Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 22/02/2011 par franala
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Lire l'histoire du point de vue d'Alain.
En sortant du travail, j'allais retrouver Corinne ma soeur, je lui devais des explications, la veille elle m'avait servi d'alibi pour retrouver Alain un ami dont javais fait connaissance sur le net. Régulièrement on se faisait une soirée ciné et je dormais chez elle pour éviter les transports en communs le soir, ainsi mon mari n'avait aucun soupçon.
On s'installa à la terrasse d'un café d'une rue peu passagère afin de pourvoir parler librement.
Elle me demanda d'entrée :
- Alors c'était si bien ?
- Tu ne peux pas savoir !
- tu m'as fait peur hier soir quand tu m'as appelé pour me dire de ne pas t'attendre, ça m'a vraiment inquiétée
- Excuses moi, mais j'étais trop bien près de lui, tu comprendras quand je vais te rencontrer.
- Alors vas-y racontes !
- J'étais déjà toute excitée en sortant du boulot à l'idée de le rencontrer, impatiente et apeurée en même temps.
- Comme un premier rendez-vous.
- Oui exactement, je retrouvais une ame d'ado. On avait rencard à 17h30, je me suis arrangée pour être un tout petit peu en retard, je ne voulais pas être la première mais pas le faire poireauter non plus. Quand je suis sortie du métro, il était déjà arrivé, j'avais encore un peu la trouille, j'avais très envie de le voir et envie de faire demi-tour en même temps. Il m'a vue et reconnue tout de suite, je n'avais plus que le choix d'aller vers lui. Il était tel que sur les photos qu'il m'avait envoyées, mais en réel cette fois, J'étais contente de le voir et ma trouille disparut.
Il s'était levé dès qu'il m'avait vu, quand je m'approchais de lui, On s'est regardé et détaillé, à son sourire j'ai vu qu'il appréciait ma silhouette par contre je sentis le feu me monter aux joues quand son regard surpris le mien qui le détaillait.
Quand je fus près de lui, il a mis la main sur mon épaule pour me faire la bise, je trouvais ce contact sur ma peau très agréable, en s'écartant il fit glisser son doigt tout le long de mon bras, ce qui me fit frissonner.
- Tu le désirais déjà ?
- Oui, je crois que je l'ai désiré dès que je l'ai aperçu, tu sais depuis que je sais que je vais le rencontrer je n'arrête pas d'y penser, alors quand je l'ai vu tel que je l'imaginais...
On s'est installé à la terrasse et commandé nos boissons, Pour lancer la conversation il m'a demandé quel film je devais aller voir, quand je lui dit que c'était Mme Doubtfire, il me répondit qu'il ne l'avait pas vu non plus et que ça tombait bien, mais au son de sa vois j'ai cru comprendre qu'il se serait bien passer de cinéma.
Je le trouvais drôle, il avait l'air timide et ne savait pas trop comment lancer la conversation, mais j'aimais autant je préférais ça à un mec trop sur de lui et ça collait bien à l'image que j'avais de lui, faut dire que je n'étais pas non plus très sure de moi non plus. Il m'a demandé à quelle heure je devais rentrer, je lui ai expliqué que je te retrouvai à minuit pour passer la nuit chez toi.
