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Proposée le 6/03/2011 par sergio06
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Libre depuis peu après un divorce douloureux, un peu désemparé par ma liberté retrouvée et ne sachant trop qu'en faire, j'ai repensé à ce que m'avait dit un ami il y a quelque temps et donc réservé une semaine de vacances au Grau du Roi pour aller vérifier si ce qu'il m'avait raconté était vrai.
Celui-ci, habitant de Montpellier était un habitué d'une plage qui avait gagné ses lettres de noblesse dans l'Europe entière et ceci toutes tendances sexuelles confondues
J'avais perdu cet ami de vue depuis longtemps mais ses récits m'avaient laissé rêveur, et il faut dire un peu perplexe car j'avoue que je n'avais cru qu'à moitié à ce qu'il m'avait raconté.
Il est 14h00 ce dimanche et il fait beau quand j'arrive l'hôtel ou j'avais réservé et après avoir rempli les formalités d'usage je consulte le plan pour me rendre sur cette fameuse plage.
Remettant le rangement à plus tard, je me mets en bermuda, prends mon sac qui contient mes papiers, ma serviette et une bouteille d'eau et reprends ma voiture. La plage se trouve à environ 6 kms m'a dit aimablement la jeune et belle réceptionniste avec un grand sourire, et je me dirige vers la fameuse plage.
Beaucoup de voitures se dirigent dans la même direction et je m'installe donc dans le trafic. Je parviens à une sorte de péage, une guérite placée à l'entrée. On m'avait averti, la plage, située au bout d'une route en cul de sac était payante. La femme me débarasse de quelques ?uros et je continue pendant encore au moins un kilomètre sur une route faite de sable et terre mélangés.
On ne voit pas la mer de prime abord, seulement des dunes de sable avec une maigre végétation.
Le parking est immense, des hommes aident les conducteurs à ranger leur véhicule convenablement.
Je sors de ma voiture, le soleil cogne dur. J'escalade les dunes me faufilant entre les monticules faits de sable et de maigre végétation.
Un panneau m'indique que le naturisme est ici toléré, bon au moins c'est officiel.
Les premiers mètres je ne vois personne, mais à mesure que j'avance je vois des gens allongés, tous dans le plus simple appareil.
Des hommes seuls, des couples exposant tranquillement leur nudité au soleil. J'escalade une dune, j'aperçois enfin la mer.
Je suis une sorte de chemin, je peux vérifier qu'il s'agit bien d'une plage nudiste.
J'ai l'impression de faire tâche et décide de me mettre au diapason, je retire le short que je range dans mon sac, Je garde mes savates, le sable est brulant. C'est la première fois que je fréquente un endroit naturiste et j'avoue que je ne me sens pas trop à l'aise mais personne ne semble faire attention à moi.
Je m'avance toujours, je vois au loin un attroupement d'hommes debout, une dizaine environ qui regardent tous vers le sol.
Je m'avance et essaie de me frayer un chemin, ils sont tous collés les uns aux autres, on me fait une place. Au centre une femme est à genoux en train de faire une fellation à un homme plutôt jeune, la trentaine environ.
Celui-ci la tête relevée vers le ciel qu'il ne voit pas, les yeux fermés semble aux anges. La femme n'est plus très jeune à priori, la cinquantaine bien tassée. Un beau corps très bronzé, une belle poitrine menue mais bien faite.
Ses jambes largement écartées exhibent un sexe sans poils.
Elle est à genoux sur une serviette de plage, la serviette à côté est occupée par un homme lui carrément sexagénaire et très intéressé à ce que fait sa compagne, une main sur son sexe à demi dressé, en train de se masturber allégrement.
Je regarde autour de moi, ils ont tous la même attitude, une main sur leur sexe et les yeux fixés sur le sexe qui entre et sort de la bouche accueillante et apparemment experte.
