Première rencontre non virtuelle 1

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Proposée le 21/02/2011 par franala

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J'ai fait la connaissance de Françoise en chattant sur le net, cela fait plus de 6 mois maintenant. Dès le début ça a bien collé entre nous, mais nous n'avons pas pu beaucoup discuter ensemble, son mari la surveillant de près dès qu'elle était sur le net, c'était donc plus par message que l'on échangeait, puis par la suite par téléphone, mais en le faisant toujours plus ou moins en cachette, cela restait des échanges plutôt brefs. Elle approchait la quarantaine, moi je l'avais déjà dépassée de quelques années.
Nos dialogues avaient toujours été sages, mais le fait d'avoir une relation sexuelle avait une fois été évoquée. Elle habitait la région parisienne et moi Orléans, donc pas si loin que ça l'un de l'autre mais de trop quand-même pour une rencontre.
Aujourd'hui je suis en déplacement sur la capitale pour 2 jours et il est prévu que l'on se rencontre en fin d'après-midi. Ce matin en arrivant à Paris je l'avais joint au téléphone pour confirmer le rendez-vous et un peu inquiet du temps qu'elle aurait à me consacrer. Elle me rassura puisqu'elle devait aller avec sa soeur au cinéma, ce qu'elle faisait régulièrement et paraitrait normal à son mari, sa soeur est au courant et accepte de faire l'alibi.
Elle m'avait envoyé plusieurs photos d'elle, celle que je préférais c'était la première prise dans son jardin en jupe courte et chemisier, ce qui m'avait permis de découvrir de jolies jambes et aussi deviner de belles formes, sans être vraiment jolie, je lui trouvais beaucoup de charme et bien à mon gout, je comptais bien la reconnaitre à partir de cette photo.
Le rendez-vous était fixé à 17h30 à la terrasse d'un café de Montparnnasse tout près d'une bouche de métro, d'un commun accord cette première rencontre devait avoir lieu dans un endroit passager. J'étais arrivé en avance ce qui me permit de m'installer correctement avec une vue sur la sortie du métro.
Je me posais des questions, est-ce que la photo était récente, dessus elle ne faisait pas son age, j'étais aux aguets dès que le métro déversait son flot de passagers, en fin de compte mon attente ne fut pas trop longue, quand je la vis arriver en haut de l'escalier je la reconnus tout de suite elle était habillée de la même manière que sur la photo que j'aimais tant, je me levais elle me vit aussi presque en même temps, mon coeur se mit à battre de plus en plus vite. En m'approchant d'elle je la regardais de la tête aux pieds pour la détailler, puis mon regard remonta en appréciant sa silhouette, son corsage près du corps sans être moulant dessinait une jolie courbe, quand mon regard croisa le sien un large sourire éclaira son visage et un peu de rose vint colorer ses joues, ce que je trouvais très charmant. Je lui mis la main sur l'épaule pour lui faire la bise et en m'écartant, je fis glisser ma main le long de son bras et je la sentis frissonner légèrement et une petite chair de poule apparut son bras. A peine assis à table le serveur vint prendre notre commande, ce qui soulagea un peu notre tension à tous les deux.
Je lançais enfin la conversation :
- Je t'ai reconnue tout de suite et je ne suis pas déçu de te découvrir en réel !
- Moi aussi je t'ai reconnu de suite, tu es bien tel que sur les photos
Le serveur vint nous apporter nos boissons, j'avais du mal à engager la conversation, une première rencontre c'est moins évident qu'il n'y parait, d'un seul coup on se sent comme adolescent
- Quel film dois-tu aller voir avec ta soeur ?
- Madame Doubtfire.
- Ca tombe bien je ne l'ai pas vu non plus.
- A quelle heure tu es sensée rentrer ?
- Je dois retrouver ma soeur à minuit, quand je vais au cinéma avec elle, je reste à coucher chez elle à cause de l'insécurité dans les transports en commun.
- Ca nous laisse amplement le temps de se faire un resto et le ciné ?
- Oui largement.
- il devrait même encore nous rester du temps.
J'approchais mon pied au contact du sien.
- Oui ça nous laisse une bonne soirée. en pressant son pied contre le mien.
