Chez Irène (5)

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Proposée le 21/02/2011 par sergio06

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Comme stipulé dans la description, cette histoire comporte de l'inceste, merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'appréciez pas.


Lire le chapitre 4.

Le lendemain André retourne à son travail, avec la même joie, le même entrain que d'habitude. L'idée de commencer une nouvelle semaine dans cette usine le rend malade. Il se fait régulièrement charrier sur son manque d'enthousiasme mais il n'en a rien à faire.
La journée de labeur terminée, il va directement chez Sylvie et Bernard.
Malheureusement le père est là, mauvaise surprise. Celui-ci était fiévreux ce matin, le docteur lui a donné quelques jours d'arrêt de travail.
Faisant contre mauvaise fortune bon c'ur, il reste néanmoins. De toute façon il a averti Sonia ce matin qu'il était invité. Ils mangent tous, puis le père fatigué va se coucher.
Dans cette petite maison, difficile de faire l'amour en cachette. André se décide à rentrer.
Il traverse la cour et s'apprête à rentrer chez lui quand il entend des voix du coté de Sonia et Jacques. Et c'est bien la voix de Jacques qu'il entend. Se demandant ce qui se passe, il entre chez lui et se change.
Après quelques instants on frappe et Sonia entre. Elle demande à emprunter un ustensile de cuisine, mais ce n'était visiblement qu'un prétexte. Elle lui dit à voix basse que Jacques est là, ce qu'il savait déjà. A la question pourquoi elle lui répond :
- Il a reçu un télégramme aujourd'hui lui disant de ne pas aller travailler ce soir mais de se présenter demain matin à la direction de l'usine. Il ne sait pas pourquoi et il est inquiet.
Elle repart, laissant André perplexe. Décidémént c'est la journée des contre temps. Le père de Sylvie d'abord, ensuite Jacques. Bon et bien il n'y a plus qu'à aller se coucher se dit-il. Arrivé dans sa chambre il se déshabille entièrement et s'admire dans le miroir. Il se trouve beau. Il se met à bander et s'asseyant, il écarte largement les jambes et se branle à nouveau devant le miroir, pensant à sa mère tout en l'imaginant en train de se branler.
Le lendemain matin il retourne au travail en traînant les pieds à son habitude. Une nouvelle fois la journée parait interminable.
Rentrant à la maison Sonia vient l'informer que la direction de l'usine de Jacques lui a proposé un travail mieux rémunéré. C'est une belle promotion pour lui, un travail plus agréable au bureau et à la journée, un salaire plus intéressant. De plus il a droit à un logement de fonction meublé par la compagnie.
Bien sur il faut qu'il déménage, ce qui ne pose aucun problème, tous les meubles appartiennent à Monique. Les seules affaires que Jacques et Sonia possèdent sont leurs habits.
André n'en revient pas. Tout cela a été très vite. D'un autre coté il est content, il se débarasse d'une amante qui lui paraissait déjà encombrante juste au moment où il en a trouvé une autre.
Il se change et va chez ses amis.
Il leur raconte les derniers évènements et ils l'invitent à souper, ce qui l'arrange bien. Il retourne se coucher, se branle à nouveau devant le miroir, nettoie les dégâts et se couche, apaisé.
Le lendemain sa mère vient le réveiller. Il se lève, la mine maussade, revêt son pyjama et se lève. Sa mère est en train de boire son café. Il passe devant elle et sort pour se vider la vessie.
André, comme tout homme normalement constitué a le membre en érection le matin, provoqué par le besoin d'uriner.
Ce matin donc, comme d'habitude il bande superbement. Se frottant les yeux, il passe devant Monique qui l'observe. Jusqu'à présent elle le regardait comme un fils, regardait sa tête, essayant de deviner comment il allait.
Ce matin c'est différent. Depuis hier, depuis qu'elle a vu de ses propres yeux la bite de son fils, qu'elle a vu un membre d'une grosseur exceptionnelle, elle ne pense plus qu'à ça. Elle la revoit cracher son jus sur le miroir, laissant des coulées laiteuses.
Ce matin ses yeux ne se fixent pas sur le visage d'André, mais sur l'entre jambes du pyjama. Le fin tissu du pantalon large ne comprime rien, ne dissimule rien. Il expose une virilité incroyable.
Monique se sent à nouveau envahie par un émoi, un désir qui la fait frissonner de désir.
Qui plus est, André ne va jamais pisser dans les toilettes le matin, il arroserait tout. Depuis longtemps il a réalisé qu'il était plus facile de pisser dans un coin de la cour que de faire des contorsions pour finalement arroser les murs et la planche du cabinet.
Sans se douter que sa mère l'observe, il se vide la vessie. Une belle parabole émerge et atterrit sur le coin du mur. Il secoue son membre longtemps, se débarrassant des dernières gouttes et la remet dans sa culotte. Il se retourne et se dirige vers la maison.
Monique voit distinctement la belle bosse que ne peut dissimuler le léger vêtement et elle respire plus fort. André entre dans la pièce, un peu plus réveillé et il note le coup d'oeil que sa mère lance sur son entre jambes. Il note également que ça n'est pas fortuit et que son visage est tendu.
Il mange, observé par Monique. Soudain elle lui demande :
- Que t'est-il arrivé ?
Sans comprendre, il la regarde et repond :
- Que veux-tu dire ?
Il suit son regard et comprend immédiatement. Il boit un peu de café puis :
- C'est rien, c'est pas grave, j'ai mis un peu de pommade.
- Quelle pommade ?
Là il est coincé, il serait bien embêté de dire laquelle. Décidant que la meilleure défense est l'attaque, il fonce.
- On m'a mis de la pommade, je ne sais pas laquelle. C'est une femme qui m'a mordu sans le faire exprès.
Et il la regarde, attendant sa réaction. Elle sourit d'un air bizarre, un air qu'il ne lui connaît pas puis lui dit :
- Pour qu'elle te morde comme ça, elle ne devait plus savoir ce qu'elle faisait.
Elle a dit ça comme si elle attendait une réponse. André se pique au jeu et, la regardant au fond des yeux :
- Oui, je pense. On faisait l'amour et elle m'a mordu pendant qu'elle jouissait.
