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Proposée le 25/02/2011 par Sylvestre
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Eva était belle. Elle l'avait toujours été. Blonde, grande, les yeux noisette, une bouche pulpeuse à souhait, des seins bien fermes et des fesses rondes. À 3 heures et demi du matin, à demi nue dans la cuisine de son patron, un verre de lait à la main, elle se remémorait la première fois qu'elle avait découvert qu'elle pouvait faire beaucoup d'effet aux hommes.
Elle se le rappelait très clairement. Elle avait 18 ans, allait bientôt quitter le lycée pour aller à la fac. Un vendredi soir du mois d'Avril, elle était restée plus tard à la bibliothèque et avait donc raté le dernier bus pour rentrer chez elle. La jeune fille décida de rentrer à pieds. Le chemin du lycée jusqu'à la maison était long et passait par une sorte de forêt. Ses parents n'habitait pas en ville, mais à la campagne, dans un petit bourg composé de six ou sept maisons.
Eva commença à marcher. Elle venait de sortir de la ville quand une voiture s'arrêta devant elle, sur le bas côté de la route. La portière côté passager de la berline s'ouvrit. Eva prit peur. Une fille seule, marchand sur une route déserte, le soir... Mais une voix familière l'appela :
- Eva, c'est Monsieur Martineau, monte, je te raccompagne.
Monsieur Martineau était son professeur d'anglais. Rassurée, Eva monta avec plaisir. Les premières minutes du trajet se passèrent sans qu'aucun d'eux ne parle. Cependant, Eva remarqua que Monsieur Martineau regardait furtivement le décolleté de son chemisier et que ses yeux se posaient ensuite sur ses cuisses. Elle portait un petit gilet noir, une chemise imprimée de légères fleurs et une jupes en jean très courte. Eva aimait que le regard de son professeur se pose sur elle comme cela. Elle fit semblant de ne pas le voir, feignit d'avoir chaud pour retirer son gilet et déboutonner un peu plus son chemisier. Elle écarta un petit peu ses cuisses. Une idée lui traversa l'esprit. Elle avait déjà vue des membres masculins mais branler les copains dans les toilettes du lycée n'avait rien à voir avec ce qu'elle s'apprêtait à faire.
Elle prétexta d'être malade en voiture et demanda à Monsieur Martineau de s'arrêter ce qu'il fit immédiatement.
- Est-ce que tu vas bien ? Demanda-t-il.
Eva ne répondit pas et se jeta sur lui comme une folle. Elle ouvrit sa braguette tout en défaisant complètement son propre chemisier. Elle détacha son soutien gorge, offrant à la vue de son professeur ses seins déjà bien avantageux pour une adolescente (à 18 ans, elle faisait du 85 C). Elle empoigna son sexe tendu commença à le lécher. Monsieur Martineau ne protesta pas, au contraire. Sa main droite agrippa la poitrine d'Eva, commença à la malaxer en lui pinçant quelques fois les tétons alors que sa main gauche s'était posée sur sa chevelure accompagnant les mouvements de tête de la jeune fille. Eva pris le sexe dans sa bouche et alternait entre aspirations et coups de langue. Monsieur Martineau n'essaya même pas de se contrôler. Ses doigts se crispèrent sur la poitrine d'Eva, lui procurant une douleur presque jouissive et le sentit se décharger en elle. Il était en sueur, haletant. Apparemment sa femme ne lui avait pas procuré de plaisir depuis longtemps. Eva continua à lécher le sexe érigé de son partenaire, aspirant les quelques gouttes de délicieux liquide qui s'échappaient encore de son gland.
Monsieur Martineau dut se reposer quelques instants alors qu'Eva se rhabillait. Il redémarra et reprit la route. Un silence gênant s'était installé entre eux jusqu'à leur arrivée devant le portail de la maison d'Eva. La jeune fille, brisa ce silence :
- Ne t'inquiète pas, je ne dirai rien à ta femme, ni à personne d'autre.
Sur ces mots, elle sortit de la voiture, sans un regard en arrière.