Ca parut le soulager et me dit qu'on avait largement le temps de faire un resto et un ciné, je lui ai répondu "Oui largement" chargé de sous-entendus, il dut comprendre l'allusion et commença à me faire du pied, j'ai répondu à son appel, il faut dire que j'attendais ça depuis que l'on était assis. Avec son pied il se mit à me caresser la jambe, il ne m'en fallut pas plus pour que je commence à mouiller, je commençais à vraiment avoir envie de lui, s'il m'avait proposé de m'emmener à son hôtel à ce moment là je ne sais pas si j'aurais eu la force de refuser. Il a voulu me prendre la main sur la table, mais je l'ai écartée, c'est pas que ça me déplaisait, mais j'avais trop peur de croiser une connaissance qui nous voit main dans la main. A ce moment il a regardé ma poitrine avec insistance, il a du voir que les pointes de mes seins étaient dures, je ne trouvais pas désagréable d'être regardé comme ça par lui. On est resté un moment comme ça à discuter de pas grand chose, puis il m'a proposer de chercher un cinéma où l'on jouait Mme Doubtfire. On a trouvé rapidement un cinéma où il le jouait. Durant le chemin, il avait profité du fait d'éviter un passant pour se coller un peu à moi et me passer la main sur les reins, par un sourire je lui ai fait comprendre que ça ne me déplaisait pas.
Il y avait une séance à 18h15, il était 18h10 il me demanda si je voulais y aller maintenant.
- C'est vide les salles à cette heure là !
- Oui, justement ça ne me déplaisait pas, j'avais envie d'être avec lui à l'abri des regards. Il n'y avait que quelques personnes sur les premiers rangs, il m'a dirigé directement vers le dernier. Il m'a guidé au milieu du rang en me posant la main sur la hanche et un peu sur la fesse en même temps. Au moment où je m'apprêtais à m'assoir, il est venu poser ses lèvres sur les miennes, j'y ai répondu légèrement en lui demandant de rester patient, pourtant ce n'est pas l'envie qui me manquait, j'avais très envie de sentir sa langue sur la mienne.
Une fois assis il colla sa jambe à la mienne, il me mis la main derrière le cou s'pprocha de moi et commença à m'embrasser les lèvres, mon désir continuait de monter, je sentais que le haut de mes cuisses étaient moites
- Tu as quand-même vu le film ?
- Oui, je vais te raconter. Je sentis enfin sa langue sur le bord de mes lèvres, quand je mis ma langue au contact de la sienne, les lumières s'éteignirent comme par enchantement. Je le repoussai en espérant ne pas être trop brutale et lui dit que je devais voir le film.
Je m'intéressais au film, mon excitation commençait à descendre et je m'intéressais à Mme Doubtfire.
Doucement je sentis sa main qui me caressait doucement le cou, puis de son doigt il me caressa juste à la limite de mon chemisier descendant le long du col, c'était bien agréable mais je ne bougeais pas. Je fis semblant de rien quand je le sentis défaire le bouton du haut de mon chemisier. De son doigt il m'a caressa le haut du sein juste à la limite de mon soutien-gorge, je trouvai à très agréable, j'ai senti les pointes devenir très dures.
- Tu portais quoi ?
- L'ensemble lilas avec shorty que l'on a acheté ensemble il y a 2 semaines.
Quand il a commencé à glisser le doigt dans mon soutien gorge, je lui ai retiré doucement en lui disant d'attendre un peu, j'ai même ajouté que moi aussi j'avais envie de lui, Dans l'obscurité il n'a pas pu voir combien j'ai du rougir en lui disant ça. C'était la première fois que je disais ça à un homme.
- A bientôt 40 ans il n'est jamais trop tard !
- Tu sais qu'avec Daniel, pas question d'avoir des initiatives et en dehors de lui, mon expérience est inéxistante. Il a retiré sa main et l'a posé sur mon genou, à ce moment là je crois qu'il s'est intéressé au film. Au bout d'un moment je sentis sa main qui me caressais le genou, comme je n'ai pas trouver ça désagréable j'ai appuyé mon genou sur le sien, ce qui a eut pour effet de l'encourager, sa main a remonté tout en douceur le long de ma cuisse, il s'est un peu arrêté quand il a senti le bas de mon shorty.
- Et tu suivais toujours le film ?
