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Proposée le 6/03/2011 par zoorg35
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Je suis commercial en informatique et viens tout juste de sortir d'un rendez vous assez éreintant. Il est presque 17h00 et je vois un troquet de l'autre coté de la rue. Je décide de m'accorder une petite pause, je pénètre dans le bistrot et commande un café. Je tournais machinalement ma petite cuillère dans ma tasse quand je vis une belle femme brune s'assoir quelques tables plus loin face à moi. Elle devait avoir le même age que moi à savoir 35 ans. Très vite je fus hypnotisé par ses délicieuses jambes gainées de noir. J'essayais discrètement de deviner si elle portait un collant ou des bas, parfois son regard croisait le mien et je faisais alors l'innocent en me mettant à regarder ailleurs. Elle avait maintenant les jambes croisées, elle me dévoilait ainsi un peu plus ses cuisses mais je ne voyais toujours pas de traces de bas.
Je faisais trainer le dégustation de mon café le plus longtemps possible pour continuer à contempler les delicieux compas qui me faisaient face. La charmante demoiselle se pencha alors sur le coté pour fouiller dans son sac, je pus alors distinguer pendant quelques secondes la lisière d'un bas. J'étais incroyablement excité et commençais à avoir un début d'érection. Je tentais de rester discret mais mon regard était irrésistiblement capté par cette vision idyllique.
Elle finit par payer son chocolat et quitta les lieux, je ne sais quelle force intérieur me fit me lever et je me mis à suivre cette belle inconnue, c'était comme si ses jampes m'avaient harponné et qu'elles me tiraient par l'intermédiaire d'un fil invisible. J'essayais de rester discret et je restais une dizaine de mètres en retrait. Alors qu'elle marchait je fixais ses belles jambes et scrutait chaque détail. Elle avait une jupe qui arrivait au dessus du genou et des chaussures à talon d'au moins 5 cm, elle avait de la prestance et beaucoup de classe.
Elle s'arrêtait de temps en temps regarder les vitrines des boutiques, je pense alors qu'elle s'aperçut que je la suivais car au lieu de continuer tranquillement, je m'arrêtais également devant des boutiques tout en conservant une certaine distance. Malgré tout je continuais ma filature, je m'étonnais de tant d'audace, je sentais mes jambes flageoler face à tant d'excitation, mes mains étaient moites et j'avais la gorge nouée. Je sentais mon c'ur qui palpitait et le sang qui cognait contre mes tempes.
Mon inconnue s'arrêta devant le porche d'un immeuble, elle s'immobilisa quelques secondes et regarda dans ma direction, j'eus même l'impression qu'elle me fixait, puis elle franchit la porte
Voulait-elle m'attirer et me prendre au piège dans ses filets ?
Je décidais de jouer la victime consentante et m'engouffrais fébrilement dans ce délicieux traquenard. Je franchis la porte, elle donnait dans le hall d'un vieil immeuble, je m'avançais tout doucement quand une furie brune me plaqua contre le mur et m'embrassa fiévreusement.
Complétement surpris, je laissais tomber ma mallette, la prenais dans mes bras.
Tout en l'embrassant je me mis à caresser et palper son joli fessier, elle fit également descendre une de ses mains qui était dans mon dos et la fit glisser sur mes fesses sous mon pantalon. Elle me pelotait littéralement et attirait mon bassin contre son bas ventre. Elle se frottait contre mon sexe qui était désormais en pleine érection. Elle interrompit soudain son baiser et me dis simplement : Prends-moi, j'ai envie de toi.
Excité par la situation j'inverse alors alors les rôles, je la plaque contre le mur, y écrasant sa poitrine et son visage, je me colle à elle, calant mon sexe entre ses fesses. Puis je passa mes mains sur son ventre et commença à caresser son buste, lentement je les descendis et me mis à caresser ses cuisses. Tout doucement je remontai mes mains sous sa jupe le m'attardais sur l'intérieur de ses cuisses. Je tombais bientôt sur la large bande de dentelle de ses bas, puis une main se colla contre sa fente. Le tissu de ton string était déjà bien humide, je le fis glisser sur le coté et mis à caresser un sexe soigneusement épilé, je ne sentais aucune race de pilosité, c'était un vrai délice.
Ma belle inconnue respirait de plus en plus fort, elle frottait son arrière train contre mon sexe, le faisant coulisser entre ses fesses. Puis je plongea un doigt dans son intimité, elle tourna la tête pour m'embrasser de nouveau.
Nous étions collés l'un à l'autre, ondulant à l'unisson, de mon autre main, j'abandonnais sa cuisse fuselée et empoigna un de ses seins. Je fouillai son intimité avec mon doigt, elle coulait littéralement de plaisir et commençait à pousser de longs soupirs.
Elle interrompit de nouveau notre baiser et me dit: Viens vite, je n'en peux plus.
Je lui répondis bêtement : Je n'ai pas de préservatif, et toi ?
Elle me répondit : Moi non plus, prends moi mais tu te retireras pour finir.
Sans hésiter, je déboutonnai mon pantalon et relevai sa jupe. Je pris son string que je glissais rapidement sur le coté et présenta mon sexe contre sa fente.
Je m'introduisis doucement en elle, elle commença aussitôt à pousser des petits gémissements. Je me mis à faire coulisser ma tige dans son sexe et commença également à masser son petit bouton. Elle haletait sous mes coups de boutoir, elle avait les mains plaquées contre le mur, et je la sentais venir à la rencontre de mon bassin pour accentuer la pénétration.
Je mis ensuite à l'agripper par les hanches pour la besogner de plus en plus fort. Je lui assenais de grands et amples coups de rein. Elle poussait maintenant des petits cris à chacun d'entre eux.
Elle m'avait tellement excité que je ne pus me retenir très longtemps, mon sexe était si bien dans ce délicieux fourreau que j'en sortis au dernier moment, lui envoyant ainsi plusieurs jets de sperme sur la fesse droite. Ma semence dégringola le long de son globe pour s'écraser sur la lisière de son bas.
Elle s'effondra en age contre le mur, moi je restais un peu penaud le sexe à l'air. Elle me dit : Tu as des mouchoirs pour que je m'essuie.
Je fouillais dans la poche de ma veste et en sortit un paquet de kleenex que je lui tendis. Elle s'essuya et remit de l'ordre dans sa tenue. Je profitai de ce moment de nettoyage pour admirer son anatomie et son joli fessier. Puis je rangeais mon sexe qui était encore à moitié dur dans mon pantalon.
Elle sortit un stylo et me dit : Tu me laisses ton numéro, on se sait jamais.
Elle nota alors mon numéro de téléphone sur un kleenex, puis elle se dirigea vers la sortie, me déposa un petit baiser sur les lèvres et avant de franchir définitivement la porte me dit : C'était super, à bientôt... Peut-être.