Les mains de la femme sont posées sur les fesses de l'homme qui respire de plus en plus fort. Apparemment j'arrive juste à temps pour la jouissance.
Le souffle de l'homme se fait de plus en plus court, il avertit dans une voix mourante :
- Je vais jouir ! J'en peux plus, je viens ! Je viens !!
La femme tout en continuant sa fellation, lève son regard vers le regard du garçon, son regard semble dire qu'elle a bien reçu le message mais qu'elle n'a pas envie de lâcher le beau morceau de chair bien tendu et continue de plus belle.
Avec un râle de bonheur, il jouit dans la bouche de la belle fellatrice.
Elle continue jusqu'à ce que les râles se soient arrêtés.
Lâchant le membre toujours dressé, elle prend un kleenex qui se trouve à sa portée, le mets devant sa bouche et recrache le sperme qu'elle a reçu.
Avec un merci à peine murmuré, l'homme s'en va, satisfait.
Autour de lui, les hommes sont tous en train de se masturber, les queues de tout genre, grosses, fines, grosses et longues, courtes, etc' sont toutes plus ou moins bien tendues.
La femme apparemment satisfaite, se rallonge auprès de son compagnon après avoir bu une grande rasade d'eau au goulot d'une bouteille.
Les hommes se dispersent l'un après l'autre, s'étant rendu compte que les réjouissances étaient terminées, la femme n'ayant apparemment pas envie d'une deuxième queue, du moins pas pour l'instant.
Je fais comme les autres et les suis, la queue tendue. J'ai la chance d'être bien doté par la nature et ma queue ne passe pas inaperçue. Des coups d'oeil furtifs, envieux aurai-je envie de dire, ceci sans prétention aucune, m'indiquent que mon sexe les impressionne.
Je continue mon chemin, je trouve un endroit qui me plait, entre des buissons, la mer en face.
J'étends ma serviette, m'allonge dessus en me mettant à plat ventre, ma queue toujours dressée.
Mes yeux revoient la scène, incroyable ! Il disait la vérité finalement mon pote.
De temps en temps je relève la tête, les gens passent et repassent, beaucoup d'hommes seuls.
Au bout d'un moment j'en ai marre, je me lève et je décide d'aller explorer les endroits plus loin de la mer, au milieu des dunes. Je rencontre toujours et principalement des hommes seuls, l'endroit semble la Mecque des mateurs.
Ceux-ci sont pour la plupart plutôt âgés mais il y a des plus jeunes aussi, en minorité.
Des couples, rares sont allongés dans des recoins de dunes sous des parasols. Rien d'excitant, la plupart m'indiquent d'un regard peu amène qu'ils ne désirent pas ma présence.
Je continue ma promenade, mon regard est attiré par un petit attroupement autour d'un parasol jaune.
Je m'approche prudemment, il y a trois hommes debout en train de regarder vers le sol.
M'approchant encore je vois un couple homme femme allongés en train de se faire bronzer, deux autres hommes sont assis et regardent l'entre jambes légèrement ouvert de la femme. Le sexe assez proéminent est presque imberbe, seuls quelques poils blonds bien taillés mettent en valeur cette chatte bien attirante ma foi.
Immédiatement je me remets à bander de belle manière. L'homme regarde lui aussi sa compagne, le couple a environ la quarantaine pour la femme plus près de la cinquantaine pour le monsieur.
Les voyeurs eux sont en majorité des hommes murs et même bien murs qui sont en train de se masturber sans aucune gêne. Je me tiens un peu en retrait, sans me toucher le sexe qui, malgré tout est agité par des spasmes de désir.
Le coin est un peu isolé et pas de passage d'hommes. Peu à peu les types se lèvent, un peu déçus du manque de réactivité du couple.