Je me mis aussitôt à avoir une érection, échange d'un regard, d'un sourire, beaucoup plus parlant que bien des mots. Je tentais de prende la main sur la table.
- Sois discret, je risque de rencontrer des personnes de connaissance.
De mon pied je lui caressai le mollet, je devinais sous son chemisier la pointe de ses seins qui pointait légèrement, je devinais une belle poitrine sans qu'elle soit opulente pour autant, mon regard un peu insistant ne la géna outre mesure, elle me sourit et son pied se fit sentir un peu plus.
- Les cinémas ne manquent pas ici, il doit bien y en avoir un qui joue Mme Doubtfire.
- Oui allons voir !
Je régle la note, nous finissons notre boisson et remontons l'avenue vers les cinémas. Je profitais qu'il y ait beaucoup de passants pour pourvoir la toucher, dès que je m'écartais pour faciliter le passage d'un badaud j'en profitais pour lui passer la main sur le bras ou à la taille ses regards et ses sourires confirmèrent qu'elle aimait ce petit jeu et elle se mit à en faire autant, pour mon plus grand plaisir.
Dans une rue adjacente, un cinéma avait le film à l'affiche, on s'approcha pour voir les heures, une séance allait commencé dans à peine 10 minutes. Je lui proposais
- On y va maintenant ?
- pourquoi pas !
Nous primes nos places, je lui pris la main pour l'entrainer vers la salle, aussitôt ces doigts croisèrent les miens. La salle était quasi vide, quelques personnes dans les premiers rangs et ceux du milieu
- il y a peu de monde à cette heure ci !
- Oui, il n'y a quasiment personne ! avec un très joli sourire.
Je la dirigeais vers le dernier rang, je lui mis la main sur les reins pour la faire passer devant moi dans l'allée
- Je pense que l'on sera bien vers le milieu de cette rangée.
- oui.
Je m'engageais dans l'allée derrière elle, ma main posée sur sa hanche.
Elle se tourna vers moi pour prendre place sur son fauteuil, j'en profitai pour approcher mes lèvres des siennes, elle me fit un petit baiser en se reculant de suite me mis son doigt sur la bouche en me murmurant : "Sois patient".
Une fois confortablement installés, je mis mon pied au contact du sien qui vient aussitôt s'appuyer contre moi.
Je lui pris la main derrière sa nuque, j'approche son visage en même temps que j'approche le mien, je pose mes lèvres sur les siennes, prends sa lèvres inférieure entre les miennes comme pour les mordre en douceur, je fais pointer le bout de la langue, nos respirations sont devenues de plus en plus courtes, de ma langue je commence à caresser ses lèvres, la sienne vient à la rencontre de la mienne quand les lumières s'éteignent, je m'apprête à appuyer mon baiser quand elle me repousse doucement :
- il faut quand-même que je vois le film, me susurre-t-elle dans un souffle.
Je m'installais correctement dans mon fauteuil pour regarder le film, ma jambe toujours collée à la sienne, ma main toujours sur sa nuque.
Je bandais toujours autant tout en me demandant si elle mouillait pareil, en tout cas j'en étais persuadé et impatient d'aller le vérifier.
Je la regardais, elle avait l'air complètement absorbée par le film, je commençais à lui caresser doucement la nuque, elle approcha sa tête de mon épaule :
- Huummmmm ! Mais reste sage.
Ses yeux ne quittaient pas l'écran, par moment j'arrivais à suivre un peu le film mais ça ne durait guère.
De mon doigt je lui caressais le cou, puis je le passais sur le côté, sur la gorge et commençais à descendre dans l'ouverture de son chemisier. Je défis le premier bouton de son chemisier pour descendre un peu plus facilement mon doigt, je la caressais juste à la limite de la peau et du tissu de son soutien-gorge. Sa respiration était de plus en plus profonde, sous ma main je sentais ses poumons qui se gonflaient de plus en plus forts, pourtant elle avait l'air toujours absorbée par le film, quand mon doigt s'insinua sous le tissu de sa lingerie, elle retira doucement ma main tourna la tête vers moi, me sourit et me murmura :
- Attends encore un peu, moi aussi j'ai envie !