Le sourire aux lèvres et les yeux brillants elle lui répond du tac au tac :
- Il faut croire que tu es doué pour mettre une fille dans ces états.
- Je ne sais pas, sans doute. Il n'y a qu'une femme pour le dire.
Elle hésite un moment puis lui demande :
-En tous cas j'espère que c'est une femme d'expérience, pas une jeune fille ?
Il sourit à cette évocation. Sylvie est tout sauf une petite pucelle.
- Ne t'inquiète pas maman, c'est une femme d'expérience. Je t'ai déjà dit également que je voulais m'amuser, pas me marier. Je découvre les femmes et je les aime beaucoup. J'ai envie de tout connaître, tout savoir.
Et il assène ces derniers mots :
- J'aime beaucoup faire l'amour maman, c'est mal ?
C'est à son tour d'être désarçonnée. La discussion prend une tournure qui l'effraie. Il ajoute :
- Dis-moi maman, réponds moi franchement : Tu aimes faire l'amour ?
Elle le regarde avec des yeux ronds, la bouche ouverte, sonnée par la question brutale, inattendue. Il voit qu'il l'a touchée, son émotion est trop grande. Il insiste :
- Réponds-moi maman, je t'en prie.
La poitrine de Monique se soulève à un rythme rapide. Ses seins libres sous sa veste de pyjama la déforment. On voit nettement les gros bouts pointer à travers le tissu léger.
Enfin elle répond :
- Bien-sur mon chéri que j'aime l'amour, mais quand c'est bien fait, quand c'est désiré, ce qui n'est pas toujours le cas.
André jubile, enfin elle accepte d'en parler. Il décide de pousser son avantage, c'est le moment ou jamais.
- Explique-moi maman, j'ai besoin de savoir. Je voudrais savoir si je suis bon en amour. Je veux savoir ce qu'il faut faire pour bien contenter les femmes.
Monique sent un désir intense l'envahir. Tous les deux se regardent, leurs yeux brillent. Chacun perçoit dans les yeux de l'autre l'intensité de son propre désir. Elle a perçu une altération dans la voix de son fils. Elle voit, elle sait qu'il la désire, tout comme elle le désire lui, son fils, son fils qui avec sa queue énorme l'empêche de dormir, de penser à autre chose depuis hier.
Tout doucement, comme ayant peur que le charme se rompt, elle lui dit :
- Pour rendre une femme heureuse un homme doit d'abord être gentil. Mais bien sur ça ne suffit pas. Il faut pouvoir la faire jouir.
Elle s'arrête, n'osant pas aller plus loin. André insiste.
- Comment faire pour bien la faire jouir ?
La queue de son fils danse devant les yeux de Monique. Dans un souffle elle répond :
- Il faut d'abord avoir un beau'
La respiration de Monique s'accélère encore. André sait qu'il a gagné. Il s'apprête à prononcer le mot à sa place, mais il se retient. C'est d'elle, de ses propres lèvres que le mot doit être prononcé. Il demande doucement, la voix de plus en plus altérée :
- Un beau quoi ?
Monique hésite à peine, elle ne lutte plus. Advienne que pourra se dit-elle. Dans un murmure elle dit :
- Un beau membre.
Ils se regardent intensément tous les deux. Le temps ne compte plus à présent.
Ils sont tout près l'un de l'autre. Ils se touchent presque. André, la voix rauque demande :
- C'est quoi un beau membre ?
Monique le regarde, bouche ouverte, le souffle court. Elle hésite puis :
- Un beau membre c'est un membre disons' Bien développé.
Elle a fini sa phrase en murmurant presque. Sa poitrine se soulève de façon spasmodique, trahissant son émoi. André la regarde intensément, la respiration courte lui aussi.
- Tu peux me dire si mon membre est bien développé ?
Mère et fils restent quelques secondes sans bouger. Tous les deux ont le sentiment qu'ils sont en train de franchir un cap.
André, tout en gardant les yeux dans les yeux de sa mère porte ses mains sur sa veste de pyjama et, un à un il défait les boutons, puis s'en débarrasse, la jetant par terre.
Il se retrouvant torse nu. Continuant à descendre, ses mains défont le n'ud de la ficelle du pantalon tandis qu'il se lève. Le vêtement n'étant plus attaché descend doucement sur les chevilles, découvrant le sexe magnifiquement dressé vers le plafond, les grosses couilles bien accrochées. De rares poils blonds parsèment les grosses boules et celles ci sont vraiment bien apparentes.
De par sa position, le gland énorme et violacé par le désir se trouve exactement à la hauteur de la bouche de Monique.
Celle-ci semble pétrifiée, les yeux exorbités sont fixés sur la tige qui se trouve à moins de vingt centimètres de son visage.
La bite ainsi exposée, est encore plus impressionnante. Des mouvements spasmodiques l'agitent, et celle-ci semble vraiment douée d'une vie propre.
Sa poitrine se soulève à toute allure maintenant. L'émotion la submerge. Elle n'a pas de souvenirs de s'être trouvée dans une telle situation de désir fou.
S'étant mariée très jeune et vierge avec un homme qui s'est très vite révélé brutal, elle n'a jamais connu l'amour véritable.
Ce qu'elle fait chez Irène est avant tout un travail, qui lui permet de vivre, mais les hommes qui viennent et qui payent pour avoir le droit de la posséder ne peuvent bien sur pas lui apporter l'amour qu'elle attend en vain depuis si longtemps. Et voila que ce à quoi elle aspirait depuis longtemps venait de son fils, de sa propre chair.
C'était fou, mais elle était forcée de le reconnaitre, elle désirait son fils, elle avait envie de faire l'amour avec lui, envie qu'il lui mette sa grosse queue dans sa chatte qui était à présent trempée. Elle se sentait couler littéralement sous le regard d'André qui continuait à la fixer, suppliant, attendant qu'elle fasse le geste qu'il attendait : Qu'elle pose sa main sur sa queue qu'il sentait prête à éclater sous le désir fou qui l'habitait.
Elle reste ainsi de longues secondes à la fixer, comme tétanisée par ce qu'elle voit. Elle se décide enfin. Sa main vient se poser doucement sur le gros chibre et ses doigts entourent le membre. André pousse un gémissement de satisfaction.
