Le jour où je me suis fait séduire par le meilleure amie de ma soeur

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 8/02/2011 par detroi

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

C'est la première fois que je me teste à l'écriture, j'attends vos critiques constructives pour m'améliorer et si cela vous plait j'en ferai une suite.

"21h30, la soirée va être encore longue et je n'en peux déjà plus de ces conversations d'adolescentes. Quelle idée j'ai eu d'avoir accepté auprès de mes parents de chaperonner ma s'ur le jour de la fête de son 18ème anniversaire." C'est sur cette pensée, que je décidai de prendre une bouteille de vin et de filer me réfugier au calme dans ma chambre. Je me servis un verre m'installais confortablement dans mon lit et mis un film en route.

Quelques paisibles minutes plus tard, je vis ma porte s'entre-ouvrir et j'entendis un :
"Je peux entrer ?", c'était Vanessa, la meilleure amie de ma s'ur. Pour que vous puissiez vous en faire une idée, Vanessa est tout juste âgée de 18 ans et quelques semaines, elle doit mesurer près d'1m70, pour 65 ou 70 kg, elle a quelque rondeur, mais ça lui donne un certain charme. Malgré son jeune âge, la nature la dotée d'une énorme poitrine qu'elle ne manque jamais de mettre en valeur par de formidables décolletés et des fesses bien rebondies, de quoi faire fantasmer un bon nombres de petits jeunes dans son lycée. Elle a de longs cheveux blonds et des yeux verts.

"Euh oui, qu'est ce qu'il y a ?", demandais-je.
"Ben je t'ai vu partir et comme je m'inquiétais pour toi, je suis venue voir si tu allais bien », bredouilla-t-elle.
"Et pourquoi irais-je mal ?", l'interrogeais-je.
"Ben, ta s'ur m'a expliqué que tu as quitté ta copine et que tu es revenu habiter chez tes parents, et comme j'ai vu que tu faisais une tête bizarre et qu'en plus tu es parti une bouteille à la main, je suis venue voir si tu allais bien", m'expliqua-t-elle.
"Ah ! mais tout vas bien c'est juste que j'en avais assez d'entendre les conversations de gamine que vous aviez"
"De gamine ???", s'énerva-t-elle. Apparemment j'avais touché une corde sensible.
"Je vais te montrer que je ne suis pas une gamine mais une adulte, ainsi tu pourras me faire des excuses !". C'est sur ces paroles qu'elle prit mon verre de vin et le but d'une traite.

Dans l'optique de la taquiner un peu plus et ne comprenant pas son comportement, je lui dis que boire cul sec un verre d'un si bon vin ne faisait pas d'elle une adulte, mais une idiote.

"Ah mais ce n'est pas la preuve que je cherchais à te donner, c'est juste un bon moyen de m'en donner le courage nécessaire.", rétorqua-t-elle. Et sur ces paroles, elle s'approcha de moi, s'assit à mes côtés sur mon lit, se pencha vers mon visage et m'embrassa.

Je n'eus d'autre réflexe que de la repousser en lui disant qu'elle était folle et que cela ne se faisait pas, car j'avais 6 ans de plus qu'elle et qu'en plus comme je l'avais vue grandir j'avais l'impression d'embrasser une enfant. Cette explication n'eut pas l'effet escompté étant donné qu'au lieu de la décourager, ça l'a incitée à réitérer l'expérience, mais d'un degré supérieur, puisqu'en plus de m'embrasser à nouveau, elle me grimpa dessus étant donné que j'étais resté allongé sur mon lit. Couchée sur moi, elle m'embrassa à nouveau.

Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir cette jeune langue dans ma bouche ou alors de sentir sa poitrine contre mon torse, mais je n'eus pas la force de repousser ce deuxième assaut et bien pire, je sentais mon sexe se durcir de plus en plus alors que j'étais honteux d'adorer ça.

C'était comme si j'étais envouté, comme si mon corps ne m'obéissait plus, alors que je luttais contre mon érection avant qu'elle ne la remarque, mes mains instinctivement se glissèrent sous sa blouse et lui caressèrent le dos. Ses lèvres toujours contre les miennes m'embrassant à pleine bouche, je sentis qu'un sourire coquin se formait contre mes lèvres. Qu'allait-elle faire ?

Elle se releva, mais resta assise en califourchon sur mon sexe en érection. Il était d'ailleurs impossible qu'elle ne sente pas ma bite dressée tel un barreau. Elle se frotta un peu contre mon bassin et me dis "Et ben on dirait que je te fais de l'effet, je vais aller voir ça de plus près !", c'est sur ces paroles qu'elle décida de m'enlever mon pantalon et mon boxer. Totalement perdu entre l'excitation et la honte, je la laissais faire. Mon engin était là tendu devant elle et totalement à sa merci, il ne fallut d'ailleurs pas plus de trois secondes pour qu'elle le prenne en main et commence à me branler.

Ses mouvements de poignets étaient assez timides et lents dans un premier temps, mais très vite elle trouva ses marques et surtout son rythme et commença à m'astiqua de plus en plus rapidement. Je sentais la pression monter en moi et l'excitation fut à son comble lorsqu'elle se pencha sur mon sexe et le mit en entier dans sa bouche. Je sentais sa langue enroulée autour de mon gland et les va-et-vient de ses lèvres ne mirent que quelques minutes à me faire jouir alors qu'elle me faisait cette merveilleuse pipe. Je fus très gêné de n'avoir pu me retenir, mais encore plus d'avoir répandu tout mon foutre dans cette si jeune bouche.

Alors que je m'attendais à la voir s'arrêter pour tout recracher et se choquer de ce que je venais de lui faire, elle eut une tout autre réaction. Sans s'arrêter de me sucer, elle avala tout mon sperme dans un gémissement de plaisir et me suça de plus belle encore. Mon sexe n'eut même pas le temps de ramollir qu'une nouvelle érection m'excita de plus belle. Aucune fille ne m'avait jamais fait prendre mon pied de la sorte.

Voulant me racheter de ce que je venais de faire, mais surtout pour lui procurer autant de plaisir que j'en avais eu, je lui demandais de s'allonger à son tour de me laisser prendre les choses en mains. Je voulais y aller doucement pour faire monter la pression en elle comme elle l'avait fait plus tôt pour moi. Si bien que je commençais par m'attaquer à ses énormes seins que je libérais de cette blouse et de ce soutien-gorge qui les oppressaient.

Ils étaient là devant si fermes et si énormes à la fois, on aurait dit deux pamplemousses sur lesquels trônaient deux petits tétons roses et durcis par l'excitation. Je me mis alors à lui sucer les seins, faisant tourner son mamelon autour de ma langue et le mordillant de temps en temps. Tout en m'exécutant, une de mes mains se mit à descendre vers son jeune minou pour commencer à le caresser à travers son pantalon. Son entre jambe était tout chaud et humide, je n'avais plus qu'une idée en tête; enlever son pantalon et son string pour gouter son jus. Je décidais donc de descendre doucement en faisant un baiser tous les dix centimètres sur son ventre jusqu'à arriver au bouton de son pantalon que j'ouvris sans me faire prier.


A suivre...