Je retirais ma main et allait la poser sur son genou et essayais de m'intéresser Mme Doubtfire.
La tentation était trop forte, je commençais à lui caresser le genou, elle l'appuya un peu plus fort contre le mien, ce geste m'encouragea, je remontais la main le long de sa cuisse, elle n'eut aucune réaction négative, je remontais toujours plus haut, arrivé sur le haut de sa cuisse je sentis le tissu de son sous-vêtement, elle devait porter un shorty, je montais un peu plus la main quand je sentis de l'humidité sur le tissu, comme je m'y attendais elle mouillait autant que je bandais. je fis glisser ma main jusqu'à l'entre cuisse à cet endroit le tissu était détrempé, j'appuyais un peu plus ma caresse, je la sentis pousser un petit soupir, elle resserra les cuisses et descendit ma main sur son genou, elle posa son doigt sur mes lèvres comme pour me dire chut.
Je ne savais pas à combien mon coeur pouvait battre, mais ça battait très fort, de bander comme ça j'en avais mal au bas ventre, j'avais envie de me caresser, seulement quelques caresses auraient suffi pour me soulager...
J'essayais de nouveau de m'intéresser au film, je suis resté calme, enfin sage, plusieurs minutes, je ne saurais dire combien.
A un moment je sentis sa cuisse s'appuyer sur la mienne, pour être sur de na pas avoir rêvé, je recommençais à lui caresser la cuisse, la pression sur ma cuisse se fit un peu plus forte. De ma main libre, je lui pris la sienne que je posais sur ma cuisse, elle se laissa faire comme si elle n'attendait que celà. A son tour elle commença à passer sa main sur ma cuisse, au fur et à mesure que la mienne remontait la sienne en faisait autant.
Quand j'atteignis son entre cuisses, sa main se posa sur mon sexe; je lui caressai doucement la fente à travers sa culotte, elle en fit de même en s'en prenant en douceur à mes boules. Je passais mon doigt sous son shorty et commençais à lui caresser le bord des lèvres, bien qu'elle se soit laissée glisser dans le fauteuil, la position n'était pas très confortable, je remontais ma main sur la bas de son ventre afin de glisser complètement ma main dans sa culotte, je pus ainsi introduire un peu mon doigt pour lui caresser le clito. De son côté elle passait le doigt tout le long de ma queue, le plus étonnant c'est qu'elle semblait s'intéresser toujours autant au film. Ma main manquait de liberté dans son sous-vêtement, je la glissais sur la hanche pour lui faire comprendre que j'aimerais bien la descendre, à ma surprise elle leva ses fesses, laissa ma queue un instant et fit glisser son shorty qui se retrouva à ses chevilles.
Je pus ainsi commencer à introduire un peu plus mon doigt aussitôt je l'ai sentie se cambrer pour qu'il la pénètre à fond, sa main était revenue sur mon sexe qu'elle caressait doucement. De ma main libre je commençais à défaire la ceinture de mon pantalon, sa main vient se poser sur la mienne, je fus un peu déçu qu'elle ne veuille pas aller me toucher de plus près, mais cette déception fut de courte durée, enfin de compte elle préférait me défaire elle même, elle finit de détacher ma ceinture, elle introduisit sa main dans mon pantalon et commença à me caresser à travers le caleçon j'étais à la limite d'exploser, mon doigt lui n'arrêtait pas d'aller et venir au plus profond de sa chatte, elle glissa sa main dans mn caleçon, me caressa le bout du gland, je faisais un effort pour me retenir, on faisait attention de rester discret, mais je ne pense pas que notre manège était totalement silencieux, je souhaitais seulement que la bande son nous couvre.
Sa main passa tout le long de mon sexe, il ne lui fallut pas beaucoup d'aller retour pour que je me vide, je sentis au même instant son corps se dresser sous ma main, accompagné d'un grand soupir et d'un tout petit bruit aigu qu'elle tentait d'étouffer.
On resta un moment comme ça, la main sur le sexe de l'autre, je sortis un kleenex de la poche de mon pantalon et commençait à lui essuyer la main, elle dut apprécier car elle vint me déposer un bisou sur la joue, elle se baissa et ramassa son shorty pour le glisser dans son sac.
