La journée de la chienne

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Proposée le 13/03/2011 par Pandoramie

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Thierry referme la porte derrière lui, tourne le verrou, croise mon regard et sourit. Je réponds avec la même sincérité à ce sourire rempli de convoitise. Je suis face à la porte d'entrée, à genoux sur la petite table, entièrement nue. Seul un collier de tissu muni d'un anneau auquel j'ai accroché une laisse en coton noir m'habille. Nous échangeons un regard complice rempli du plaisir de nous retrouver, du désir de nous étreindre et de l'amusement de la situation. Son courriel de la veille était clair : « A mon arrivée je te veux prête à l'emploi. La chatte et le cul déjà bien godés, offerts, et un préservatif bien apparent dans ta bouche, emballage ouvert. A toi de trouver le bon timing pour que lorsque j'arrive tu sois déjà en chaleur, chienne, essoufflée. J'arriverais à mon heure habituelle et ce sera pour baiser une chienne. »
J'ai rempli mon contrat... Et je suis tellement prête que je n'ai qu'une envie lorsqu'il franchit le seuil de l'appartement, c'est qu'il me pénètre le plus vite possible ! Il attrape la capote entre mes lèvres et dépose un rapide et doux baiser à la place. Dans un souffle, je l'implore :
- Prends moi vite, je n'en peux plus !
Pendant qu'il me contourne je pose les coudes devant moi pour lui offrir clairement mes fesses. D'une main de maître, il palpe mon arrière-train, donne une tape ferme :
- C'est une bonne chienne que je vais m'empresser de baiser.
Il joint le geste à la parole et enfonce doucement mais sûrement son sexe dans mon anus qui l'attendait fébrilement. Les frissons qui l'accompagnent ne trompent pas sur la qualité de notre relation. Dès qu'il me pénètre, mon corps réagit par des vibrations délicieuses, dès qu'il accélère, ce sont les spasmes qui s'enchaînent : La jouissance n'est jamais longue à venir, à revenir par vagues successives au gré de son tempo. Aujourd'hui n'est pas exception et le plaisir est au rendez-vous dès les premières mesures. Nous redécouvrons l'appartement, cette fois dans le registre de la chienne obéissante et docile qui est ouverte à tout. Je vais d'une pièce à l'autre à quatre pattes, il fait du dressage en douceur... Et lorsque je m'oublie en m'élançant debout pour le rejoindre alors qu'il me fait face, nu et bandant sur la petite table, il me rappelle tout sourire qu'une chienne ne se déplace pas ainsi.
Demi tour pour reprendre le chemin au niveau du sol, les yeux plongés dans son doux regard vers sa queue tendue pour l'avaler avec ma gourmandise habituelle. De retour sur le lit, à plat ventre il me tend le gode qui m'avait permis une bonne préparation (le vibro rabit : une valeur sûre) et m'intime l'ordre de bien le placer et le mettre en route. Je m'exécute docilement. L'engin est impressionnant par sa taille et son axe métallique tournant. J'ai grillé le mécanisme et s'il ne tourne plus à l'intérieur du vagin, il n'en demeure pas moins très dur et la partie réservée au clitoris vibre de huit façons différentes suivant le programme choisi. Je l'enfonce sans difficulté dans un vagin bien humide et ouvert et le mets en route sur la vibration forte et continue. Les chatouilles très particulières commencent pendant qu'il me sodomise. Très vite je ne sais plus où donner de la tête. Il pose ses bras sur le lit de chaque côté de ma taille, l'enserrant fortement : Je me sens complètement à lui par ces liens humains. Je ne peux pas bouger comme mon corps le réclame avec l'excitation provoquée par cette double pénétration. Les mouvements incontrôlés de mon corps s'effectuent dans le sens de la colonne tel un serpent de mer, j'ondule sous ses coups de boutoir ; il relâche un moment sa pression et je m'étale de tout mon long sur le ventre. Il me couvre et poursuit son va et vient avec puissance. Je continue de maintenir le gode en place, complètement étourdie par les sensations multiples que mon cerveau n'arrive pas à gérer. Je sens sa queue ferme et décidée dans mon derrière qui jouit de manière incroyable diffusant partout des frissons délicieux. Le vibro fait monter l'excitation de mon clitoris et c'est la plante des pieds qui se glace avant le grand saut. Nous jouissons. Il relâche l'étreinte. Je me love contre lui, sur le dos pour un petit câlin tendre. Il descend du lit et jette un coup d'oeil à mon entre jambe resté ouvert.
- Je ne t'ai jamais vue si ouverte ! Enfile ton manteau, une paire de chaussures, nous sortons !
Je me relève quelque peu chancelante. Il se rhabille tranquillement tout en observant d'un oeil taquin ma démarche titubante et mes tremblements lorsque j'enfile mon long manteau de coton brodé. Je prends le temps de fermer chaque bouton du cou jusqu'au mollet. Je chausse mes escarpins et attends qu'il ait terminé. Il me rejoint et m'invite à prendre le volant. Pendant que je conduis, il ouvre tous les boutons situés sous la ceinture de mon manteau et me fait clapoter avec délicatesse. Ses caresses réveillent de nouveau mes sens. Il me faut faire de grands efforts de concentration pour garder le cap. Heureusement, la circulation est très dense et nous roulons au pas. Je regarde les passagers des autres voitures qui n'imaginent pas un instant ce qui se trame sous mon volant. Le trajet n'est pas très long, mais il trouve le moyen de me faire jouir sur mon siège en agitant tranquillement quelques doigts bien placés à l'entrée de ma chatte. J'effectue mon créneau en restant bien concentrée, referme mon manteau avant de descendre rejoindre le club.