- Oui, c'est le plus étonnant, comme si ma tête ne s'intéressait qu'au film et mon corps à ses caresses. Je me suis remise à mouiller abondamment, sa main est venue jusqu'à mon entre cuisses, il a du bien se rendre compte dans quel état j'étais, j'avais le sentiment que mon shorty était complètement pourri. il appuya un peu plus sa caresse, là je crois que j'ai poussé un soupir tellement j'attendais ça, mais je n'avais pas envie de trouver mon plaisir comme ça, je resserrais mes cuisses repoussais sa main sur mon genou et lui mit le doigt sur la bouche pour lui faire comprendre de patienter. Je continuais à m'intéresser au film, mais sa dernière caresse avait mis complètement le feu en moi, j'avais envie de lui à en avoir mal au ventre. Il ne m'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que j'aille le violer sur son fauteuil.
- Fallait oser, il n'attendant peut être que ça ! dans un grand éclat de rire
- Te moques pas, je ne me rappelle pas avoir eu autant désirer un homme, J'étais presque prête à aller me caresser, mais je me suis dit que sa main serait plus agréable que la mienne, je lui fit un appel de la cuisse espérant qu'il comprenne. J'ai senti aussitôt sa main remonter vers le haut de ma cuisse, je pressais un peu plus ma cuisse sur la sienne, il a pris ma main libre pour la poser sur sa cuisse, je n'attendais que ça, j'avais envie de voir s'il bandait et aussi comment il était monté. Il a glissé un doigt dans la jambe de de mon shorty, il m'a caressé le bord de la chatte, bien que je me glissais un peu dans mon fauteuil, ce n'était pas vraiment pratique. J'avais monté ma main jusqu'à sa bite, je la sentais bien dure à travers son jean, elle me semblait d'une taille correcte qui devrait me convenir. Il a déplacé sa main pour la passer par la ceinture de mon shorty pour y trouver plus d'aise, je la sentis glisser sur ma toison puis un doigt s'introduire pour me caresser le clito, je commençais a lui caresser la queue à travers son jean. Sa main semblait un peu à l'étroit, mon shorty me serrait un peu avec sa main à l'intérieur , il fit glisser sa main sur la hanche en faisant glisser ma culotte sur le côté, je compris qu'il voulait la faire descendre je l'ai aidé à la retirer je l'ai descendu jusqu'aux chevilles, j'ai aussitôt senti son doigt s'introduire en moi, à ce moment là je pense que j'ai été en même temps à la rencontre de son doigt ? J'avais également envie de passer ma main dans son pantalon, mais je n'osais pas, il a commencé à défaire la ceinture de son pantalon alors là je me suis décidée, j'ai fini de défaire sa ceinture, j'ai ouvert sa braguette en faisant bien attention de passer le doigt tout le long de son sexe, son doigt me caressait en douceur et profondeur, je me retenais je voulais sentir sa queue dans ma main avant, pas que dans la mais d'ailleurs, je passais ma main dans son caleçon, je sentis enfin son membre chaud et dur sous mes doigts, je devinais les veines gonflées sous mes doigts et je la pris à pleine mais et commençais à le caresser, je l'avais sorti en parie et un peu inclnée sur le côté je n'avais pas envie d'en prendre sur mes vêtements, ça devait être chaud pour lui aussi, car à peine je ne fis que quelques caresses avant de le sentir se cambrer pousser un gros soupir et sentir son liquide chaud sur ma main, je me lachais en même temps, j'ai essayé d'étouffer un cri mais je ne suis pas sur d'y avoir réussi, heureusement les premiers spectateurs étaient relativement loin et le son assez fort. Là j'ai perdu un petit peu le cours du film.
- C'était la première fois pour toi dans un ciné.
- Oui, tu sais, moi à part la toute première fois dans une voiture, je n'ai jamais connu que le lit
- Et en voiture c'était déjà avec Daniel ?
- Oui à mon époque je n'ai pas pu sortir comme toi, jusqu'à hier c'était le seul homme que j'ai connu.
- Et après ?