La main coulisse lentement vers le bas, décalottant la tige au maximum. Elle reste ainsi quelques secondes puis sa main remonte, tout aussi doucement.
Et elle redescend, un peu plus vite avant de remonter à nouveau. André est aux anges. Jamais il n'aurait imaginé une telle situation et surtout un tel plaisir ressenti. De longs soupirs s'échappent de sa poitrine. L'impression est vraiment fabuleuse.
- Ahhhh ! Ah comme c'est bon maman ! Oui ! Ah oui !
Il pose ses mains sur les épaules de sa mère en haletant.
Monique accélère un peu la cadence, les yeux fous fixés sur la bite qu'elle sent vibrer entre ses doigts. Elle sent son con qui libère une quantité de mouille incroyable, sa culotte depuis longtemps trempée ne suffit pas à arrêter le flot et sa jupe est également trempée.
André respire de plus en plus fort. Il demande, la voix mourante :
- Dis-moi maman : Comment tu trouves ma bite ? Est ce que tu l'aimes ?
- Oui ! Oh oui ! Ah qu'elle est belle ! Qu'elle est belle !
Monique répond, comme dans un rêve. Elle sent sa propre jouissance monter sans qu'elle se touche, chose qu'elle n'a jamais vécue.
André veut la pousser dans ses derniers retranchements.
- Est ce que tu en as vu des plus grosses maman ?
- Non ! Non jamais ! Jamais je n'aurai cru qu'une telle bite pouvait exister.
André se dit qu'il est temps de donner la dernière estocade.
- Est ce que tu l'aimerai en toi ?
Monique est comme dans un état second. Plus rien ne semble exister. Elle est incapable de raisonner.
- Oui ! Oh oui ! Je veux que tu me la mettes, je veux que tu m'enfiles avec ton gros mandrin, je veux que tu me défonces !
André est sur le point de jouir. De plus en plus excitée, Monique le branle à grands coups de poignets. Comme elle l'a vu faire hier, elle le branle maintenant de ses deux mains. Le gros gland violet de congestion semble prêt à exploser. Il sait qu'il ne va plus pouvoir tenir longtemps. D'ailleurs il ne se retient pas, se livre entièrement à la branlette de sa mère.
- Je vais jouir maman ! Je vais jouir avec tes mains ! Ah oui ! Oui ! Que c'est bon ! Que c'est bon ! Oui ! Oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Et André se libère sur le visage de sa mère. Une giclée énorme surprend Monique et vient s'écraser sur son visage. Avant qu'elle ait le temps de réagir, une deuxième éclabousse à nouveau sa joue. Monique réagit. Elle avance son visage et sa bouche et vient happer le gland énorme qui continue à déverser son liquide. André est fou de bonheur et il continue de se déverser dans la bouche de sa mère qui le pompe avidement, la bouche déformée par la taille du chibre, tout en continuant sa branlette d'une main, la deuxième massant les belles couilles en train de se vider dans sa bouche.
Tendrement il pose les mains sur la tête inclinée, la caresse.
- Oh maman ! Oh comme c'est bon ! Ah mon dieu !
Monique continue de le sucer même quand les pulsations se sont arrêtées. Elle prend visiblement plaisir à téter ce sexe magnifique.
Enfin, comme à regret, elle relâche la bite. Celle-ci reste un moment à l'horizontale puis s'incurve doucement vers le bas, faisant une gracieuse parabole, suivie avec intérêt par André et sa mère.
Relevant la tête, Monique regarde André dans les yeux d'un regard mourant qui émeut André.
Se rapprochant, il l'embrasse à pleine bouche, retrouvant sur ses lèvres le gout de son sperme.
André posa ses mains sur la belle poitrine. Il sent la dureté des nichons enfermés dans un soutien gorge. Excité au possible, il les malaxe sans ménagements. Monique semble apprécier car elle porte ses mains sur les fesses de son fils et se met à les malaxer furieusement.
André libère les nichons et attaque les boutons qui ferment la robe de haut en bas. Maladroit, il se débat avec eux, Monique vient à son secours et enlève les boutons un à un en commençant par le bas. André détache ses lèvres, découvre le haut des seins, en partie cachés par le soutien gorge bien rempli. Monique porte les mains dans son dos, libère prestement les attaches. Ramenant les bretelles devant elle, elle fait passer le soutien gorge par-dessus la tête.
André comptenple émerveillé la poitrine de sa mère. Très gros, bien renflés et avec des bouts qui lui semblent énormes, les nichons se balancent doucement devant ses yeux émerveillés.
Ses mains à nouveau se posent sur les beaux globes. Il sent leur dureté, mais en même temps leur élasticité. Il ne peut s'empêcher de s'exclamer :
- Qu'est-ce qu'ils sont beaux !
Et il les caresse tout en s'extasiant sur leur beauté, leur volume. Monique gémit de plus en plus fort sous cette caresse.
Il reporte son regard sur le visage de sa mère. Celle-ci a les yeux fermés, les narines pincées. Abaissant son regard, il découvre la culotte blanche avec le bas complètement trempé.
Libérant les nichons, ses mains saisissent le slip des deux coté et tente de le faire glisser.
Le slip descend un peu mais il ne peut aller bien loin. Il insiste, Monique se soulève un peu en s'aidant de ses avant bras, la culotte se retrouve au niveau des chevilles.
Elle s'en débarrasse prestement, prend appui avec ses bras derrière elle sur la chaise, pousse son bas ventre en avant, lève les jambes et pose les pieds sur les épaules de son fils.
André se retrouve en face de la chatte grande ouverte, béante est le mot qui lui vient à l'esprit, de sa mère. Une odeur forte de femelle en rut lui flatte les narines tandis qu'il admire les grandes lèvres ouvertes sur un con trempé par une mouille abondante.
Sur le haut il distingue nettement le gros clitoris dégagé de sa gangue de chair.
Cette chatte n'a rien à voir avec celle de sa belle s'ur ni de Sylvie
La tête renversée en arrière, Monique halète de plus en plus fort. Il pose ses lèvres sur le sexe, aussitôt un véritable cri de délivrance se fait entendre.
