La table bougeait dangereusement !

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Proposée le 18/03/2011 par Rayondesoleil11

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- J'ai envie de toi?
- Moi aussi, mais je veux attendre encore !
Alors que l'eau chaude nous enveloppait, je caressais doucement son sexe tendu comme rarement. Semblant demander l'extase en tendant son gland au maximum. Le lui refusant pour le moment, je lui donnais néanmoins quelques plaisirs non négligeables. Et tout en embrassant mon homme, j'infligeais à son sexe de doux va-et-vient. Puis mes baisers dérivèrent sur son cou, son torse, son ventre, l'aine, et enfin, le gland. Il avait fermé les yeux et soupira à ce contact. Je donnais des petits coups de langue rapides sur le frein et autour du gland. Je le léchais, le suçais, l'embrassais. Puis l'engloutis au plus profond de ma bouche, amenant le gland jusqu'à toucher ma gorge, puis je revenais le long de sa hampe et faisant glisser son gland contre mon palais et ma langue, puis je faisais tournoyer ma langue autour de ce dernier. Il soupirait, grimaçait de plaisir?

- Manon, arrête je vais venir !

Il était d'accord avec moi sur le fait qu'on devait attendre encore et encore? Garder le meilleur pour la fin. Nous avions toute la soirée, et si nous faisions l'amour maintenant, le reste de la soirée serait fade. Tandis que là, le désir poussé à son paroxysme nous emmènerait à des caresses osées, des regards, de l'envie pour toute la soirée jusqu'au nirvana !
Je remontais le long de son torse, et l'embrassais langoureusement, mêlant ma langue à la sienne, engendrant une danse sensuelle et érotique, accélérant ou ralentissant les mouvements de cette dernière contre sa langue. Quelques gémissements m'échappaient de temps en temps, alors qu'il avait glissé sa main le long de mon ventre et sur mon sexe pour agacer mon clitoris déjà gonflé de désir et humide de cyprine. Puis il glissa deux doigts dans mon intérieur et les fit jouer à l'intérieur, agitant de haut en bas le bout des doigts, appuyant ainsi sur mon point G. Mon souffle était court et bruyant. J'avais arrêté de l'embrasser et avais posé ma tête sur son épaule, ma bouche contre son oreille. Ce qui avait pour effet de lui transmettre en direct tous mes moindres soupirs, et donc de lui montrer le plaisir qu'il me donnait. Lui aussi était très excité par les caresses qu'il me procurait?


Plus tard, nous étions sortis du bain, après s'être bien excité, et nous étions à la fin du repas. Il était 22h15, mes parents devaient revenir vers 22H30. Je me levais et débarrassais la table, il m'aida, et très vite, il éteignit la lumière, alluma une bougie et me saisit presque violement. Me plaqua contre le mur et m'embrassa tout en déboutonnant mon jean. Moi j'enlevais son tee-shirt. Puis il fit glisser mon jean le long de mes cuisses et découvrit le haut de mes bas. Bas que j'avais mis sans qu'il le sache, je sais qu'il adore ça. Il eu une exclamation d'admiration et un sourire radieux en ma direction, je le regardais faire. Il finit par m'enlever ce foutu jean et je me retrouvais en string et bas noirs. Il remonta vite et enleva mon tee-shirt puis, embrassant mes seins, mon cou, et moi faisant sauter un a un ces fichus boutons sur son jean, il défit l'attache de mon soutiens gorge avec dextérité, et l'arracha presque. Et moi, l'envie montante, j'enlevais son jean le plus vite possible. Il était en boxer, son sexe dur et tendu à l'intérieur faisant une bosse plus que saillante et infiniment excitante, je le caressais, le serrais' Le désir était imprégné en moi comme un tatouage. Cette fois-ci, c'est moi qui le collais au mur avec détermination. Puis après m'être un peu attardé sur ses lèvres chaudes et douces, je descendis une nouvelle fois le long de son torse et de son ventre, Je glissai un doigt sous l'élastique de son boxer et le tirai suffisamment pour faire passer son sexe hyper bandé. Je sentais mon sexe trempé dans mon string tendu lui aussi?

- Oh my god !

Je le léchais avec l'envie de dix nymphomanes ! Je faisait des va-et-vient de plus en plus rapides. De temps en temps je levais les yeux vers lui et je croisais son regard. Il prenait son pied en me regardant faire, je crus deviner un sourire sur ses lèvres. Son souffle accélérait, je le sentais proche de la fin ! Je faisais jouer ma langue de plus en plus vite. Ne tenant plus son sexe avec ma main, je caressais en même temps son ventre contracté. Ses jambes ne tiendrait plus trop longtemps.

- Ah? Manon' Attends' !

Il s'était retenu de justesse. Je remontais vers lui, il me prit dans ses bras, je remontais mes deux jambes sur ses hanches et il pu me porter jusqu'à la table de la cuisine. Il m'y assit et m'embrassa en caressant mes seins dressés et gonflés. Puis il m'allongea et fit glisser la dernière barrière de tissu qui séparait son sexe du mien. Il glissa deux doigts en moi et me m'arracha quelques soupirs avant de s'avancer et de présenter enfin son gland contre mon vagin. Je me relevais sur les bras pour le voir, il m'attrapa les hanches et il entra d'un coup ! Je poussais un long gémissement de plaisir. Enfin il était en moi et commençait ses vas et viens. J'avais croisé mes pieds sur ses reins et renversé ma tête en arrière. Je gémissais de plaisir, je respirais bruyamment et lui aussi. Il avait une main dans mon dos et il se collait à moi. Ses coups de reins accéléraient. La table bougeait dangereusement. Je l'encourageais à continuer encore plus.

- Oh oui? C'est bon, vas y ,vas y !?. Mmmmmh ! Oh god'. Ouiii?

Il accélérait encore la cadence ! La table grinçait ! Je finis par m'allonger sur la table et me tenais aux rebords. Lui tenait mes jambes et venait de plus en plus vite, jusqu'à la vitesse de croisière. Je ne gémissais plus maintenant, je criais carrément ! Je n'en pouvais plus, c'était tellement bon !

Soudain, dans un dernier coup de reins, il est venu en moi. Poussant un grognement de plaisir ! Il laissa en même temps que sa semence, son énergie et une fois la pression retombée, il se coucha sur mon ventre et tenta de reprendre ses esprits, son souffle et un rien d'énergie. J'en faisais de même, allongée sur la table, et caressant ses cheveux.

Au bout de quelques minutes, ne pouvant pas rester dans la cuisine alors que mes parents allaient débarquer d'une minute à l'autre, nous nous sommes relevés. Nous avons ramassés toutes nos affaires et après avoir vérifié qu'il ne restait rien, nous sommes montés dans ma chambre.

Je vais prendre une douche ! Lançais-je en sortant de la chambre. Il m'attrapa le bras au dernier moment et, plantant ses yeux dans les miens, me dit

- Tu crois que je vais te laisser aller prendre une douche toute seule ?...