- On a regardé la fin du film ma tête contre son épaule, auparavant, il m'avait essuyé la main avec un kleenex, j'ai très apprécié cette attention, je n'y suis pas habituée. Ensuite il a posé ma sur un de mes seins, je sentais un peu le contact de sa peau à l'ouverture de mon corsage, c'était très agréable, j'espérais qu'il glisse sa main directement sur mon sein mais il ne le fit pas et je n'osais pas lui suggérer.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas, certainement parce que l'on m'a toujours refusé la moindre initiative et je craignais de le froisser. Quand les lumières se sont rallumées, j'ai cru avoir la honte de ma vie, il y avait un couple qui était arrivé pendant le film, ils étaient juste quelques rangs devant nous. Quand ils se sont levés, lui il nous a fusillé du regard, par contre, elle, elle a regardé Alain avec un regard et un sourire qui ressemblaient à une invite.
En sortant on a été se faire un resto, il m'a proposé un asiatique qui se trouvait là, j'ai accepté, d'abord j'avais faim et j'aime bien, mais de toute façon j'aurais tout accepté, rital, grec...
Le serveur nous a trouvé une table pour tous les 2 dans un coin discret, il a eu un petit sourire complice en nous demandant si ça nous convenait on lui a dit que c'était parfait.
Alors que l'on venait de choisir notre menu, j'ai vu son regard un posé sur ma poitrine, ce n'était pas désagréable d'être regarder ainsi, mais je l'ai trouvé un peu insistant.
- Rien d'étonnant elle est belle et en plus il du pouvoir sentir sa fermeté quand vous étiez au ciné.
- Peut être. Mais ce n'était pas ça, j'avais le haut de mon corsage qui était toujours ouvert !
- Effectivement, de quoi attirer le regard.
- Je m'apprêtais à le refermer en lui demandant si c'était indécent, il a trouvé ça charmant. Alors là je ne sais pas ce qui m'a pris au lieu d'attacher le bouton, j'ai écarter le col pour lui faire voir en même temps le bord de mon soutien gorge, j'avais envie de voir ça réaction mais je devais être rouge écarlate. Je lui ai demandé comment il me trouvait comme ça, il m'a répondu sexy avec un large sourire, ça n'avait pas l'air de l'avoir choqué mais plutôt amusé, ça m'a détendue et je suis resté comme ça.
Il m'a demandé où je devais te retrouver, je le sentais inquiet, sa jambe s'appuyait un peu plus sur la mienne et il n'arrêtait pas de regarder l'heure, je l'ai rassuré en lui disant que c'était dans le quartier et que ça nous laissait pas mal de temps. Il m'a alors proposé une ballade sur les boulevard, je ne sais pas si c'était de la provocation de sa part où s'il ne savait pas comment m'inviter à son hôtel.
- Pourtant après ce qui c'est passé au cinéma
- Oui, mais c'est un grand timide qui essaie de se soigner, c'est pour ça que je l'aime bien. Pour l'encourager je lui est demandé s'il n'avait rien d'autre à me proposer, il m'a dit que la balade serait vers son hôtel, j'ai appuyé à mon tour ma jambe sur lui en lui demandant s'il était loin, il était aussi à côté. J'ai eu le sentiment qu'il se détendait, il ne devait pas être encore sur que je le suive jusqu'à sa chambre, il ne se doutait pas combien j'avais envie de lui, j'avais presque envie de lui dire, mais je n'arrivais pas encore à me lacher complètement.
Un couple est venu s'installer à une table proche de nous, j'ai repensé à mon corsage ouvert, j'ai prétexté un besoin pour aller aux toilettes pour le refermer discrètement et j'en ai profiter pour remettre ma culotte, je suis remonté et l'on a finit de manger en se bouffant des yeux, je devinais son désir qui montait, c'était aussi mon cas.