- Ouiiii ! Ah ouiii ! Ah mon dieu que c'est bon ! Que c'est bon !
Encouragé par les cris de sa mère, il se met à sucer le gros bouton qui doit bien faire deux centimètres de long et de la grosseur d'un gros haricot.
Les cris redoublent, les mains de Monique viennent se crisper sur la tête d'André qui se met à sucer la petite bite entre ses lèvres.
Monique ne tarde pas à jouir.
- Oui ! Ah oui ! Oui ça y est ! Je jouis ! Je jouis ! Ouiiii ! Ouii ! Ahhhh ! Ahhh !
Ses cris durent longtemps.
- Tiens ! Tiens, prends ! Prends ! Avale salaud !
Enfin elle se calme, André libère le bouton, relève la tête.
Monique lui prend les cheveux, l'attire vers elle.
Ils s'embrassent furieusement pendant de longues secondes tandis qu'André a de nouveau saisi les beaux nichons dans ses mains.
- Viens.
Se levant elle l'entraîne vers sa chambre. André n'en revient pas du corps qu'il découvre en face de lui. Monique a vraiment un beau corps. Ses courbes sont gracieuses, un peu fortes peut-être mais André aime ça. Ses hanches sont en amphore, sans plis disgracieux. Les seins sont superbes, exactement comme il se rappelle les avoir vu il y a quelques années, gros, bien ronds avec des bouts superbes.
La respiration toujours haletante, elle se laisse admirer.
Elle aussi regarde le corps de son fils. C'est le corps d'un bel homme, musclé sans éxagération. Tout est harmonieux chez lui. Sauf une chose, disproportionnée, mais c'est tant mieux, cette bite, cette matraque, ce chibre qui se redresse déjà entre les jambes. Elle ne peut détacher son regard de la chose, l'imaginant dans son con. Cette pensée la rend folle d'avance.
André veut voir le coté pile.
- Tourne toi maman, je veux voir ton cul !
Le mot ne la choque pas, il semble naturel dans le contexte.
Lentement elle tourne sur elle même et reste ainsi ses fesses exposées au regard de son fils qui se rince l'oeil. Ils ne parlent plus. Monique a accepté le rôle de chef qu'a pris son fils. Elle attend son bon vouloir.
Le dos est bien droit, la saignée de la colonne vertébrale bien marquée par le sillon qui descend et va se perdre dans la raie culière d'ou s'échappent des poils blonds cendrés abondants. Les fesses sont bien rondes, bien cambrées, sans un gramme de cellulite, bien fermes apparemment. Un beau cul de femelle qui ne demande qu'à être baisé.
Il se rapproche et vient se coller contre le corps de Monique. La bite vient s'incruster entre les fesses de sa mère qui gémit de plus en plus fort en écartant les jambes.
Il passe ses bras autour de son corps et ses mains viennent au contact des nichons. Il en mesure à nouveau toute l'élasticité, leur dureté et leur souplesse à la fois.
Il embrasse Monique dans le cou, elle gémit de bonheur.
Enfin, semblant reprendre un peu l'initiative, elle se retourne, se colle à son fils et l'embrasse passionnément sur la bouche. Ils s'étreignent longtemps, leurs bouchent semblant lutter. Monique se serre contre le corps de son fils.
Elle s'écarte, le regarde, les yeux fous et l'entraîne vers le lit. Elle s'allonge, suivi par André qui vient naturellement entre ses jambes.
- Viens ! Viens me baiser ! Viens baiser ta mère, j'en ai trop envie ! Viens !
Le dernier mot est presque hurlé. Elle est folle de désir, de luxure, ne veut plus qu'une chose : Que la bite magnifique la perfore enfin, la tue de bonheur.
André ne se fait pas prier. Saisissant d'une main son bracquemart, il le présente devant le con ouvert et trempé. Une odeur de femelle en chaleur vient frapper ses narines et alors il ne se contrôle plus. D'un grand coup de reins il la pénètre sans aucun ménagement.
Monique pousse un hurlement de bonheur. Sa tête balotte de droite à gauche sur le lit. Ses jambes battent la chamade et ses talons viennent frapper le dos d'André.
Prenant appui sur ses bras tendus, André la baise comme un soudard tout en admirant son corps.
Les seins roulent de haut en bas, sans s'affaisser sur les cotés.
Elle crie de plus en plus, annonçant une jouissance terrible. André est fasciné par le plaisir ressenti par sa mère. Jamais Sonia ni même Sylvie n'avaient manifesté autant de plaisir pendant l'acte.
Sa grosse bite, pourtant très longue, disparaît presque entièrement lorsqu'il s'enfonce dans le con aux lèvres distendues. Ses couilles viennent frapper le cul de sa mère, faisant un bruit de clapotis au contact de la mouille abondante qui suinte en permanence.
Les cris augmentent encore, cette fois il sent que la jouissance est toute proche. Il accélère encore la cadence.
- Oui ! Oui défonces moi ! Baise moi fort ! Oui ! Oh oui ! Oui ! Oui je viens ! Je viens ! Encore ! : Ouiiiii !
Les cris de la femme en rut sont plus proches des hurlements. André se demande ce qu'en penseraient les voisins s'ils en avaient. Heureusement la maison est entourée par une grande cour par devant et un jardin par derrière.
André continue à pilonner la femelle en rut. Les cris diminuent mais ne s'arrêtent pas. Très vite les cris augmentent à nouveau. Monique a pris ses nichons en main et se les triture, se les malaxe comme si elle voulait les broyer, en plein délire érotique.
- Oui mon chéri, continue comme ça ! Baise moi fort ! Je sens que je vais encore jouir ! Ah oui ! Oui ! Ah tu me rends folle avec ta queue ! Oui ! Oui ! Plus fort ! Encore ! Oui ! Oui ! Oui ! Ah ouiiii ! Ahhhh !
Et de nouveau elle jouit avec des cris incroyables. André se sent partir lui aussi. Il sent sa bite gonfler encore, Monique s'en rend compte.
- Tu vas jouir ! Oui ! Oui vides toi en moi ! Vide toi ! Oui, regarde moi ! Regarde moi je veux voir tes yeux quand tu jouis !
- Oui ! Oui ça y est ! Je viens ! Je viens ! Ahhhh !
