Le jour où je me suis fait séduire par la meilleure amie de ma soeur (suite)

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Proposée le 8/03/2011 par detroi

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Lire le chapitre 1.

Une fois son pantalon ouvert et envahi par l'excitation de voir quelle agréable fruit se trouvait sous celui-ci je ne pus me résoudre de lui ôter.

Le point de non retour était franchi, j'avais cette jeune femme allongée dans mon lit avec juste un string noir en dentelle, légèrement transparent qui laissait deviner un sexe imberbe et aussi doux que jeune.

L'attente faisant monter le désire, je pris sur moi l'envie de lui arracher la lingerie fine qui était le dernier rempart à mon envie de pénétrer sa petite grotte et remontai au niveau de son visage pour l'embrasser. Avant de m'exécuter, je pris soin d'enlever ma chemise que j'avais gardée jusque là pour me mettre dans une tenue plus adéquate à ce qui allait suivre. Me voyant totalement nu, elle ne put s'empêcher de lancer cette remarque : "Ta s'ur a raison, tu es plutôt bien foutu."

"Qu'est ce que tu as dit, je n'ai pas compris ?", lui dis-je tellement ce que j'avais entendu me semblait étonnant.

"Euh, je n'ai rien dit oublie ça", bégaya-t-elle.

Trouvant malgré tout cette remarque bizarre mais ne voulant pas casser l'ambiance car cela l'avait mise mal à l'aise, je décidai de passer outre et retournais à mes moutons et recommençais à l'embrasser. Nos langues se collèrent et entrèrent dans une danse sensuelle. Allongé sur elle, je sentais son opulente poitrine contre mon torse, ce que je dois avouer à toujours eu le don pour m'exciter. Mon sexe, qui à cause de ça était de plus en plus dur et tendu, se trouvait tout contre son entre-jambe comme s'il voulait déjà pénétrer la fine fleur qui s'offrait à lui. D'ailleurs je ne pouvais m'empêcher de le frotter contre son string pour qu'elle sente bien mon membre désireux de s'enfuir au plus profond de son être.

"Je n'en peux plus Thomas prends moi tout de suite", me supplia-t-elle.

"Patience Vanessa, le plaisir n'en sera que plus grand", lui répondis-je avec un sourire en coin qui ne pouvait cacher la fierté que je ressentais de faire perdre ainsi la tète à une si belle plante.

"S'il te plait, je vais craquer je veux ta queue en mois tout de suite", s'énerva-t-elle.

Intransigeant je refusai toujours mais pour lui montrer que je compatissais, je décidais de redescendre au niveau de ses cuisses pour commencer à m'occuper de son intimité.

Posant tout une série de baisers sur ses cuisses et me rapprochant de son sexe, je lui posais cette question : "Quelqu'un t'a déjà léché le sexe ?"
"Non pas encore, je n'ai fait l'amour qu'une ou deux fois avec mon ex-petit copain et lui me disais toujours qu'il détestait le gout de la cyprine !"
"L'idiot, il ne sait pas ce qu'il rate, quelle andouille, surtout qu'un si jeune et si mignon petit pruneau comme le tiens doit avoir un goût de caviar."
"goûte moi et tu sauras !", dit-elle entrant dans le jeu.
"Mais c'est ce que je compte faire", dis-je en passant mes doigts sous l'élastique du dernier rempart m'empêchant de me délecter de ce jus pour le lui enlever.

Son string, glissant contre ses cuisses et puis le reste de ses jambes, révéla comme je l'avais deviner un vagin totalement rasé, tout rose dévoilant deux lèvres aux forme appétissante auxquelles je croyais bien ne plus pouvoir résister longtemps.

"Prends moi", me supplia-t-elle à nouveau en écartant bien les jambes. "Regarde comme ma chatte t'attends."

Je ne fis rien de cela, je posai juste un baiser à l'intérieur de sa cuisse gauche à mi-chemin entre son sexe et son genou. J'en posais ensuite un sur sa jambe droite à quelques centimètres de sa petite grotte, une dizaine plus ou moins. Elle ne tenait plus, je la voyais déjà au bord de l'orgasme alors que je n'avais pas encore touché son minou. Le troisième baiser fut décisif dans le sens où quand je lui fis sur l'aine à peine à deux centimètre de son petit trou, elle m'attrapa par les cheveux et proposa ma bouche à son sexe.

Ma langue dans un premier temps commença par la lui laper l'ensemble de sa fente, je montais et redescendais. Elle gémissait déjà très très fort et levant les yeux vers elle entre deux coups de langue, je vis qu'elle prenait tellement de plaisir qu'elle se caressait les seins de son propre chef.


"Ne t'arrête surtout pas !", me dit-elle.
Voulant encore faire monter la pression. C'est ce moment que je choisis pour bien écarter ses grandes lèvres pour glisser ma langue dans son trou. Plus ma langue s'enfonçait en elle, plus je sentais sa mouille envahir ma bouche, j'avalais d'ailleurs tout ce que je pouvais trouvant ce gout délicieux tout comme elle l'avait fait plus tôt pour mon foutre. Son orgasme étant passé, je ne voulus lui laisser aucun repos, si bien que ma langue se dirigea vers son clitoris que je commençais à éprouver en alternant sucions, mordillement et léchage. Elle n'en pouvait plus, ses cris étaient de plus en plus intenses. Je remercie d'ailleurs la musique qui allait fort à l'étage du bas et qui a permis de couvrir le bruit de son extase.