En sortant il a essayé de nouveau de me prendre la main, dans un premier temps je l'ai retiré, j'allais lui demander d'être discret et ça a été plus fort que moi c'est moi qui prit la sienne, c'était tout simple, mais qu'un homme me prenne la main dans la rue ça me faisait tout drole, il y a si longtemps que ça m'est arrivé.
Et là grosse surprise pour moi, il était à l'hôtel du commerce.
- Celui qui est dans ma rue.
- Oui, j'ai pensée à la tête que vous feriez si vous me croisiez au même instant. Et c'est à ce moment là que j'ai paniqué en arrivant devant l'hôtel, c'était la première fois pour moi, je me suis serrée contre lui et lui dit que j'avais peur, il m'a demandé si je ne voulais plus, je l'ai serré et je lui ai dit si je voulais.
Il a pris sa clef, j'étais toujours avec lui, je crois bien que je lui écrasais la main, le gardien nous a regardé avec un drôle d'air et il m'a entrainé vers l'ascenceur, Là il m'a serré très fort dans ses bras en me réconfortant, sa tendresse m'a calmée mais j'ai été à 2 doigts de pleurer. Sa chambre était au 3ème. En entrant j'ai tout de suite remarqué le lit en 90, je me suis dit que l'on allait être à l'étroit et que c'était pas plus mal.
Il m'a pris par la taille, m'a appuyée contre la porte et est venu m'embrasser doucement, je me suis rendue compte que l'on ne s'était encore pas vraiment embrassé, j'ai répondu à son baiser, ça a fini de me détendre complètement, j'avais envie de me laisser aller complètement avec lui. Il a glissé ses mains sous mon chemisier, elles étaient douces j'en ai frissonné de plaisir, Il a approché son bassin du mien, j'ai pu sentir combien il me désirait, je sentais son sexe tout dur sur le bas de mon ventre, je me suis frotter à lui pour lui faire comprendre que son désir était partagé j'ai même écarté une peu les jambes comme s'il pouvait me prendre comme ça tout de go. Ses mains sont montés jusque sur ma poitrine, quand il a senti la pointe de mes seins bien durs, il les a roulé doucement entre ses doigts à travers la dentelle. Un instant j'ai cru qu'il allait me prendre là appuyée sur la porte.
- Ca t'aurait plu ?
- Oui ç'aurait été encore une nouveauté pour moi, mais je pensais aussi au bruit que ça ferait dans le couloir...
J'ai senti une main qui me remontait le long de la cuisse, il a pu constater à quel point j'étais mouillée, de son doigt il a commencé à me caresser à travers le tissu, j'avais envie de le sentir tout au fond de moi et pas que son doigt, puis il m'a pris la main pour m'amener près sur le lit, il a allumé la lampe de chevet en me demandant si ça me dérangeait, je lui ai dit que non, je voulais le voir me faire l'amour. Par contre là je ne savais pas si je devais me déshabiller ou le laisser faire, j'ai prétexté le besoin de mettre l'alarme sur mon téléphone, pour voir venir. Il a retiré ses chaussures, s'est allongé sur le lit et m'a regardé en souriant. J'ai enlevé mes chaussures et suis venue me coucher dans ses bras, impatiente et un peu perdue en même temps.
Il a commencé par m'embrasser tendrement, puis a commencé à dégrafer mon corsage, j'en ai fait autant avec sa chemisette on s'est retiré nos vêtement mutuellement, il m'a caressé la partie du sein découverte, il a trouvé ça mignon. Je me demandais s'il parlait de ma poitrine ou de mon soutien gorge, quand il m'a demandé si j'avais l'ensemble, j'ai su que ce n'était pas que ma poitrine qu'il parlait, il s'est aussitôt occupé de ma jupe, je m'occupais en même temps de la ceinture de son pantalon, en défaisant sa braguette, j'en ai profité pour lui caresser le sexe à travers son caleçon, en le sentant si dur, j'ai du faire un effort pour ne pas glisser ma main dans son caleçon.