Au bout de quelque temps il ne reste plus qu'un seul homme et moi en train de mater le couple. Je reste en retrait et le mari ou tout du moins le compagnon de la femme jette des regards sur moi, enfin mon sexe qui toujours tendu et bien dressé vers le ciel et agité de secousses d'excitation lui parait plus intéressant que le sexe de l'homme mur, beaucoup plus petit avec une pauvre érection.
Enfin l'autre homme s'en va et je reste seul. Ne voulant pas passer pour un voyeur et en vérité indécis, j'étale ma serviette un peu plus loin que le couple et m'allonge dessus.
Au bout d'un moment, l'homme se lève et se dirige vers moi. Avec un grand sourire il me dit :
- Nous aimerions aller nous baigner, vous pourriez garder un oeil sur nos affaires ? Si ça ne vous ennuie pas bien sur.
J'acquiesce avec plaisir, mais ne peux m'empêcher d'ajouter :
- Qui vous dit que je ne vais pas partir avec vos affaires ?
Il hausse les épaules puis :
- C'est vrai, mais vous semblez au-dessus de la plupart des tarés qu'on voit ici.
La réponse me satisfait, je lui confirme que c'est OK.
Il rejoint sa femme, lui fait signe de venir et elle se lève, m'adressant un large sourire. Je vois enfin son corps déployé, corps très beau et fin, bien proportionné, avec de belles fesses en amphore. Le port est altier, une démarche de classe et la main dans la main ils disparaissent de ma vue.
Je jette un coup d'oeil sur mon sexe, celui-ci est toujours dressé, enfin à l'horizontale sur mon ventre puisque je suis toujours allongé sur le dos, le gland cachant presque le nombril.
Je me demande comment sera la suite mais il me semble que c'est bien engagé. Je n'ai pas l'habitude de ce genre de rencontres et j'ai hâte de savoir comment tout cela finira.
En même temps j'évite de m'emballer, peut être n'y aura-t-il pas de suite justement.
Je me dis quand même que le couple et surtout l'homme n'ont pas pu ne pas voir ma belle érection. De mon côté j'ai pu m'apercevoir que celui-ci est plutôt bien monté également.
Bah, on verra bien me dis-je, il ne me reste plus qu'à attendre leur retour.
Après un temps qui me semble interminable, le couple revient, toujours la main dans la main. Je ne peux m'empêcher d'admirer la poitrine qui bouge à peine tandis qu'elle se déplace toujours avec une grâce qui semble naturelle, innée dirai-je. Une poitrine comme je les aime, de beaux nichons haut plantés, bien ronds et proéminents avec de beaux bouts longs et gros.
Ils m'adressent un franc sourire et ils s'essuient. Mon sexe est retombé, pas tout à fait dégonflé et plutôt impressionnant et j'ai chaud. Je sens qu'il va se remettre à bander, je décide d'aller me rafraichir les idées et le reste.
Je me lève, et passant devant eux je leur dit :
- Bon à mon tour, je meurs de chaud.
Le monsieur répond :
- Vous avez raison, ça fait du bien. L'eau est un peu fraiche mais ensuite ça va.
Je m'éloigne sentant leur regard dans mon dos.
La mer se trouve à plus de 200 m. Je croise pas mal de personnes qui se promènent le long de l'eau, la plupart habillés, mateurs déclarés donc, d'autres nus comme moi.
Mettant le pied dans l'eau, je comprends mieux à présent le terme de « fraiche ». Carrément glacée je dirais. Moi qui suis du sud est où l'eau doit être autour de 26° en cette période, c'est dur. Mais bon, je me force à entrer, doucement.
Peu de personnes sont dans l'eau. Lorsque mon sexe entre au contact de l'eau fraiche, j'ai envie de sortir en courant mais je continue bravement.
Enfin je nage, le corps entier immergé. Pour tenter de me réchauffer je nage un crawl puissant.
On s'habitue à tout, le corps comme l'esprit et au bout d'un moment je me sens bien.
Je continue à nager pendant un bon bout de temps, je reviens vers la plage. Mon corps se sent bien comme toujours après un bel effort.