En ouvrant la porte, le patron nous sourit, plus accueillant que la première fois où nous étions venus.
- Vous avez de la chance aujourd'hui, il y a du monde, vous allez vous régaler !
Dès que nous passons le sas, Thierry retire mon manteau et d'un petit geste ferme m'invite à l'attendre agenouillée devant la porte face au bar. Pendant qu'il dépose nos effets au vestiaire et passe à la caisse, je regarde les hommes assis au comptoir ou sur les canapés qui me dévisagent d'un regard lubrique. Je sens que nous ne sommes pas entrés pour rien. J'ai docilement relevé les bras et placé mes mains derrière la tête, laissant ainsi tout loisir de jauger la bête : Sa poitrine, son sexe lisse, ses lèvres pulpeuses... Je connais bien les lieux, l'escalier en colimaçon qui descend vers les "salles de jeux" le mur avec les anneaux où il m'avait attirée la première fois et s'était frotté à moi de la façon la plus excitante qui soit... Et puis la table haute où il m'avait fait prendre par plusieurs hommes, les yeux bandés... Il avait commencé par freiner l'élan de certains par un tranquille :

- Un peu de patience, je vais vous la préparer

Il m'avait alors fait jouir devant eux avant de m'offrir à leurs queues gourmandes. Visiblement, la sodomie plait beaucoup et de nombreuses queues étaient venues visiter mon petit trou apportant leur lot de plaisirs. Le plus pressé avait suscité les railleries des autres en me montant avec précipitation, jouissant en quelques coups vite fait et tombant sur le côté une fois la copulation terminée. Il était vite parti, laissant les autres à des jeux plus élaborés, passant par ma bouche, mes mains et mes orifices offerts. Les hommes actifs étaient peu nombreux ce soir-là, mais la soirée avait été réussie, d'autant plus qu'elle s'était terminée par une nuit torride à l'hôtel.
A son retour, Thierry prend la laisse qui pendait entre mes seins :

- Allez, viens montrer à ces messieurs ce que tu sais faire !

Je me relève et le suis, totalement nue. Nous passons devant les hommes qui nous emboîtent le pas, empressés de me toucher dès que je passe auprès d'eux. Avant d'emprunter l'escalier, mon amant place un loup sur mes yeux et me guide en tirant la laisse doucement. Je m'accroche à la rampe et descends chaque marche une à une, sachant que c'est un colimaçon à claire voie, je sais que rien de mon anatomie n'est dissimulé. Arrivée en bas, il m'aide à baisser la tête. Je comprends comment il va m'offrir en pâture et cherche instinctivement les anneaux contre le mur pour placer mes mains dès que mon dos sent les aspérités de la pierre. Je suis encore toute humide et ouverte de nos ébats précédents et il ne lui est pas difficile de me faire clapoter joliment.

