Histoire d'une rencontre ordinaire qui se transforme en saynette excitante

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Proposée le 24/03/2011 par sansen

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Je l'avais rencontrée lors d'un cocktail. Habillée de façon élégante mais plutôt sobre. Pantalon et veste sombres, bien coupés mais ne moulant pas particulièrement. Cheveux courts, blonds mais laissant apparaître des reflets blancs. La cinquantaine bien conservée avec un visage naturellement sérieux mais sachant sourire. Elle s'était intéressé à mon dernier livre, pourtant sur un sujet économique sévère. Elle me demanda si j'avais commis d'autres ouvrages. Je répondis que oui. Alors elle me demanda si je rédigerais pour elle quelques récits de son dernier voyage en Chine où paraît-il elle avait vécu quelques évènements récents. Je lui répondis que cela pouvait m'intéresser. Nous prîmes rendez-vous et elle me proposa d'aller chez elle où elle disposait de tous les documents.
Elle me reçut dans sa salle de séjour. Une table de verre, un canapé et deux fauteuils marquaient un goût de simplicité mais avec une recherche qui ne voulait pas trop apparaître. Au mur, quelques toiles d'avant garde, mais pas trop provocatrices. Au fond un piano qui semblait utilisé. Bref un appartement qui était en accord avec la dame.
Elle s'assit fort sagement dans un des fauteuils. Son habillement était proche de celui du cocktail. Elle n'avait fait que changer de pantalon et de veste. Je ne pus que remarquer en moi-même que je ne pouvais réellement pas me faire une idée de la beauté de ses jambes ou de sa poitrine. Mais je n'étais pas venu pour cela. Je m'intéressait vraiment à la Chine et une expérience récente n'était pas à négliger.
Elle commença par une réception à la Mairie de Shangai. J'y avais été reçu moi-même et je reconnus des traits exacts. Brusquement, je me rendis compte qu'elle mentionnait la rencontre avec un diplomate allemand et qu'elle ajoutait que celui-ci l'avait entraînée dans sa chambre d'hôtel. Je fus surpris quand elle commença à décrire la façon dont l'homme se serrait contre elle et commençait à lui caresser les seins. Elle s'arrêta et ajouta: "Je me sentais fondre...".
Mais je fus stupéfait quand elle me regarda fixement et me dit : "Je comprendrais si dans la suite de mon récit, vous vous sentiez excité. Ce serait normal. Vous pouvez vous masturber. Je ne serais pas choquée."
Je ne savais que penser. Nous n'avions, ni l'un ni l'autre, esquissé la moindre avance. Elle était là, devant moi, les genoux serrés et l'air sérieux. Pour ajouter à la scène elle se chaussa de lunettes à écailles qui lui donnait un air professoral.
Je décidais de faire le sourd et de continuer à prendre en note son récit avec le même air indifférent et sérieux qu'elle.
Elle commença du même ton calme à décrire sa rencontre amoureuse avec l'allemand et commença à raconter la fellation qu'elle lui fit. A vrai dire, elle n'alla pas très loin dans la description car elle s'arrêta, me regarda une nouvelle fois brusquement, cette fois-ci par dessus ses lunettes et me dit : " Je comprends que cela vous trouble. N'hésitez pas à vous masturber si votre envie est forte. Voici des kleenex pour que vous ne craigniez pas de salir mon divan."
Cette fois-ci j'avais compris. Les fantasmes, tout le monde en a et je distinguais celui de la dame. Je n'étais pas particulièrement exhibitionniste, mais la situation me plaisait et j'allais satisfaire son fantasme. "Vous avez raison, lui-dis-je. Je ne tiens plus. Votre récit m'excite au plus haut point."
Je me levais et enlevais posément mon pantalon. Elle ne me quittait pas des yeux, mais sans montrer un intérêt remarquable. Alors, j'enlevais mon slip et détectais un certain tremblement dans ses mains. Ses yeux fixaient mon bas-ventre alors que mon pénis se dressait à vue d'oeil.
J'écartais les jambes pour qu'elle ne perde rien du spectacle, ce qui était le cas, car j'étais à moins de deux mètres d'elle. Mon tee-shirt s'arrêtant à mon nombril, le paysage était imprenable. J'ai toujours eu un léger phimosis, aussi je pris le temps de décalotter lentement le gland. Je notais que son expression se figeait, mais elle ne cachait pas son intérêt : Elle fixait mon pénis et mes testicules.
Je commençais à me masturber posément, puis de plus en plus fort. Je la vis alors passer sa main gauche dans son pantalon. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait, mais j'imaginais qu'elle se caressait le clitoris. Elle commença à respirer plus fort, moi aussi d'ailleurs. Tout cela était nouveau pour moi et cela m'excitait beaucoup. Je fus surpris par mon orgasme et un jet de sperme gicla. Je n'eus pas le temps d'attraper le kleenex car elle m'avait précédé. Elle avait saisi mon pénis de la main droite. Elle frottais ses doigts entre eux et mon membre aussi. Sa mais dégoulinait de sperme. Là-dessus elle jouit en un seul cri.
Elle m'essuya posément avec le kleenex. Je remis mon slip et mon pantalon. Elle me servit un café sans faire allusion à nos ébats. Puis elle me dit: "Nous avons bien travaillé aujourd'hui. Pouvons-nous continuer un jour prochain ?"
Je revins plusieurs fois. La troisième ou quatrième, lassé, j'interrompis le processus. Un fois pantalon et slip baissés, je l'attrapais par la taille, lui enlevais ses vêtements. Une fois nue, je la retournais et la pénétrais sans façon en levrette. Elle se laissa faire, puis me dit : "Les hommes, vous êtes tous pareils. Il faut que vous tiriez votre coup". Et elle ajouta : "Reprenons mon récit. J'espère que vous avez encore suffisamment de réserves pour mon fantasme."