J'ai la culture du sport et même si j'ai un peu laissé tomber depuis quelque temps, je ne suis pas trop empâté.
Mon sexe est carrément au repos, il ballote entre mes jambes, reposant en partie sur des couilles bien en rapport avec mon membre.
J'ai hâte de retrouver le couple en apparence si sympa et je me retiens de courir. Le temps d'arriver, je suis presque sec. Je les vois et en même temps je m'aperçois que ma serviette et mon sac sont à présent tout près du couple.
Ils ne sont plus seuls. Un nouveau groupe d'hommes fait cercle autour d'eux. Cette fois ils ne sont que trois, la bite en main en train de se masturber.
Mes affaires sont donc à côté d'eux, près de la femme en fait.
J'hésite à peine, je m'approche, prends ma serviette avec laquelle j'achève de m'essuyer tout en regardant l'attroupement qui nous entoure. Je les regarde de façon peu amène et ils ne tardent pas à partir l'un après l'autre.
Nous nous retrouvons tous les trois, j'étale ma serviette pas loin de la femme, ni trop près non plus, je m'allonge dessus.
- Merci, ils sont plus collants que les moustiques ceux-là !
C'est l'homme qui vient de parler. La femme elle me remercie d'un chaud et franc sourire. Je suis toujours un peu gêné.
- Pas de quoi, j'ai rien fait de spécial.
- Au fait on amis vos affaires ici, on ne pouvait pas bien surveiller avec tous ces mateurs.
A mon tour de les remercier.
Cela dit je n'ai pu empêcher mon regard de s'attarder sur le beau corps allongé à moins d'un mètre de moi.
Les seins, malgré la position sont à peine écartés sur le buste et les pointes sont bien dressées vers le ciel. Le sexe bien bombé et peu fourni en poils blonds translucides est un appel au viol
Je sens mes sens réagir au quart de tour, je me mets à plat ventre tout en sentant mon sexe se tendre au maximum. Je m'agite un peu pour bien me positionner.
Enfin pour la première fois j'entend la voix douce et légèrement rauque de la femme :
- Vous n'êtes pas un vrai adepte du naturisme.
Un peu étonné je relève la tête pour la regarder. Je comprends en voyant son regard posé sur mes fesses.
Je ne suis pas allé beaucoup à la plage cette année, mon corps est tout juste cuivré mais la marque du slip se remarque comme le nez sur la figure.
- Non pas que je n'aime pas mais dans ma région c'est guère possible, pas de plage nudiste.
Je lui raconte d'où je viens et peu à peu on se fait des confidences.
J'apprends qu'ils sont de Montpellier ou ils travaillent tous les deux et qu'ils ont un pied à terre à la Grande Motte, la cité un peu futuriste à peine sortie de terre, ou plutôt de marécage et qui fait polémique question esthétique.
- Certains n'aiment pas mais c'est bien pratique, juste au bord de l'eau et une belle plage au pied des immeubles.
Je leur dit que je suis à l'hôtel au Grau du Roi pour une semaine ou plus et surtout que je découvre la région.
Le temps passe ainsi, de temps en temps des voyeurs viennent se rincer l'oeil mais devant nos regards lourds et appuyés ils abandonnent assez rapidement.
Le soleil continue à taper dur, je sens ma peau qui chauffe au soleil. Je n'ai pas de crème à bronzer. Je ne peux pas faire autrement, il faut que je me retourne si je veux continuer à pouvoir m'assoir dans les jours qui suivent.
Je bande toujours autant, ma queue tendue au maximum sépare mon bas ventre en deux. Je soulève mes couilles pour bien les replacer entre mes jambes légèrement écartées. Je fais comme si de rien n'était et j'ai fermé les yeux tout en tenant ma tête tournée vers la femme. Je respire un peu plus fort que d'habitude, pensant que si quelque chose doit se passer, c'est maintenant ou jamais.