- Fallait le faire.
- Non je voulais que l'on se déshabille ensemble pour se retrouver nus au même moment et je pense que c'est ce qu'il souhaitait aussi. Il m'a embrassé de la gorge jusqu'au bas du ventre en même temps qu'il enlevait ma jupe, ça m'excitait de plus en plus je me demandais jusqu'où mon plaisir pouvait monter, j'aimais cette douceur et en même temps j'aurais voulu qu'il me prenne sauvagement. A mon tour je retirais son pantalon en lui embrassant le torse et le ventre.
Il s'est écarté un petit peu de moi pour me regarder dans ma lingerie et il m'a trouvé très belle à ce qu'il m'a dit.
- Tu ne me l'as jamais dit, mais tu l'avais acheté exprès pour lui, c'est pas trop dans tes habitudes de tels achats.
- Oui, 3 jours auparavant il m'avait appelé en me disant qu'il venait à Paris et que ce serait l'occasion de se rencontrer, je lui ai répondu que ce serait sympa. Il a précisé qu'il venait pour 2 jours et qu'il passait la nuit sur place il voulait savoir si c'était possible qu'on passe une partie de la soirée ensemble. Je lui ai dit que j'essaierai de m'organiser et que ça devait être possible, ensuite quand il m'a dit qu'il serait dans un hôtel du côté de Montparnasse, j'ai cru comprendre une invite dans sa voix. Tout de suite je ne savais pas quoi penser, puis l'idée à rapidement fait son chemin et je me suis mise espérer que cette invite allait se concrétiser, voilà pourquoi j'ai été acheter ces ensembles avec toi.
- Donc il t'a trouvé belle dans cette tenue.
- Oui, je lui est dit que je le trouvais beau aussi comme ça en regardant la bosse qui déformait son caleçon en faisant en sorte qu'il comprenne bien l'allusion.
Il est venu m'embrasser l'épaule pour faire glisser la bretelle et rapidement je me suis retrouvé avec un sein à l'air qu'il a caressé en douceur et qu'il a tèter goulument, C'était bon je mouillais comme je n'ai jamais mouillé, après le ciné je ne pensais pas pouvoir mouiller encore autant, c'était complètement fou, mais qu'est ce que j'étais bien. Il m'a vite débarassé de mon soutif et il a admiré ma poitrine en me faisant remarquée combien il la trouvait jolie.
Je devenais impatiente, je glissais ma main sur ces fesses dans son caleçon, je sentais sa main qui en faisait autant, il a fait glisser ma culotte en m'embrassant tout le long de la jambe, une fois enlevée il m'a embrasser en remontant, il a introduit sa langue dans ma chatte et a commencé à me lécher le clito, c'était bon, mais ce n'est pas ce que j'attendais de lui, j'ai pris sa tête pour y faire comprendre et il est revenu à ma hauteur, je me suis alors occupée de son caleçon en l'embrassant comme il me l'avait fait, je lui lèchais au passage le bout du gland avant de revenir me coller contre lui.
Je sentais de nouveau son sexe contre mon ventre, il a bougé un peu pour le glisser entre mes cuisses, On était toujours tous les 2 sur le côté face à face, je n'avais qu'une crainte, qu'il me bascule sur le dos pour me prendre en missionnaire, mais ce ne fut pas son intention. Je passais une jambe sur son bassin et je sentis aussitot son gland sur mes lèvres. J'étais collé à lui, ses yeux ne lachaient pas les miens, il commençait à avoir une respiration rapide, puis je commençais à sentir son gland sur mon clito, qu'il caressait, c'était bon...