De mon côté je remettais de l'ordre dans mes affaires. Je passais mon bras autour de ses épaules, elle vint caler sa tête au creux de la mienne. J'allais poser mon autre main sur un sein que je n'avais pas encore eu le bonheur de connaitre, je m'attendais à ce qu'elle la repousse, mais elle n'en fit rien, J'ai eu l'agréable surprise de trouver une poitrine bien ferme, je sentis son coeur battre sous ma paume jusqu'à la fin du film.
Quand les lumières se rallumèrent, on s'aperçut qu'il y avait un couple à 4 rangs devant nous, ils étaient arrivés alors que le film était commencé on ne les avait ni vu ni entendu s'installer. En s'apercevant de leur présence Françoise me ragarda, une fois de plus le rouge apparut sur ces joues. On s'aperçut rapidement que notre discrétion n'avait pas été assurée, lui nous regarda avec un regard plein d'hostilité, quand il commença à quitter l'allée, elle nous regarda avec un grand sourire, a priori elle aurait bien aimé.
En sortant je proposais à Françoise un restaurant, elle acquieça :
- Oui, j'ai très faim.
- Moi aussi.
On passait justement devant un vietnamien :
- Un asiatique ça te dit ?
- Oui, j'adore et j'ai peu l'occasion d'y aller.
La salle n'était remplie qu'à moitié, le serveur nous proposa une table de 2 vers le fond de la salle sans client juste à côté.
- Cela vous convient ?
- Ce sera parfait.
A peine assis, mon pied partit à la rencontre du sien qui n'attendait que ça.
Le menu proposé nous convenant ce fut notre choix commun.
Je m'aperçus seulement maintenant que le bouton du chemisier que j'avais défait au cinéma n'était pas rattaché ce qui me laissait voir la naissance de ses seins, elle remarque mon regard, se passa la main sur son chemisier, me sourit en constatant l'ouverture :
- Ca fait indécent ?
- Non charmant au contraire.
- Et comme ça ? tout en rosissant elle écarta un peu le col pour laisser apparaitre un peu de dentelle mauve de sa lingerie.
- Un peu plus sexy, j'adore !
Nous parlions à voix basse, à la manière dont elle rougissait à chaque fois, je me dis que ça devait être la première fois qu'elle jouait ainsi au jeu de la séduction face à un homme. De mon côté, j'adorais cette attitude entre timidité et petite provocation.
- Où dois-tu retrouver ta soeur ? Je regardais ma montre en même temps.
- Tout près d'ici, c'est pour ça que quand tu m'as proposé Montparnasse, j'ai accepté de suite, c'est le quartier que je t'aurai proposé ?
Elle regarda l'heure aussi, il était à peine 20h30 :
- Ca nous laisse encore du temps !
- Oui, pour une balade sur les boulevard !
- C'est tout ce que tu as à me proposer ?
- Oui, jusqu'à mon hôtel !
La pression de son pied sur le mine fut plus forte.
- Il est loin d'ici ?
- Non presque à côté du café où l'on s'est rencontré.
- Ca nous fera une toute petite ballade.
Les serveur vint nous apporter nos plats, un couple s'installa à une proche de la notre, elle se leva.
- Excuses moi il faut que j'aille aux toilettes.
Quand elle en revint j'ai vu qu'elle avait raboutonné son chemisier.
Le reste du repas se passa en échangeant des banalités, mais avec beaucoup d'échanges de regards et de sourires.
A la sortie du restaurant je luis pris la main, elle la retira, s'apprêta à me dire quelque chose, se ravisa et me pris la main.
Arrivée devant l'hôtel, elle se serra un peu plus contre moi :
- J'ai peur, dit elle.
Effectivement je la sentais trembler un peu.
- De quoi ?
- Jamais jusqu'à aujourd'hui un homme ne m'a emmené dans un hôtel !
- Tu n'as plus envie ?
- Oh ! Si ! En serrant un peu plus contre moi.
Je pris ma clef au gardien qui me regarda avec un regard complice, Françoise ne me lachait pas la main, elle la serrait même de plus en plus fort.
Une fois rentré dans l'ascenceur je la serrai contre moi, elle blottit sa tête contre mon épaule. J'eus l'impression qu'elle allait se mettre à pleurer.