Eva avait cours d'anglais avec Monsieur Martineau tous les mercredi et vendredi. La semaine suivante, le professeur ne semblait toujours pas s'être remis de ce « petit voyage ». Il ne regardait plus Eva dans les yeux, rougissant presque en sa présence, ne l'interrogeait plus. Il était troublé et Eva s'en amusait : Elle s'asseyait toujours au premier rang, portait des T-shirts moulants et des jupes très courtes, le plus souvent sans petites culotte, montrant sa nudité au professeur.
Peu à peu, les « vendredi soirs » devinrent des habitudes. Le rituel était le même. Eva attendait le professeur devant sa salle, ils montaient en voiture, s'arrêtaient sur le chemin, la jeune fille le suçait, et quelques fois, Monsieur Martineau se laissait même aller lui titiller le clitoris avec ses doigts.
Une situation lassante qui changea le dernier vendredi de cour avant les épreuves du baccalauréat. Il était 19 heures 30 et Monsieur Martineau s'apprêtait à quitter le laboratoire de langue pour retrouver Eva devant sa salle mais c'est elle qui vint à lui. Elle portait une légère robe à fleurs visiblement sans soutien-gorge et sa poitrine charnue rebondissait délicieusement sous le fin tissu presque transparent. Eva ferma la porte du labo à clé et s'assit sur le bureau, Monsieur Martineau en face d'elle.
- J'ai envie d'autre chose, dit elle lascivement.
Pour la première fois, le professeur prit l'initiative, ce qui surprit Eva mais ne lui déplut pas. Au contraire. Il commença par lui caresser les seins, frottant ses tétons à travers le tissus. Il plongea les mains dans son décolleté et en sortit ses deux énormes appâts. Il les lécha et les embrassa goulument tout en cherchant maintenant de ses doigts le chemin de son intimité. Il allongea Eva sur le bureau et lui retira sa fine culotte en dentelle noir. Il sentit son clitoris chaud et humide sous sa robe et commença à le caresser. Délaissant les seins, il fourra sa tête entre les cuisses de la jeune fille qui se tortillait de plaisir sur la table. Il commença par lécher tout doucement, sans insister. Eva ressentit une légère chatouille qui la rendait folle. Elle se redressa d'un coup et lui fourra franchement la tête entre les jambes. Le professeur stoppa net son action.
- Ce soir, c'est moi qui décide, dit-il.
Il fit allonger de nouveau Eva et reprit ses légères caresses. Eva ne tenait plus et tentait de se maîtriser pour ne pas interrompre la montée du plaisir une nouvelle fois. Elle fut récompensée. Les coups de langue se précisèrent et se firent plus insistants. Le professeur suçait son clitoris et Eva gémissait de plaisir. Bientôt, la langue de Monsieur Martineau fouillait en elle de plus en plus durement et de plus en plus profondément.
À présent, la robe d'Eva n'était plus qu'un bout de tissu roulé en boule autour de sa taille. Le professeur avait cessé ses coups de langues. D'une main, il caressait de nouveau les seins de la jeune fille alors que de l'autre il avait baissé son pantalon et secouait maintenant son membre turgescent. Monsieur Martineau ne laissa pas l'excitation d'Eva s'apaiser un instant, il enfonça d'un seul coup son sexe bien tendu. Eva fut surprise, ressentit une légère douleur qui disparut dès que le professeur commença son va-et-vient. Doucement, tendrement. Il l'embrassait dans le cou, lui mordillait les lèvres et lui malaxait les seins. Puis, de plus en vite et de plus en plus fort. Eva pouvait sentir son gros gland venir cogner le fond de sa paroi.
Ils étaient tous les deux en sueur. Ils gémissaient, ils haletaient et leur corps entremêlés bougeaient à l'unissons. Enfin, la délivrance. Le professeur poussa un cri rauque alors que les gémissements d'Eva étaient plus forts et plus longs jusqu'à se transformer en un hurlement aiguë. La jeune fille sentit Monsieur Martineau se vider abondamment en elle. Il se retira et continua de le faire sur ses seins et dans sa bouche. Eva avala toute la semence que son professeur lui donna et dans l'excitation elle se caressa la poitrine avec.
Eva était fébrile. Elle venait de connaître son premier vrai orgasme. Elle avait découvert qu'elle pouvait faire de l'effet aux hommes mais également que ceux-ci pouvaient lui en procurer d'avantage.