Monique halète encore quand André se vide en elle, la comblant de bonheur.
- Oui mon chéri ! Oui je sens ton foutre ! Je sens qu'il me remplit ! Ah que c'est bon ! Ahhh !
André s'allonge sur le corps de sa mère qui l'étreint tendrement, comblée, heureuse.
Tout en reprenant péniblement sa respiration elle se dit qu'elle n'a jamais joui autant, qu'elle n'a jamais connu une telle jouissance, un tel bonheur.
Enfin André se relève, regarde sa mère et lui sourit, heureux lui aussi.
- On est quand même mieux comme ça qu'au travail non ?
Monique s'esclaffe elle aussi.
- Tu n'auras qu'à inventer une excuse.
- Oui en effet difficile de dire la vérité
Il se retire du con trempé. Monique reste ainsi, les jambes ouvertes de façon obscène tout en regardant la réaction de son fils.
Celui ci sourit, admirant l'impudeur de Monique.
- Tu aimes exciter ?
- Quand la personne le mérite oui ! Tu n'aimes pas ?
- J'adore, je crois que je suis un grand vicieux. Mais je suis sur que j'ai beaucoup de choses à apprendre.
- Compte sur moi mon chéri.
Le drap est entièrement trempé sous les fesses de Monique. Elle se lève, et se dirige vers la cuisine. Elle remplit un seau, le pose par terre, et s'accroupissant dessus, elle retire sa main qu'elle avait mise en conque. Le sperme s'écoule en filets dans l'eau. André se rappelle de la scène avec Sonia et regarde avidement.
Monique sourit en voyant l'intérêt qu'il porte à la scène.
- Tu aimes regarder ?
- Oui, mais j'aime aussi goûter.
Un sourire salace aux lèvres, elle lui répond.
- Tant mieux car moi aussi j'aime.
Elle finit sa toilette en se rinçant rapidement avec un gant de toilette. André s'attend à ce qu'elle le lave ou qu'elle lui propose de se laver mais au lieu de ça, elle se met à pisser dans le bassin.
André est bluffé par l'impudeur de sa mère. Celle-ci la regarde de son oeil égrillard puis :
- Ne t'en fais pas, je vais te laver après.
Elle finit sa miction, ponctué par un pet sonore, se relève, vide le bassin, le rince et le range.
- Viens maintenant, viens me faire voir si tu es vraiment bon.
De retour dans la chambre, elle le fait s'allonger.
- Je t'avais promis de te laver.
Elle lui écarte largement les jambes et vient s'installer confortablement entre elles. André ne dit plus rien, se laisse faire.
Monique commence alors à lui lècher toutes les parties souillées par la mouille et le sperme. La langue qui lui parcourt ses parties intimes est d'une douceur incroyable. Elle s'applique à le nettoyer consciencieusement, de façon superbement érotique.
André est aux anges. Sa mère est une experte, une salope experte.
Bien entendu, très vite il s'est remis à bander. La langue de Monique est en train de lui lècher l'anus, lui faisant une superbe feuille de rose. Il gémit sous la caresse habile. Il se dit que jamais il ne pourrait trouver meilleure amante. Et de plus à la maison !
- Ah oui c'est bon ! Ah que ta langue est bonne ! Ah viens, approche-toi, moi aussi j'ai envie de te caresser, viens !
Monique abandonne ses caresses. Elle remonte vers le visage de son fils.
- Viens, approche toi. Moi aussi j'ai envie de te rendre heureuse. Dis moi ce qui te ferait le plus envie, laisse moi te prouver que je suis bon, comme tu dis.
Elle sourit, puis :
- J'ai envie que tu me fasses la même caresse que je viens de te faire. Moi aussi j'aime qu'une langue me caresse.
- Allonge toi, je vais te bouffer la chatte jusqu'à ce que jouisses dans ma bouche. Je veux te boire, me régaler de ta mouille.
Monique, sourit, heureuse de cette déclaration. Elle l'embrasse sur les lèvres puis :
- Non j'ai une meilleure idée, reste comme tu es.
Elle se relève, se met debout sur le lit, les pieds de chaque coté du visage de son jeune fils et amant puis, tout en le fixant dans les yeux, elle plie les genoux, descend lentement jusqu'à enfin se retrouver accroupie sur son visage. Elle pose ses belles fesses sur le torse d'André.
André, les yeux hors de la tête a suivi l'approche diabolique de sa mère. Peu à peu il a vu s'approcher ce con odorant, il a suivi l'écartement des grandes lèvres pour enfin se régaler de la vue de cette conque d'amour, belle et sauvage, attirante et mystérieuse. Odorante et attirante.
Monique regarde ce que va faire André, excitée de sa propre audace avec ce jeune garçon qui, il n'y a pas longtemps était encore puceau. Pour l'instant il ne bouge pas, se contentant de se régaler de ce qu'il voit.
Les yeux de Monique se posent sur l'hématome du cou. Elle veut en savoir plus.
- Tu peux me dire qui t'a fait cette jolie morsure ? Ou c'est un secret ?
André ne réfléchit même pas, il ne voit pas pourquoi il aurait des secrets pour celle qui non contente de l'avoir mis au monde, a décidé de faire son éducation amoureuse.
- C'est Sylvie.
- La voisine ? La s'ur de ton copain Bernard ?
- Oui, c'est elle. Tu ne lui dis rien n'est ce pas ?
- Non, ne t'inquiètes pas. C'était juste par curiosité. Vas-y maintenant, viens me caresser avec ta langue, j'ai une terrible envie que tu me suces.
Disant cela elle se rapproche encore, lui évitant de faire des contorsions inconfortables.
Enfin elle sent la langue qui vient se poser sur son sexe. Bien qu'elle s'y attendait, elle ne peut s'empêcher de pousser un cri de plaisir. Parmi toutes les caresses, c'est une de celle qu'elle affectionne le plus, une de celle qu'elle réserve à ses clients et amis les plus fidèles, les plus cochons aussi.
Doucement elle le guide, et, tandis que de deux doigts de sa main gauche elle écarte le haut de ses lèvres pour dégager son clitoris, elle commence un doux et lent mouvement circulaire sur celui ci.
