Un bel étalon

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Proposée le 10/02/2011 par enkor e enkor

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C'est l'été, chaleur infernale.
Une seule alternative, la rivière bien fraîche. L'eau froide m'enveloppe, me caresse. Je me laisse dériver au fil du courant. Quel délice ! Après un bon moment, je décide de regagner la berge. C'est alors que j'aperçois sur le chemin de halage, un cheval gris pommelé mené par un cavalier dans les 25 ans environ. Mais, ce qui me surprend encore plus c'est que le cavalier tient à la main un caméscope et qu'il a l'air de me filmer. Je m'approche de lui.
"- Excusez moi, mais j'aime filmer les jolies choses !
- Merci pour la chose !
- C'est pas ce que je voulais dire ! Je vous montre si vous voulez..."
Sur le petit écran de contrôle, il me fait défiler la séquence qu'il vient de filmer. On me voit entrain de sortir de la rivière, ruisselant d'eau et de soleil. Très vite, le zoom grossit et l'on voit mon torse en gros plan, la caméra descend sur mes abdos et bientôt l'image ne décolle plus de mon boxer ruisselant d'eau qui souligne assez bien mes formes...!
- Vous n'aimez pas ? Me demande-t-il moqueur.
Je ne sais pas quoi répondre, tant je suis surpris par... son audace. Du coup, je le détaille un peu mieux. Grand, bronzé, une longue chevelure blonde. Il est vêtu uniquement d'une espèce de caleçon de cycliste blanc qui lui arrive aux genoux, il est torse nu. Il chevauche sans selle, ni étriers, juste de simples rênes. Pour prendre une contenance, je me mets à caresser la crinière de son cheval. Il se couche alors sur l'encolure, emprisonnant ma main contre son torse... Je continue à glisser le long de l'encolure ce qui fait que je caresse son cheval de ma paume et que je lui caresse le torse puis le ventre du dos de ma main. Comme entrée en matière, c'est on ne peut plus clair ! D'un seul coup, il s'allonge sur le dos de son cheval ce qui a le don de faire ressortir très précisément la forme de son sexe à travers le fin tissu blanc, dans une position totalement offerte à la caresse de ma main qui ne se trouve plus qu'à quelques centimètres de son bas ventre. Je n'ose pas... Sa longue chevelure se répand sur la croupe de son cheval. Je dois reconnaitre qu'il dégage une sacrée sensualité, très provocante, qui me met le coeur au bord des lèvres. Il se redresse alors et me propose une balade en croupe. Et me voilà collé à lui, avec mon boxer dégoulinant, ne sachant où poser mes mains pour assurer mon équilibre.
"- Tu peux t'accrocher à moi, tu sais."
J'enserre alors ses abdos bien dessinés, non sans plaisir.
"- Tu as déjà galopé ? Tu vas voir, c'est génial !"
Et le voilà parti ! Pour assurer ma position, je le serre de plus en plus. Nous sommes collés l'un à l'autre, avec le ventre qui ondule au rythme du galop du cheval. Evidemment, cela ne tarde pas à déclencher chez moi une belle érection qu'il ne peut pas ne pas sentir contre ses fesses. C'est alors que je réalise que c'était surement le but qu'il recherchait. Alors, je décide d'y aller carrément, puisqu'il m'y invite aussi explicitement. Je me colle de plus en plus contre son dos, je le serre de plus en plus fort, déplaçant les mains vers son bas ventre. Excité, il talonne de plus belle son étalon. Il prend alors une de mes mains et la pose carrément sur son sexe ! Lui aussi, il bande et la sensation est si agréable au toucher que je le soupçonne de ne pas porter de slip sous son "cycliste". Dieu que c'est excitant ! Dieu que c'est bon !
Au bout d'un moment, il repasse son cheval au pas pour le reposer et le laisser souffler. La sueur qui envahit le dos du cheval, l'odeur forte de l'animal, le vent, sa chevelure dans mon visage, son sexe dressé dans ma main, le mien qui frotte contre sa raie, tout cela me donne le tournis.
"- On va s'arrêter un peu pour qu'il se repose.". Il est déjà en bas et m'aide à descendre en me prenant dans ses bras. Du coup, il ne me lâche plus et me plaque contre la croupe de son cheval, collé à moi. Il a de grands yeux noisette et une gueule d'ange. Vraiment un beau gosse qui n'a pas froid aux yeux. De ses lèvres, il cherche ma bouche. Je sens le bout de sa langue humide qui me titille et qui cherche à pénétrer. Goulûment, il m'embrasse à pleine bouche, nos dents s'entrechoquent, je sens tout son corps tendu qui me plaque contre son animal. Délicieux ! Ses mains me labourent le dos, le bas du dos, s'introduisent dans mon boxer de bain et me massent les fesses avec fureur.
"Viens !", me souffle-t-il dans l'oreille. On s'éloigne alors de son animal et l'on s'allonge dans l'herbe verte baignée de soleil, à l'abri d'une haie.