Je rapprochais mon bassin, j'avais envie de le sentir tout au fond de moi, il se recula toujours en me caressant le clito avec son gland. A son regard qui souriait, je compris qu'il voulait se faire désirer un max, il continua ce petit jeu un petit moment, je ne pensais pas que l'on pouvait désirer le sexe d'un homme à ce point, à un moment quand je m'approchais, je m'attendais à ce qu'il recule mais au contraire il s'est enfoncé tout au fond de moi, là je crois que j'ai crié. Puis là il a commencé vraiment me faire l'amour, je sentais sa verge tout au long de mon vagin, il allait à la limite de sortir, je sentais son gland sur mes lèvres, sur le clito, puis au plus profond de moi-même, je ne me rappelle pas avoir ete prise si profondément, sa vitesse a augmenté, je ne sais pas si c'est lui ou moi qui menait le rythme, mais il accélérait toujours au moment où je le désirais, c'était fort presque violent mais sans jamais me faire mal, je suis incapable de le dire mais je crois bien que je criais par moment, j'entendais son souffle de plus en plus saccadé, le bruit de sucion aussi de son sexe qui me pilonnnait, j'avais l'impression de devenir folle, puis la jouissance est venu forte comme jamais je ne l'ai connue, je me suis retenue pour ne pas jouir avant lui, il a du le sentir, il a ralentit, j'ai compris que lui aussi se retenait, je lui ai dit d'y aller, il m'a demandé si je voulais qu'il se vide sur moi, j'avais envie des deux sentir son foutre chaud tout au fond de moi et en même temps sur mes seins, je lui ai dit sur moi. Il m'a poussé légèrement pour que je me mette sur le dos et en même temps que je me cambrais sous l'effet de la jouissance qui m'inondait j'ai senti à 3 reprises son sperme chaud gicler sur moi de mon ventre jusqu'au menton. Je venais de m'apercevoir que jusque là, je n'avais jamais vraiment fait l'amour.
Il s'est allongé de nouveau contre moi, j'étais bien, je pensais que j'allais culpabiliser après avoir tromper Daniel, au contraire j'étais vachement zen et qu'est ce que j'étais bien dans ses bras. Il m'a demandé si je voulais prendre une douche, j'ai refusé, j'aimais sentir son liquide encore tiède sur moi et surtout aller me laver juste après j'aurais considéré ça comme renier ce que je venais de faire. Ensuite on s'est endormi après avoir échanger quelques baisers.
Puis mon portable a sonné, je lui ai dit que je devais partir, il m'a dit oui, mais à son air j'ai vu qu'il avait envie de finir la nuit avec moi alors c'est là que je t'ai appelée.
- Pourquoi tu ne m'as pas dit que tu étais à l'hôtel à côté de chez moi.
- Je ne sais pas, pas envie tout simplement.
- Et toi tu avais envie de rester avec lui.
- Oui, ça m'a même fait très plaisir qu'il me demande de rester.
- Tu ne serais pas un peu amoureuse de lui ?
- Non, je ne pense pas, pour moi c'est vraiment un ami-amant, je l'aime bien c'est vrai, je voudrais que notre relation reste comme ça !
- Il va revenir à Paris ?
- Il va essayer de revenir une fois par mois, mais attends, je n'ai pas fini de te raconter.
- Ne me dis pas qu'il a remis le couvert une fois raccroché.
- Non et de toute façon je n'en aurais pas eu la force, on a parlé un peu de toi, on a éteint je me suis blottie contre lui, j'ai senti son petit sexe contre moi, j'ai eu le sentiment que ça le génait, j'ai appuyé ma cuisse pour y faire comprendre que j'aimais bien le sentir comme ça aussi. On s'est endormit dans les bras l'un de l'autre. Quand on s'est réveillé on était toujours enlacés.
