris de sucer avec une telle ardeur que j'en fus saisi de plaisir. Elle me suçait si bien, tout en me palpant les couilles que, malgré mes tentatives de retenue, je me suis répandu en elle très rapidement, comblé de bonheur. Elle est restée un long moment bouche refermée sur ma bite, déglutissant calmement ces quelques millilitres de foutre que je venais de cracher. Elle m'a léché le gland une dernière fois, appliquée et gourmande, y a posé un délicat baiser puis m'a regardé, partageant mon plaisir d'un large et gai sourire.
Après m'être reculotté, nous nous sommes levés, serrés fort l'un contre l'autre et nous sommes dirigés derrière l'autel, là où trois magnifiques vitraux, récemment restaurés, nous surplombaient de leurs éclats. J'ai posé ma main sur son dos puis, lentement je suis descendu jusqu'à ses fesses, que je trouvais depuis notre première rencontre particulièrement admirables. A travers, la fine épaisseur de sa robe, j'ai glissé mon doigt dans sa raie. J'ai senti les contours crispés de son jeune anus ainsi que la chaleur de son sexe, dégoulinant de désir. Glissés sous sa robe, mes doigts caressaient maintenant ses lèvres, gonflées et tièdes. Ils explorèrent son vagin et elle se cambra, presque sur la pointe des pieds. Placé derrière elle, je chahutais aussi son clitoris du bout de mon index et n'hésitais pas à l'occasion à lui enfoncer sans ménagement les deux phalanges de mon majeur dans son trou du cul. Mes doigts, libres et habiles, jouaient avec sa plus chaude intimité comme ceux du musicien courent sur les touches d'un piano. J'alternais les pénétrations, vaginales ou anales, et les caresses avec une rapidité qui ne lui laissait aucun répit. Ses yeux, encore dirigés vers les magnifiques ?uvres d'art nous contemplant, se fermèrent d'extase. Elle commença à pousser de petits cris entre ses lèvres pincées. La prenant par la taille, je la fit pivoter sur elle-même et la repoussa sur la rambarde de bois qui encerclait l'autel en marbre blanc. J'ai peloté ses seins d'une main, tout en sortant ma queue de l'autre. Je l'ai peloté avec fermeté, sans ménagement. J'ai senti ses tétons se durcir et je les ai pincés.
Ma bite, raide comme un pieu, s'est alors tendue vers sa chatte. Comme il était bien entendu impensable de baiser une inconnue sans précaution, j'ai rapidement sorti une capote. La suite ? Une pénétration brève mais intense. Un orgasme quasi simultané, d'une spontanéité étourdissante. Bien qu'ayant déjà éjaculé, je lui ai envoyé de larges et puissants coups de bassin qui la firent sursauter contre la rambarde. Le tout s'est conclu sur un formidable et indécent fou rire qui nous a poursuivi jusqu'à la voiture.
Sur le chemin du retour, nous étions particulièrement détendu. Nous écoutâmes de la musique et, entre deux propos, elle me fit remarquer, qu'il était dommage de n'avoir pu utiliser le lubrifiant qu'elle avait dans son sac. Sa remarque ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Aussi vite que possible, j'ai engagé ma voiture sur une route étroite et sinueuse et me suis garé à l'entrée d'un champ d'herbe bien verte. Mené par une idée fixe et tenace, je l'ai invitée à descendre, ce qu'elle a fait sans poser de question. Sur le sol, j'ai étendu une couverte qui traînait dans mon coffre et, un peu sèchement dois-je reconnaître, je lui ai ordonné de se mettre à 4 pattes. J'ai passé sa robe par-dessus ses hanches et j'ai admiré son cul. Son formidable cul. Je sentais monter en moi une folle excitation, une émotion surpuissante et incontrôlable. J'ai tartiné son anus de gel, enfonçant sans ménagement un puis deux doigts aussi loin que je pouvais. Je lâchais prise, n'y tenant plus. J'avais sous mes yeux déments son cul grand ouvert. Je ne voyais rien d'autre, je ne me souciais pas de ce qu'elle pouvait éprouver. Ma queue est sortie de mon pantalon, gonflée de hargne. J'ai déroulé un préservatif puis j'ai approché mon gland de son trou parfaitement lubrifié que j'ai perforé à grands coups de bassin. Je suis entré en elle avec une détermination furieuse, dents serrées. Elle s'est raidie de douleur, pourtant, au lieu de ressortir pour la ménager, j'ai continué de la limer aussi fort que possible, glissant dans son trou du cul avec une facilité incroyable. Elle s'est cambrée un peu plus, le bas de son dos dessinant une courbe magnifique. Elle a poussé quelques cris, ses mains se sont crispées sur la couverture, mais, n'écoutant que ma pulsion et mon insatiable appétit, je n'y ai pas prêté attention. Ma queue bien coincée entre les deux fesses, j'ai enchaîné les va-et-vient en la tenant par la taille. J'étais rugueux et violent, sans doute un peu terrifiant. Je l'enculais comme jamais je n'avais enculé quelqu'un auparavant. Et lorsque j'ai joui, je me suis trouvé odieux.
Pendant quelques secondes, le silence s'est abattu entre nous. Je suis resté là, la queue encore bien raide, plantée dans son cul. Je me suis retiré plus sagement que je m'y étais introduit ; j'appréhendais sa réaction. Elle s'est alors retournée, éprouvée mais souriante. Je ne suis pas sûr qu'elle était prête à remettre ça aussitôt, et d'ailleurs ne me suis-je pas risqué à le lui proposer. Elle m'a embrassé tout en me caressant la queue puis nous sommes repartis.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, nous ne nous sommes jamais revus. Je la croisais parfois sur le site de notre première rencontre, sans oser, ou désirer, la contacter. Aujourd'hui, poursuit-elle peut-être la visite des églises de la région ?