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Proposée le 21/03/2011 par carol la grande
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C'était une de ces interminables soirées où je suis seule avec mes enfants.
Une fois tout le monde couché, je peux enfin savourer ce moment de solitude.
Il me prend alors très souvent une envie irrésistible de le contacter.
En général, je m'installe confortablement dans mon lit, le téléphone à la main.
Le premier message est toujours sobre.
Il est marié.
Moi aussi.
Mais ce soir, je sais qu'il est seul dans sa chambre d'hôtel.
Une puissante détermination s'empare de moi. Je le veux, il doit m'appartenir, je veux le faire jouir.
Je veux être sa maîtresse.
Alors j'envoie mon message.
Elle : Qu'est ce que tu fais ce soir ? Moi, je suis seule
Lui : Je viens d'aller courir. J'ai froid, je vais prendre un bain. Et toi ?
Elle : Je suis couchée, je suis seule toute la nuit. Il ne rentrera que demain.
Lui : Ca y est je suis dans mon bain. Ca réchauffe.
Elle : Tu me fais une place ?
Lui : Et tu t'occuperas de moi ?
Elle : Avec plaisir. Que veux-tu ?
Lui : Donne moi chaud.
Elle : Plante le décor et je m'occupe du reste.
Un hôtel, au bord de la mer. Attends, je quitte mon bain et je m'installe au chaud sous la couette.
C'est un soir d'été, j'arrive dans un hall d'hôtel inconnu. J'annonce le numéro de la chambre au groom qui me répond en désignant un ascenseur : « Votre mari vous attend. 3e étage, chambre 325. ». Il m'a pris pour ton épouse ! Je prends l'ascenseur. Je m'observe dans le miroir : J'ai choisi ma robe bordeaux qui se noue derrière le cou. Elle est courte et près du corps. Pas de culotte en dessous.
Lorsque j'arrive devant la porte, elle est entrouverte. Pas de lumière à l'intérieur. C'est à ce moment que la minuterie d'éclairage du couloir se coupe. Alors, à tâtons, je tente de trouver l'interrupteur en glissant mon bras par la porte entrouverte.
A ce moment tu me dis : "Entre, tout droit. Non, n'allume pas. Approche."
Prudemment, je fais quelques pas vers toi. Je me heurte au pied du lit. "Viens. Voilà. Ne bouge plus."
Tu as fermé la porte.
Mes yeux se sont habitués à la pénombre. La lumière d'un lampadaire timide, parvient à éclairer péniblement par la fenêtre dont les volets ne sont pas fermés.
Je sens ta présence tout près de moi. Ton souffle, dans mon cou, me fait frissonner. Ta main, à tâtons, a trouvé la peau de mon bras. A présent, elle remonte vers mon épaule. Du bout des doigts tu me caresses et je frissonne.
A présent, tu promènes tes doigts sur mon décolleté. Le désir monte en moi.
De tes deux mains, tu dénoues ma robe qui glisse sur mes hanches et tombe à mes pieds. Tu ne le sais pas encore mais je suis entièrement nue.
Tes mains attrapent mes seins et jouent avec leurs bouts qui se dressent fièrement. Cette caresse m'arrache un gémissement. Je me cambre pour venir à ton contact.
Tu m'attrapes par les fesses et me plaque contre toi. Tu peux sentir à présent ma nudité. Puis tu t'accroupies. Ta bouche est maintenant devant mon clitoris et, de ta langue experte, tu commences à le caresser.
De mes mains, je fouille nerveusement tes cheveux, plaquant ton visage contre mon sexe. J'en veux plus. Mets moi ta langue, viens profondément en moi. Viens goûter mon jus, vois comme je suis humide !
Mais non, tu te redresses, et, sans que je m'y atttende, tu me pousses brutalement.
Je tombe sur le lit, juste derrière. Je te regarde en écartant largement les jambes. Je veux que tu poursuives tes caresses. Tu sembles me comprendre puisque ta bouche se retrouve à nouveau sur mon sexe.