Au bout de quelques secondes je sens une main douce se poser sur ma queue. Je pousse comme un soupir de soulagement tout en ouvrant légèrement les yeux.
Sophie, a clairement remarqué le soupir et me sourit tendrement, tout en caressant mon sexe. Elle s'est mise de côté, son coude replié, sa main gauche maintenant sa tête. Sa jambe droite est relevée, son genou plié et son pied reposant sur le sol. De cette façon le compas de ses jambes est largement ouvert à ma vue ou aux caresses de son mari.
Celui-ci ne s'en prive pas et je vois la main de Jacques qui se trouve derrière caresser sa chatte et son entrejambe. La main glisse doucement, disparait presque et réapparait, explorant l'entre jambes, la chatte, la raie culière et les belles fesses de Sophie.
Le spectacle est magnifique, mes yeux vont des nichons, à peine déformés par la position, à la main qui glisse sur le sexe, le dévoilant et le cachant tour à tour. La main se Sophie glisse sur ma bite, l'entoure, descend vers mes belles couilles pleines et la caresse, légère, aérienne est fabuleuse.
Par moments sa main abandonne complètement ma queue pour venir s'insinuer entre mes cuisses bien écartées à présent, glissent sous mes boules gonflées, semble les soupeser, puis remonte vers mon bas ventre, repart de l'autre côté et pour venir caresser l'intérieur de mon autre cuisse, à nouveau une caresse de mes beaux bijoux sensibles et volumineux, et ainsi de suite. Mon souffle se fait de plus en plus court. J'ai une grosse activité sexuelle, je veux dire qu'il faut que je jouisse au moins deux fois par jour, en faisant l'amour ou en me masturbant si je n'ai pas de partenaire.
Là je n'ai pas encore joui aujourd'hui et je sens mes couilles me faire presque mal tellement elles sont pleines et ne demandent qu'à se vider.
Sophie s'est bien sur rendu compte de mon état proche de l'explosion. Ses yeux presque fermés, elle aussi sensible aux caresses de son mari, me fixent d'un air trouble. D'une voix à peine audible elle demande :
- C'est bon ? Tu aimes ?
C'est presque un murmure qui s'échappe de ses lèvres, et sa voix indique clairement qu'elle aussi est super excitée. Je lui réponds de la même manière, car je suis vraiment proche de la jouissance.
- J'adore ! Oh oui ! Ah comme c'est bon ! C'est bon !!!!
Je reporte mon regard vers mon sexe, mon gland est rouge violet d'excitation. J'ai l'impression qu'il n'a jamais atteint cette taille, il me semble énorme. Cette vue de mon sexe que j'adore renforce mon excitation si besoin était. Sophie comprend que je vais jouir. Empoignant mon sexe à pleine main, elle me branle pour de bon cette fois.
- Vas-y ! Vide toi ! Oui vas-y, je veux te voir gicler !!
Elle n'a pas fini sa phrase que je me répands à grandes giclées. La première atterrissant largement derrière ma tête, les suivantes de plus en plus courtes sur mon visage et ma poitrine.
Je gémis en me tordant de jouissance et Sophie continue de me branler de plus en plus furieusement.
- Vas-y ! Oui ! Encore ! Oui vas y !
Enfin la source se tarit, elle continue de me branler de plus en plus doucement tandis que mes gémissements de bonheur s'estompent peu à peu.
Je tourne mon regard mourant et plein de reconnaissance vers elle, son sourire en dit long sur le plaisir qu'elle-même a ressenti en me voyant me vider.
De plus, son mari a glissé 2 doigts dans sa chatte, deux doigts qui disparaissent et réapparaissent plein de mouille épaisse. Je me tourne vers elle et lui caresse la poitrine. Je la découvre à la fois dure et souple, mes doigts pincent gentiment les bouts dressés et longs. Elle semble aimer et être toute proche de la jouissance elle aussi.