- Messieurs, vous pouvez venir tester la bête avant l'étape suivante. N'hésitez pas, elle est bien chaude !

Il dépose un baiser langoureux sur mes lèvres, effleure mes seins et s'éloigne. Je ne tarde pas à sentir de nouvelles mains sur ma peau. D'abord légères, les caresses se font plus larges et appuyées puis intimes. L'homme qui ouvre le ban est un sensuel : Il effleure la peau pour la faire réagir, suit le trajet de la poitrine au pubis avec ses mains, puis ses lèvres. Lorsque ses doigts me pénètrent je suis toute à lui tellement sa douceur me fait vibrer. Mon clapotis retentit de plus belle lorsque ses doigts s'agitent exactement à l'endroit le plus sensible. Je me retiens de lâcher les anneaux mais continue de m'offrir en me tordant de plaisir. Tout à coup, un spasme profond traverse mon corps et je lui coule sur la main dans un rugissement profond.

- Oui, c'est ça !

Il me retourne face au mur, bien cambrée, s'allonge au sol, sur le dos entre mes jambes et reprend sa caresse. Je jouis de nouveau, sur son visage cette fois mais il n'arrête pas pour autant. Ses doigts stoppent un moment leur danse et je comprends que le programme change. Je ne bouge pas, lui non plus. Mes fesses sont toujours offertes au public, lui étant aux premières loges bénéficiant d'un gros plan sur mon sexe. Il se déplace légèrement pour laisser passer un acolyte qui dès qu'il s'empare de mes hanches m'est familier.
Thierry !

- Elle est généreuse dis donc !
- Oui, et elle aime ça !

Tout en disant ces mots, il me sodomise tranquillement. Doucement il épouse le rythme de la main qui me fouille à côté. Et sans se concerter (du moins je le crois), leur rythme s'accélère, mon dos frissonne, mon ventre se trémousse, mes jambes me trahissent et ma jouissance est telle que je ne retiens plus mes cris, ni mes mouvements. Je lâche les anneaux pour m'accroupir légèrement, me rapprochant ainsi du visage de mon partenaire qui lance un râle profond lorsque je lui gicle dessus en feulant. Mon amant a suivi le mouvement et poursuit ses va et vient en maintenant fermement les mains que je lui offrais. Il me fait jouir plus profondément encore. Je me redresse contre le mur, épuisée, en sueur. Il me retourne et m'ouvre ses bras entre lesquels je me blottis. Le temps pour chacun de reprendre nos esprits.

- Tu es superbe, me glisse-t-il à l'oreille en retirant mon masque.

Je retrouve son regard. Le temps de m'habituer à la pénombre, je jette un coup d'oeil circulaire et constate que notre show a du succès. Ils sont nombreux dans le couloir obscur à nous suivre lorsque nous entamons notre lente déambulation. Je suis la direction qu'il m'impose en tirant sur la laisse, à quatre pattes, me cambrant bien. Mes lourdes mamelles pendent et se balancent alors que je dodeline des hanches comme il l'avait apprécié quelques heures plus tôt à l'appartement. Je sens la fraîcheur sur mes orifices humides qui me renvoie mon indécence. Notre lente procession est interrompue régulièrement par des mains baladeuses très inquisitrices lorsque j'entends mon amour annoncer à l'entrée de la grande salle :
- Messieurs, ma chienne est à vous !

Je ne sais même pas si nous avons fait le tour complet de la salle, tellement les arrêts, les détours furent nombreux et ébouriffants. Les premiers à profiter de l'offre prennent la consigne au pied de la lettre, me faisant stopper d'un coup de laisse et me pénétrant par derrière, frénétiquement. Très vite, ils s'associent pour que ma bouche ne reste jamais vide. Ils s'amusent ensuite à vérifier la qualité du dressage de la chienne en donnant des ordres divers que je m'applique à respecter :
- Assise !
Je reprends la position de l'accueil, bouche ouverte et avale toutes les queues qui se présentent, les suce jusqu'à la moelle, jusqu'à ce qu'ils se vident entre mes lèvres. Je prends bien soin alors de ne pas avaler tout de suite de façon à montrer à mon maître la qualité de la prise. Je n'avale que lorsqu'il m'en donne l'autorisation.
- Couchée !
Je me place en levrette avec les fesses très en hauteur, la poitrine au sol et ils se succèdent dans mon petit trou.
- Aux pieds !
Je traverse la pièce pour me placer à côté de celui qui a lancé l'ordre et satisfaire ses désirs.
Lorsque les ordres cessent je crois qu'ils ont tous bien jaugé mes qualités de chienne soumise et je ne suis pas rassasiée.