Ne voulant pas laisser sa petite grotte en reste, j'enfonçai mes doigts en elle d'abord l'index qui fut vite rejoint par le majeur après seulement quelques va-et-vient. Un énorme râle sortit du plus profond de sa gorge lorsque j'enfonçais ceux-ci au maximum en elle. Le deuxième orgasme qui l'accompagna fut d'ailleurs bien plus gros que le premier.

Elle n'en pouvait plus, moi non plus d'ailleurs si bien qu'au moment ou elle me redemanda de la prendre. Je n'eus plus la force de lui refuser. Récoltant un peu de sa mouille malgré tout avant de quitter de la bouche son vagin, je m'empressai d'aller la déposer dans sa bouche pour faire en sorte qu'elle sache qu'elle goût elle a.

Le baisé fut aussi fougueux qu'enragé sans doute car nous étions tous deux comme des bombes prêtes à exploser et que la gout de sa cyprine était un peut comme lé détonateur qui fit que nous perdîmes tout contrôle. Pendant ce baiser, elle ne put s'empêcher de prendre ma bite en main et après quelques va-et-vient la mettre à l'entrée de sa chatte trempée.

"S'il te plait", dit-elle simplement arrêtant de m'embrasser. C'est sur ces paroles qu'en entrais pour la première fois dans la meilleure amie de ma s'ur.

C'était chaud, humide et très serré. Quelle sensation agréable est ce de se retrouver à l'intérieur d'un si jeune vagin et de sentir à l'étroitesse des lieux qu'on l'est l'un des premiers à y entrer. La voyant quelque peu grimacer, sans doute à cause de la douleur, je me dis qu'au moins au début j'allais y aller doucement pour ensuite accélérer le rythme et donner des coups de reins de plus en violents dans un missionnaire des plus classiques. Voyant que je lui avait procuré un nouvel orgasme et le missionnaire étant une position qui m'a toujours très vite ennuyé, je lui proposai de se mettre sur moi, elle ne se fit d'ailleurs pas prier pour accepter. Je m'allongeais donc attendant de me retrouver à nouveau en elle.

Sans doute étais-ce par rancune ou simplement encore pour faire monter la température de nos corps,qu'elle me regarda d'un air sadique et me dit "A mon tour de m'amuser de toi, et de rendre fou au point de te pousser à me prier de m'offrir de nouveau à toi". Sur ces paroles, elle reprit mon sexe en main et recommença à me branler. A peine quelques mouvements de poignet plus tard, elle se pencha, enfourna de nouveau mon manche dans sa bouche et me suça d'une manière bien plus soutenue que la précédente. Jamais au grand jamais, une fille ne m'avait fait autant de bien, je n'avais jamais pris mon pied comme ça et dire que c'était une fille sans expérience pour ainsi dire qui me faisait ressentir tout ca.

La branlette espagnole étant un de mes péchés mignons et sa poitrine étant énorme qui plus est, je ne pus m'empêcher de lui demander de placer ma bite entre ces magnifiques collines de plaisir. S'arrêtant sur le chant de me sucer et sans me dire un mot, elle s'exécuta et vint entourer mon dard douloureux tellement mon érection était énorme entre ses deux seins. Il ne me fut pas plus de quelques va-et-vient pour avoir l'envie de me répandre à nouveau mais cette fois-ci sur ses seins.
Voyant mes joues rougir, sentant que je contractais mon sexe pour repousser au plus loin l'orgasme, elle s'arrêta net et me dit

"Ah non hein ! si tu dois jouir c'est en moi maintenant !". Ce sont sur ces paroles qu'elle monta sur moi, m'autorisa à nouveau l'accès en elle et commença à se faire aller. Je la tenais par les hanches pour l'accompagner dans ses mouvements qui étaient malgré tout un peu gauches au début. Ses mains à elle, était posées chacune sur un de ses seins et les malaxaient plus ou moins fort au rythme de ses reins. Ces gémissement de nouveau de plus en plus forts laissaient présager qu'elle était également sur le point d'atteindre le Nirvana à nouveau. C'en était trop, je n'en pouvais plus, mon sexe ne tarderait pas à exploser si je ne le libérais pas de l'orgasme que je retenais depuis un certain temps. Nous atteignirent le septième ciel en même temps exprimant chacun un énorme cris de plaisir, j'espérais d'ailleurs ne pas avoir été entendu par les "gamines" d'en bas. Une quantité insoupçonnée de sperme lui remplit sa grotte, se qui augmenta l'intensité de son orgasme à elle.

Tous deux épuisés, elle s'effondra sur moi et resta allongée comme ca quelques instants, laissant mon sexe en elle se ramollir pour profiter encore un peu en quelque sorte de ma présence. Nous restâmes comme ça plusieurs minutes, nos corps enlacés, quand soudain nous fumes dérangés par la porte qui s'ouvrit.

C'était ma s'ur, et voyant la scène s'offusqua et dit d'un ton très sévère : "Quand tu auras fini de défoncer ma meilleure amie Thomas, tu viendras distribuer le gâteau, enfin si cela ne dérange pas les obsédés que vous êtes.", et partit en claquant la porte visiblement nous l'avions surprise autant que nous l'avions été et bien qu'étant son ainé, j'hésitais à descendre, craignant sa réaction.

Comment allait-elle réagir ? Vous le saurez sans doute bientot...