Des ronronnements de plaisir sortent de sa gorge. Elle continue à fixer d'André au fond des yeux, qui lui aussi observe ce que sa mère fait. Il s'applique à donner du plaisir à celle qui l'a si bien caressé tout à l'heure.
Monique descend encore un peu plus, lui intimant de cette façon de la caresser plus profondément. L'odeur de la mouille ainsi que la quantité de celle ci augmente fortement. De même que les ronronnements qui se sont transformés peu à peu en rugissements de plaisir.
Le mouvement des doigts s'accélère. Monique râle maintenant. Son plaisir monte de plus en plus.
Il lui semble que le liquide qui coule dans sa bouche a changé de gout. Il a hâte de la voir jouir de cette façon. Lui même est excité au possible et il se sent frustré, il sent que sa queue qu'il ne peut voir s'agite désespérément dans le vide. Il a même l'impression que si la situation dure longtemps comme ça, qu'il va se répandre tout seul, sans qu'on le touche.
Monique se met à crier tandis que ses doigts dansent une folle farandole sur son bouton.
- Ah oui ! Ah oui, je sens que ça vient ! Je vais jouir mon chéri ! Tu vas me faire jouir avec ta langue sur ma chatte ! Ah oui, continue comme ça ! Oui ! Oui je viens ! Je viens ! Oui ! Oui ! Tiens, prends ! Prends salaud ! Ahhhhh !
Une quantité incroyable de mouille atterrit dans sa bouche, sur son visage. On dirait qu'elle décharge, qu'elle se vide. Ce ne sont pas des giclées comme un homme mais comme si on avait ouvert une vanne et qu'on libère une grande quantité de liquide contenue dans un récipient.
André s'étouffe presque mais l'impression est incroyable. Il a peur de jouir tout seul, il veut attendre qu'elle soit revenue à elle pour lui vider les couilles.
Pour l'instant Monique récupère, sa tête posée sur le mur, les yeux clos. Il voit sa poitrine se soulever et s'abaisser à toute vitesse.
Il ne bouge plus, observe les filets de mouille qui continuent de couler lentement du con écartelé.
Monique ouvre lentement les yeux, regarde André qui lui sourit, répond par un pauvre sourire épuisé. Elle se redresse, se coule sur le corps de son fils et vient lui embrasser la bouche, la figure, faisant le ménage en même temps.
- Dis moi maman, comment c'était ? Tu as aimé ?
Elle le regarde tendrement en souriant puis :
- Bien-sur mon grand. Tu l'as vu non ? Tu m'as sucé de façon divine. Tu aimes ma mouille ?
- Oui, j'adore. Heureusement d'ailleurs, j'ai du en avaler des litres.
Elle sourit à cette boutade. Reportant son regard sur la bite qui est superbement bandée, elle lui dit.
- Je vois que tu es en forme.
- Je te jure, j'ai eu peur de décharger tout seul, comme ça en te suçant, tellement c'était bon, tellement je me régalais.
- Je vais te sucer, je veux que tu te vides dans ma bouche.
Elle se glisse le long du corps d'André et sa bouche vient aspirer le membre géant. André se met sur ses coudes, vient s'adosser contre le dos du lit, avide de contempler la scène de sa mère en train de le pomper.
Elle aussi le regarde au fond des yeux tandis que lentement elle monte et descend sur la hampe majestueuse.
- Ahhh ! Oui suce moi comme ça ! Oui, je vais jouir ! Je vais jouir, j'en ai trop envie ! Ahhhh !
Et il se répand très vite dans la bouche accueillante. Monique avale le jus abondant tout en le continuant de le fixer dans les yeux. Elle libère la bite qui retombe sur le ventre avec un bruit mou. Elle se rapproche à nouveau de la figure de son fils et leurs lèvres se soudent. Leur étreinte dure longtemps. Enfin leurs bouches se séparent séparent, à bout de souffle tous les deux. Ils restent unis, se palpant, se pelotant.
André, repu à présent s'occupe des seins dont il ne s'était occupé que rapidement.
Il s'étonne de leur dureté et de leur souplesse à la fois. Monique est ravie et amusée à la fois de l'étonnement de son fils.
- Tu aimes mes nichons mon chéri.
- Oui, ils sont formidables. Ils sont durs mais en même temps ils sont souples, c'est incroyable.
A son tour elle étreint celui laissé libre par André et le caresse doucement, le bout de ses doigts faisant rouler le bout gros et long.
- C'est vrai que j'en suis très fière, je les aime beaucoup. Et j'adore les toucher. Regarde mon bout bande quand je le caresse, regarde.
En effet le bout s'allonge sous les yeux d'André qui en reste coi. Il est évident que Monique dit la vérité, ses seins sont très réceptifs et elle adore se les toucher.
- J'aime encore mieux qu'on les suce.
Elle a dit cela en le fixant bien dans les yeux. Message reçu, André se penche sur le téton libre et se met à l'embrasser. Un soupir de satisfaction s'échappe de la poitrine de Monique.
- Oui, doucement ! Fais rouler ta langue autour. Oui, comme ça, continue ! Ah c'est bon, aspire le ! Mordille le de temps en temps, j'adore ! Ah oui ! Oui !
Et André s'applique, écoutant ses recommandations, guidé par les soupirs qui continuent de s'échapper de la gorge de sa mère, tandis que celle ci continue de caresser l'autre sein.
Les caresses se prolongent. Doucement André sent le désir renaitre. Celui de Monique semble en ébullition.
A présent elle a abandonné son sein et ses mains sont en train de se caresser de la même façon qu'il l'a vu faire lorsqu'elle était sur lui. D'une main elle écarte le haut des grandes lèvres et de l'autre ses doigts agiles font un mouvement de rotation autour de son bouton.
André abandonne à son tour le sein pour se rapprocher du sexe de sa mère. Sur les coudes il vient le plus près possible.
Monique a écarté ses jambes le plus qu'elle peut et le spectacle est magique pour un jeune qui découvre les joies de l'amour. Les grandes lèvres ouvertes laissent apercevoir un intérieur rouge incarnat, les petites lèvres pendent un peu, l'orifice du vagin est largement ouvert, une mouille épaisse et abondante coule, s'insinuant dans la raie poilue des fesses.