Thierry m'installe alors en hauteur toujours à quatre pattes au beau milieu de la pièce? Ils sont nombreux à se rassembler autour de moi, certains sur le tapis ma queue offerte, d'autres attendent leur tour, le sexe à la main. Qu'ils soient rassurés, il y en aura pour tout le monde ! Je commence à les sucer à tour de rôle pendant que mes mains enserrent d'autres sexes érigés attendant leur tour pour se nettoyer dans ma bouche ou ailleurs. Derrière, ils ne chôment pas : Ils se succèdent qui dans l'anus, qui dans la chatte pour donner leur rythme à mon ventre qui frémit sous leurs coups de boutoirs. Je distingue chaque nouveau cavalier par le style de pénétration, les sensations que sa queue provoque en moi : Le temps à chaque fois que mon corps épouse la géographie de son membre, l'enserre quelque soit sa taille ou sa puissance et le plaisir est partagé !
Chacun m'apportant une volupté différente, chacun permettant de gravir une marche supplémentaire de l'escalier qui mène à la jouissance? de temps en temps, je sens le spasme venir, celui qui paralyse bouche et mains. Celui qui m'envahit toute entière à me faire sortir des vagissements pas plus contrôlés que la houle qui secoue mon corps.
Et puis, de temps en temps la chaleur de la verge familière fait la différence. Unique entre toutes, celle que mon corps reconnaît quand elle le pénètre, l'enserrant avec reconnaissance, celle qui me fait monter en quelques secondes' Celle de mon maître ! En fait, il ne me quitte pas de la soirée, sa position préférée étant à mon chevet, à genoux, ma tête entre les mains ; guidant mon visage dans des fellations tendres ou gorges profondes plus musclées' Offrant mes services aux voisins, me laissant libre de mes mouvements ou m'imposant une baise virile laissant des traces de bave à la commissure de mes lèvres lorsque je me redresse pour respirer. Baisée devant et derrière sans interruption, le sexe et la bouche dégoulinants, je me sens pleinement chienne. Insatiable.
Rien n'arrête mon plaisir. Les vagues de jouissances se succèdent à une cadence imprévisible. J'enchaîne les orgasmes sans me lasser. Mon amant m'achève alors par un va et vient entre mes antres, alternant calme et finesse pendant que je suce quelques irréductibles avec délectation. Son acharnement soudain m'électrise et dans un grand cri, je convulse puis m'affale sur le ventre, incapable du moindre mouvement. Le coeur battant.

Ils échangent quelques réflexions sur ma nature généreuse pendant que je récupère. Je me retourne. Allongée sur le dos, je vois ces nombreux visages réjouis tout autour de moi. Je souris en accordant à chacun un regard plein de désir. Je m'arrête sur celui de Thierry, placé entre mes jambes qu'il tire pour me rapprocher du bord afin de me pénétrer plus facilement, en restant debout. Il va et vient tendrement, son sourire s'emboîte dans le mien. Je me sens l'enserrer pour mieux accueillir cet invité de marque.

- Messieurs, il est temps d'honorer ma jolie chienne comme elle le mérite !