A genoux entre mes jambes, il me caresse partout du bout de sa langue, agaçant mes tétons dressés, jouant avec mon nombril, suivant langoureusement la ligne de poils qui plonge vers mon slip. Il se frotte à ma bite tendue, à travers le tissu mouillé, mordille délicatement ma tige, enserrant mes couilles du bout de ses doigts. Submergé par l'excitation, je m'arcboute en m'offrant de plus en plus à son envie. Voluptueusement, il fait glisser mon boxer, libérant ainsi ma bite. Du bout de ses lèvres, il me titille le gland. Je sursaute comme si j'avais reçu une décharge électrique. Putain que c'est bon ! Puis il s'allonge sur le dos, totalement offert lui aussi, les yeus fermés, il attend mes caresses. Je promène mes mains, puis ma bouche, puis ma bite sur son torse bronzé. Il ondule de plaisir. Je remarque son sexe tendu à mort et la tache de liqueur qui s'élargit sur le tissu de son caleçon. A même le tissu, j'engouffre sa bite dans ma bouche. Il ondule de plus belle du bas ventre en me malaxant les chexeux et en appuyant sama tête sur son sexe. Comme lui, je fais glisser tout doucement son caleçon blanc, libérant ainsi une belle bite très fine qui émerge d'une jolie touffe blonde. Elle ruisselle déjà de liqueur. Quel bel engin ! Je remarque ainsi qu'il n'a pas de slip et qu'il a les couilles rasées. J'enfouis mon visage dans sa touffe, respirant à plein nez son odeur mêlée à celle de la sueur de son animal. Enivrant !
Je me mets alors à le sucer de la plus belle manière que je connaisse. Alternant les coups de langue, les mordillements, les aspirations, les titillements du frein de son prépuce. Je constate aussi que c'est beaucoup plus agréable pour moi, et pour lui sans doute, de lui sucer les couilles entièrement rasées. J'entends son souffle s'accélérer ainsi que les mouvements de son bas-ventre. Ne voulant pas jouir trop vite, il reprend l'initiative.
"J'ai envie de te prendre..."
Il approche son sexe luisant de désir de ma raie et commence à me titiller doucement la rondelle. Je sens son gland contre ma rondelle qui cherche à me dilater. Mouillant son doigt avec sa liqueur, il me titille l'anus et me passe assez facilement le doigt. Il me caresse l'intérieur doucement. Puis il reprend les pressions de son gland... Ca y est, je sens qu'il commence à me pénétrer avec une infinie douceur. Quel délice ! Petits coups par petits coups, il progresse dans mes entrailles; comme sa bite est fine, elle glisse assez facilement dans mes entrailles et je la sens parfaitement aller et venir lentement. J'enserre ses reins avec mes jambes croisées et j'empoigne à pleines mains ses fesses durcies pour bien accompagner son mouvement de va et vient. Son visage est rayonnant. Il a l'air très attentif à ses sensations et aux miennes.
"- Tu aimes ?
- tu parles ! Tout à coup, il s'esclaffe !
- Regarde!" Son cheval qui broutait non loin de là aprobablement senti quelque chose et... Il commence à bander ! Un sexe énorme sort très lentement de son fourreau.
- C'est clair ! On peut pas lutter!", dit-il en riant.
Puis il continue ses délicieux allers-retours dans mes entrailles, ses yeux plantés dans les miens. J'aimerais que ça ne s'arrête jamais. En même temps, il promène ses mains sur mon visage, sur mon torse, me branle légèrement du bout de ses doigts, s'enduit de ma liqueur et me fait sucer son doigt. Encore !!
Il sent son plaisir monter et venir et il a sûrement remarqué que je bande comme un fou. Alors il accélère son va et vient brûlant, de plus en plus vite. Maintenant, il me pilonne de plus en plus violemment, se retirant presque entièrement de moi et me transperçant aussitôt de tout son membre. Il a perdu son souffle et halète violemment. J'essaie de ne faire qu'un avec lui, collé à lui, totalement synchrone. Tout à coup, se sentant proche de l'explosion, il se retire brusquement et vient coller sa bite contre la mienne tout en poursuivant ses mouvements contre mon ventre. Woouuaaah ! Nos deux bites se frottent de plus en plus vite. je sens que je vais jouir. Je pousse un cri et j'inonde nos deux torses de longs jets de sperme brûlant. A peine quelques secondes plus tard, lui aussi jouit dans un long cri. Génial ! Presque en même temps ! Pendant plusieurs minutes, on reste là, haletants, collés l'un à l'autre. L'odeur de nos deux spermes nous envahit. Délicatement, il m'enduit le torse avec.
"Tu as aimé ?"
Je crois que mon regard lui a suffi comme réponse.
Puis nous nous sommes rebaignés pour nous laver et l'on s'est quitté en se promettant de se revoir...?