Tu commences d'abord par lécher légèrement mes lèvres, faisant le tour de mon orifice. Puis de ta bouche, tu aspires mon clitoris. Je sens le plaisir qui monte en moi. J'ai envie que tu me prennes.
Tu entres deux doigts en moi, écartant mes muqueuses chaudes et humides et tu commences un mouvement de va et viens, de plus en plus profond.
J'aime que tu entres profondément en moi et que tu m'écartèles.
Un troisième, puis un quatrième doigt rejoignent les deux autres. Mon sexe est maintenant très dilaté. Je dégouline.
Ta bouche n'a pas quitté mon bourgeon, maintenant tuméfié et hyper sensible.
Tu l'aspires au même rythme que tu fais aller et venir tes doigts dans ma chatte. C'est bon !
J'ai envie de te rendre un peu du plaisir que tu me donnes. Alors je me retourne dans un mouvement de 69, afin que tu puisses poursuivre tes caresses.
Je te prends en bouche. D'abord, juste le gland sur lequel je passe délicatement ma langue. Puis je l'aspire, je le mordille.
Enfin, ma bouche coulisse sur ta bite. Un court instant, tu es obligé de stopper tes caresses, gagné par le plaisir que je te donne. Tu grognes ton contentement et reprends de plus belle tes coups de doigts en moi qui deviennent plus violents à mesure que je te suce.
Je sens que ta langue s'aventure vers me petit trou.
Je sais comme mes fesses t'obnubilent !
Tu tentes de la faire pénétrer et je trouve ça doux.
Puis, quand je suis bien humide, tu essayes d'y faire pénétrer un doigt, tout doucement. Cette nouvelle caresse m'arrache quelques gémissements de plaisir.
J'en veux plus !
Ton doigt coulisse maintenant parfaitement dans mon anus. Il va et il vient au même rythme que ceux que tu as laissés dans ma chatte.
Je sens que je vais jouir.
Tu choisis ce moment pour mettre un deuxième doigt dans mon cul. Il entre facilement. Il est alors immédiatement suivi d'un troisième.
Je me sens pleine, écartelée, prise par tous mes trous.
Le plaisir est immense, je me trémousse au même rythme que tes doigts.
L'orgasme arrive, violent, du fond de mon ventre jusqu'à la racine de mes cheveux.
Pendant un instant, je suis sans force, anéanti par ce raz de marée de jouissance.
Je reprends mes esprits et t'entends me demander de me mettre à quatre pattes.
Je m'installe la croupe en l'air, au bord du lit.
Tu vas m'enculer, je le sais, et j'aime ça.
Je sens déjà ton gland qui force l'entrée de mon anus.
Il passe la barrière de mes muscles. Tu t'immobilises, le temps que je m'habitue.
Puis tu poursuis ta pénétration, centimètre par centimètre.
C'est douloureux et agréable à la fois.
Tu es maintenant complètement en moi et tu commences à faire de petits va-et-vient.
Je m'habitue au diamètre de ta queue qui coulisse dans mon cul. Que c'est bon !
Tes coups de rein deviennent de plus en plus violents, tes couilles viennent frapper mes lèvres. J'aime ça !
Je te veux plus profondément en moi, viens, viens encore ! Entre plus profondément. Vas-y, défonce moi !
Je crie, tu grognes, je jouis si fort !
Tu te retires et éjacules sur mon dos, ta bite posée entre mes fesses.
Puis je me retourne et je lèche ta queue, recouverte de nos sécrétions mêlées, jusqu'à ce qu'elle soit entièrement propre. Elle a le goût de ma mouille et celui, amer, de ton sperme.
- Ca t'a plu ?
- Oui. Je viens te tâcher les draps. Et le mur derrière.
- Tant mieux. C'est ce que je voulais. Bonne nuit. Je suis sûre que tu vas bien dormir, maintenant.
- J'en suis sur. Bonne nuit.
J'éteins la lumière, posant ma main sur mon entrejambe humide.
Il ne me faut que quelques caresses pour avoir, à mon tour, un formidable orgasme.