- Oui ! Oui mon chéri ! Fort ! Branle moi fort ! Oui ! Oui je vais jouir !Ahhhhh
Elle jouit de belle façon tandis que les doigts de Jacques lui fouillent la chatte de façon frénétique.
Sophie s'allonge, sa respiration est hachée, sa poitrine se soulève à toute allure.
Pendant un moment personne ne parle.
Le fait que Sophie se soit allongée découvre le corps de Jacques et surtout son sexe qui était caché à ma vue. Sa queue est de belle taille aussi, gonflée et sans doute prête à jouir lui aussi.
Sophie se tourne vers son mari, lui fait un grand sourire complice. Elle se déplace sur sa serviette, sa bouche vient au contact de la bite tendue. Jacques pousse un soupir de contentement. Sa main vient se poser sur le cou et les épaules de sa femme tandis que celle-ci le pompe de manière savante, alternant les longs va et vient avec les petits coups de langue sur le gland gonflé.
- Oui vas-y, vas-y ma belle salope, suce moi bien ! Oui ! Ah que c'est bon !
Tournant la tête vers moi, il me dit :
- J'ai jamais eu de meilleure suceuse je te jure ! Ah oui ! Oui salope !
Il ne tarde pas à se vider dans la bouche accueillante en râlant de bonheur.
- Oui ! Oui tiens ! Tiens salope ! Salope ! Ahhhh !!!
Les râles s'arrêtent, Sophie continue de le sucer jusqu'à ce que Jacques l'attire vers elle. Tendrement ils s'enlacent, leurs bouches se joignent et ils restent ainsi collés un bon moment.
Ils se défont et s'allongent. J'admire ce couple qui est vraiment uni et qui aime l'amour sans retenue et sans vulgarité non plus.
Personne ne dit rien pendant un moment puis Jacques demande :
- C'était bien Serge ?
Un peu gêné, je réponds :
- C'était super, jamais on m'avait caressé de cette manière !
Sophie se tourne vers moi et me remercie d'un sourire. Son regard se pose sur ma queue, détendue mais encore de belle taille. J'ai essuyé le sperme qui avait éclaboussé mon corps.
Admirative elle ne peut s'empêcher de dire :
- Qu'elle est belle !
Je suis assez fier de ma bite mais le compliment sincère et naturel me comble de joie.
Jacques acquiesce :
- En effet, t'en as une bien belle, tu l'aimes ma chérie ?
Elle ne répond pas mais son regard en dit long. Jacques enchaine :
- Tu aimerais te joindre à nous ce soir, chez nous ? Je crois que ma femme a très envie d'aller plus loin.
Difficile de dire non, inimaginable même.
- Bien-sur, avec grand plaisir.
Le couple est ravi. La journée se termine et on décide d'un commun accord de rentrer. Je me lève les autres en font autant. Sophie regarde autour d'elle, je fais pareil, plus personne à l'horizon. Se mettant à croupetons elle écarte généreusement ses cuisses et satisfait à un besoin naturel et important car la miction ne semble jamais s'arrêter. Un jet puissant qui creuse un trou dans le sable.
Je suis bouleversé par le spectacle. Ayant moi-même une belle envie de pisser, envie que j'avais l'intention de satisfaire derrière un bosquet, je me vide à mon tour, ma bite se redressant en même temps sous l'effet de la scène d'un érotisme rare. Ma pisse fait une belle parabole avant d'atterrir dans le sable. Jacques avec un grand sourire fait de même mais lui ne bande pas.
Quand j'ai fini de pisser, une belle érection redresse ma bite pointe vers le ciel de façon magnifique.
Sophie se redresse, un grand sourire canaille aux lèvres, de sa main elle effleure ma bite qui en a une pulsation de désir. Se tournant vers Jacques elle dit :
- Je sens qu'on va bien s'amuser ce soir, qu'en penses tu mon chéri ?