Les hommes à genoux autour de moi commencent leur masturbation pendant que quelques queues se succèdent dans ma bouche pour retrouver une raideur disparue ou me baiser plus autoritairement. Je suis écartelée, totalement offerte à leur jouissance. Mon amant se réserve ma fleur et sa vulve qu'il baise tendrement, les hommes passent autour de moi dans une masturbation collective énergique éjectant leur semence sur ma poitrine et mon ventre pendant que d'autres se soulagent dans ma bouche. Mes mains caressent les bourses offertes à mon regard, parfois, elles enserrent très fort un sexe jusqu'à ce qu'il crache son jus, passant ensuite au suivant. Une fois qu'ils sont passés, ils s'éloignent pour laisser place à ceux qui attendent jusqu'à ce qu'ils soient tous satisfaits. Je suis couverte de sperme, ravie, les yeux dans ceux de mon amant qui en profite pour lancer une nouvelle salve énergique. Je place ma main sur mon pubis et referme les yeux pour jouir très fort. Une fois les dernières vagues de jouissance passées, je retrouve mon calme. Poursuivant quelques allées et venues tranquilles, Thierry commence un massage de mon corps jusqu'à ce que tout le sperme déversé ait pénétré. Sublime caresse. Puis, il se retire et vient s'installer près de mon visage. Seul cette fois. Je n'ai d'yeux que pour cette queue si familière qu'il pose sur mes lèvres. Je lui offre un doux baiser avant de fermer les yeux, bouche entrouverte pour le laisser s'abandonner à ce plaisir suprême : Offrir à mon visage sa semence. Je hoquette de bonheur. Il m'embrasse. Nous nous retrouvons dans les bras d'un de l'autre, il m'aide à me redresser.

- Je crois que je vais avoir besoin d'une bonne douche !
- Je t'accompagne !

J'ai bien besoin de son bras protecteur alors que je tremble de tous mes membres pour rejoindre la salle de bains.
Nous retrouvons les hommes au bar après être passés par le vestiaire où j'ai récupéré une jupe, un cache c'ur et des chaussures ; petits morceaux d'étoffe minimale qui me permettent de changer de statut.

Quelques hommes viennent discuter avec nous. Je prends le soin de garder les fesses sur le bord du pouf, cuisses écartées, jupe remontée sur mes hanches : C'est devenu presque naturel ! Je ne reste pas longtemps ainsi : Thierry me fait comprendre que je peux accéder aux désirs lubriques des deux amis restés à discuter qui montrent talent et savoir vivre réels. Je passe donc à genoux entre les deux invités pour les sucer à tour de rôle. Très vite, le premier jouit dans ma bouche pendant que je masturbe le second qui me caresse et m'excite terriblement. Je prends alors les choses en main : Je l'enjambe, m'installe à califourchon sur lui et m'empale sur sa superbe queue bien érigée. Je me donne du plaisir en me frottant à lui avec vigueur, ses mains agissant sur mes fesses comme des interrupteurs. Mon regard croise alors les yeux de Thierry qui pétillent d'excitation de me voir ainsi. Vibrations intenses.

Nous quittons les lieux après un petit tour au bar pour nous rafraîchir.
Sur le chemin du retour, je reprends le volant. Détendue. La nuit est tombée depuis longtemps. Thierry relève ma jupe et ouvre mon cache c'ur avant que je ne mette le contact.

- Tu peux y aller !

C'est donc le sexe et la poitrine à l'air que nous avons traversé la ville, la main de mon homme moins intrusive qu'à l'aller, se contentant juste de maintenir mon niveau d'excitation en position haute. Il me culbute brièvement sur le capot sur le parking devant la maison, puis recommence dans l'escalier, se contentant chaque fois d'une bonne tape sur la fesse pour que je lui présente ma croupe qu'il s'empresse d'honorer. Nous rions.
Une fois dans notre lit, toutes lumières éteintes, nos peaux se transforment en aimants. Les frissons de l'un répondant à ceux de l'autre, de la pointe des cheveux à celle des pieds. Nous sommes dans une osmose sensuelle, nos corps se caressant dans tous les sens, nous ne sommes plus qu'une étreinte caressante où chaque pore réagit à l'effleurement, aux baisers, aux caresses de l'autre. Nous nous endormons lovés l'un contre l'autre. Son sexe s'enfonce doucement en moi, pendant mon sommeil. Je ne bouge pas. Je le laisse aller et venir, s'installer, ramollir et reprendre de l'ardeur à son gré. Il est moi.
C'est à ce moment que le temps s'est arrêté.
Cela s'appelle le bonheur.
Total.


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