- Ca va ? Lui chuchotais-je à l'oreille.
- Oui, ça va aller, et elle vint me poser un baiser sur les lèvres.
Je sentais qu'elle se détendait, Je l'amenais à ma chambre située au 3ème juste à côté de l'ascenceur, sa main serrait toujours fort la mienne, une fois tous les 2 entrés, je refermais la porte et la verrouillais.
Elle fit une petite inspection de la chambre.
- C'est pas très grand mais sympa ! Le lit est petit.
- C'est gênant.
- Au contraire.
Je la pris par la taille, la plaquais doucement contre la porte, et approchait mes lèvres des siennes les yeux plongés dans les siens.
Je ne l'avais pas encore vraiment embrassée depuis le début de notre rencontre, j'allais enfin découvrir ce plaisir.
je commençais à passer le bout de la langue sur ses lèvres, elle se détendit complètement, je sentis le bout de la sienne qui vint au contact de la mienne, aussitôt je me remis à bander, je fis glisser mes mains sous son chemisier, ce qui la fit frissonner un peu. Je rapprochais mon bassin du sien pour lui faire sentir mon érection, elle répondit à mon appel en frottant un peu son bassin et en écartant même un peu les jambes en faisant glisser ses pieds au sol. Nos langues maintenant étaient au plus profond de la bouche de l'autre, à son attitude, pas besoin de lui demander si elle avait envie de moi.
Je lui caressais les seins, je sentit ses pointes bien drésées je me mis à les rouler dans mes doigts à travers le tissu. Je glissais une main sous sa jupe et je pus me rendre compte qu'elle avait remis son shorty et qu'il était de nouveau bien mouillé, je lui caressais un peu la chatte à travers le tissu avant de la prendre par la main et l'entrainer vers le lit.
J'allumais la lampe de chevet :
- Ca ne t'ennuie pas ? j'ai envie de te voir !
- Non pas du tout, moi aussi je veux te voir.
Elle sortit son portable de son sac
- Attends je vais mettre une alarme.
Je retirais chaussures et chaussettes, m'allongeais sur le lit où elle me rejoignit rapidement après avoir enlever ces chaussures, elle vient aussitôt se glisser aux creux de mes bras, du doigt je lui caressais la joue en l'embrassant doucement, mon doigt glissa sur son cou, puis sur se gorge je défis de nouveau le premier bouton de son chemisier, je sentis aussitôt sa main qui en fait autant sur ma chemisette, je dégrafais un deuxième bouton, elle en fit de même, je finis de défaire son corsage en même temps qu'elle arrive à mon dernier bouton.
Je fis glisser son vêtement sur son épaule, elle se souleva pour me faciliter le travail, tout en me débarrassant de ma chemisette.
Elle portait un joli soutien gorge en dentelle de couleur mauve qu'elle m'avait laissé entre apercevoir au restaurant.
- C'est tout mignon ça ! tout en lui caressant un sein juste à la limite du tissu.
- Tu aimes ?
- Oui, tu as l'ensemble comme ça ?
- Oui.
- Il faut que je vois ça !
Je glissais ma main dans son dos jusqu'à arriver à la ceinture de sa jupe, à tatons je trouvais un bouton que j'arrivais à défaire relativement facilement, déjà la ceinture de mon pantalon était défaite, elle ne voulait pas prendre de retard sur moi, je fis glisser sa fermeture éclair, elle en fit de même en glissant un doigt à l'intérieur pour qu'il glisse le long de mon sexe en même temps.
Quand je commençais à faire glisser sa jupe, elle souleva son bassin pour la dégager, je descendis un peu afin de lui faire glisser le long des jambes tout en les caressant, ma bouche embrassant au passage la partie de ses seins découverte, son ventre, puis son nombril, et son bas ventre juste à la ceinture de sa culotte. une fois que je l'eus débarrassée de son vêtement, je remontais en embrassant de nouveau son corps.
A son tour elle descendit pour m'embrasser le torse puis le ventre pendant que ces mains me débarrassait de mon pantalon, puis en remontant sa main me caressa la cuisse puis son doigt parcourut toute la longueur de ma verge.