Monique respire de plus en plus fort, l'idée de se branler devant son fils la rend folle de luxure.
- Tu aimes me regarder mon chéri ?
- Oui, j'aime bien ! C'est beau, j'adore ! Et toi tu aimes qu'on te regarde ?
- Oui ! Oui j'aime que tu me regardes ! Je suis vicieuse, je suis une sale vicieuse et j'adore qu'on me regarde. Dis-moi ce que tu ressens, je t'en prie !
André est bien incapable d'exprimer en quelques mots l'excitation qu'il ressent en voyant ce spectacle. Il bande de façon incroyable et ses yeux sont exhorbités devant ce qu'il voit.
- Je ne sais pas comment dire ça mais c'est fabuleux de voir ça je te jure.
Monique semble heureuse de la réponse. Elle demande encore.
- Tu bandes ?
André se tourne sur le coté, montrant son érection.
- Regarde !
Elle le regarde à travers ses paupières à demi fermées par le plaisir. Sa respiration est de plus en plus forte.
- Mets toi à genoux devant moi et branle toi. J'ai envie de te voir te branler !
Il se place comme elle lui a demandé et commence à se branler d'une main tout en continuaant à profiter du spectacle qu'elle lui donne.
- Ah comme c'est beau ! Comme tu es beau mon fils ! Tu aimes te branler ?
- J'adore, je me branle tous les jours depuis longtemps.
Tous les deux continuent à se masturber. Monique semble est tout près de la jouissance à présent.
- Ah je sens que ça vient ! Ah je vais bientôt jouir. Tu vas jouir bientôt ?
- Pas encore mais je suis pas loin.
Disant cela il accélère la cadence, voulant jouir en même temps que sa mère.
- Oui, dis-moi quand tu vas jouir, je veux qu'on jouisse ensemble. Ah que c'est bon !
Leurs souffles deviennent courts, le plaisir est tout proche à présent. André sent qu'il va se vider.
- Oui maman ! Oui je sens que ça monte ! Oui ! Oui jouis avec moi !
- Oui ! Oui moi aussi ! Ensemble ! Oui ! Oui Ahhhh !
- Tiens ! Moi aussi ! Tiens ! Tiens prends ! Prends !
De longues giclées sortent de la grosse queue et vont atterrir sur la figure, la poitrine de Monique. Celle-ci pousse de véritables hurlements de bonheur en jouissant et recevant cet hommage de son fils sur son corps.
Ils continuent à se branler jusqu'au complet apaisement, chacun continuant de regarder l'autre.
Enfin ils s'apaisent, arrêtent leur mouvement et se regardent, repus et heureux. Monique ouvre les bras, André vient s'y réfugier. Ils se font des câlins, s'embrassant à pleine bouche.
- Tu as aimé mon chéri ?
- C'était super maman, vraiment !
- C'est quand-même mieux que de se branler tout seul non ?
- Oui, bien-sur, mais des fois on ne peut pas faire autrement.
Ils se retrouvent une nouvelle fois dans les bras l'un de l'autre, leurs mains se font baladeuses. André commence à savoir les points sensibles de la femme.
Se rappelant le plaisir qu'il a pris en se faisant branler le cul par Sylvie et Bernard il entreprend d'explorer cet endroit.
Monique et lui sont allongés cote à cote. Doucement il caresse le con humide de sa mère mais ne s'attarde pas. Sa main descend, ses doigts s'insinuent de plus en plus bas dans la raie, humide elle aussi des sécrétions qui s'écoulent.
Son majeur atteint le petit orifice. Ne voyant pas d'objections, il force un peu et introduit une première phalange. Monique relève la tête, le regarde en souriant d'un air salace.
Il lui demande :
- Tu aimes ?
- Oui, j'adore mon chéri.
Il enfonce plus loin son doigt qui glisse sans difficulté dans le conduit ontueux. Doucement il ramène son doigt puis le renfonce. Monique respire plus fort.
A son tour elle se met elle aussi à caresser la peau sous les couilles, glisse le long du périnée pour atteindre à son tour l'anus serré de son jeune amant. Elle remarque le soupir de satisfaction de son fils lorsque ses doigts se mettent à en caresser doucement le pourtour.
Ils continuent à se caresser doucement, André calquant ses caresses sur celles de sa mère.
Autant André que Monique peuvent suivre sur leur visage la montée de leur désir.
De longs soupirs s'échappent de leur poitrine. Monique enfonce brutalement son doigt dans le cul d'André. Un grand soupir de satisfaction s'échappe de la poitrine de celui-ci. Elle lui branle le petit conduit sous les soupirs de plus en plus prononcés du jeune homme.
D'une voix à peine audible elle lui demande :
- Tu aimes que je te ramone le cul ?
- Oui, oh oui maman ! Continue ! Continue c'est si bon ! Ahhhh !
Monique retire son doigt, André pousse un soupir dépité.
- Pourquoi maman ? C'était si bon !
Elle ne dit rien, le regarde d'un air prometteur, vient se placer à genoux entre les jambes écartées de son fils. Empoignant un oreiller à sa portée, elle lui dit :
- Soulève les fesses.
Il s'exécute, Monique place l'oreiller sous le cul d'André. S'allongeant alors, ses mains se remettent à caresser l'anus bien exposé. André se remet à soupirer de plaisir.
Monique rapproche son visage du petit orifice. Celle-ci voit les petites fronces se plisser er se déplisser de plaisir.
Posant ses mains bien à plat sur les deux hémisphères, elle écarte de ses pouces l'anus et pose sa langue pointue sur le petit trou. Une exclamation de plaisir intense s'échappe de la poitrine d'André.
- Oui ! Oui ! Ahhh ! Ah que c'est bon !
Il râle littérallement sou la caresse qu'il découvre. Monique écarte encore plus le conduit et enfonce sa langue le plus loin qu'elle peut dans le conduit odorant de son fils.
André crie de bonheur sous la caresse. Il ne sait plus ce qui lui arrive. Instinctivement il porte les mains à ses fesses et tire dessus le plus qu'il peut, ouvrant encore plus son anus.
Monique s'active et sa langue va de plus en plus loin.
André crie pour de bon maintenant. Jamais il aurait pu imaginer meilleure caresse.