- Je crois moi aussi ma chérie.
Nous nous rhabillons tous les trois et nous dirigeons vers le parking.
Arrivés à nos voitures le couple me donne les coordonnée de leur immeuble et on se met d'accord pour le rendez-vous chez eux.
Arrivé à mon hôtel je me déshabille et me mets sous la douche. Je mets l'eau presque froide, espérant faire retomber mon désir. Je réfléchis à tout ce qui est arrivé aujourd'hui. Le moral qui en avait pris un coup est revenu en force, que la liberté est belle et que le sexe est bon !
Il est 19h00, je tourne un peu en rond, arrivant à grand peine à calmer mon excitation. Enfin je m'habille et sors de l'hôtel, j'ai rendez-vous à 20 heures.
En fait le trajet est plus long que prévu, beaucoup de voitures et trouver l'immeuble n'est pas aussi simple que je pensais.
Enfin je trouve et sonne. Je reconnais avec plaisir la voix qui me répond de monter. L'appartement est presque tout en haut de l'immeuble. Sortant de l'ascenseur, je distingue la porte laissée entr'ouverte.
Je frappe et entre après avoir reçu un :
- Vas-y Serge, entre !
Je pénètre dans le hall sympa et je suis accueilli par Jacques en pleine forme apparemment. Il me dit :
- Non, fallait pas !
Il me parle de la bouteille de bon rosé de Provence que j'ai dans un emballage isotherme.
Il me la prend des mains pour aller la mettre au frigo.
- Elle est encore dans la salle de bains, tu connais les femmes !
J'acquiesce, mais en moi-même je me dis que non, enfin pas des femmes comme elle.
De nouveau je me dis que la liberté n'a pas de prix, a moins d'avoir comme épouse ou compagne une Sophie.
Je luis dis ma pensée, il est d'accord, sa femme est formidable. J'hésite puis me jetant à l'eau :
- Je peux te demander quelque chose ?
- Tout ce que tu veux Serge
- Vous, enfin' Heu, ya longtemps que vous'. Heu faites ça ?
Mon bafouille ment le fait sourire. Il m'explique qu'ils se sont rencontrés en club après des expériences malheureuses chacun de leur côté et que depuis ils ne voulaient plus se priver de rien et aimaient faire l'amour avec des gens de rencontre, dans des clubs spécialisés ou ailleurs.
- Mais pas n'importe qui, des gens de bonne compagnie, pas des tarés et surtout côté hommes qu'ils soient bien pourvus. Des personnes comme toi quoi.
J'apprécie et le remercie.
Enfin Sophie fait son apparition, magnifique dans une espèce de tunique qui lui arrive à mi-cuisses, blanche et à moitié transparente. Gentiment elle vient me faire un baiser sur la joue en disant que le repas était prêt.
En fait le repas consistait en petits plats décongelés tout préparés de toute sorte.
- C'est plus sympa non ?
Je suis d'accord, ils amènent quelques petits plats sur la terrasse, une bouteille de rosé et on pioche dedans tout en discutant aimablement de tout et de rien.
La terrasse n'est pas très grande mais sympa et une super vue sur le port. L'équipement consiste en 2 banquettes basses doubles en rotin avec une table basse au milieu. Le couple est sur l'une des banquettes, moi en face.
La tenue plus que légère de Sophie me met l'eau à la bouche. Je bande de façon éhontée et je ne sais si ça se voit.
Je porte un bermuda léger comme souvent à cette saison et un tee shirt assez ample. Pas de protubérance apparente me dis-je.
Sophie croise et décroise assez souvent ses jambes, la question que je me pose est : Porte-t'elle une culotte ou un string ? Ou rien ? Je parie pour le string. A chaque croisement de jambes, j'ai du mal à ne pas baisser mes yeux.