Je m'écartais un peu d'elle pour l'apprécier en petite tenue, le tableau était charmant.
- Tu es très belle comme ça.
- Merci ! Toi aussi, dit-elle en regardant mon caleçon déformé.
Et elle vient se serrer de nouveau contre moi, en appuyant fort son bassin pour que je n'ai aucun doute sur son allusion.
- Si tu me trouves si belle dans cette tenue, je la garde.
- Mais bien entendu.
Je lui embrassais l'épaule tout en faisant glisser la bretelle de son soutien gorge, je glissais ma main doucement sous le bonnet tout en le faisant glisser, elle dégagea son bras, je lui caressais la base du sein et mes lèvres vinrent pincer doucement la pointe bien dure.
Passant ma main dans son dos, je dégrafais son soutien gorge, elle se releva afin de dégager son bras, et son vêtement alla rejoindre chemisier et jupe sur la moquette.
Je m'écartais un peu d'elle pour admirer ses seins.
- Tu as une très jolie poitrine !
Pour toute réponse elle vint m'embrasser fougueusement.
Maintenant ses gestes ne suivaient plus les miens, elle les faisait en même temps.
Je sentis sa main glisser dans mon dos aussi doucement que la mienne le faisait. Quand je la glissais dans son shorty je sentis sa main qui caressais mes fesses.
Quand je commencais à faire glisser sa culotte, elle se souleva légèrement.
Je me glissais le long de son corps, afin de faire glisser son dernier vêtement le long de ses jambes, une fois enlevé, je lui embrassais tour à tour pied, cheville, cuisse, l'entre cuisses, je passais ma langue sur ses lèvres puis la glissa à l'intérieur pour lui lécher son petit bouton.
Elle me prit la tête entre ses mains et la releva pour me faire comprendre que ce n'est pas ce qu'elle attendait.
A son tour elle descendit le long de moi pour me débarrassa de mon caleçon en suivant mes jambes des lèvres, puis elle remonta de la même façon, en me passant la langue de long de la verge, me passa quelques coups de langue sur le gland avent de remonter tout le long de mon corps.
Elle revint se serrer contre moi, ses seins écrasées contre ma poitrine, son bassin pressé contre le mien. J'avais le sexe écrasé contre le bas de son ventre, je me déplaçais un petit peu afin de le glisser entre ses cuisses, elle passa une jambe sur les miennes, je passais mon gland sur le bord de ses lèvres inondées.
A sa poitrine collée contre la mienne, je sentais sa respiration qui s'accélérait, nos yeux ne se lachaient pas, quand je commençais à m'introduire doucement en elle, je les vis s'agrandir et j'y lus beaucoup de plaisir.
Du bout du gland, je lui caressais le clito sans aller plus loin, son bassin bougeait pour bien accompagner ma caresse.
Son bassin se fit plus pressant, afin que je m'introduise davantage, je me reculais pour ne pas la pénétrer entièrement tout de suite.
Je la regardais avec un petit sourire.
- Salaud, murmura-t-elle en venant me mordiller les lèvres.
Je continuais ce petit jeu un petit moment, je sentais ces mouvements de plus en plus appuyés au fur et à mesure que son désir grimpait, je sentais son coeur battre la chamade contre ma poitrine.
Son bassin se rapproche encore du mien, j'en fis de même et m'introduit au plus profond d'elle même. Elle pousse un petit cri et ses yeux s'écarquillèrent un peu plus.
Je commençais mes aller-retour en douceur, sur toute la longueur en étant limite de me sortir pour aller ensuite au plus profond possible.
Elle haletait, en faisant un petit bruit entre soupir et petit cri à chaque fois. l'allure s'accéléra.
Je commençais à transpirer et je vis que son corps était également luisant de sueur.
Nos mouvements étaient de plus en plus rapides, à la limite de la brutalité.
Mon désir était au maximum, j'étais à la limite d'exploser, je me retenais je voulais trouver mon plaisir en même temps qu'elle, je ralentis un peu le rythme.
- Vas-y me dit-elle.
- Tu veux me sentir me décharger à l'intérieur ou sur toi ?
Dans un souffle elle me répondit :
- Je veux sentir ton liquide chaud sur moi !