- C'est bon ! C'est bon maman ! Ah oui ! Ah oui ! Ahhhh !
Fou de désir, il pose sa main sur son sexe et commence à se branler. Monique qui s'en aperçoit arrête aussitôt sa caresse et se relève, au grand désappointement d'André.
Enlevant l'oreiller, elle l'enjambe et s'empale rapidement sur la queue tendue. Un Ahhh ! de satisfaction s'échappe de sa poitrine. Le fait de bouffer le cul de son fils l'a mise dans un état d'excitation incroyable et elle se met à le chevaucher à toute vitesse.
- Oui ! Ah que ta bite est bonne ! Ah oui qu'elle est bonne ! Ahhh !
André qui est lui aussi fou de désir donne de grands coups de reins et très vite les deux amants atteignnet le paroxisme du désir.
- Ah ! Je sens que ça vient ! C'est bon ! Ah oui ! Tu aimes mon chéri ?
- Oui ! Ah oui maman ! Ah je viens ! Je jouis ! Oui ! Ahhhh !
Et il se vide enfin tandis que Monique elle aussi se met à jouir en gueulant littérallement.
- Oui ! Oui ça y est ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhh !
Ils poursuivent encore quelques secondes leur chevauchée puis Monique s'écroule, morte de plaisir sur le corps de son fils-amant.
Ils récupèrent lentement, leur respiration s'apaise peu à peu. André ressent l'abandon de sa mère qui pèse lourdement sur lui. Tendrement il l'entoure de ses bras, lui exprimant ainsi toute la reconnaissance du plaisir qu'elle lui a fait découvrir, qu'elle lui a donné.
Les jouissances répétitives font qu'ils récupèrent difficilement.
Enfin ils se désaccouplent. Monique se lève en titubant, suivie d'André qui ne vaut guère mieux.
André assiste à nouveau à la scène du lavage de chatte au-dessus du bassin suivi de la séance de pisse dont il se régale.
Après s'être abreuvés, ils retournent au lit. Il est presque midi mais ils n'ont pas faim.
Allongés tranquillement sur la couche, à demi enlacés, Monique essaye d'en savoir un peu plus sur son expérience sexuelle avec Sylvie.
André est d'abord un peu réticent puis ne voyant plus d'objection lorsqu'elle lui assure qu'elle n'a pas l'intention de poser quelque problème que ce soit (d'ailleurs comment le pourrait-elle maintenant ?), que c'est par pur vice, il se met à raconter.
Monique suit le récit sans l'interrompre, les yeux brillants.
André raconte tout en détail, omettant quand même son dépucelage avec Sonia, transformant un peu la vérité et l'imputant à Sylvie.
Monique est particulièrement intéressée par la séance de sandwich. Enfin il se tait. Elle le regarde avec admiration, consciente qu'André est bien digne de son sang, aussi vicieux, si ce n'est plus.
Elle le remercie d'un baiser appuyé de toutes ces confidences. Le récit a été long le sang bouillant de Monique s'est réveillé à nouveau. La bite d'André s'est elle aussi redressée notablement, même s'il ne bande pas vraiment.
- Alors qu'en penses-tu maman ? Je veux dire que penses-tu de moi au point de vue de ma sexualité.
Les yeux de Monique sont de plus en plus brillants, elle a une envie folle de se faire bouffer le cul elle aussi. Elle lui annonce cruement.
- J'en pense que du bien mon chéri, tu es aussi chaud que moi. Maintenant j'aimerais que tu me fasses la même chose que je t'ai fait tout à l'heure. Ton récit m'a donné encore envie.
Et sans attendre la réponse elle s'allonge, se met un oreiller sous les fesses et attend.
André, attiré par ce cul qu'il adore vient se mettre en position et très vite sa langue s'introduit dans l'anus qu'il n'a aucun mal à ouvrir. D'ailleurs Monique, les mains posées sur ses fesses les maintient largement écartées. Le trou merdeux s'ouvre démesurément sous l'oeil salace et ébahi d'André. Sa bouche se pose sur l'orifice odorant et il y introduit sa langue. Des rugissements de bonheur sortent de la poitrine de Monique. Elle savoure cette caresse. André s'agrippe aux fesses de sa mère pour garder le contact car elle rue comme une folle sous la langue qui la fouille.
Un long moment ils semblent lutter. Une mouille abondante suinte du con et coule dans la raie, mouillant le visage du suceur.
Monique soudain lui agrippe les cheveux, l'attire vers elle.
- Viens, baise moi maintenant ! Baise moi fort !
André se redresse, se met à genoux et pénètre d'un grand coup de reins le con grand ouvert et largement lubrifié.
Elle pousse un grand cri de satisfaction sous l'assaut brutal.
- Oui ! Oui ! Ah oui baise moi fort ! Défonces moi la chatte ! Ah oui !
Et elle crie sans arrêt jusqu'à ce qu'enfin elle jouit en hurlant.
- Oui ça y est ! Ah oui ! Ouiii ! Ahhhh !
André se libère à son tour, fou de désir, de luxure. Un bruit de clapotis provoqué par l'accumulation de mouille et de sperme se fait entendre encore quelques instants puis il s'écroule sur elle, vidé pour de bon.
Toujours fiché en elle, il lui murmure des mots d'amour, de reconnaissance, de fidélité il ne sait plus ce qu'il dit. Monique le laisse délirer, heureuse comme elle ne l'a pas été depuis longtemps. Enfin elle tient un homme à la maison qui l'aime, qui est gentil, qui est un merveilleux amant doté d'une queue énorme comme elle en avait toujours révé.
Ils récupèrent doucement, se relèvent et vont faire à nouveau une toilette sommaire.
Cette fois ils restent sages, malgré toute sa jeunesse, sa fougue, André se sent trop fatigué pour l'instant.
Mettant une blouse sur son corps nu, Monique leur prépare un petit repas réparateur.
Elle lui conseille de se rendre chez le docteur pour obtenir un certificat d'arrêt de travail, ce qu'il fait aussitôt le repas terminé après l'avoir embrassée et lui dire qu'il l'attendrait avec impatience ce soir.
Monique reste chez elle un moment puis se rend à son travail, le c'ur en fête.