Je me suis levée pour aller prendre la douche, il m'a dit qu'il allait venir me frotter le dos, mais il est resté couché, j'ai commencé à faire coulé l'eau et je l'ai vu approcher, il est entré dans la cabine, je me suis tournée, il a commencé à me savonner les épaules, puis les reins, les fesses, puis mes hanches, je luis fis remarqué que ce n'était plus le dos mais me laissait faire, c'était trop bon. Ses mains remontèrent jusque sur mes seins, je sentais que je commençais à mouiller, je me demandais s'il allait encore me faire l'amour et surtout si je serais à la hauteur, mais je commençais à en avoir bien envie. il me caressa les pointes elle étaient déjà toute dures, je sentis son sexe de nouveau durci sur mes fesses, puis il a commencé à se caresser le sexe le long de ma raie. Je sentis son doigt qui me pénétra en même temps. Je me demandais son intention, je n'avais pas trop envie qu'il me sodomise mais je crois que je me serais laissé faire quand même. il a pris son sexe à la main et me l'a glissé entre les cuisses, je sentais son gland qui venait au bor de mes lèvres, je repensais à notre séance d'hier soir et de nouveau j'avais envie de lui, il aurait simplement fallu que je me baisse pour qu'il puisse me prendre, mais la cabine c'est vraiment trop petite, je me retournais pour me trouver face à lui et là une envie de le prendre m'a envahi, j'ai coupé l'eau, je l'ai pris par la main, il s'est laissé faire un peu etonné et amusé, j'avais repéré un tabouret dans la salle d'eau et je l'ai assis dessus, je me suis assis sur cuisses, je lui est caressé son membre, jusqu'à présent je l'avais touché, senti en moi mais jamais vraiment regardé, il se laissait faire, je me suis levée et je suis venu poser ma chatte sur son sexe et je me suis laissé glisser tout doucement dessus, ça n'avait pas l'air de le déranger que je prenne les choses en main, on avait nos corps complètement enduit de savon, je m'approchais pour, dans mes moivements, lui caresser la poitrine avec le bout de mes seins, mon plaisir montait déjà très vite, j'étais surprise de pouvoir jouir comme ça une 3ème fois en si peu de temps.
- Pourquoi d'habitude c'est combien.
- Beaucoup plus, tu sais maintenant à part le dimanche matin... Alors fais le calcul. Je voyais son désir qui montait aussi en lui, quand j'ai vu qu'il commençait à se retenir je lui ai dit maintenant, j'étais moi aussi prète à jouir, des que j'ai senti son liquide jaillir en moi, j'ai joui comme jamais je n'ai joui, ça m'a fait comme une décharge électrique le long de la colonne vertébrale, je n'avais encore jamais ressenti ça. Je me suis affalé sur lui, la tête contre son épaule, je me sentais complètement vidée, mais j'étais bien, j'avais l'impression que je n'allais pas pouvoir me relever. Après quelque minutes je me suis relever et l'on a été prendre notre douche ensemble il me lavait pendant que je le lavais, encore un nouveau plaisir.
On s'est séché, et j'ai pris dans mon sac le petit ensemble blanc à petite fleur.
- L'autre que l'on a acheté ensemble.
- Oui, il m'a dit qu'il l'aimait bien aussi, il m'a aidé à agrafer le soutien gorge, quand je l'ai remercié, il m'a dit qu'il préfèrerai l'enlever, il me caressa un sein en même temps, on se promit qu'on irait au ciné de nouveau ensemble.
- Alors la prochaine fois tu vas mouiller ta culotte blanche pour lui.
- Ben tu sais, à me remémorer et raconter notre soirée, c'est déjà fait.
- Je t'avouerai qu'à t'entendre moi aussi je suis mouillée. Comment se sont passés vos adieux ce matin ?
- il m'a proposée de prendre le petit déjeuner ensemble, ça me faisait envie, mais je ne voulais pas que ça s'éternise, j'ai dit que je n'avais pas le temps et je suis partie rapidement, juste un signe de la main une fois passé la porte de l'hôtel.
- Si Daniel te vois radieuse comme ça en rentrant, tu ne crois pas qu'il va trouver cela bizarre.
- Je n'aurais qu'à penser à notre séance du dimanche matin et je serai moins radieuse.