Je me retirais et l'allongeais sur le dos pour libérer le flot qui se projeta sur elle, je la sentis au même instant se cambrer brutalement et pousser un petit gris dans un gros soupir.
Je m'allongeais de nouveau contre elle sur le flanc, elle vient se coller contre moi, je la trouvais encore plus tendre et plus détendue qu'auparavant.
Elle était encore plus souriante qu'elle l'avait été jusqu'à présent et je crus reconnaitre de la reconnaissance dans son regard.
Au bout d'un moment, je lui demandais :
- Tu veux prendre une douche !
- Non ! Je préfère rester comme ça contre toi et ne plus bouger, à moins que ça te gène ?
- Non pas du tout.
Elle m'embrassa, nous échangeames quelques tendres baisers et je m'endormis.
Quand l'alarme de son téléphone me réveilla, je m'aperçus que la lumière était resté allumée, à son regard je compris qu'elle se réveillait aussi, elle me sourit un me claqua un bécot sur les lèvres. Quand elle se retourna pour attraper son téléphone je la retins. Elle arrêta la sonnerie
- Il faut que je parte.
Je maugréais.
- Mmmmm oui je sais.
- Tu veux que je reste encore un peu ?
- Non beaucoup.
- Oui.
- Attends j'appelle ma soeur.
Elle s'assit sur le bord du lit et l'appela.
- Oui, c'est Françoise.
- ...
- Ce n'est pas la peine de m'attendre.
- ...
- Non t'inquiètes pas tout va bien !
- ...
- Je ne suis pas loin de chez toi de toute façon.
- ...
- Oui, je suis toujours avec lui.
- ....
- Oui c'était bien.
- ...
- Je te raconterai demain.
- ...
- Oui, tout va pour le mieux, on se retrouve demain après le boulot.
- ...
- Je te rappelle demain matin, Bisous.
Elle coupa et vint se rallonger contre moi.
- Tu vas tout raconter à ta soeur ?
- Oui, c'est ma seule confidente. Elle est la seule à savoir que j'ai une relation avec toi. Sans elle je n'aurais pas pu être là ce soir.
- Elle est proche de toi.
- Oui, bien qu'elle ait 10 ans de moins que moi on est très proche, on se confie absolument tout depuis qu'elle est adolescente.
- Elle était inquiète ?
- Oui, c'est la première fois de ma vie que je découche, même étant ado, ça ne m'est pas arrivé.
- Quand tu as dis c'était bien, de quoi tu parlais ?
- Mme Doubtfire bien-sur, elle m'embrassa une fois de plus.
- Eteint la lumière, il faut dormir maintenant.
J'éteignis avant de venir me blottir de nouveau contre elle.
Je posais une main sur ses reins qui descendit rapidement sur ses fesses, je sentis sa main venir sur ma fesse et se serrer contre moi.
J'eus une petit gène en sentant que mon sexe ramolli appuyait sur sa cuisse, elle dut s'en rendre compte, appuya un petit peu plus la cuisse comme pour me dire qu'elle trouvait ça normal en m'embrassant tendrement.
Le jour pointait à travers les rideaux quand j'ouvrais un oeil, le peu que je bougeai suffit à la réveiller.
- Bonjour !
- Bonjour !
Elle était radieuse.
Elle m'embrassa, regarda l'heure.
- Je vais prendre ma douche.
- Je viens te frotter le dos.
Elle se leva et se dirigea vers la salle d'eau.
Je restai couché un instant, j'entendis l'eau de la douche qui se mit à couler, j'attendis un petit peu, me levai et me dirigeai à mon tours vers la selle de bain.
Elle était belle ainsi nue sous la douche, je la trouvais de nouveau très désirable, je lui souris elle me sourit en retour.
Je rentrais dans la cabine, j'eus droit à un petit baiser sur les lèvres avant qu'elle se retourne pour me présenter son dos.
Je pris le produit douche, m'en versai abondemment sur les mains et commençais à lui en passer sur les épaules, en descendant sur son dos, je commençais à la désirer un peu plus fort.
Mes mains descendirent tout le long de son dos, sur ses reins jusqu'à ses fesses, je passais mes mains sur ses hanches, puis les remontais sur son ventre.