La première bouteille de rosé est vide, Jacques va en chercher une autre. Sophie va chercher un nouveau plat.
Elle revient, plus dans la même tenue, sa tunique a disparu et est simplement vêtue d'un string. Elle pose le plat et me regardant dans les yeux :
- Je me sens mieux ainsi. Tu peux te mettre à l'aise tu sais.
Je me débarrasse de mon tee shit. Elle ne peut pas éviter de voir la déformation de mon bermuda.
L'air coquin elle me dit :
- Tu peux enlever ton bermuda tu sais.
Je lui réponds que je ne porte pas de slip. Jacques revient avec la bouteille débouchée et remplit les verres à nouveau. Lui aussi est en slip.
Sophie se lève et vient s'assoir à côté de moi. Ses deux mains s'activent sur le cordon qui sert de ceinture et ferme le léger vêtement. Elle écarte les pans et doucement s'empare de mon sexe. Les yeux rivés dessus, sa main monte et descend lentement sur ma hampe bien dressée.
Elle se penche, sa bouche avale mon membre. Elle suce divinement bien, Jacques avait raison. Elle ne s'attarde pas, se relevant elle m'enjambe et s'empale sur mon chibre dressé. Un grand Ahhhh !! de satisfaction sort de sa gorge.
- Ah qu'elle est bonne ! Ah que j'en avais envie !
Je lui caresse les fesses et l'aide dans ses mouvements de va et vient. Un roucoulement de bonheur roule en continu et sort de ses lèvres.
Je regarde Jacques en face de moi qui se branle en douceur, le regard fixé sur le cul de sa femme ou il peut sans doute apercevoir ma queue perforer la belle chatte de Sophie. Il semble très excité.
Je sens le plaisir qui monte dans tout mon corps, Sophie aussi semble près de la jouissance. Elle me griffe le cou et je ressens les pulsations de sa chatte. Une mouille abondante coule de ce sexe accueillant et coule sur mes couilles.
- Oui ! Oui ! Ah ouiiii !
La jouissance arrive, brutale, je sens les palpitations du con qui enserrent ma bite qui ne semblait attendre que ça et je me déverse à grandes giclées. Cela redouble son plaisir.
- Oui ! Oui toi aussi ! Oui ! Ahhhh !
Enfin les râles s'estompent, elle reprend son souffle dans mon cou, je lui caresse doucement le dos, les épaules. Jacques est toujours en train de se branler. Je le vois se lever et venir sur notre côté. Je tourne la tête, sa bite est tout près de nous. Elle aussi tourne sa tête et gobe le membre de son mari.
J'assiste à une belle fellation en direct si je peux dire et vraiment tout près de moi. Jacques impose son rythme en posant la main sur la tête de Sophie. Très vite le plaisir arrive, elle avale consciencieusement la semence de son homme jusqu'à la dernière goutte.
La bouche libère la bite qui ramollit très vite. Elle se lève, ma queue retombe mollement sur mes cuisses.
Mettant sa main en conque entre ses cuisses, elle se dirige vers la salle de bains. Jacques de son côté prend une serviette en papier et s'essuie la bite.
Sophie revient, elle a remis sa tunique suggestive. Je comprends que la récréation est terminée. Avec un sourire désolé elle dit :
- Demain on reprend le travail.
Je l'embrasse, serre la main de Jacques et on se dit au revoir. Je ne propose pas de rendez-vous, eux non plus. Cela ressemble fort à un adieu, mais je les comprends.
J'ai rencontré un couple uni et libertin qui ne désire que des rencontres furtives, pas de liaison et je respecte leur choix.
Je retourne vers mon hôtel, le c'ur en fête et me disant que les vacances commençaient bien.
Les jours se sont suivis et ont tous été différents mais je dois dire que je ne suis jamais rentré les bourses pleines.
Peut-être raconterai-je un jour ces péripéties, mais en tous cas ce fut une semaine inoubliable.