- Dis donc, là ce n'est plus le dos ! Sans pour autant retirer mes mains.
Je remontais jusqu'à ses seins. Je commençais à bander ferme de nouveau.
- Tu ne crois pas que tu t'aventures un peu trop ?
Je ne répondais pas, elle n'écartait pas non plus mes mains.
Je remontais jusqu'à la pointe de ses seins que je sentais déjà dressées. je me dis que mon désir avait l'air réciproque. Pour m'en assurer je me serrais contre son dos et lui fit sentir mon érection sur ses fesses, elle ne s'écarta pas.
- Tu n'en as pas eu assez ?
- Si mais j'en redemande.
Je caressais mon sexe le long de la raie de ses fesses, et descendis une main entre ses cuisses. J'introduisis un doigt, c'était bien humide et là j'étais sur que ce n'était pas l'eau de la douche.
Je lui titillais son petit bouton, je me déplaçais un peu afin de glisser mon sexe entre ses cuisses, je sentis une petite crispation chez elle, mais quand avec mon gland, je lui caressais ses lèvres intimes elle se détendit, à cet instant, il aurait suffit qu'elle se baisse pour que je la pénètre, mais la cabine de douche était trop petite. Ce petit jeu dura un petit moment, elle se retourna, ferma le robinet de la douche, me pris par la main :
- Viens !
Je crus qu'elle voulait m'emmener sur le lit, mais elle m'assit sur le tabouret présent dans la salle de bain et vins s'assoir face à moi sur mes cuisses, elle m'embrassa avidement. Je compris qu'elle voulait prendre les choses en main et décidait de ma laisser faire.
Elle commença à me caresser doucement comme pour s'assurer de la bonne rigidité de mon membre, se leva légèrement et vint s'empaler sur moi, elle fis glisser son fourreau en douceur, puis commença ses va et vient. Je retrouvai ce regard écarquillé que j'avais découvert hier soir, les pointes de ses seins se frottaient contre ma poitrine au fil de ses mouvements, sur la peau mouillée c'était une sensation agréable qui ajoutait à mon désir.
Son souffle s'accélérait, ses petits rales de plus en plus rapprochés, mon excitation était à son comble, très rapidement il fallut que je me retienne,
A mon regard elle dut le deviner, elle me souffla :
- Maintenant.
Je me vidais totalement en elle, aussitôt je sentis un frémissement qui traversa tout son corps et dans un dernier cri étouffé elle redescendit sur moi une dernière fois.
Elle se laissa aller totalement contre moi, la tête contre mon épaule. On resta ainsi un moment, incapable de dire si ce fut que quelques secondes ou plusieurs minutes. Elle releva la tête :
- On va prendre une douche.
- Oui.
Elle me prit par la main pour m'emmener vers la cabine, on se lava mutuellement avec beaucoup de douceur nous échangèrement aussi de nombreux baisers, on s'essuya mutuellement.
Dans son sac, elle avait prévu les sous vêtements de rechange, je la regardais sortir un petit ensemble à fleurs, en enfilant sa petite culotte elle me dit :
- Tu aimes.
- Oui tu as très bon gout.
Elle était en train de mettre son soutien gorge, je m'approchais pour l'aider à l'agrafer.
- Merci.
- Mais tu sais que je préfèrerais le défaire tout en lui caressant un sein travers le tissu.
- Pour ça il faudra que tu reviennes à Paris.
- Pourquoi ? Si je reviens, tu as l'intention de heu... Passer la nuit chez ta soeur ?
- Oui, j'espère bien encore assister à une bonne séance... De cinéma !
On finit de s'habiller :
- Tu as le temps de prendre ton petit déjeuner ici.
Elle regarda sa montre.
- Non je n'ai vraiment pas le temps.
On quitta la chambre, il y avait du monde dans l'ascenceur, on resta face à face sans rien dire, heureux de notre soirée mais en même temps un peu tristes de devoir se séparer. Une fois arrivés au rez de chaussée, elle me fit une bise tendre sur la joue et partit d'un pas rapide vers la sortie. Une fois passée la porte, elle me fit un grand signe de la main. Je me dirigeais vers la salle à manger pour prendre seul mon petit déjeuner.